« Bébert et l’omnibus” (1963) : le décor  de la France d’hier, avant le Grand-remplacement  

Retrouvons la vraie France avec les aventures de Petit Gibus, suivies d’un documentaire…sans wesh-wesh  !

 ❥ Bébert et l’omnibus est un film français réalisé par Yves Robert, sorti en 1963. C’est une comédie familiale adaptée d’une œuvre de François Boyer.

Synopsis :
À la veille du départ en vacances, la famille de Bébert se rend à Paris pour des courses. Au retour, le grand frère Tiéno, distrait par des conversations sur le quai, perd Bébert de vue …

Lien de visionnage du film en ligne ici :

https://www.tokyvideo.com/fr/video/bebert-et-l-omnibus-1963

Bande annonce :

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Le film est aussi un portrait tendre et malicieux de l’enfance, servi par la performance de Martin Lartigue (Petit Gibus dans « La Guerre des boutons »), et une distribution remarquable comprenant Jacques Higelin, Pierre Mondy et Michel Serrault.

Bébert et l’omnibus plonge le spectateur dans les décors de la France périurbaine et populaire du début des années 1960, un paysage visuel et social aujourd’hui disparu. Le film est une véritable photographie d’époque, tant par ses situations que par ses détails de décor.

Les références visuelles et culturelles émaillent le film : on y  retrouve l’affiche  Banania et un exemplaire  de Tintin au Tibet (sorti en album en 1960).

❥ Documentaire (10 min)

La France est en plein boom économique…

En prolongement, on pourra  regarder le  documentaire (10 min) « Les grands trains des vacances de 1958 : une année record dans les gares parisiennes » , qui évoque la grande migration estivale par train, phénomène social majeur de la France des Trente Glorieuses, avec son ambiance dans les gares, l’organisation de la SNCF, la foule des familles sur les quais :

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3 Commentaires

  1. Merci Jules,
    C’était l’époque des colonies de vacances. Château à la Chapelle Saint Mesmin, bords de la Loire (45) de la caisse de retraite du notariat. J’y fit connaissance avec J. P. Perroncel-Hogoz (parla suite journaliste et déjà graphomane épistolaire). Il écrivit par la suite un bouquin (édité en poche) alertant – l’un des premiers- sur le péril islamique intitulé : LE RADEAU DE LA MÉDUSE.