Même en Australie, ils ont des problèmes :
Ce parti anti-islam (et pourtant, la ministre Australienne a bien précisé qu’elle ne voulait pas d’islamistes chez elle) subit des insultes parce qu’il ose dénoncer l’islamisation de l’Australie.
Le parti australien Anti-Islam « Australian Liberty Alliance » affirme que ses membres sont diabolisés, catalogués comme fanatiques.
La dirigeante d’un nouveau parti politique australien anti-islamique affirme que ses membres sont diabolisés, traités de fanatiques, et ne peuvent accéder aux principaux canaux d’information s’ils s’expriment contre la religion.
Le lancement, pour l’Australie Occidentale, de « l’Australian Liberty Alliance » a eu lieu samedi soir au Centre des congrès de Perth, avec un appel à la fin de «l’islamisation de l’Australie », à des garanties pour la liberté d’expression, ; il met fin à une partie de ce que les organisateurs ont nommé une tournée nationale menant à la prochaine élection fédérale.
Près de 200 cents personnes ont assisté à l’événement, qui a vu les candidats au Sénat parler à la foule de leur politique et de leurs valeurs.
La Présidente du parti et candidate au Sénat d’Australie Occidentale, Debbie Robinson, dit que les membres étaient tous passionnés par ce en quoi ils croyaient, et méritaient le droit d’en parler.
« Si cela ne peut pas avoir lieu par le biais des canaux politiques et démocratiques normaux, et si on dit constamment aux gens qu’ils ne comprennent pas l’Islam, qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent, un jour, ce sera l’anarchie», a-t-elle dit.
Elle a dit qu’il avait été difficile d’assurer la publicité, et que la couverture dans les médias traditionnels est souvent « biaisée ».
« Si vous dites une chose avec laquelle personne n’est d’accord, vous êtes catalogué comme fanatique, vous êtes insultés, et vous vous faites descendre en flammes», dit-elle.
« Les gens présents ici … ne sont pas un tas de ploucs arriérés racistes, ce sont des gens intelligents, très informés, ils comprennent parfaitement ce que c’est que l’Islam ; et on s’adresse à nous comme à des fous. »
Dans son discours, Mme Robinson a dit que, bien le parti ait plus d’une option politique, l’islam était la plus grande menace qui pesait sur le monde à l’heure actuelle.
«Nous devons être reconnaissants de tellement de choses , ici en Australie » a-t-elle dit à la foule. « Mais nous ne devons jamais prendre notre liberté pour acquise Ne vous méprenez pas -. L’islam est en guerre contre nous. »
Le parti a promis d’ «arrêter l’islamisation de l’Australie », d’interdire les voiles intégraux dans les espaces publics, et d’introduire un moratoire de dix ans sur l’immigration venant des pays appartenant à l’Organisation de la Coopération islamique.
La candidate au Sénat de la Nouvelle-Galles du Sud, Kirralie Smith, a dit que le politiquement correct était le plus grand ennemi auquel les Australiens étaient sans cesse confrontés.
Elle a dit que, bien que le parti soit en faveur d’une société multi-ethnique, c’était le multiculturalisme qui était le problème.
« Il est source de divisions » dit-elle. « L’Australie a de bons antécédents, s’agissant des débats sur tous les
« ismes », et sur le fait de prendre part au débat. Mais maintenant, nous faisons face à ce problème : nous ne sommes pas autorisés à en parler. »
Elle a terminé cette partie de son discours par les mots: «Je vais critiquer l’islam», déclenchant un tonnerre d’applaudissements dans le public.
Tout en faisant part de leurs préoccupations sur l’islam et plus précisément le Coran et la charia, les candidats ont exprimé leur frustration à l’égard du gouvernement actuel, le système d’éducation, les médias, les forces de défense, et ont appelé à « ramener les bonnes manières».
L’Australian Liberty Alliance a été fondée en Octobre 2015 avec l’ homme politique néerlandais controversé Geert Wilders qui s’est déplacé pour le lancement officiel, ce qui a également attiré des protestations.
L’adresse du lancement de la campagne de samedi soir a été gardé secret, les membres et les sympathisants n’étant informés du lieu que la veille.
Mme Robinson a déclaré que le parti travaillait pour présenter deux candidats au Sénat pour chaque état.
«Nous avons une stratégie à long terme», a-t-elle dit. « Nous devons construire lentement, une partie de notre force est de prendre notre temps et de nous développer progressivement.
« Je pense qu’il est vraiment important que nous ayons un parti comme celui-ci pour fournir une alternative et ramener la politique là où elle doit être. »
Traduction Steve Preve
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il est sensationnel (!) de s’apercevoir comment la Sharia fait son chemin chez des gens qui se disent démocrates
Ca sent le stage de plongée au milieu des crocos histoire de se familiariser avec le pays….
Ici nous voyons bien encore la trace des fasciste milliardaires, c’est eux qui poussent à l’Islamisation partout dans le monde et non pas les musulmans, sont les mêmes qui ne défendent pas les Yazidis, les arabes, les africains chrétiens et autres.
non il y a des mondialistes qui vont dans le même sens mais les musulmans sont responsables de ce qui’ls font ils accomplissent leur devoir de musulman, conquérir le monde, ne les exonérons pas de leurs responsabilités !
Les Australiens ne ce laisseront pas faire comme chez nous en France !