Témoignage : j’ai sifflé Hollande le 14 juillet et j’ai pleuré devant « nos gars », par Alain

Il y a quelque temps, en riant certains de nous disaient ici que nous viendrions à confesse auprès de Christine pour « confesser » notre Résistance, avec un grand R. Alors effectivement, aujourd’hui, l’agnostique que je suis viens à confesse, chère Christine.

Je confesse qu’il y a plus d’une semaine, j’avais dit que pour le 14 Juillet, il serait sage, pour ainsi éviter une crise de colère, d’aller quelque part où accéder à toute forme de média serait plus que difficile, afin de pouvoir bénéficier d’une journée de sérénité, si c’est encore possible de nos jours. Mais à l’approche du 14, j’ai ressenti une démangeaison de plus en plus forte. Il m’est difficile de ne pas me faire du souci pour l’état de la mâchoire de mon père, car le voir serrer les dents comme il le fait, et encore plus à l’approche de notre fête nationale, m’a fait à mon tour les serrer, mes dents. Lui qui porte l’uniforme avec tant de fierté, pour qui « Honneur et Patrie » ne sont pas mots en l’air, ne décolère pas de voir tous ces vendus se pavaner, et à la pensée de les savoir aux tribunes du défilé…. je ne vous dis même pas ! Alors la démangeaison devint plus forte à mesure que nous approchions du 14, et j’ai pris ma décision : aller honorer nos soldats pour le défilé, et vociférer mon mépris et ma colère envers ces polichinelles et surtout l’usurpateur.

J’ai fait part de ma décision à mes parents, m’excusant de n’être pas ainsi avec eux en ce jour. Mais les voir sourire fut non seulement un soulagement, mais aussi une joie, car j’aime les voir sourire ces deux êtres que j’adore. « Vas-y mon grand, » qu’il m’a dit mon père, ajoutant qu’à lui aussi ça le « démangeait » d’y être, mais que porter l’uniforme apportait aussi des responsabilités qu’il ne pouvait négliger et que donc s’abstenir est nécessaire si l’on veut rester là où on peut vraiment être utile. Puis il me dit que malgré les mauvaises herbes, je le verrais bien que « nos gars » l’aiment notre Patrie, bien que des mauvais pensants voudraient nous faire croire le contraire.

Alors je confesse, j’y suis allé. Je confesse, je les ai regardés avec fierté défiler, « NOS GARS », je confesse, les entendre chanter ce qu’ils ont choisi -car n’en doutez une seconde qu’ils ont choisi- de chanter m’a redonné espoir et derrière mes lunettes de soleil, je confesse que j’avais des larmes aux yeux que j’ai sans honte laissé couler.

Et je confesse que celui qui se prétend président (sans majuscule), de tout mon cœur et de toute mon âme, je l’ai sifflé et hué car autant j’ai d’amour et respect pour notre Patrie et ceux qui fièrement la représentaient en ce jour, je n’ai que mépris et dégoût pour cet homme et ses complices. Et je n’étais pas le seul, et nous qui agissions ainsi nous nous regardions avec le sourire, car les enfants de la Patrie se reconnaissent et s’apprécient toujours, et savent sur qui on peut compter, qui ne failliront et ne faibliront en rien, JAMAIS !

Alain 

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9 Commentaires

  1. heureusement, le bébé n’avait pas de pistolet à eau caché dans ses couvertures.

    • J’ai tendance à penser que certains flics ne valent pas mieux que ces islamo-racailles !

      • Il y en a quelques pourris comme partout mais il s sont majoritairement de notre côté, forcément, ils sont aux premières loges…

  2. je partage les sentiments d’ALAIN il dit les mots qui conviennents quand il parle d’usurpateur mot que l’on avait utilisé pour NAPOLEON mais lui au moins c’etait un vrai chef et pour l’histoire un grand homme ce qui n’est pas le cas de nos jours

  3. Alain quelle belle « confession » … combien j’aurais aimé pouvoir être dans cette foule , moi aussi j’ai pleuré , ragé et sifflé , hué devant … ma télé .
    J’ai espéré aussi en entendant « Paris en colère » ,et le chant des Partisans , mais le .. »Jour de gloire .. » est encore si loin que le « .. sang impur.. » n’a pas fini d’abreuver nos sillons.

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