« Parler de  cuisine exotique  renforce la xénophobie et le racisme » : réponse à la dégénérée Galarza

Daniela Galarza, rédactrice de la section cuisine du Washington Post : elle combat le « racisme culinaire » !

N’en déplaise à cette dégénérée américaine en croisade contre un prétendu « racisme culinaire », je continuerai à dire  « exotique » en parlant d’une chose qui vient d’ailleurs. Un mets, des couleurs, des saveurs, des formes, un mode de cuisson,  des parfums, un fruit, une plante, une viande, un oiseau  ou un poisson…

Daniela Galarza, rédactrice de la section cuisine du Washington Post, évoque les connotations négatives que peut revêtir le mot “exotique” lorsqu’il est associé à la nourriture, ainsi que l’impact de son utilisation. « Le problème le plus crucial avec l’utilisation du mot ‘‘exotique’’, c’est qu’on allonge indirectement la distance métaphysique entre un groupe d’humains et un autre et, ce faisant, renforce la xénophobie et le racisme ».

Elle attaque les Français : 

“Les Français ont également une fascination persistante pour l’exotisme : les peintures de Paul Gauguin sur la vie tahitienne, des livres comme “Madame Chrysanthème” de Pierre Loti, des listes de restaurants parisiens “exotiques” – à travers le prisme de la domination de la cuisine française, il n’est pas étonnant que nous exotisions encore la nourriture”…

Article complet de Daniella -pas celle de la chanson ! en pdf en français, sans quitter RR : Racisme culinaire

Le mot « exotique » sert à « ostraciser l’Autre en se donnant soi-même tout le pouvoir », un mot inventé par des gens qui « se pensent le centre du monde ».

 

Oui, chère madame, je suis au centre de mon petit monde. Je n’en suis pas désolé et ne compte pas m’excuser.  Et ce qui vient d’un ailleurs lointain est pour moi « exotique ».

 Mais rassurez-vous, je suis capable d’amitié et d’amour pour les autres et je suis prêt à aller à la rencontre de leur culture. Et tenez, je suis même prêt à aller visiter le Brésil, par exemple : j’y admirerai les beaux paysages, sûrement les beaux Brésiliens des deux (trois ?) sexes, leur peau vanille, caramel ou café, et écouterai leur belle musique et leur belle langue, observerai leurs façons de vivre “exotiques” pour moi (que le lecteur me pardonne ces exotiques grivoiseries estivales).

Et qui sait, plus jeune, je serais peut-être tombé amoureux dans ce beau pays, mon accent frenchie me donnant un  bonus, celui de l’Européen « exotique » pour les autochtones, du Blanc que vous détestez tant dans votre article (Quand vous écrivez, entre autres : “Je n’ai jamais entendu le mot ‘‘exotique’’ utilisé pour qualifier quelque chose de blanc” ou encore quand vous citez : “Les médias alimentaires s’adressent toujours au lecteur blanc”).

Mais, chère madame qui voulez tout effacer d’un trait avec votre cancel culture, permettez-moi de vous dire qu’au grand jamais,  je n’imaginerais une seule seconde mettre le feu à l’architecture coloniale des Européens ou raser les églises baroques, simplement parce qu’un aspect de l’histoire en question ne trouverait pas grâce à mes yeux.

Au contraire, j’ouvrirais grands mes yeux sur les demeures des plantations d’antan. Je vais vous étonner : moi l’amoureux de la culture française, j’irais même jusqu’à lire et rechercher les traces du passé pour m’instruire et apprendre les détails, avec ses ombres et ses lumières, de l’histoire brésilienne de la route de l’or et du café.

Ce n’est pas en supprimant le mot « exotique » que vous allez effacer le passé, fait certes de sang et de sueur, mais aussi d’or et de gloire, et que vous réussirez à briser notre histoire, notre monde,  et nos rêves. Ne vous en déplaise,  nous existons bel et bien encore, nous avons fait nôtre ce monde et continuerons à nous y mouvoir et à y humer et goûter les saveurs « exotiques ».

Pour moi, petit Français enraciné, « exotique » désignera jusqu’à mon dernier souffe tout ce qui ne pousse pas dans mon potager, et plus largement tout ce qui vient de très loin, qui est extérieur à ma propre culture.

« Exotique »  n’est pas un gros mot. « Exotique » nous fait rêver aux lointaines contrées, à des saveurs et des couleurs différentes.

L’ananas était familier à la maison. Mon  grand-père maternel, celui qui vivait sous notre toit, le préparait délicatement le dimanche, avec une généreuse lampée de rhum (venu de loin également). Je  me rappelle mon premier avocat, en entrée, mélangé à des crevettes, chez la cousine Madeleine qui avait voulu nous étonner –et y avait réussi !

J’ai vu ma première mangue adolescent, à un stand de la Foire de la grande ville. Je revois ma mère faisant répéter le mot aussi  étrange (« exotique »)  que le fruit à la  vendeuse asiatique. Chez nous poussaient des pêches, des pommes, de grosses cerises jaunes, des noix, des nèfles, qu’il faut manger sur place car elles ne se conservent pas et  dont je raffolais, du raisin de diverses variétés, dont celui qui servait à faire notre vin et notre gnôle, mon grand-père ayant conservé sa licence de bouilleur…

Autant d’ailleurs de fruits « exotiques »  aux yeux de populations du bout du monde habituées aux noix de coco ou autres fruits de la passion…

Je me souviens des premières chips de crevettes à l’apéritif, grosses et épaisses, chez des gens de la ville au courant des nouveautés, à savoir monsieur l’architecte auquel mes parents avaient dû faire appel pour aménager la grange familiale en maison d’habitation.

Mais, chère madame, je ne suis plus un enfant et ne tomberai pas dans votre piège infantilisant et simplificateur. Je suis un homme, je  me tiens debout, pas avachi, et j’ai la force et la volonté (ce qu’on nomme “courage”) de regarder le passé en face, sans l’effacer, en toute conscience et lucidité, contrairement à vous qui voudriez faire commencer l’histoire en 2021.

Je suis conscient que certaines denrées et recettes de mon quotidien aujourd’hui viennent de très loin. Mon café, mon chocolat, produits exotiques et coloniaux au départ, dont je ne me passerais pour rien au monde. Merci aux découvreurs, à ceux qui ont travaillé, innové,  merci au génie qui a permis que ces merveilles de raffinement arrivent sur ma table.

Etudiez le passé, admirez le, faites-en la critique : mais de grâce, ne nous en privez pas, ne le rasez pas, ne l’effacez pas !

Vous écrivez :

“Il y a longtemps que les explorateurs européens ont parcouru le monde à la recherche de richesses, d’épices, de café, de thé, de chocolat et de lieux qu’ils coloniseraient ou de personnes qu’ils réduiraient en esclavage – bref, de choses qu’ils qualifieraient d’exotiques – mais cette histoire est indissociable du mot.

Exotique = colonie = esclavage.

Nous y voilà. 

Chère madame de la cancel-culture, je vais vous faire une confidence politiquement fort incorrecte : je brûle  d’aller un jour visiter le Brésil sur les traces des explorateurs européens, justement ! 

J’y apprendrai l’histoire du café, du chocolat.

J’irai y admirer- scandale !- l’architecture coloniale, découvrir les villes historiques classées au patrimoine mondial de l’Unesco : Ouro Preto et Salvador ainsi que l’incontournable Rio de Janeiro et les  charmants villages de Mariana, Tiradentes et Congonhas, dans le Minas Gerais, merveilles du Brésil colonial.

 Voici, chère madame qui voulez effacer le passé pour donner faussement l’impression d’être amie avec tout le monde, intercalées dans mon récit, les lignes d’une agence de voyage : vous remarquerez que le mot colonial y revient toutes les trois phrases, tant il fait rêver les Européens que nous sommes…

Premières merveilles du Brésil colonial : Ouro Preto et Tiradentes.

Salvador de Bahia,  https://www.voyagebresil.com/plus-belles-villes-architecture-coloniale-bresil

 

Découverte du Minas Gerais, Ouro Preto, la ville de « l’or noir », avec ses ruelles pavées, ses mines, sa vingtaine d’églises baroques et son artisanat typique,  l’une des villes coloniales les mieux conservées du Brésil. A quelques kilomètres de là, les charmants villages de Mariana – où l’on découvrit la première pépite d’or de la région – et de Congonhas – qui abrite le dernier chef-d’œuvre d’Aleijadinho – sont des étapes incontournables. Avant de rejoindre la côte, une étape s’impose dans le petit village colonial de  Tiradentes qui est aussi l’un des centres d’art baroque du Brésil.

Traduit par « or noir », la ville d’Ouro Preto est restée le témoin de la ruée vers l’or du Brésil.

 Les montagnes du Minas Gerais dévalent sur le littoral Atlantique et s’ouvrent sur la splendide baie de Guanabara et la ville mythique de : Rio de Janiero.

 Vous visitez les anciens quartiers de Rio de Janeiro, comme la bohème Santa Teresa, qui doit la richesse de son architecture aux bourgeois qui s’y installèrent au XVIIIème siècle. Elle accueille aujourd’hui de nombreux ateliers d’artistes et est traversée par le fameux « Bonde », le dernier tramway qui fonctionne encore dans la ville. Prenez le rythme des Cariocas et allez passer une après-midi à la plage : le dépaysement est garanti !

Succombez ensuite au charme du petit trésor colonial qui domine la mer : Paraty !

Votre circuit culturel au Brésil se poursuit par un transfert de 4 heures qui vous amène à Paraty, une petite ville coloniale parfaitement préservée où l’on prend beaucoup de plaisir à flâner. Vous profitez d’une journée de croisière sur un grand voilier pour découvrir sa baie et ses plages bordées par une végétation luxuriante où il fait bon se baigner. 

La moqueca de poisson est un plat traditionnel brésilien de Bahia, où les influences culturelles africaines sont fortes (exotique pour  les petits Français !).

Photo : https://www.papillesetpupilles.fr/2014/06/moqueca-de-bahia-poisson-a-la-bresilienne.html/

 

 Plongée au cœur de la culture afro brésilienne avec Salvador de Bahia, l’africaine empreinte de mysticisme  et de capoeira !

Moustaki – le métèque, nous adresse au passage un petit salut musical : vous voyez, chère madame, je ne suis pas sectaire ni hostile à l’Autre, comme vous dîtes, et reconnais et apprécie les échanges interculturels !

Métèque : étranger résidant à Athènes …sans avoir les droits d’un citoyen (sagesse des Grecs !).

Découverte du Pelourinho, centre historique de la première capitale du Brésil. Le quartier  laisse rarement indifférent. Au gré de ses ruelles, on découvre avec bonheur les façades colorées des maisons coloniales et des églises baroques dans lesquelles on peut assister à des messes où se révèle toute la ferveur des bahianais. La ville la plus africaine du continent a une culture à part, où les descendants des esclaves ont su garder leurs racines, avec le culte du candomblé, la pratique de la capoeira et bien sûr la musique.[« exotique » elle aussi !].

Ce voyage au Brésil se termine tout en douceur par une petite pause bien méritée dans une pousada située au bord d’une jolie plage de Morro de Sao Paulo, bien loin de l’agitation de Salvador.

Le café !

Une autre agence nous propose le voyage de rêve suivant : Estrada Real sur la route de l’or et du café.

Un circuit au Brésil original suivant l’ancienne Estrada Real, route créée au début du XVIIIème siècle par la couronne portugaise pour acheminer l’or du Minas Gerais jusqu’au port de Parati. Le premier chemin de l’or ou Caminho Velho sera alors complété par de nouveaux axes dont le Caminho Novo qui relia alors Rio de Janeiro à la vallée du Paraiba, site des prestigieuses plantations de café.

Idéal pour apprécier l’ambiance des fazendas de café. Perdue au bout d’un sentier de 2km cette propriété adorable bénéficie d’un environnement magnifique dominé par de superbes palmiers royaux. La partie hôtelière a pris place dans l’ancien engenho où l’on traitait le café après séchage. Les immenses pièces de réception sont donc étonnantes d’amplitude et ont conservé les éléments d’origine. Table d’hôtes incluse et servie autour d’immenses tables anciennes en bois.

Chambres

Les chambres sont petites, simples et rustiques mais correctes.

Les anciennes demeures, aujourd’hui chambres d’hôtes : 

 

https://www.comptoir.fr/blog-voyage/bresil/la-route-du-cacao-a-bahia/bra

Poussons un peu le vice : vive le cacao du Brésil !

L’introduction de la culture du cacao fut un facteur majeur de la mise en valeur, du peuplement et de l’enrichissement  du Sud de l’Etat actuel de Bahia. La zone dans laquelle se développa la production de cacao s’étendait  du Nord au Sud depuis le  rio Jequirica jusqu’au au rio Mucury et d’Est en Ouest depuis le littoral jusqu’à environ 120 voire 150 km à l’intérieur des terres.

Le cacao brésilien (extrait) :

http://www.brasilazur.com/2012/10/le-cacao-bresilien/

Vers 1820, une centaine de colons allemands et suisses s’installèrent sur la rive gauche du rio Cachoeira pour y cultiver le cacaotier.

En 1865, les exportations de fèves  dépassaient 800 tonnes, mais le manque de main-d’œuvre entravait l’augmentation de la production. Cependant,  à partir de 1870, les sècheresses du Nordeste entrainèrent l’arrivée de migrants dans le Sud de Bahia, puis l’abolition de l’esclavage de 1888 dans les zones sucrières du Recôncavo bahianais,  favorisèrent les défrichements et l’expansion de la culture cacaoyère.

 

La culture du cacao nécessitait  peu d’investissement et les premières exploitations s’étendaient  sur de petites parcelles défrichées et cultivées  par de petits agriculteurs. Ces derniers n’ayant pas les capitaux nécessaires pour la commercialisation des fèves, le négoce du cacao était quant à lui  aux mains de sociétés exportatrices prospères d’origine étrangère, comme la maison Wild Berger et Compagnie, fondée à Bahia en 1829 par les frères Jetzler, des Suisses.

 

Profitant de l’expansion de la demande aux États-Unis, en Allemagne, en Angleterre, aux Pays-Bas et en France, le Brésil devient le second exportateur mondial en 1900 et exportait jusqu’à 17 000 tonnes de cacao.

 

Après la Première Guerre mondiale, le cours du cacao explosa sur les marchés mondiaux ce qui entraina l’enrichissement des petits planteurs. Ces derniers ne surent pas gérer cet afflux d’argent car au lieu de le réinvestir pour moderniser leurs exploitations, beaucoup le dilapidèrent, s’endettèrent et furent condamnés à vendre à perte leurs terres.

Les nouveaux propriétaires, qui n’étaient pas d’origine terrienne et qui résidaient en ville, constituèrent de grandes plantations : les fazendas. Ils ne géraient pas directement leurs exploitations puisqu’ils les faisaient administrer par un tiers – l’empreiteiro – qui percevait une commission sur chaque sac de cacao livré à la fin de la récolte.

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25 Commentaires

  1. Réaction tardive d’un article de Christine.
    “Etats-Unis : latin et grec sont racistes, on les supprime donc des études de lettres classiques !!!”
    Le latin et le grec tout comme la cuisine exotique renforceraient la xénophobie et le racisme.

    Horibile lectu audituque! Que ne faut-il pas lire ou entendre!

    Pour ma part je préfère de loin la dignité du port de la toge romaine d’un Caton l’Ancien au manque de goût total de la cérémonie Place du Carrousel de l’histrion Macron le jour de sa victoire aux présidentielles sous les youyous de la populace assemblée (manquaient plus que les tabliers maçonniques) ou au ridicule de l’accoutrement de polichinelle du cousin canadien dans sa panoplie de maharaja.

    Et vive la cuisine exotique qui met de la joie et des couleurs à nos marchés!

  2. EXOTIQUE Via le latin exoticus, du grec ancieno ἐξωτικός, exôtikós (« étranger »), adjectif issu de ἔξω, éxô (« au dehors »). Visiblement pour etre journaliste au w. Post faut pas avoir trop de culture…

  3. Les médias aux mains du pouvoir mondialiste offrent leurs tribunes aux gauchistes. Les mondialistes utilisent tous les moyens pour arriver à leurs fins. L’islam, qui détruit toutes les cultures, l’immigration, qui détruit les identités ethniques, les gauchistes qui détruisent les identités historiques. L’exotisme c’est tout ce qui n’est pas ‘soi’, au sens du groupe, ou de la nation. Pour un africain les cuisines européennes, ou chinoises, sont exotiques.
    Et justement c’est le ‘soi’ identitaire que détestent les gauchistes. Ils sont dans la haine de soi, destructrice et suicidaire. Pourtant vouloir être soi-même ne signifie pas détester les autres. Être soi-même c’est se connaître soi-même, au niveau individuel comme au niveau du groupe. C’est reconnaître ses points forts et ses points faibles, c’est reconnaître ses fiertés justifiées et ses erreurs, ses échecs, en les assumant, et en les dépassant. Les gauchistes ‘blancs’, eux, sont dans la honte de soi, la détestation de soi, ils veulent leur propre disparition, et ils combattent tous ceux qui revendiquent leur identité blanche européenne.

  4. parler vrai avec les mots et leur vraie signification, c’est aussi un combat pour la liberté

  5. cette femme n ‘est que ce qu’on appelle un “portail organique” par lequel s’exprime la matrice 5G , bref ce qu ‘on nomme l intelligence artificielle “A . I .” en bref ce n’est qu’un gant vide dans lequel s’agite contre vous la main de la matrice qui sait etre partout en meme temps lorsqu’elle en a besoin , ne vous etes vous jamais trouvé confronté a un etre qui soudain devient comme fou et change de personnalité instantanément comme dans WALKING DEAD ?
    MOI OUI c’est impressionnant et on a vraiment le sentiment de se trouver alors en face d’une force non naturelle extrêmement venimeuse !

  6. Quand on rejoint un pays duquel on est redevable, on ne le critique pas ouvertement, il faut un minimum de décence, ce n’est pas en cherchant à nuire à ce pays qu’on va s’élever bien au contraire, il faut accepter cette culture comme si c’était la sienne et si on ne l’aime pas on part, il existe aussi la solution de se soumettre sans l’accepter ce qui est un compromis.

  7. Bonjour,

    Merci Jules Ferry !

    La “cancel culture” américaine prend de plus en plus le tour d’une campagne haineuse contre la France.

    Quand j’étais jeune, je collectionnais les papillons et je recevais des listes de papillons de la part de vendeurs.

    Bien que je ne puisse pas me les offrir, les rubriques “papillons, coléoptères exotiques” me faisaient rêver.

    Je n’en peux plus du délire de ces connards d’outre-atlantique !

  8. Ses recettes sont peut-être bonnes , mais elle , est complètement indigeste ! Faire des belles phrases avec des mots recherchés …pour sortir des conneries pareilles taille XXL !, fallait oser ! Elle s’estime heureuse de vivre aux USA …. , nous aussi !! et surtout , qu’elle y reste ! Mais hélas , on en a aussi ” des comme çà ” au cerveau complètement nécrosé par le discours multiculturaliste , antiraciste et hypocrite de la ” sainte gôôche ” dont la propagande immigrationiste leur a ” bouffé ” le peu de neurones qu’il leur restait !! Mais avec celle-là , on a du ” pimenté ” , du lourd ! , çà frise même la maladie mentale !!

  9. Pour me mettre à son niveau, son nom de consonance italienne et du fait qu’elle soit amerloquienne fait d’elle une personne exotique à mes yeux. Et toc prend ça dans les dents.

  10. Ils vont nous faire chier encore longtemps avec leur connerie de racisme. Maintenant ça suffit, il n’y a pas de racisme à part le racisme anti blanc.

  11. En fait, c’est la surenchère perpétuelle : après le “racisme culinaire”, on s’attaquera au racisme linguistique, au racisme capillaire, au racisme scientifique, au racisme des porteuses de coiffe bretonne, au racisme de l’histoire bourguignonne (y a pas de “diversité”), au racisme de la poésie du Moyen Âge etc.

    Mais même cette Daniela Galarza (patronyme de De Funès), est trop blanche pour nous parler de racisme culinaire : de par son “privilège blanc”, elle pique la place d’un racisé au Washington Post. Faudrait donc qu’elle démissionne ou qu’on la vire pour rétablir la justice.

    Sinon, les photos font rêver… Ouro Preto est magnifique ! Cela me rappelle San Christobal de Las Casas, au Mexique.

  12. Sauf erreur, “exotisme” signifie en gros “en-dehors de”. (Latin : “ex” étant le radical). Ce mot s’applique à tout ce qui est EXtérieur par exemple à un pays, territoire, aux habitudes et moeurs de leurs habitants.
    Il faudrait se cotiser et lui offrir un Graffiot (je ne me rappelle plus si cela s’écrit avec un ou deux “f” ?)

  13. Le problème, ce n’est pas qu’il y ait quelques centaines de débiles mentaux, additionnés d’une couche d’imbécillité importante, doublée d’une connardise cosmique. Non, ce n’est pas cela le problème, car des imbéciles notoires profondément malades mentaux, et désireux d’avoir leur quart d’heure de gloire en affirmant n’importe quoi, il y en a toujours eu et il y en aura toujours.
    Le problème est que la macronie et la gauche dégoulinante de merde, leurs donnent la parole, les moyens de communications, mettent sur un piédestal tout ce qu’ils racontent, leurs laissent toutes les tribunes, ont donné l’ordre aux médias de bien relayer toutes leurs folies, les encouragent à continuer, et laissent devant eux des boulevards pour débiter leurs stupidités.
    Avant ces 50 dernières années, lorsque la France existait encore, lorsqu’elle était encore un pays admiré dans le monde entier, plein de bon sens, d’explosion économique et culturelle, tous ces débiles mentaux étaient complètement ignorés et restaient chez eux en fermant leurs sales gueules.
    La gauche et les imbéciles ne se plaisent vraiment que dans tout ce qui est caniveau rempli de merde et de violence. Pour eux, le beau n’existe plus du tout, ce sont des malades mentaux aigus.
    Un grand merci mon ami Jules pour ce très bel article et aussi pour ses magnifiques photos qui font rêver comme c’est pas possible !

  14. Jules Ferry, chapeau! Belles photos, texte richement documenté ! Je répondrai à cette illuminé qu’il n’y a qu’une seule chose qui n’est pas exotique sur cette planète, la connerie, qui est largement partagée par de nombreux humains, dont elle, qui en est la plus éminente représentation!

  15. Merci à Jules Ferry pour remettre à sa place cette dégénérée, qu’elle s’estime heureuse de vivre aux USA.
    Excellent article et photos qui incitent au voyage!

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