Les caves se rebiffent : des milliers de photos dénoncent le Paris d’Hidalgo, sale, abîmé, envahi…

Mon père connut le merveilleux Paris de Doisneau. Moi-même, comme de nombreux Français, passai par la case Paname, pour les études ou le travail. Mais déjà, au début des années 90, Paris n’était plus vraiment Paris : il ne fallait pas trop traîner tard dans les rues ou le métro tagués, au parfum de pisse… Et les banlieues tristes et cradingues commençaient à s’échauffer.

Après l’épisode Tibéri vint la gauche bobo de Delanoë et, surtout, Hidalgo et son équipe de coco-écolo-dingos, avec, par exemple, Ian Brossat (communiste, juif, homosexuel mais… 100% islamophile-immigrationniste – cherchez l’erreur) ou Alice Coffin (“le génie lesbien”).

Anne Hidalgo se verrait bien dans le fauteuil présidentiel d’Emmanuel Macron. Oui, mais voilà, en dirigeant la France comme sa ville où l’uritrottoir et l’Afghan déséquilibré ont grand-remplacé la tour Eiffel et le poulbot parigot, elle transformerait (encore plus) le pays en dépotoir puant et dangereux.

Alors, les caves se rebiffent et, samedi dernier, des petits malins ont créé #saccageparis pour dénoncer l’état de l’ex-ville lumière. Un mot-dièse compilant les plus belles photos de Paris outragé, plein d’immigrés et de saleté mais… gauchisé.

La mairie – accusant “une attaque de la droite” – rétorquera sans doute que les clichés ne sont pas datés ou anciens, ne concernent pas la ville, qu’il y avait des travaux ou la fin d’un marché… Mais pour qui connait Paris, la réalité, c’est bien ça : une ville poubelle, puante, embouteillée et dangereuse, envahie par des migrants agressifs*.

Il faut dire que les classes moyennes et les anciennes classes populaires (celles qui “votent mal”) disparaissent progressivement au profit des migrants algériens, maliens ou afghans (futur électorat à dorloter), esclaves des riches bobos du Marais ou du XVIe ayant voté Macron et Hidalgo.  Bref, les grands gagnants de l’archipel métropolitain mondialisé, des rentiers de la haute fonction publique, des intello-bourgeois de “gauche”, ceux-là même qui, un jour, comme Françon ou Tapie, se retrouveront assaillis par leurs petits protégés “sans papiers”.

Bientôt, très bientôt.

* Pour toutes ces raisons, j’ai fui Paris depuis longtemps. Problème : la petite ville de province où j’habite se transforme aussi, depuis quelques années, en mini-Paris : des barbus patibulaires, des voilées maussades à chaque coin de rue, une agressivité palpable, des travaux de voirie sans fin pour emmerder les automobilistes et des déchets partout.

«Ville défigurée», «déchetterie»… Des milliers de photos mises en ligne pour dénoncer un «saccage» de Paris par Anne Hidalgo

Des internautes ont fustigé samedi une «saleté» et un «enlaidissement» de la capitale, à coups de photos et de publications devenues virales. Des politiques leur ont emboîté le pas.

https://www.lefigaro.fr/politique/ville-defiguree-dechetterie-des-milliers-de-photos-mises-en-ligne-pour-denoncer-un-saccage-de-paris-par-anne-hidalgo-20210404

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Florilège

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47 Commentaires

  1. LE PARIS DE MON ENFANCE, RÉCIT DÉDIÉ À RÉSISTANCE RÉPUBLICAINE ET AUX ADHÉRENTS, SYMPATHISANTS, AVEC TOUTE MON AMITIÉ.

    Je suis né dans le douzième arrondissement, rue Daumesnil plus exactement. Six ans après la fin de la deuxième guerre mondiale. Mes parents ont habité le douzième arrondissement, puis nous avons déménagé à mesure que la famille s’agrandissait, pour arriver finalement en banlieue.
    Paris en ce temps-là ne ressemblait pas encore à ce qu’il est aujourd’hui. Je ne pensais pas que ma mémoire puisse me restituer autant de souvenirs, d’images, de cris, les cris de Paris. Paris c’était…

    Les cris des marchandes des quatre saisons, qui poussaient leurs charrettes à bras, charrettes chargées de légumes et de fruits à ras bord et qui rameutaient le chaland en psalmodiant les noms des produits qu’elles proposaient. Idem sur les marchés où tous les vendeurs s’égosillaient à qui mieux mieux. C’était aussi les petites drogueries, que les gens nommaient les marchands de couleurs. Les boutiques où on pouvait faire retoucher ses bas ou ses vêtements filés, on disait alors stopper.
    C’était aussi l’accent caractéristique du titi parisien, l’accent pointu comme disait ma grand-mère maternelle, corrézienne, et qui se moquait gentiment de moi disant que je faisais le Parisien.
    C’était les balayeurs qui nettoyaient Paris à l’aide de balais fagots, et qui assuraient la propreté de la ville.
    C’était les rues pavées, et les passages cloutés pour piétons, vraiment cloutés à l’aide de gros clous blancs.
    C’était les podiums administratifs, blancs, surnommés les cocotes-minutes, où se juchaient les policiers pour faire la circulation. Les bornes d’où on pouvait appeler police secours.
    C’était les cafés-restaurants tenus par des bougnats auvergnats, et dont l’accent pittoresque prêtait à de nombreuses plaisanteries ou quiproquos.
    C’était les camelots qui proposaient leurs marchandises dans des parapluies tournés pointe vers le sol.
    C’était les chanteurs de rues, qui venaient faire un récital dans les cours des immeubles, à capella, et à qui les locataires jetaient des pièces de monnaie pour les remercier.
    Paris, c’était les joueurs d’orgue de barbarie, ou d’accordéon, les kiosques de la Loterie nationale, le bonhomme en bois des Galerie Barbès où on s’approvisionnait en mobilier, les feuilletons radiophoniques comme la Famille Duraton, ou le Ça va bouillir d’un certain Zappy Max; on écoutait aussi l’émission politique d’une certaine Geneviève Tabouis. Et tout un tas d’autres choses encore.
    Il y avait les promenades dominicales, on disait aller au bois. On se rendait à l’Étang de Saint-Cucufa pour s’aérer. Cet étang et ce bois font partie de la forêt domaniale de la Malmaison.
    Tous ces gens que j’ai croisés ne sont plus, tous ces lieux où j’ai vécu ont bien changé. J’ai dû oublier bien des choses encore, mais j’espère être allé à l’essentiel.

    Je finirai par un petit poème, que m’a inspiré mon retour sur la capitale, à l’âge de vingt ans, pour des raisons professionnelles. Mes parents étaient repartis en province lorsque j’avais onze ans. Paris en 1970 n’était pas encore ce qu’il est de nos jours. Les débuts furent difficiles. Mais j’en garde un excellent souvenir.

    NOSTALGIE
    Venus de notre Province,
    Ici nous nous sommes rencontrés,
    Notre bagage était mince
    Et notre amour illimité.

    Notre chambre se trouvait sous les toits,
    Son papier peint était rose,
    Et malgré ces jours moroses,
    Il y avait toi, il y avait moi.

    Nos meubles, c’était trois bouts de bois,
    Un lit au matelas usé,
    Une table, des chaises dépareillées,
    Et une armoire tout de guingois.

    Je sens encore la caresse
    Du soleil de ces jours d’été,
    Quand tu refaisais ta tresse
    Face au miroir au tain piqué.

    Nous allions voir les péniches
    Chargées de blé ou de charbon,
    Nous n’étions pas assez riches
    Pour nous offrir des distractions.

    Et sous les ponts coule la Seine,
    En longs rubans qui tour à tour
    Noient nos regrets et nos peines,
    Les saisons, les nuits et les jours.

  2. Sauf que Paris n’appartient pas à Hidalgo, Parie en tant que capitale, c’est la vitrine de la France, et cette capitale appartient à tous les Français.
    Vu ce qu’elle est devenue, les Français la fuient et n”y remontent plus

  3. que sera le programme présidentiel de la maire de Paris ???
    encore plus de rats, plus de migrants, d’immigrés, d’émigrés
    toujours plus de Halal avec ce qui va avec plus de Kebabs, de boucheries halal,
    de mosquées et toujours plus d’écoles coraniques, plus de lycées islamiques
    plus et encore plus d’enturbannés Africains subsahariens
    et de barbus en djellabas chèches babouches
    encore et toujours plus de drogués, de shootés, de toxicos, de dealers de drogues
    et de narcotrafiquants afro-maghrébins et encore plus de voleurs et de pickpockets
    Roms, Turco-Albanais et Kosovars avec les prostituées qui vont avec
    et encore et toujours plus de détritus, de déchets, d’ordures et de MERDE
    qui jonchent sur les trottoirs et les caniveaux et qui polluent les rues …
    vraiment quelle MERDE DE PARIS qu’elle fait cette anne HIDALGO

  4. Hidalgo, Piolle, Doucet, Hurmic, etc. les Français adorent les hurluberlus crasseux ” love haine pisse ” . REGGIANI chantait ” les loups ont envahi Paris ” ; avec les écolos dingos, se ne sont plus les loups mais les rats, les ordures, les punaises de lit, la galle, les étrons, l’urine, etc. Les mahométans fuient la merde de leur pays pourri pour venir la répandre chez nous. Les Parigots font la même chose avec la province.

    • Pour une ville verte, c’en est une, Paris sent la porcherie un jour de canicule!

  5. Quelle idée aussi de construire une capitale sur une décharge ?
    Perso j’ai bossé en région parisienne de 2004 à 2008, donc sous Delanoé, c’était déjà comme ça.
    On disait à l’époque, en rigolant, que les endroits les plus propres étaient les voies ferrées parce que la vitesse des trains volatilisent la merde.

  6. pour détruire un pays, ne faut-il pas commencer par la capitale ?
    ben voilà …

  7. Pas de problème : la guerre civile va faire le grand nettoyage!!

  8. Ils en ont voulu encore??, Qu’ils en mangent et MERDE pour eux!!!!

  9. bordel de fosse septique de merde à purin
    Paris c’est comme à Marseille en pire

  10. les migrants de Paris qui se comportent comme des porcs
    les rats de Paris qui comportent comme des migrants
    et la maire de Paris qui se comporte comme une merde de Paris

  11. Pas plus tard que ce début de printemps, cette mairesse hystérique soit-disante écolo s’est donné le pouvoir de faire supprimer une belle glycine adossée au mur d’une brasserie sous prétexte qu’elle était morte alors qu’elle donnait encore des bourgeons, bien qu’affaiblie par des attaques précédemment déjà faites à son encontre par les services de la voierie de la capitale mais que son propriétaire avait réussi à sauver in extrémis. Vous avez bien lu, la glycine appartenait à des privés.
    Cette mairesse préfère les urinoirs puants en plein air dans sa ville aux effluves suaves d’une belle glycine ornant une façade d’immeuble à l’ombre fraîche de ses feuillages sous lesquels les convives s’abritaient du soleil d’été.

  12. Hidalgo aime bien voire Paris et les Parisiens dans la merde
    et par dessus tout Hidalgo aime le caca vert islamique des rats de Paris

  13. et puis d’abord c’est bien fait pour leurs gueules
    à tous ces parigots bobos gauchiasses et à tous ces verts-ecolos pro-musulmerdes
    et bien maintenant que tous ces Parisiens se démerdent dans leur merde verte et rose !

  14. et voilà ce qu’en a fait de la ville-lumière et de la capitale de France
    l’Hidalgo la xénophile-sataniste et la gallophobe-islamophile et négrophile

  15. Paris ressemble de plus en plus à un immense et immonde chiotte à la turque
    ou tous les enturbannés allogènes et les barbus en djellabas-chèches-babouches
    y viennent faire leur pèlerinage pour y faire leur caca !

  16. Paris ville Lumière devenue la ville des ténèbres et le siège social de Satan
    ainsi que le QG du PS (le Parti Satanique)

  17. Idem à Philadelphie (USA), ville magnifique quand Lafayette y croise Washington vers 1773 et où a été rédigé la constitution des hommes libres et dont les photos du cloaque actuel qui circulent sur le web annoncent la fin du monde.

  18. Croyez vous que je pourrais encore jouer comme dans les années 50 avec mes Dinky Toys sur le trottoir de la rue de Chabrol 10° proche du marché St Quentin ?

    • PARIS 1963 !!!! Une merveille a deux trois heure du matin, s’y promener courir dans les rues ,s’amuser, la gouaille des titi, 5 heure du matin, Paris s’éveille les terrasses qui ouvrent, les quartiers ou l’on pouvait aller manger la soupe a l’oignon ,le Carreau du temple, Belleville n’importe ou dans Paris……………… maintenant le paris d’hidalgo et ses prédécesseurs la grande NAUSEE je ne veux plus y mettre les pieds bien qu’y ayant mes deux enfants .

  19. la ville est à l’image de sa politique de dégénérés – cette classe politique de gauche est comme les HUNS : elle détruit tout sur son passage

  20. C’est bien fait ! Ces abrutis ont voté Hidalgo qui les a endetté pour des dizaines d’années ! Il ne faut pas venir pleurer maintenant ! Hidalgo n’est pas foutue de gérer une ville et elle veut gérer le pays ? Quelle bonne blague !

    • Ouais elle transformera la France en poubelle géante! Si on lui confiait la gestion d’une île déserte, au bout de six mois, l’île serait encore plus déserte!

      • Euh, je rectifie, elle aurait certainement peuplé l’île de migrants!

  21. Paris a choisi de ne plus chercher à accueillir des touristes épris de culture et de gastronomie mais que des sauvages profiteurs.

  22. Paris est devenue toute à la fois une déchetterie et une décharge publique à ciel ouvert
    ainsi que le QG à ciel ouvert des narcotrafiquants islamo-racailles
    et des dealers de drogues allogènes
    et dont c’est tous les jours et toutes les nuits open bar et happy hour

  23. A priori , les parisiens aiment bien les crades , la preuve ils ont reconduit Hidalgogol !
    Mais qu’ils se rassurent ailleurs c’est pareil et c’est pas la peine de venir nous emmerder !
    Restez chez vous on a ce qu’il faut , on est servi et Choupinet de ce côté là il est généreux.

  24. Sacré Aïcha, c’est l’ambiance de ses origines qui lui manque ?

  25. Retour au moyenage pour accueillir la diversité, surtout d’Afrique. Paris transformé en cour des miracles. Pensez donc ils arrivent sans rien et miracle on leur donne tout.

  26. Ha ha, le vivre ensemble ça a que du bon, faites venir encore de la vermine celle qui se complet dans les ordures ménagères ou autres immondices, celle qui vient juste profiter de notre fric mais qui déteste la France et les Français !
    Que cette vermine puante reste dans les villes comme Paris où on l’accepte volontiers parce qu’on aime la belle diversité envahissante et très sale !
    Que Paris se démerde avec ses poubelles (à 2 pattes), que les parigots ne viennent pas chialer sur leur sort car c’est eux qui l’ont voulu, peut être aiment ils vivre dans la saleté, ils ne sentent même plus les mauvaises odeurs.

  27. Je suis souvent allé a Paris sans jamais y habiter, et a chaque fois je me suis répété, jamais je ne pourrais vivre ici;
    J’ai même fait le contraire, originaire d’une agglomération moyenne encore vivable dans les années 60, j’ai fuis sa colonisation africano-arabo musulmane des années 70, pour me réfugier dans un petit village résistant encore (mais pour combien de temps) à l’envahisseur.
    La “maire de” Paris ne représente plus un danger pour sa ville tombée désormais aux mains de l’islam, mais une menace terrifiante pour la France, toute personne en ayant conscience déposera le bulletin portant son patronyme non pas d’ans l’urne, mais dans l’urinoir.

  28. Si les bobos quittent Paris pour la banlieue ou la province, ce n’est pas uniquement à cause du Covid mas aussi parce que Paris devient dangereux et super crade… c’est digne d’une capitale du tiers monde : Merci Hidalgo la dingo.

  29. paris découvre à quoi ressemble une décharge d’ordures nationales,à force de faire venir des déchets…..de partout…..
    peut être qu’un Hamelin avec sa flûte les ramènera d’ou ils sont venus…….

  30. Ça fait mal au cœur de voir des personnes ayant des postes à responsabilité ne rien faire pour embellir le quotidien des citadins..la première fois que je me suis rendu à Paris j’avais 17ans j’étais émerveillé puis j’y suis retourner ils y’a deux ans ça m’a choquer de voir la crasse les odeurs le manque de sécurité.

    Comment des gens peuvent ils accepter tout ça sans se rebellés ?

  31. Idalgo n’est pas à la hauteur de la tâche d’un Maire de Paris. Tout le monde la critique ou presque et pourtant elle est réélue. On a beaucoup parlé de la fraude électorale avec Tibéri, mais avec Idalgo écolo dingo personne se pose la question.

  32. Bin oui mes loulous parsiens, Paris est devenu un bouge immonde, une honte pour la France et ceci, grâce à la mère Hidalgo; mais vous en avez redemandé puisque vous venez de la remettre sur son siège de Maire alors ne venez pas pleurer maintenant, vous l’avez à nouveau voulue, vous l’avez pour 5 ans de plus ainsi que toute la merde qui va avec.. Fallait réfléchir un peu avant de glisser le bulletin de vote dans l’urne..

    • Qui sait qu’il n’y a pas eu magouille – chez les gauchistes, ils sont prêts à tout pour régner. J’imagine mal les Parisiens voter pour une islamophile et écolo dingo.

      • Vous imaginez bien mal. Vous avez vu la tronche des parisiens d’aujourd’hui?
        Il y a des exceptions, je vous l’accorde. Ce sont des exceptions.
        Et comme pour Poitier…

    • Non , pas grâce a Hidalgo , mais grâce aux têtes de chiens lâches et aveugles ! les mêmes qui critiquent et qui fuient pour venir nous emmerder dans nos campagnes !! restez y a Paris et combattez ceux que vous avez par lâcheté refusé de voir !! trop facile de critiquer une personne ! elle n’est pas arrivée par hasard ! et la poubelle parisienne n’est pas là depuis hier , des quartiers entiers sont touché par cette saleté depuis au moins 30 ans ! qu’avez vous fait depuis ?????????????mes chers Parisiens arrogants et qui veulent donner des leçons aux monde entier !!!! MDR !!!!!!!!!!!!!!!!!

    • la famille de mon père était parisienne. J’ai connu Paris dans les années 1960, c’était encore plus propre qu’aujourd’hui. Nous avons habité le coeur de Paris, puis en banlieue, où il faisait bon vivre. Habitant en province, je suis retourné à Paris, lors d’un stage professionnel dans les années 2000. C’était déjà la cata. Je n’ai pas reconnu mon immeuble en banlieue, c’était devenu la zone! Un paysage de guerre en pleine France! Je pense que ça s’est dégradé encore plus aujourd’hui! Paris est un cloaque, une ville dangereuse, et je plains les gens obligés d’y vivre malgré eux. Paris n’est plus ville lumière, mais un cloaque administré par des obscurantistes, dont la maire de Paris, dont on ne peut pas dire qu’elle est une lumière!

      • Bonjour @Argo

        Mon père est venu de sa Bretagne dans les années 50. La ville était propre en effet et sûre. Pas d’embouteillages, on pouvait se garer librement sans risquer le vol ou la casse. Pas de manifestations d’antifas ou d’émeutes de racailles, évidemment. Pour lui, c’était la joie de vivre et la liberté.
        Il a vu progressivement la ville se détériorer à la fin des années 70.

        Moi j’ai habité aussi bien les quartiers bourgeois que les quartiers populaires… enfin, populaires, disons à majorité immigrée.
        Et puis aussi la banlieue. Je connais bien la Seine-Saint-Denis et les environs de Trappes.

        Je pense ne pas être le seul à avoir vu et ressenti le changement. Malgré le déni de l’équipe Hidalgo (“c’est la faute de la droite”)

  33. La capitale la plus crade du monde, la ville lumière comme disais certains

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