Bientôt plus de sirop contre la toux ? On s’en fout, la nature soigne gratis !

Pour la rubrique jardin de Résistance républicaine

Bientôt à cause de ce Macron il n’y aura plus de sirop contre la toux?

Chers amis jardinophiles, d’abord il faut se demander ce que c’est que la toux.

La toux, c’est un mouvement violent pour expulser quelque chose qui irrite les voies respiratoires. Quand vous avalez de travers cela signifie que vous envoyez quelque chose dans vos poumons au lieu de l’envoyer dans votre estomac. Que faites-vous? Vous toussez violemment aussi longtemps que ça gratte… Quand vous toussez, normalement, que se passe-t-il? Il y a deux toux différentes: vous toussez et la toux ne «remonte» rien c’est la toux sèche, qui souvent est nerveuse. Par contre, la toux grasse, c’est quand vous faites «remonter» du mucus, glaires, catarrhe, etc. qui encombrent vos voies respiratoires. Faut-il prendre un sirop pour arrêter de tousser? Bien sûr que non, au  contraire, nettoyez vos voies respiratoire, faites remonter le plus possible et crachez-le dans le WC. Jamais par terre en rue car si vous avez des microbes dans vos excrétions, vous les répandez. Souvenez-vous: dans le bon vieux temps il y avait des crachoirs partout… dégueulasses, vrais bouillons de cultures… un bacille de Koch y serait comme un coq en pâte… Ne crachez pas non plus dans un mouchoir que vous mettez bien au chaud dans votre poche… Allez au WC et pfouit…

Le problème c’est de savoir d’où proviennent ces «glaires». Quelle en est la cause, car il est inutile d’éliminer les symptômes, il faut éliminer la cause. Est-ce l’air trop sec, une simple irritation ou bien une infection? Avez-vous de la fièvre? Vous sentez-vous malade? Alors là, ça dépend de la personne. Il y a des gens, comme mon cousin, qui paniquent dès qu’ils ont un degré sur leur thermomètre et qui courent directement chez leur médecin ou mieux encore aux urgences… Mon cousin, qui a 3 ans de plus que moi, est en train de gâcher les 30 dernières années de sa vie en courant deux fois par semaine chez l’un ou l’autre médecin et en avalant des collections bariolées de médicaments pour le plus grand bonheur des lobbies pharmaceutiques. Mais il y a aussi des gens, comme moi, qui ne vont jamais chez le médecin parce qu’ils ne sont jamais malades… Bien sûr, quand c’est grave le médecin de famille est là pour vous donner un bon antibiotique… Mais, après ce qui s’est passé avec le covid… on n’a plus beaucoup confiance dans les médecins… J’ai plutôt tendance au self service…

La santé ne tombe pas du ciel, il faut la vouloir. Il est capital de cultiver son système immunitaire et cela  coûte un effort: vivre sainement.

Je vous entends ricaner… euh euh euh … elle a beau dire, elle vit dans le bon air de la montagne, etc. Ben oui, il y a 45 ans j’ai décidé de quitter l’air sale de Bruxelles pour aller m’enterrer dans un bled de montagne où il n’y a ni théâtre, concerts, expositions, conférences, vie sociale, etc. mais où il y a de l’air pur, de l’eau de source et mon potager bio.

Tout le monde n’est pas en mesure de le faire et pas tout le monde a envie de faire l’ermite…

Mais, réfléchissez à un autre aspect: si nos salopards ont décidé de nous couillonner (pardon pour les gros mots) avec des maladies et des pénuries de médicaments, qu’est-ce que nous allons faire? Mon cousin, s’il n’a pas son plateau de pilules, il meurt, ne fut-ce que de peur de ne plus les avoir.

Je sais, il y a des personnes malades qui ont absolument besoin de certains médicaments. Que vont-elles faire si ces médicaments sont fabriqués en Chine ou en Inde et qu’on n’en a plus? Nous n’allons tout de même pas nous laisser mourir parce que les mondialistes ont décidé d’interrompre l’approvisionnement?

«Avant», on faisait comment, quand on toussait on faisait comment? Quand j’étais petite, la tante Justine de mon père me préparait un bol de lait très chaud avec une grosse cuillerée de miel et une bonne rasade de genièvre et ensuite, au lit, sous de bonnes couvertures en laine et quelque fois avec une bouillotte et la fenêtre un peu ouverte, même quand il gelait…

Ma mère allait dans le jardin cueillir du thym et du romarin, les mettait dans un petit poêlon d’eau et quand le tout bouillait, elle se penchait au-dessus avec un énorme essuie par-dessus la tête et elle faisait des inhalations qui lui «dégageaient la tête et les poumons»… 

Si vous habitez en ville, faites un tour au parc et chipez une petite branche d’eucalyptus que vous ajoutez au thym et romarin et faites des inhalations…

Il y a bien sûr les capsules de Nasobol que vous pouvez acheter en pharmacie… aussi longtemps qu’il y en aura… Mais, ce n’est pas le jour où votre pharmacien vous dira «Désolé, ça venait de Taiwan et ça n’arrive plus» qu’il faudra vous demander «et maintenant je fais quoi?»

C’est maintenant que vous devez aller sur internet, aussi longtemps que nous aurons Internet, avant que les pénuries ne nous coupent l’électricité, pour aller voir comment et avec quoi on fait des inhalations par exemple sur https://www.santemagazine.fr/medecines-alternatives/approches-naturelles/huiles-essentielles/inhalation-contre-le-rhume-4-recettes-a-base-dhuiles-essentielles-170640

N’attendez pas que votre pharmacien vous dise «l’aspirine? elle venait «dans une vieille caisse en bois qui venait de Samoa» (https://www.youtube.com/watch?v=o6b4cuvU1eQ ) mais maintenant elle n’arrive plus»… Allez voir comment on peut remplacer l’aspirine des lobbies pharmaceutique pas de l’écorce de saule. Ben oui, les salicylates sont des sels de saule. Ou allez-vous trouver un herboriste qui va vous soigner avec les herbes de chez vous, de votre jardin…

 

Tiens, je vais vous raconter trois autres tranches de ma vie.

 

La première. Quand, dans les années 1950, nous habitions au Congo, un matin, mon père a une fièvre effrayante. Ma mère appelle le docteur qui dit : «C’est une poussée de malaria, achetez une bouteille de rhum, vous lui donnez toutes les 2 heures un bol de moitié thé bouillant, moitié rhum, quand la bouteille sera vide il sera guéri» et ainsi fut.

 

La deuxième. Il y a deux ans mes yeux se sont mis à pleurer de façon vraiment dérangeante. Alors, avec les dernières miettes de crédulité que j’avais encore, je vais chez l’ophtalmologue. C’est une sommité, elle est même américaine. Elle a des machines magnifiques qui examinent les yeux avec des couleurs psychédéliques, elle met des gouttes dans les yeux qui dilatent les pupilles comme si on avait bu une choppe de LSD, etc… Bref j’y ai passé une demi journée et comme la caisse maladie suisse ne rembourse pratiquement rien, cette visite m’a coûté les yeux de la tête… et à la fin de l’aventure elle m’a dit : «Je ne sais rien faire à vos yeux qui pleurent, la seule chose que je puis faire c’est de vous hospitaliser dans tel hôpital (à 300km de chez moi) et vous placer un tube qui va de votre œil dans votre nez…»  …

Je me suis enfuie et pour noyer mon désespoir, je suis allée boire l’apéro dans notre bistro où je me suis épanchée… Alors, un copain qui est un peu alcoolisé mais jamais malade m’a dit: «M’enfin, vous avez des abeilles, vous n’avez pas un peu de miel? le miel c’est un antibiotique, mets un peu de miel dans tes yeux…»

Sitôt dit, sitôt fait, le miel dans les yeux ça pique, mais après le troisième jour mes yeux ne coulaient plus…

Ça a un inconvénient: mon chat vient me lécher les yeux… c’est peut-être ça qui fait du bien…

C’est pas tout: le même chaton qui grimpe dans mon néflier, a joué avec mes lunettes pour lire… J’ai donc dû aller chez l’opticien pour changer les lentilles et je raconte ma mésaventure avec l’ophtalmologue et l’opticienne me dit «les yeux qui pleurent ça peut être que votre œil est trop sec et donc surproduit des larmes… essayez des gouttes de mauve que vous trouvez en pharmacie. En effet, «le collyre de mauve humidifie, apaise et rafraîchit les yeux secs» et mes yeux ne pleurent plus…

 

La troisième. La potion magique : 10 gouttes de Carmol sur un sucre pour soigner « troubles gastriques et du sommeil, nervosité, douleurs articulaires et musculaires, lumbago, rhumatismes, maux de tête, maladies des voies respiratoire, toux, catarrhe ». Et il contient quoi le carmol ? « cannelle, citronnelle, citron, lavande, muscade, girofle, sauge, bardane, thym, mélisse » et sans doute aussi la petite touche magique des Pères Carmes…

  

Conclusion: contre la sinusite et la toux, tant que je peux me permettre le luxe, car les prix sont à la hausse, et tant qu’il y en a, je diffuse des huiles essentielles de thym, romarin et eucalyptus dans un joli diffuseur à bougie. Le jour où ça coincera, je ferai comme ma maman avec un petit poêlon et un essuie au-dessus de ma tête. Le jour où il n’ y aura plus de collyre de mauve, il y aura encore du miel pour mes yeux…

 

Chers amis du potager et de la nature… s’il n’y a plus de sirop contre la toux des lobbies pharmaceutiques, on s’en fout: la nature nous soigne gratis! Enfin, gratis, c’est plutôt donnant-donnant : si on apprend à la connaître, si on l’aime et qu’on la respecte, elle nous le rend bien.

 

Anne Lauwaert 18.I.23

 

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17 Commentaires

  1. Je suis complètement en phase avec la philosophie de Anne Lauvaert ma famille était agriculteur des années 1950 , enfant j’ai rarement vu le médecin chez nous , les hivers très froid de l’époque dans le gel les engelures aux mains se soignaient en pissant dessus , cette recette fut confirmé par les anciens prisonniers d’ Allemagne . Notons que moi avant de partir a l’école l’hiver javas droit au sirop de radis noir , un bol posé loin sur le dessus de la cuisinière avec des rondelles de radis noir d’une couche de sucre intercalés . A cette époque beaucoup les gens avaient de nombreuses recettes pour se soulager que nous avons en grande parti oubliées comme cette plante sauvage nommée bouillon blanc qui est super pour soulager ses bronches en cas de problème , et puis on pourrait parler de la consoude une plante miraculeuse qui porte bien son nom .

    • En effet : jardinage, potager et herbes nous amènent à la question « qu’allons-nous faire si nous avons des pénuries de médicaments ? » mais vous pouvez y ajouter « après ce que les médecins nous ont fait avec le covid, avons-nous encore confiance en eux ? » mais aussi « avec les prix qui deviennent exorbitants et les projets de rogner sur nos pensions, n’y a-t-il pas une façon alternative pour être en bonne santé ? » eh bien, continuons nos échanges. Aidons-nous et le ciel nous aidera…

  2. J’ai oublié de vous rappeler un champion de quand nous étions petits : le Vicks – L’an dernier je m’en suis souvenue et ai acheté le tube à mettre devant une narine… C’est comme les missiles supersoniques de monsieur Poutine… vous inhalez ce mélange de camphre et de menthol et il vous débouche le crane jusqu’à l’occiput… et ne coute que 8FS…

  3. Et quand on a un cancer, on prend une tisane ?
    Merci de l’information.

    • Merci pour votre question à laquelle j’ai vraiment une réponse très utile et deux livres que je recommande chaudement à tout le monde mais surtout aux personnes concernées par des cancers, la polyarthrite chronique évolutive et la sclérose en plaques! La Dr. Catherine Kousmine a consacré sa vie à comprendre et soigner ces maladies. https://www.kousmine.fr/dr-kousmine/ Elle part du principe que notre alimentation c’est comme l’essence dans le moteur de notre voiture : si on se trompe d’essence le moteur ne fonctionne pas. Donc il faut analyser l’alimentation, éliminer ce qui fait du mal et augmenter ce qui fait du bien. https://www.amazon.fr/Soyez-bien-dans-votre-assiette/dp/2710707829
      J’ai vécu cette expérience avec une collègue qui a eu des cancers des poumons sévères à 20 ans, ensuite avec la méthode Kousmine elle a vécu et travaillé normalement et est décédée à 75 ans l’un infarctus. Cette collègue s’appelle Anny Vagniees et elle a publié des livres de recettes de cuisine. https://www.amazon.fr/CEREALES-GASTRONOMIQUES-Anny-Vagnières/dp/2877240037

    • Les cancers en grande partie se soignent avant de les croiser par la prévention bien entendu le 100% et l’absolu ne sont pas de ce monde , je veux tout simplement dire qu’il ne faut pas dans sa vie attirer la foudre bien sur il y aura toujours le facteur génétique et le facteur malchance .

  4. Merci pour ces infos… Au quotidien l’ail cru est aussi excellent, mélangé avec à peu près tout pour mieux le supporter. Il désinfecte la gorge comme le miel.
    Une bonne précaution est aussi d’utiliser le gel hydroalcoolique régulièrement. Je suis tombé malade à cause d’un collègue CGTiste crado. J’ai dû toucher un même support que lui et oublier de me désinfecter les mains. Se désinfecter les mains quand on touche des portes publiques, des terminaux de carte bancaire etc. Les mains non lavées – elles sont nombreuses – sont vecteurs de maladies.
    Ne jamais oublier que “l’enfer c’est les autres”, dans les urnes comme au quotidien…

    • Paraît-il que pour se laver les mains, il faut de l’eau et du savon (et rien d’autre).
      Le gel désinfectant contient de l’alcool qui est effectivement un bon désinfectant mais cet alcool élargit les pores de la peau, ce qui, malheureusement, facilite la pénétration des produits phénoliques poisons contenu dans le gel.

      • Exact : surtout se laver les mains, mais attention aux solutions alcooliques elles dessèchent la peau, employez plutôt du savon d’Alep 85% huile d’olive et 15% de laurier, qui nourrit la peau.

  5. Il y a également de l’eau de bleuet pour les yeux, en magasin bio, flacon avec pompe, calme les brûlures et démangeaisons.
    On peut mettre une goutte de citron pressé dans l’œil c’est le conseil d’une vielle Russe, ça désinfecte radical, ça pique, bien sûr.

    • merci, j’avais oublié l’eau de bleuet, ma maman utilisait l’eau boriquée mais je ne l’ai pas expérimentée

      • Je ne connais pas l’eau boriquée, mais est-ce qu’elle se vend encore ?

  6. Pour la toux, et le mal de gorge, mon petit remède perso. Dans une tasse, une cuillère à café de cannelle, une cuillère à café de miel. (sapin du jura, mais pas que!) Quelques seconde au micro, pas trop, juste pour liquéfier. Remuez. Régalez vous, parce qu’ en plus, c’ est hyper bon.

  7. Temoignage, la nature ne fait pas tout: une vieille tante toussait, toussait. Elle a fait appel aux plantes. Depuis, elle ne tousse plus. Du tout. Elle en est morte. À force de tousser, le cœur a lâché. Moralité, elle aurait pris un sirop avec de la codéine, elle aurait survécu.

  8. Ah vous revoila enfin, et pour une belle conférence .
    Je fais comme vous le préconisez et je m’en porte bien.
    Merci Anne de vous être donné cette peine depuis votre ermitage.
    On vous reçoit bien, d’en bas ,
    en CH .

    • covid 19 etc ;;; planter des graines d’ Artémézia , infusion des plantes ensuite est boire 1 verre tout les jours . efficacité 100/100.

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