Les Etats disent non au roundup : cuisante défaite pour Monsanto et Bruxelles qui veut passer outre !

Ils s’en donnent,  pourtant, du mal, pour nous faire avaler du poison !

Ils en ont, pourtant, du pouvoir, la Commission européenne et Monsanto !

Mais c’est trop tard. quoi qu’ils fassent, les Sans-dents ET les bobos sont, pour une fois, complètement d’accord pour dire non .

Non au Round Up.

Non à Monsanto.

Non à l’agriculture intensive.

Non à la mondialisation.

Non aux lobbies.

Oui aux purins d’ortie, de prèle, de consoude.

Oui au vinaigre, au bicarbonate  et au savon noir.

Oui aux coccinelles et aux abeilles.

Oui à l’agriculture raisonnée à petite échelle.

Oui à la consommation de produits naturels cultivés à proximité.

Monsanto se casse la gueule et nous on développe les AMAP, on fréquente les bouchers et épiciers de quartier qui existent encore. A condition qu’ils ne vendent pas de halal, parce que faut quand même pas pousser.

Et vous savez quoi ? Le plus étonnant dans l’histoire c’est que la folle du Poitou, pour la première fois de sa vie, a joué un rôle positif (« déterminant », dit-elle… ). Comme elle vise toujours les plus hauts postes de la planète, elle n’est pas allée jusqu’à voter contre, se contentant de s’abstenir… Pas très courageux quand même !   Comme si il ne fallait pas froisser les membres de la Commission Européenne qui avaient fait « un énorme effort « en proposant une prolongation de l’autorisation de plusieurs mois au lieu de plusieurs années…

Certes, c’est pas gagné pourtant, puisque nous vivons en dictature.

Certes, la commission européenne n’exclut pas de passer outre et d’accorder une autorisation refusée par les Etats membres, piétinant les traités, les accords, les lois européennes…

Mais si c’est le cas. Cela sera intéressant. Peut-être le début d’un combat contre Bruxelles réunissant un maximum de Français et d’autres peuples d’Europe ?   

En tout cas cela apportera de l’eau au moulin de Marine Le Pen et autres politiques eurosceptiques d’Europe.

Le Roundup essuie un nouvel échec en Europe
Encore raté. La Commission européenne n’est pas parvenue à faire accepter par les Etats membres, lundi 6 juin, une réautorisation provisoire du glyphosate en Europe, ce pesticide controversé – principe actif du célèbre Roundup de Monsanto et clé de voûte du modèle agricole dominant.

Après avoir proposé sans succès, ces derniers mois, sa réhomologation pour quinze ans, puis pour neuf ans, Bruxelles avait fini par se rabattre sur une autorisation de seulement dix-huit mois. Le temps pour l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA), chargée de la réglementation européenne sur les substances de synthèse, de rendre une nouvelle expertise sur ce produit phytosanitaire le plus répandu dans le monde, avec environ 800 000 tonnes épandues chaque année.

Las ! Le vote des Etats membres, réunis lundi matin en comité technique, n’a pas permis de dégager la majorité qualifiée nécessaire. La France, l’Allemagne, l’Italie, la Grèce, l’Autriche, le Portugal et le Luxembourg se sont abstenus, Malte a voté contre. Les vingt autres pays, représentant 52 % de la population de l’Union, ont voté favorablement. Soit moins que les 65 % requis. Ces atermoiements arrivent alors qu’une décision ferme devient urgente : le glyphosate ne sera plus autorisé en Europe après le 30 juin. La Commission a annoncé que la question serait à l’ordre du jour de la prochaine réunion des commissaires et qu’un ultime comité d’appel serait réuni autour du 20 juin.

Selon une source proche du dossier, la Commission ne s’attend pas à ce que le comité d’appel permette de trouver une issue. Les Etats membres devraient camper sur leurs positions. Depuis plusieurs mois, Ségolène Royal, la ministre française de l’environnement, assure que la « France s’alignera sur la position la plus protectrice de la santé et de l’environnement ». « Il y a quelques mois, la position générale au sein des Etats membres était de voter favorablement à la réautorisation, explique Mme Royal. C’est la France qui a entraîné les autres derrière elle, malgré les lobbys agricoles qui sont rapidement intervenus. »

Avis contradictoires

En préférant toutefois une abstention à un vote contre. « Il était plus difficile de rassembler sur un vote contre plutôt que sur une abstention, répond la ministre française de l’environnement. En outre, il fallait aussi prendre acte des avancées de la Commission, qui ne propose plus qu’une ré-autorisation de douze à dix-huit mois, alors qu’elle proposait quinze ans il y a quelques mois ! »

Derrière une position interministérielle commune, l’affaire est délicate pour le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, Stéphane Le Foll. Pourtant théoriquement en première ligne sur la question des produits phytosanitaires, il s’est presque abstenu de toute prise de position publique sur le sujet. De telles divergences sont plus tranchées encore en Allemagne entre le ministre de l’agriculture Christian Schmidt (CSU), favorable à la remise en selle du produit, et la ministre de l’environnement Barbara Hendricks (SPD), qui y est très opposée.

Selon nos informations, la Commission pourrait passer outre un vote négatif en comité d’appel et prendre la responsabilité d’une réautorisation provisoire, assortie de restrictions. Pour l’exécutif européen, ce serait la pire des situations. Le 4 avril, au cours d’une réunion avec les représentants du lobby européen de l’agrochimie, le commissaire européen à la santé, Vytenis Andriukaitis, a fait valoir qu’il ne souhaitait pas endosser la responsabilité politiqued’une remise en selle du glyphosate sans un large accord des Vingt-Huit. Selon les minutes de la réunion, obtenues par l’association Corporate Europe Observatory (CEO) et que Le Monde a pu consulter, le commissaire a même conseillé à ses interlocuteurs « de parler aux Etats membres et aux parlementaires pour obtenir leur soutien ». C’est-à-dire d’intensifier leur effort de lobbying.

Lire aussi :   Bruxelles propose un sursis de dix-huit mois pour le glyphosate

Le glyphosate empoisonne l’exécutif européen depuis mars 2015, lorsqu’il a été classé « cancérogène probable » pour les humains par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l’agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chargée d’inventorier et de classer les agents cancérogènes. La publication d’un avis opposé, six mois plus tard, par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a lancé une âpre controverse scientifique. Celle-ci a vite été récupérée par les organisations environnementalistes qui ont profité de la dispute d’experts pour exiger le retrait du produit. Et faire campagne avec succès. Un sondage conduit par l’institut YouGov dans les cinq plus grands pays de l’Union montre que plus des deux tiers des personnes interrogées sont défavorables à la remise en selle du glyphosate.

Statut particulier

L’affaire, au centre d’une attention médiatique considérable, a suscité la colère du président de la Commission, Jean-Claude Juncker. Celui-ci s’est ému de ce que les décisions prises en comités techniques ne soient pas portées à la connaissance du Collège des commissaires. Ces derniers devaient ainsi se réunir mardi 7 juin et aborder la question de la réautorisation du glyphosate.

Le glyphosate a un statut particulier. Inventé voilà une quarantaine d’années par l’une des sociétés les plus impopulaires de la planète, Monsanto, il est aujourd’hui très largement utilisé en agriculture conventionnelle depuis qu’il est tombé dans le domaine public au début des années 2000. Dans l’Hexagone, environ 8 000 tonnes par an sont utilisées. Il est le pesticide le plus fréquemment retrouvé dans l’environnement et la première cause de déclassement des points de captage d’eau potable.

http://www.lemonde.fr/pollution/article/2016/06/06/la-proposition-de-bruxelles-de-reautoriser-provisoirement-le-roundup-essuie-un-nouvel-echec_4938862_1652666.html#6g86UjzYqyuWphkB.99

Lire en complément l’article ci-dessous qui explique bien les enjeux…

Sans le Round up, les agriculteurs devront renoncer à une agriculture intensive. Et de nous menacer des arlésiennes habituelles,  gaz à effet de serre, d’érosion des sols, d’augmentation du prix des denrées…

Sauf que si au lieu de nous pourrir l’existence ( et de coûter très cher en traitements coûteux contre les cancers et autres maladies liées en bonne partie à la nourriture infecte) avec Monsanto, on nourrissait la terre comme on l’a fait pendant des milliers d’années et comme cela se fait pour le bio, il n’y aurait pas d’érosion des sols, il y aurait une meilleure production…

Mais cela ne ferait pas l’affaire de Juncker, Hollande et Merkel. Il faudrait remettre des barrières douanières pour protéger nos agriculteurs de la concurrence déloyale du maïs et du soja avec OGM produit aux Etats-Unis, entre autres.

La balle est dans le camp des peuples. Laisseront-ils quelques salauds non élus décider le 23 juin de les empoisonner pour que Monsanto et ses semblables puissent  continuer à engranger des milliards ?  

Il faut suivre de près ce qui se passera le 23 juin.

 

Et de trois ! Après deux reports de décision, les Etats membres de l’Union européenne ont de nouveau échoué à se mettre d’accord, lundi 6 juin, sur le sort du glyphosate, une substance présente dans de nombreux produitsherbicides en Europe, dont le célèbre Roundup de Monsanto. La Commission européenne avait revu à la baisse ses exigences, en proposant aux 28 de prolonger seulement de douze à dix-huit mois son autorisation, le temps d’attendre un nouvel avis scientifique, émanant cette fois de l’Agence européenne des produits chimiques. Dans un premier temps, la Commission évoquait un renouvellement pour quinze ans. 

En l’absence de consensus, la substance, encore autorisée pour le moment, pourrait être purement et simplement retirée du marché européen le 1er juillet prochain. Son sort déchire les milieux scientifiques, les pays membres, les ONG et les entreprises. Et voici pourquoi il faut s’y intéresser. 

Parce le glyphosate pourrait avoir des effets sur la santé

La Commission européenne pensait sans doute que le combat serait facile pour ré-autoriser le glyphosate. C’était compter sans la ténacité des opposants à cette substance, convaincus de sa dangerosité. En mars 2015, un rapport du Centre international de recherche sur le cancer (Circ, en anglais), émanation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et référence mondiale dans ce domaine, classel’herbicide comme cancérogène « probable chez l’homme ». Ses experts en ont retrouvé des traces dans l’air, l’eau et la nourriture. Ils estiment que la population est exposée lorsqu’elle vit à côté des zones traitées, mais concèdent que les niveaux d’exposition observés sont « généralement bas »

A l’époque, le rapport déclenche une vive bataille entre scientifiques, industriels et militants environnementalistes. Alors que des chercheurs critiquent les conclusions du Circ, plusieurs associations se basent dessus pour exiger une interdiction du glyphosate au nom de la protection de la santé des citoyens et du principe de précaution.

Mais huit mois plus tard, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) émet un avis contraire. Pour elle, il est « improbable » que le glyphosate soit cancérogène pour l’humain. Rebelote : les associations, telles que Générations futures, dénoncent l’étude et accusent ses auteurs de conflit d’intérêts. Plusieurs plaintes sont même déposées en Europe pour « mise en danger de la vie d’autrui » et « tromperie aggravée ». 

Récemment, un nouveau rapport de l’OMS (en anglais) a remis de l’huile sur le feu, sans pour autant apporter une franche éclaircie. Dans une étude, l’organisation estime finalement que le produit ne cause probablement pas de cancer « lors d’une exposition alimentaire ». Un revirement total par rapport à 2015, mais que l’OMS ne qualifie pas de contradictoire. Reste que les inquiétudes de la population sont vives : un sondage YouGov, cité par le Guardian (en anglais), révèle que près des deux tiers des Européens se disent opposés à la réautorisation du glyphosate. L’enquête a interrogé 7 000 personnes de 18 ans et plus. 

Parce que l’interdiction de cet herbicide pourrait remettre en cause le modèle agricole

A l’opposé des associations environnementales, les partisans du glyphosate défendent, eux, un produit qui s’est imposé au sein de l’agriculture moderne. Sur son site, la Glyphosate Task Force (GTF), groupe réunissant une quarantaine d’entreprises du secteur phytosanitaire, telles que Monsanto Europe et Syngenta, rappelle que « le glyphosate est l’un des herbicides à large spectre les plus utilisés dans le monde ».  Il représente donc un enjeu économique colossal. 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. La molécule, mise sur le marché en 1975, représente aujourd’hui 25% du marché mondial des herbicides, indique Le Figaro. Elle entre dans la composition de près de 750 déclinaisons commercialisées par plus de 90 fabricants. Les agriculteurs français en sont particulièrement férus, en pulvérisant sur le blé, le colza ou encore le maïs. En cas d’interdiction, les industriels sont formels : 90% des agriculteurs et 95% des producteurs de vin qui l’utilisent « rencontreraient des difficultés économiques ou agronomiques ».

Le Roundup, célèbre herbicide de Monsanto, contient du glyphosate, une substance controversée. 
Le Roundup, célèbre herbicide de Monsanto, contient du glyphosate, une substance controversée.  (PATRICK PLEUL / ZB / AFP)

D’autant qu’il n’existe aucun équivalent en matière de désherbant. « La seule alternative possible est mécanique : retourner la terre au tracteur pour arracher toutes les mauvaises herbes, avec des conséquences en termes d’utilisation de carburant, de gaz à effet de serre et d’érosion des sols », explique ainsi la GTF dans Le Monde. Pour le quotidien, la question de la réautorisation du glyphosate présuppose surtout de repenser ou non l’actuel modèle agricole. Et de citer Guillaume Riou, secrétaire national de la Fédération nationale de l’agriculture biologique : « Nous sommes en face de choix politiques (…). La véritable question est de mettre en place une agriculture plus en adéquation avec la volonté de la société qui ne veut plus de pesticides. » 

Parce que le glyphosate divise profondément l’Europe

Compte tenu des enjeux, le sujet est devenu, au fil des mois, éminemment sensible. Après trois reports, la Commission européenne a finalement décidé de consulter une nouvelle fois les Etats membres, lors d’un vote en appel le 23 juin. Soit une semaine pile avant l’expiration de l’autorisation. 

Lundi, lors d’un comité d’experts, vingt pays, comme le Royaume-Uni, ont donné leur feu vert à une prolongation temporaire. Mais ils représentent seulement 52% de la population de l’Union européenne, juste en-dessous des 55% requis pour valider le vote. Malte est le seul à s’être clairement opposé à un renouvellement temporaire de l’autorisation. Sept autres Etats membres se sont abstenus : l’Allemagne, l’Italie, la Grèce, le Luxembourg, l’Autriche, le Portugal et… la France. Une position étonnante alors que Paris mène campagne contre le glyphosate, la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, ayant même annoncé qu’aucun particulier ne pourrait en acheter à partir du 1er janvier 2017.  Pour Le Monde, « ces abstentions masquent en réalité des dissensions profondes entre ministères ».

En attendant, la pression monte à Bruxelles. Le Parlement européen s’est à son tour saisi du débat en exhortant les Etats à se mettre d’accord. En l’absence de résultat le 23 juin, la décision reviendra à la Commission européenne. Dans les faits, personne ne souhaite porter la responsabilité d’une remise en circulation du produit. Mardi, le commissaire européen à la Santé et à la Sécurité alimentaire, Vytenis Andriukaitis, a tweeté pour appeler « les Etats membres à être cohérents et à ne pas se cacher derrière la Commission ».  Laquelle apparaîtra comme la coupable idéale, lorsque la décision finale sera annoncée.

http://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/pesticides/pourquoi-vous-devriez-vous-interesser-au-debat-autour-du-glyphosate_1487943.html

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9 Commentaires

  1. Christine, je suis ravie de votre prise de position. D’autant plus agréablement surprise que ce refus des poisons et des lobbies n’a été possible que grâce à de multiples pétitions : Avaaz, Mes Opinions.com et j’en passe….
    J’espère que vous rendrez à César…

  2. Bonjour,
    Merci, c’est bon pour les insectes et contre l’ U « E » !
    Préparons nous à voir chialer tous les eurocrates lors du prochain Brexit !

  3. J’ai un de mes amis qui m’a aidé à faire des plantations potagères dans mon jardin et je ne veux pas de produits désherbants comme le Roundup, car dangereux et cancérigène pour la santé.
    Les salades, topinambours, pommes de terre, tomates, citrouilles et autres plants poussent tout doucement. Il faut beaucoup de temps pour que tout soit récolté avant la fin de l’été. Si on plante en mai, le résultat se fera vers le mois de septembre ou avant.
    Il vaut mieux utiliser des terreaux et du compost pour éviter l’empoisonnement de nos produits naturels par le roundup.
    Arrosez tous les deux jours… Car les légumes poussant au jardin demandent beaucoup d’eau.
    Les pommes de terre plantées sont des Mona Lisa. Récolte : 90 à 120 jours ce qui peut aboutir à la fin de la saison estivale au mois de septembre.

  4. que les Ricains bouffent leurs merde chimique eux même ont en veut pas chez nous ! miam ! ça doit être bon des poulet traiter aux bases et tremper dans leurs bases chimiques Beurkkk !
    c’est pour cela que la plupart des Ricains ont le cancer et le cache à la communauté Européenne et mondiale et sans compter les Bœufs et vaches a lait traiter aux hormones de croissance dont leurs produits sont aussi cancérigène et le Lait très dangereux aussi pour leurs nourrissons ! j’espère que la France ne sera pas con à ce point là d’importer cette merde a bouffer en France et si ils veulent bloquer nos fromages et vins alors faisons un soutien commercial aux fromagers et nos viticulteurs qui vendent à notre ami Poutine et aux Russes et baiser sont les Ricains ! il y a des solutions il faut juste les appliquer.Roland l’Alsacien ..

    • Bonjour,
      On ne vend, justement, plus nos fromages ou notre vin à Poutine.
      Embargo russe grâce à la subtile politique étrangère de notre otanesque Gouvernement.

  5. Désherber les grandes surfaces agricoles ça ne va être une mince affaire car ce qu’un jardinier peut faire dans son jardin avec le vinaigre ou sa binette un exploitant agricole de100 ha et + il va faire quoi ? Ne rêvons pas personne ne retournera a la campagne pour travailler la terre , les 20° dans un bureau c’est mieux pour au moins 80 % des gens . Mes parents étaient agriculteurs je sais de quoi je parle , enfant j’ai été mis a l’ouvrage très tôt croyez moi j’ai de bons souvenirs de ma jeunesse et surtout sur de bons hivers .Rassurez vous je ne défends pas Monsanto je dis simplement que les choses ne seront pas si simples que ne les laissent entendre les discours politico-écolo -bobo .

    • Bonjour,
      La disparition complète des insectes, processus engagé depuis 30 ans, serait une catastrophe totale.
      Si on parle, pour une fois, économie, le bénéfice de la pollinisation effectuée par les abeilles se chiffre en milliards d’euros.
      Nous avons choisi en France, un modèle agricole opposé, à celui des USA, c’est pourquoi nos produits agricoles sont connus comme étant de qualité dans le Monde entier, USA compris.
      Ne ruinons pas cet avantage au nom du Roundup ou du TAFTA.

    • JE LE LEUR FERAIS AVALER DE FORCE MONSANTO ET L’UNION FASCHISTE EUROPEENNE

  6. « En l’absence de résultat le 23 juin, la décision reviendra à la Commission européenne. » Cette phrase suffit à démontrer que le fonctionnement de l’UE n’est pas démocratique mais technocratique, et aussi que nos gouvernements sont incapables de nous représenter là où ils abandonnent les souverainetés nationales.

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