Le procès de la porte-parole de l’association Les Indigènes de la République devenue le Parti des Indigènes de la République va avoir lieu à Toulouse, le 12 octobre prochain, et Résistance républicaine s’en réjouit car ce sera l’occasion de montrer les dangers d’un mouvement qui s’est constitué en « parti politique » sur des bases communautaristes fondées sur le rejet des Français d’origine et sur sa volonté de transformer, de gré ou plutôt de force, la France et les Français à sa convenance…
Que Houria Bouteldja ait inventé le surnom de « souchien » qui, par homophonie, est fort insultant aux yeux de ceux qui considèrent porcs et chiens comme des animaux impurs et utilisent ces mots comme des injures n’est pas anodin, pas plus que celui d’avoir incité à la haine raciale avec ce passage menaçant, sans ambiguïté, qui dit les revendications de ce Parti communautariste : « Un Blanc gentil, on n’y croit plus ! Oui on en est là. Parce qu’on a tout fait… On a tout exploré. On est parties de chez nous. On vous a aimé e s. On a voulu faire comme vous : les filles en mini-jupe, les mecs en costard-cravate, les cheveux décolorés … on a parlé le français mieux que vous, on a mangé du porc, on est sortis avec des Français, des Françaises, on a insulté nos parents, on a rampé… On a été violents, on s’est battus…On vous a tant aimé-e-s ! Et on s’est trouvés devant un mur d’ARROGANCE…Donc après ça, on se dit qu’il n’y a rien à faire. Alors l’appel des Indigènes dit : « Merde. » Il propose de partir sur des bases saines. C’est là que c’est un cadeau qu’on vous fait. Prenez-le : le discours ne vous plait pas…mais prenez-le quand même ! Ce n’est pas grave, il faut que vous le preniez tel quel ! Ne discutez pas ! Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc. Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront çà. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres. Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous. C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos peaux, c’est maintenant. Les Indigènes de la République, c’est un projet pour vous ; cette société que vous aimez tant, sauvez-là… maintenant ! Bientôt il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme. Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. «
Le constat est terrible : en France, on pourrait menacer quelqu’un sous prétexte qu’il descendrait de ceux qui, en 1830, sont allés en Algérie libérer les dizaines de milliers d’esclaves chrétiens que les pirates arabo-musulmans avaient enlevés sur les rives de la Méditerranée. En France, on pourrait menacer quelqu’un parce qu’il est « blanc ». Séparation des êtres totalement spécieuse au demeurant puisque Houria Bouteldja, comme tous les Maghrébins, fait partie de la « race blanche » selon les catégories traditionnelles ! On ajoutera pour la petite histoire que Houria Bouteldja, en 2003, a osé traiter Pascal Hilout, né Mohamed, de « bougnoule de service »…
Or, il est absolument inacceptable, en France, que l’on ose monter des gens les uns contre les autres en créant de toutes pièces des catégories dans lesquelles on les enferme « les blancs », les chrétiens », les « Souchiens » ou « descendants de colonisateurs » contre tous les autres. La France a depuis toujours intégré et assimilé Italiens, Portugais, Espagnols, Algériens ou Sénégalais, sans se poser la question de leur couleur et de leur religion, c’est sa grandeur et sa réussite.
Le procès de Houria Bouteldja amène par ailleurs à poser un problème supplémentaire, fort grave, qui est celui des entreprises subventionnées droitdelhommistes qui, depuis des années, font du Houria Bouteldja en tentant d’imposer par les procès une vision raciale du monde en poursuivant pour diffamation ou incitation à la haine raciale des propos anodins et toute critique de l’islam ou de l’immigration et de leurs conséquences. Il y a donc, de fait, une privatisation du Ministère public. Nous demandons instamment que n’aient plus le droit d’ester en justice ces associations qui utilisent l’argent du contribuable pour faire régner sur notre pays l’ordre des Indigènes de la République, au mépris de la loi et du respect de notre constitution.
Christine Tasin
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Qu’enfin cette femme soit sanctionnée pour ses paroles atroces à l’égard du peuple Français et qu’on la renvoie en Algérie