Immigration : du rôle peu reluisant de l’AMISEP en Bretagne

La vraie collaboration

Vous avez peut être remarqué que dans les rues, sur les marchés, à l’entrée des écoles, les villes moyennes, les petites agglomérations, les villages et lieux-dits de Bretagne, se promènent nonchalamment de nouveaux citoyens peu autochtones.

Cette partie de la population – comme veulent bien nous le faire croire le gouvernement et la dite “opposition républicaine” – participe activement au développement économique, culturel et social de la région depuis quelques années.

Une population d’un groupe ethnique venant de l’autre côté du lac (Méditerrannée) terme employé par Jacques Attali, qui a trouvé de ce côté de la rive un bien-être, un climat certes rude en période hivernale, mais bien nourri, des appartements bien chauffés, meubles à disposition, éducation, soins, vacances offertes, clubs de sports et tout ça gratuit … Donc cette population s’est parfaitement acclimatée à un pays raciste et xénophobe, propos tenus par le président de SOS racisme. Il est vrai que le peuple de sans dents, de sous-chiens, a un potentiel de patience hors norme.

D’où le syndrôme du coucou pour ces nouveaux arrivants.

Après ce préambule, je vais vous parler d’une organisation, pardon d’une association, car comme toujours, la France est capable du meilleur comme du pire, alors employons le mot “association”, j’ai nommé “l’AMISEP” – association d’intégration sociale et professionnelle- 1, rue Royale – BP 515 – 56805 Ploërmel cedex – tél. 02 97 25 94 00 et plus particulièrement le relais du pôle accueil “Alizé” et de ses collaborateurs.

Là, nous sommes dans le surréalisme. Leur mots d’ordre : “aider les personnes à accéder ou à se maintenir dans leurs logements par un accompagnement spécifique lié au logement“. C’est beau ! Je savais que le peuple français était un peuple pacifique, humain, non raciste, généreux et extrêmement crédule. Mais, au bout du compte, le Français est masochiste et aime être maltraité et martyrisé, je ne m’explique pas le phénomène autrement.

Je voudrais vous donner l’exemple d’une famille de musulmans d’Afrique centrale qui vient d’être accueillie, installée et financée par cette association dans notre bonne ville de Ploërmel. Ceci n’est qu’un exemple. Je ne veux évidemment faire aucun amalgame et généraliser sur des gens qui tels le coucou, profiteraient d’un système.

Voilà donc cette famille, c’est une femme seule avec ses trois enfants dans la misère, de quoi faire pleurer dans les ministères. Quelques jours plus tard, on voit un homme arriver, puis un couple. Certes ils ne sont pas là officiellement, ce ne sont que des voyageurs de passage. Se présente ensuite une très jeune femme avec un nouveau né.

Prévenue de la situation, l’AMISEP m’a répondu “oui, nous le savons, leur famille les visite“. Famille certainement très aisée, car se déplaçant en BMW ou en espace dernier cri, les téléphones portables et tablettes numériques sont distribués généreusement par le père Noël ou le ministère des affaires étrangères, certainement afin de pouvoir les joindre à tous moments et s’assurer de leurs conditions d’accueil ou leur faire part de la mise à jour du dossier de demande d’asile.

Il est vrai qu’un billet d’avion est tellement peu cher qu’il est plus facile de venir ici, de réclamer des indemnités, des droits, des logements, des places à l’école et en crèche, quand on n’est ni du pays ni de la religion d’origine de cette grande nation. Pour nos bien-pensants, cela a plus d’importance et de légitimité que d’indemniser une personne âgée qui, veuve, a travaillé, trimé, sué pendant toute sa vie auprès de son époux dans un petit commerce et qui n’a plus que ses yeux pour pleurer.

Revenons à l’AMISEP. Il leur a été signalé que ce n’est pas une femme et ses enfants qui sont logés dans ce pavillon avec jardin,  meubles à disposition, chauffés, taxis, jardinier, eau, électricité (“tout cela ne coûte rien, comme dit François Hollande, Président de la République, c’est l’Etat qui paye”). On parle bien ici d’un pavillon dans un quartier résidentiel de Ploërmel et non pas d’une chambre d’hôtel une étoile à Barbès à Paris. Non ! non, il est vrai que la Bretagne avait besoin de ces nouveaux arrivants pour développer l’économie, le culturel, le folklore, le bien vivre ensemble, le remplissage des maternités désertées, trouver de très bons époux, honnêtes et travailleurs à nos jeunes filles en manque de tendresse et d’affection, ainsi que réaménager en mosquées typiques nos églises abandonnées,  que le monde musulman ne manquera pas de visiter et qui, à n’en pas douter, redonnera à la Bretagne un exotisme perdu. Une grande fête du ramadan aura lieu chaque année aux frais de la Mairie, où tout le monde pourra se réunir dans un élan fraternel et joyeux pour assister aux égorgements de moutons bretons en place publique, et qui augmentera de 40 % les bénéfices des supermarchés alimentaires, grâce à de grands renforts de publicité.

Parlons des collaborateurs de l’AMISEP et là je ne pèse pas mes mots, de vrais collabos, car  nous voyons apparaître la colonisation de nos provinces, tant voulue au nom du droit de cultes, organisée et financée par le gouvernement pour éviter la future débâcle électorale. Le petit peuple a mal voté, alors changeons de peuple.

Puis La Croix Rouge, le secours populaire, les restaurants du coeur et compagnie (qu’il est bon de vivre de la misère du monde, cela enrichit les ventres pleins), car après le repos et le dodo vient le casse-croûte. Ces belles organisations sont le deuxième étage de la fusée. Il faut les voir, les bougres, rois de la pleurniche devant les supermarchés, venant solliciter vos dons pour aider les familles dans la détresse. Il fait beau de les voir distribuer les repas. Les autochtones d’un côté, les coopérants de l’autre. Là, personne pour vérifier ce qui est distribué –  tous les ans, il manque des milliers de repas pour nourrir les pauvres autochtones, mais ils ont su très vite s’adapter et trouver des repas halal à nos nouveaux coopérants…

Car, je vous le rappelle, pour les journalistes de France 2, les clandestins et immigrés sont comparés à nos médecins ingénieurs qui en Afrique soutiennent les gouvernements, pardon les dictatures (pléonasme), imposés par la France à sa population. Il est donc de bon ton d’opérer un échange équitable entre un ingénieur et 10 000 pauvres hères. La France est gagnante bien évidemment. Il faut rajouter à tout cela les couples mixtes, car peu de personnes courageuses osent se pencher sur ce problème. Dans des villes comme Paris et Marseille, les mariages mixtes représentent 50 % des cérémonies. Je traduis pour les mal-entendants qu’une Française sur deux participe à l’occupation du territoire, non pas avec un fusil et un casque lourd, mais tout simplement allongée sur le dos. Pardon, là, je suis complotiste (sic). Cela se traduira, dans 15 ou 20 ans, comme l’a si gentiment évoqué M. Ménard, Maire de Béziers, que 65 % des élèves de cette ville ne sont pas d’origine européenne. Il n’est surtout pas permis d’incorporer les enfants nés de couples mixtes. Alors là, le pauvre M. Ménard, tout maire qu’il est, aurait été interpellé, embastillé, démis de toutes ses fonctions.

Le troisième étage de la fusée : nous entrons dans le domaine  de l’hypocrisie et de la lâcheté, la pire, celle de nos élites, de ces organisations comme le Lion’s Club et le Rotary Club. Tous ces gros bourgeois qui vivent dans de somptueuses propriétés,  leurs enfants fréquentant les écoles privées catholiques évidemment et ne se mélangeant pas aux nouveaux arrivants, squattent les centres équestres et nautiques, ces ventres pleins qui, aux conseils régionaux mangent dans les gamelles de tous les partis politiques. Ils se donnent bonne conscience en nous préparant une guerre civile, persuadés qu’ils sont eux et leurs familles totalement à l’abri des conséquences de leurs actes, entourés de policiers et de gendarmes aux ordres prêts à vendre leur peuple pour un paquet de sucre ou une décoration.

 

Cerise sur le gâteau : le 4 juin 2015, l’AMISEP en grande pompe a tenu son assemblée générale non pas dans ses locaux comme toute bonne association le fait, mais dans la bonne ville  d’Arradon à l’amphithéâtre de l’université catholique de l’ouest.

Ceci est mon avis et vous n’êtes obligés ni de le croire  ni de le partager.

François VIDAL

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