Les dhimmis jubilent : la mère d'une victime du terrorisme et celle d'un jihadiste "deviennent amies"

France info s’extasie : deux “mamans” deviennent amies…l’une a perdu sa fille dans un attentat, l’autre, mère d’un djihadiste,  ose se mettre en avant le sourire aux lèvres.
«Amour », « tolérance », « ouverture », « écoute » : ces belles  valeurs du continent européen sont dévoyées pour que  les Occidentaux se soumettent à l’islam. L’islam que l’on devrait au contraire craindre, haïr et combattre de toutes nos forces avant qu’il nous anéantisse.
Le politiquement correct est une nouvelle fois mis en scène pour l’exonérer.
France info met la victime et son assassin sur un pied d’égalité.
Après le père d’un terroriste (Azdyne Amimour, celui d’un des trois terroristes du commando du Bataclan),  voilà la mère d’un autre.
Voir article RR : Salines devient ami avec le père musulman de l’assassin de sa fille !
Un peu de dignité, cela devient insupportable. Le mot “maman”, la gestuelle de la photo : on n’en peut plus, on en vomit !


Quel avenir a une société  dans laquelle on  applaudit le  survivant qui va  fréquenter la famille de ses bourreaux !
Mais comment en sommes-nous arrivés là ? 
Nous sommes devenus des ombres, des avachis, des ectoplasmes. 
Il faudra bien un jour écrire un éloge de la haine, qui fait de nous des hommes debout.

France info

“Toutes les larmes sont les mêmes” : la mère d’une victime du terrorisme et celle d’un jihadiste racontent leur face-à-face dans un livre.

L’une a vu son fils partir de Belgique pour mener le jihad en Syrie, l’autre est la mère d’une victime des attentats de Bruxelles en 2016, ces deux femmes que tout oppose délivrent un message d’espoir dans un livre.
Le procès des attentats du 13 novembre 2015 se poursuit à Paris, et il est suivi avec attention en Belgique où quatre mois plus tard, un double attentat à Bruxelles avait tué 32 personnes et fait plus de 340 blessés. Le procès de ces attentats survenus à l’aéroport et dans le métro bruxellois s’ouvrira en mars 2021, dans la foulée du procès en cours à Paris. En Belgique, deux femmes que tout oppose, deux mères devenues amies, publient un livre de conversations croisées bouleversant. L’une a eu sa fille de 30 ans grièvement blessée dans le métro, l’autre est la mère d’un jeune homme parti faire le jihad et mort en Syrie.
Attablées devant leur tasse de café, les deux femmes ne se quittent pas des yeux quand elles racontent. Mais la première fois a été difficile. “Un choc !”, confie Fatima Ezzarhouni, 50 ans, anversoise d’origine marocaine. Son fils est parti en Syrie en 2013 à l’âge de 18 ans. “Moi, je n’ai rien vu parce que mon fils était un des premiers à être partis”, explique Fatima. Depuis neuf ans, son cœur a été déchiré à plusieurs reprises. Sept fois, on lui annonce la mort de son enfant. Il est finalement décédé en février 2021. Être mère de terroriste est si lourd à porter, confie Fatima.

“C’est atroce, c’est un cauchemar. J’ai fait un trop long et lourd chemin.”

Fatima Ezzarhouni, mère d’un jihadiste

Un chemin qui la conduit à croiser Sophie Pirson, via une association de lutte contre la radicalisation. Le coup de foudre amical est sans appel. “Toutes les larmes des mères sont les mêmes” est-il écrit dans leur livre. Sophie, bruxelloise de 62 ans, qui le 22 mars 2016 voit sa vie basculer quand un témoin de l’explosion du métro l’appelle pour lui dire qu’il est à côté de sa fille. “C’est une blessure très forte, raconte-t-elle. Le cœur change de place et je pense qu’il ne revient pas tout fait à sa place initiale.” Sophie dont la fille blessée est aujourd’hui guérie et chez qui la haine ne s’est jamais invitée.

“La haine, c’est quelque chose que j’ai mis de côté parce que ça ne fait pas avancer.”

Sophie Pirson, mère d’une victime des attentats de Bruxelles

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39 Commentaires

  1. Radio rance nous renseigne-t-elle sur les remords de la génitrice de l’assassin qui, de plus, a éviscéré, émasculé, éborgné, amputé des Français de souche uniquement?
    La haine rend plus fort, elle donne un courage et une détermination qui souvent échappent à l’amour.”
    Radio Paris ment, radio Paris est étronman.

  2. Bonsoir à vous je comprends votre pensée de ne pas pardonner mais Dieu nous demande de pardonner.

    • Bonjour,
      Cette demande vous l’avez reçue par mail, SMS, téléphone ?
      Elle venait de quel dieu ?
      Il y a tant d’hommes et tant de dieux pour satisfaire l’esprit de chacun de ces hommes.
      C’est d’ allah que vous recevez vos messages ? Mon Dieu ne m’envoie pas de message où l’on doit pardonner les sauvages.
      Son dernier message était ” ne tend pas l’autre joue, cela fait mal “.

  3. Si l’huile et le vinaigre ne sont pas miscibles, les conneries le sont toutes.

  4. salut c’est encore moi ! Les collabos , miliciens et autres nazis, ont souvent pris une balle dans la tête ou fusille et jeter dans la fosse commune, les djihadistes qui sont du même acabit méritent le même sort point barre

  5. Mme Pirson pardonné car sa fille est guérie.
    Qu’en serait il si elle n’avait pas survécue à ses blessures ?
    Femme égoïste sans empathie pour les parents des autres victimes assassinées.
    Égoïste est un euphémisme….

  6. Ne perdons pas de vue que ceci se passe en Belgique une foué !
    C’est un pays de dhimmis qui ne méritent que de se faire égorger.Halal !

  7. La haine fait avancer car elle donne de la force, celle de se battre, elle se base sur des mécanismes de survie. La haine n’est que le revers de l’amour, j’aime ce que je ne déteste pas et je hais ce que je n’aime pas. S’il n’y a plus de haine dans ce monde, il n’y a plus de choix, il n’y a que de l’indifférence. La haine est essentielle pour combattre le mal.
    Cela étant, la photo en dit long.
    La seule à sourire est la mère du terroriste. L’autre ne paraît plus capable de sourire. Et c’est un sourire entier, pas une esquisse de sourire. A sa place, j’aurais du mal à sourire…
    Du coup, la légende du journaliste “Fatima Ezzarhouni (à gauche) et Sophie Pirson (à droite)” est presque inutile.
    On a bien compris que la seule capable de sourire encore est la mère du terroriste.
    Par déduction, on n’a même pas besoin qu’on nous précise “à gauche” et “à droite” pour savoir laquelle des deux s’appelle Fatima et laquelle est Sophie.
    Fatima qui a donné un prénom barbare à son fils et non un prénom français. On n’en parle pas, de ça. Il a un prénom qui vient de la partie du monde où il a choisi de retourner pour y mener un fait culturel de cette partie du monde, le djihad. A part ça, Fatima n’a rien vu venir et sourit.
    Sophie n’a plus rien à gagner, elle a le cerveau légumisé par cette histoire ; Fatima, elle, évite la prison pour complicité qui souvent plane sur les proches des terroristes, elle peut sourire… elle a tout à gagner.
    Au fait, quid des droits d’auteur ? Reversés aux victimes du Bataclan ou encaissés directement sur le compte bancaire des “amies” ?

  8. Comment peu t’on associé une victime d’un attentat et une ordure qui par la terreur essaie d’imposer une religion de haine et de meurtre De la peine pour la victime ; du dégout et du soulagement pour la fin de second

  9. le plus pénible c’est qu’il y en a des centaines voire des milliers de cons comme ça qui trouvent des excuses pas possibles à la racaille qui veut nous exterminer, on est pas sortis de l’auberge ! la reconquista va-être longue et sanglante…

  10. C’est de l’abus sur personne vulnérable.
    Ces parents de victimes de l’islam sont effondrés, démolis, désorientés, vidés, désespérés. Ce sont des proies faciles pour l’hypocrite Pouvoir qui met en place aussitôt son système de conditionnement.
    Vient la psy à la parole doucereuse, qui va s’emparer de leur esprit, le retourner, le remplir de formules creuses et fallacieuses.
    J’imagine que ce doit être pareil si ces malheureux vont en parler à leur curé.
    Ces pervers leur racontent qu’ils vont les aider, alors qu’ils les conditionnent à accepter l’inacceptable.
    Et le nombre de moutons prêts pour l’abattoir, augmente au fur et à mesure, le Pouvoir agit en sorte qu’il n’y ait pas de réponse, pas de défense, pas de saine réaction de survie. On étouffe toute velléité toute idée de vengeance.

  11. Elle n’a pas trouvé mieux comme amie ,je ne sais pas comment elle fait,et la mère de celui qui est parti en Syrie, elle ne s’est pas posé la question de savoir pourquoi il était parti la bas et ce qu’il y a fait ?

  12. Libre à chacun de faire ce choix, nous aussi nous avons perdus des parents dans des attentats, pour nous ils n’y aura jamais de pardons, ou d’amitié avec l’idéologie qui a assassiné nos oarents. Il n’y a qu’un Islam , celui que ces disciples ont assassinés nos proches,notre haine restera pour éternité contre cette immonde idéologies de barbares.

  13. À part : “plus belle la vie, ….” que regardent, que lisent, qu’écoutent toutes ces personnes qui préfèrent :

    « La haine, c’est quelque chose que j’ai mis de côté parce que ça ne fait pas avancer. » à « La tolérance concernant l’isam, c’est quelque chose que j’ai mis de côté parce que ça fait avancer la suprématie musulmane en France. »

  14. Typique de la gauchiasserie médiatique avec la mise en avant du “vous n’aurez pas ma haine” contre la mise sous silence du combat, par exemple, d’un Patrick Jardin.
    Pour ces médias, la victime était sûrement un peu coupable et le bourreau sans doute victime de la société.
    A vomir.

  15. Bien sûr que la haine fait avancer ! La haine des djihadistes envers nous les fait avancer à pas de géant ! Par contre l’absence de haine envers les jihadistes et ceux qui les soutiennent (y compris en disant que l’islam n’a rien à voir avec ça) hé bien cela fait reculer.
    Cela fait reculer la méfiance que l’expérience de la mort devrait créer, comme on doit être méfiant devant un fauve en cage.
    Aller faire des câlins à une femme qui est un SOUTIEN du djihadisme de par sa simple allégeance au coran, source du djihadisme, c’est caresser une bête fauve à travers les barreaux de sa cage.
    Et c’est idiot, surtout quand on SAIT que cela a déjà tué son fils ou sa fille !

    • D’autant plus que – bien souvent – ceux qui disent que “l’Islam, ce n’est pas ça“, ou que “l’Islam est une religieux de paix et d’amour“… ne font que répéter les propos qu’ils entendent : ils ne cherchent pas même à vérifier la véracité de ces dires d’eux-mêmes en ouvrant – tout simplement – un Coran.
      Lire… ce n’est pourtant pas bien compliqué, non?
      …Malheureusement, on aura bien du mal à passer au travers de la stupidité et/ou de la paresse d’une partie de la population…!
      (Si ils veulent prétendre que “l’Islam est une religieux de paix et d’amour“… qu’ils le fassent, ok; mais qu’ils le fassent donc après avoir lu le Coran… et non pas en répétant simplement ce qu’ils entendent!)
      …J’ai déjà lu et entendu des témoignages de gens qui étaient autrefois de fervents défenseurs de l’Islam… mais qui ont vite changé d’avis après avoir lu les premières sourates du Coran!
      (Ces gens se sont d’ailleurs, depuis, reconvertis en “méchants d’extrême droite”!!)

  16. Madame Pirson doit venir en France s’occuper de la haine qui anime les politiciens qui s’agitent contre Eric Zemmour.

  17. PLUS CON, TU MEURS !
    Quoique, peut-être pas… puisque “la Faucheuse” prélève souvent un paiement anticipé avec leur môme. Façon, ta carte bancaire débitée immédiatement lors de l’achat sur le web….
    Quelle époque de décérébrés manipulés par les tenants d’une doxa de résilients…

  18. Ah que c’est beau et républicain!
    En revanche quand c’est l’inverse, quand une personne âgé, ancien soldat de surcroit décide de protéger sa famille contre une racaille notoire BIEN CONNUE là elle se déchaine la belle JUSTICE!
    Pas de légitime défense pour les blancs, même quand ils se font menacer de mort et traiter de sale polonais!
    https://www.sudouest.fr/justice/drame-d-ychoux-accuse-de-tentative-d-assassinat-claude-gorsky-ne-sait-pas-ce-qu-il-fait-la-6328115.php

    • OUI ! OUI ! MILLE FOIS OUI !
      Cette société a totalement pété les plombs, perdu le sens des valeurs réelles.

  19. Imaginons la femme de Landru prenant le thé avec les familles des victimes.

  20. Quand je dis que certains en redemandentJe me demande en fait si justement CERTAINS ne seraient pas, consciemment ou non ( bénéfice du doute…) très CONTENTS de ce qui est arrivé! L’occasion de se faire voir ( et bien voir de la BIENPENSEANCE), pour cela certains sont prêts à tout. Se pavaner, brandir sa soumission et son non-désir de vengeance ou d’une quelconque justice en étendard taillé dans la peau de son enfant est tout simplement REPUGNANT!!!!

    • Malheureusement… à n’en pas douter, que c’est bien le cas pour certains qui ne vivent que pour “ça” ( “ça” étant “se faire voir”)…!
      Rappelons que nous vivons dans une époque où l’une des plus grande compétition se retrouve être celle du “plus à plaindre”…
      Les gens – notamment les jeunes – cherchent souvent à se faire passer pour des “victimes de ci”, des “victimes de ça”… et quand ils n’y arrivent pas… ils cherchent alors n’importe quelle excuse pour se faire plaindre : “j’ai mal ci, j’ai mal là”; “j’ai tel problème”; etc…
      …Tout ça pour quoi? Pour se faire remarquer et/ou trouver des justifications à leurs “imperfections”…!
      (Après, il y en a encore qui s’étonnent que certains qui souffrent vraiment… qui ont de vrais problèmes… ne se plaignent pas : ils n’osent – bien évidemment – pas, puisqu’ils ne veulent pas être mis dans la même catégorie que le genre de minables en recherche d’attention!)

      • Effectivement, j’ajoute qu’il y a d’un côté LES PLUS A PLAINDRE et de l’autre, on devine bien de quoi elle se compose, de tous les EXCUSABLES! Ceux-là ne sont jamais à blamer ( non c’est toujours NOTRE FAUTE) même quand ils partent justement à l’étranger s’entrainer à tuer les nôtres…
        Sur la photo on à donc celle qu’il faut PLAINDRE et ADMIRER et de l’autre, l’EXCUSABLE et mère d’EXCUSABLE.
        Le tout en mode hyper ostentatoire, de l’exhibitionnisme!

  21. Que… Quoi ? “Être mère de terroriste, c’est lourd à porter”. On va la plaindre, en plus ?
    Et l’autre qui clame que la haine ne fait pas avancer ? Peut-être pas, mais ça aurait pu permettre de ne pas trahir le souvenir de sa fille. Lâches.

  22. On peut ne pas avoir de haine, et rester chacun de son côté…
    Il y a des douleurs qui ne sont – juste – pas compatibles.
    « Toutes les larmes des mères sont les mêmes », disent-elles.
    Sauf que… c’est FAUX : ce n’est pas parce que c’est quelque chose qu’elles souhaitent que ça en fait une réalité! C’est d’une prétention…!
    Cette dame – Sophie P. – réagirait-elle avec autant de “tolérance”, si sa fille n’avait pas été simplement blessée… mais tuée?
    (Dans tous les cas, ça en dit – déjà – tellement long sur sa – prétendue? – “douleur”…)
    …Il y en aura toujours pour nous dire qu’on ne doit pas juger, mais sérieusement… où VONT nos valeurs?!
    Dans de telles situations, “ne pas avoir de haine” n’est pas même un signe de tolérance : c’est juste une forme de lâcheté!!
    Quant à cette autre “maman” – Fatima E -, elle ne se pose pas de question lorsque son fils de 18 ans part à l’étranger… dans un pays arabe – en SYRIE – de surcroît? …Vraiment?!
    (Ouais, c’est ça…!! Ce n’est pas à moi qu’elle le fera croire, en tout ca : les “mamans” qui mentent et prétendent ne pas voir les défauts “inacceptables” de leur(s) enfant(s), et ce, dans le SEUL but protéger de leur image de “maman (presque?) parfaite”… je connais!!)

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