Pakistan : un gosse de 8 ans risque la mort pour délit de blasphème…

Ô suave et doux Pakistan sous l’emprise de l’islam et qui nous envoie ses migrants, prétendument réfugiés mais entendant imposer à nos pays leurs lois barbares…

Après Asia Bibi, après les chrétiens, voilà  les Hindous  condamnés à mort, une femme, un gosse de 8 ans… quand on veut obliger  les non musulmans d’un pays à se convertir, il suffit de leur rendre la vie impossible, il suffit de les agresser, de les menacer, d’enlever les femmes et de pratiquer les mariages forcés… et hop ! en quelques années vous avez un pays homogène… 

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Mais cela n’empêche pas les salopards de gauchos et d’associations pro-migrants de se mettre en quatre pour accueillir les musulmans venant de Pakistan ou d’Afghanistan… Aubry voudrait même que l’on vidât nos comptes en banque pour eux, se gardant bien, au cours de sa longue vie, d’avoir jamais demandé la même chose pour les SDF français…

Christine Tasin

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Un Hindou de huit ans risque la peine de mort au Pakistan, il est accusé d’avoir intentionnellement uriné dans la bibliothèque d’une école coranique. Il s’agit de la plus jeune personne inculpée pour blasphème dans ce pays. Après sa libération sous caution, un temple hindou a été attaqué par une foule musulmane et sa famille a dû fuir.

Un garçon de huit ans est désormais la plus jeune personne à avoir été incarcérée pour blasphème au Pakistan. Il a été placé en garde à vue dans l’est du pays, accusé d’avoir volontairement uriné, le mois dernier, sur un tapis dans la bibliothèque d’une école coranique, où étaient conservés des livres religieux. Ces accusations peuvent entraîner la peine de mort, révèle le Guardian.

L’enfant a été libéré sous caution la semaine dernière. Enragée, une foule musulmane a attaqué un temple hindou après sa libération. Des troupes ont été déployées dans la région pour apaiser les habitants, et 20 personnes ont été arrêtées après l’attaque.

La famille du garçon a été obligée de se cacher et de nombreux membres de la communauté hindoue installée dans le quartier conservateur de Rahim Yar Khan, au Pendjab, ont dû fuir leur domicile après ces événements.

La terreur

Contacté par le quotidien britannique, un membre de la famille du garçon a nié les accusations de blasphème. «Il n’est même pas au courant de ces problèmes de blasphème. […] Il ne comprend toujours pas quel était son crime et pourquoi il a été gardé en prison pendant une semaine.»

«Nous avons quitté nos boutiques et notre travail, toute la communauté est effrayée», a-t-il ajouté.

De telles accusations de blasphème déposées contre un enfant ont choqué certains experts juridiques, qui disent que cette décision est sans précédent. Personne d’aussi jeune n’avait jamais encore été accusé de blasphème au Pakistan, pays conservateur à majorité musulmane en proie à l’intolérance religieuse.

Un sujet ultrasensible

La répression contre les personnes soupçonnées de blasphème est assez fréquente dans ce pays, où cela reste un sujet très sensible. La peine de mort pour blasphème y a été instaurée en 1986. Même si elle est rarement appliquée, les suspects sont souvent attaqués et parfois tués par la foule. Les lois correspondantes ont été utilisées de manière disproportionnée dans le passé contre les minorités religieuses, observe le Guardian.

Dans un rapport de la Commission des droits de l’Homme du Pakistan publié en 2016, où quatre personnes ont été condamnées à mort pour blasphème, le juge Ibadur Rehman Lodhi avait rejeté la plupart de ces accusations en disant: «La majorité des cas étaient basés sur de fausses accusations, résultant de conflits, de règlements de compte personnels ou familiaux, plutôt que de véritables cas de blasphème».

En 2017, un étudiant connu pour ses opinions libérales et laïques, soupçonné de blasphème, a été atrocement lynché dans une université du nord-ouest du Pakistan. Dans un rapport d’enquête, la police a pour sa part conclu à l’innocence de la victime.

La même année, la justice pakistanaise a condamné à mort, pour la première fois, un jeune citoyen reconnu coupable de blasphème sur les réseaux sociaux.

https://fr.sputniknews.com/international/202108101045982372-a-8-ans-un-petit-pakistanais-incarcere-pour-blaspheme-encourt-la-peine-capitale/

 

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12 Commentaires

  1. Je suis allée au Pakistan en 1973. Ces gens-à sont des survoltés. Ca crie, ca hurle, les rues sont remplies d’hommes. Evidemment je n’ai vu aucune femme !!!

  2. Bientôt tout ça en France ,depuis 14 siècles l’Islam applique les mêmes méthodes oú il est majoritaire

  3. Vive l’islam et le pédo momo !bien venue en France avec les sataniques qui gouvernent

  4.  En Somalie, une gamine de treize ans, Aïcha Duhulow, violée par trois hommes en octobre 2009 avait eu la naïveté de porter plainte. Les violeurs n’ont pas été inquiétés (il aurait fallu quatre témoins hommes, ce qui est impossible pratiquement) mais la victime ligotée a été enterrée debout jusqu’aux épaules au milieu d’un stade puis lapidée le 17 octobre malgré tous les efforts de son père pour la sauver (50 intégristes jetant des pierres, 1000 spectateurs). Depuis cela, aucune plainte pour viol !! en islam, l’hypocrisie est la règle.

  5. il a pissé sur un tapis ?
    alors, ça, c’est du blasphème ? un gosse qui ne peut pas retenir sa vessie ?
    et probablement un maître sadique qui l’a empêché de sortir se soulager, pour torturer un petit Hindou.
    Ces monstres sont en train de déferler sur l’Europe avec la bénédiction de l’antipape et de l’UE

  6. Voilà ce qui arrive quand une religion prétend apporter la vérité plus qu’une autre et se substitue à l’autorité d’un état : intolérance et violences en sont les corollaires.

  7. « Pakistan : un gosse de 8 ans risque la mort pour délit de blasphème…« 

    Ça vous étonne ?

    • Perso ce qui m’étonne c’est qu’il soit si âgé la merveilleuse religion d’Amour et de tolérance se grippe t’elle ?

  8. Et c’est cette terreur que nos salopards veulent nous imposer en France.

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