[MAJ : le contact du tueur en Syrie] Chic ! La collégienne a menti ! Le Parisien exonère l’islam de la décapitation de Samuel Paty !

[MAJ !] «J’ai décapité le prof» : le dernier contact du tueur de Samuel Paty identifié en Syrie

Parcours du tueur (article)

L’article du Parisien ci-dessous mérite que l’on s’y arrête. Encore un bel exemple de désinformation-manipulation pour exonérer l’islam de toute responsabilité… Si on les en croit, le père de la menteuse n’aurait remué ciel et terre que pour une exclusion de sa fille du collège, rien à voir avec Mahomet tout nu, rien à voir avec le délit de blasphème, rien à voir avec les caricatures de Charlie Hebdo… Juste une histoire de gamine jalouse de sa soeur jumelle qui aurait raconté n’importe quoi à son père pour expliquer son exclusion, qui n’avait rien à voir avec Samuel Paty… 

Ils ramènent la décapitation au plan d’une bêtise de collégienne et tout le monde s’excuse ! “C’était un mensonge”, donc si S. Paty avait vraiment “stigmatisé les musulmans”, la décapitation aurait-elle été justifiée ?

https://www.leparisien.fr/faits-divers/assassinat-de-samuel-paty-j-ai-menti-les-aveux-de-la-collegienne-a-l-origine-de-la-polemique-07-03-2021-8427494.php#xtor=AD-1481423553

 

Assassinat de Samuel Paty : «J’ai menti»… les aveux de la collégienne à l’origine de la polémique

INFO LE PARISIEN. Mise en examen le 25 novembre, Z., l’élève qui avait accusé l’enseignant d’islamophobie, a avoué avoir menti : elle n’était pas présente lors du cours sur les caricatures de Charlie Hebdo. Une confession sur fond de contexte familial difficile.

Z. avait accusé Samuel Paty d’avoir stigmatisé les élèves musulmans lors d’un cours dispensé le 6 octobre, soit 10 jours avant son meurtre barbare.

Le 7 mars 2021 à 15h59, modifié le 7 mars 2021 à 16h50

C’est une réalité aussi cruelle que révoltante : Samuel Paty est mort décapité à cause du mensonge initial et dérisoire d’une collégienne de 13 ans. Selon nos informations, Z., l’adolescente à l’origine de la polémique qui a conduit à l’assassinat de ce professeur d’histoire de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) a reconnu lors de sa garde à vue puis devant le juge antiterroriste qu’elle n’avait pas assisté au fameux cours de l’enseignant défunt sur la liberté d’expression.

« […] Je n’étais pas là le jour des caricatures », a admis la collégienne lors de sa mise en examen pour « dénonciation calomnieuse » le 25 novembre dernier. Ce mensonge aux conséquences tragiques s’inscrit dans un contexte familial : complexée par la réussite scolaire de sa sœur jumelle, Z. n’aurait pas osé avouer à son père les motifs réels de son exclusion peu avant le drame, liés en fait à son mauvais comportement.

Scolarisée en 4e au collège du bois d’Aulne, la collégienne avait accusé Samuel Paty d’avoir stigmatisé les élèves musulmans lors d’un cours intitulé « Situation de dilemme : être ou ne pas être Charlie » et dispensé le 6 octobre. Soit 10 jours avant son meurtre barbare. D’après la version mensongère de Z., l’enseignant de 47 ans leur aurait demandé de lever la main puis de sortir de la classe afin qu’il puisse montrer une caricature du prophète Mahomet nu publiée par le journal satirique Charlie Hebdo. Z. avait prétendu avoir manifesté sa réprobation contre ce soi-disant recensement confessionnel auprès du professeur, ce qui lui aurait valu une exclusion de deux jours.

Présente la veille lors d’un cours où aucun dessin n’avait été projeté

« Il a affirmé que je perturbais le cours et m’a dit du balai », avait-elle déclaré aux policiers de Conflans lors de son dépôt de plainte contre l’enseignant pour « diffusion d’image pornographique » le 8 octobre. Sur fond d’accusations d’islamophobie au sein du collège, une polémique artificielle avait alors éclaté, abondamment relayée et amplifiée sur les réseaux sociaux par Brahim Chnina, 48 ans, le père de l’élève, et Abdelhakim Sefrioui, un militant islamiste fiché S. Jusqu’à revenir aux oreilles du jeune Abdoullakh Anzorov. Radicalisé depuis plusieurs mois, le futur terroriste de 18 ans, d’origine tchétchène et habitant Evreux (Eure), cherchait un prétexte pour faire le djihad.

Mais après l’assassinat, les enquêteurs de la sous-direction antiterroriste (SDAT) avaient fait une découverte troublante : interrogés, plusieurs camarades de Z. affirment qu’elle n’était pas présente lors de ce cours, mais uniquement la veille lors d’une séance liminaire lors de laquelle aucun dessin n’a été projeté. En outre, Samuel Paty n’aurait forcé aucun élève musulman à évacuer la salle ce jour-là mais proposé, au contraire avec prévenance, à ceux qui pourraient être choqués de fermer les yeux.

Placée en garde à vue à la SDAT le 23 novembre dernier, la jeune fille maintient d’abord ses accusations à l’encontre de l’enseignant. Confrontée aux témoignages de ses camarades sur son absence, elle persiste : ce sont eux qui mentent. C’est seulement lors de son avant-dernière audition que l’adolescente se rétracte, emmenée par les enquêteurs sur les raisons profondes de son mensonge.

«J’ai menti sur un truc»

Les policiers lui demandent si elle n’a pas « inventé cette histoire de caricature pour se sentir exister » aux yeux de son père, lui rappelant qu’elle est souvent « comparée » à sa jumelle, « bien plus assidue ». « Est-ce que tu n’oses pas modifier tes déclarations pour ne pas décevoir ta famille ? », insistent-ils. Et l’adolescente de passer aux aveux : « J’ai menti sur un truc. » Z. explique qu’elle n’a jamais vu les caricatures projetées par Samuel Paty, ni le 5 ni le 6 octobre. C’est en fait une fille de sa classe qui lui en a parlé le mercredi 7, au lendemain du cours sur la liberté d’expression auquel elle n’a pas assisté en raison de son exclusion. Exclusion motivée par son absentéisme chronique…

La jeune fille aurait délibérément menti à son père pour éviter de le décevoir. « Si je n’avais pas dit ça à mon père, regrette Z. devant le juge antiterroriste, il n’y aurait pas eu tout ça et ça n’aurait pas pris cette ampleur. » L’adolescente, qui dit s’être « mise à pleurer » en apprenant la mort de son professeur, révèle avoir gardé jusqu’ici le secret sur son mensonge, y compris auprès de son père qu’elle décrit « un peu comme dans une bulle ». Pour sa défense, Z. assure néanmoins avoir été influencée par une poignée de camarades de classe pour faire croire à la CPE qu’elle avait vu les caricatures. « Du coup, j’ai été le porte-parole de toute la classe […] », se défend-elle.

[photo floutée]

Brahim Chnina, le père de la collégienne, « regrette sincèrement l’ampleur des dégâts », ( NDLR, des dégâts, une décapitation ??? ) après la diffusion de sa vidéo sur les réseaux sociaux./DR

Contactée, l’avocate de la famille de Samuel Paty se dit « prudente » quant aux explications de la jeune fille. « Son mensonge était intenable. A partir du moment où elle reconnaît qu’elle a menti, il faut trouver des raisons. S’agit-il d’explications de circonstance ?, s’interroge Me Virginie Le Roy. En l’état, ces explications me semblent trop légères, d’autant plus au regard des conséquences dramatiques que ce mensonge a provoquées. On ne comprend toujours pas ce qui a motivé cet acharnement contre Samuel Paty, la persistance et la réitération de ce mensonge. »

Un attachement fusionnel à son père

Après une période de cours par correspondance, Z. a repris aujourd’hui sa scolarité loin du collège du bois d’Aulne. Lors d’une enquête de personnalité, les éducateurs et psychologues ont noté son sentiment d’infériorité par rapport à sa sœur ainsi que son attachement fusionnel à son père, qui « est tout pour elle ». « Z. dit […] se sentir en difficultés sur le plan scolaire contrairement à sa sœur jumelle qui aurait de très bons résultats, relèvent-ils. Elle voit en elle un modèle auquel s’identifier. »

Sollicité, l’avocat de Z. refuse « que l’on fasse porter la responsabilité de cette tragédie sur le mensonge d’une gamine de 13 ans. ». « C’est le comportement excessif du père qui enregistre et poste une vidéo incriminant le professeur qui conduit à cet engrenage, insiste Me Mbeko Tabula. Ma cliente a menti mais même si cela avait été vrai, la réaction de son père aurait été tout autant disproportionnée. »

A la confession pathétique s’en ajoute une autre : celle du père de Z. Mis en examen pour « complicité d’assassinat terroriste » pour avoir désigné Samuel Paty à la vindicte sur les réseaux sociaux, Brahim Chnina est lui aussi considérablement revenu sur sa version. Réentendu par le juge d’instruction le 26 janvier dernier, il explique, contrit, que son emportement à l’époque n’était en fait pas lié au cours de Samuel Paty.

«Je ne cherchais pas à faire du mal en faisant ce message-là»

« Après 100 jours exactement, depuis ce drame, j’ai été con, stupide, rembobine-t-il devant le magistrat. Je dois la vérité à cette famille-là, à M Paty, à toute la France […] Quand j’ai entendu le message de ma fille, ce sont les deux jours d’exclusion de ma fille qui m’ont fait mal. […] Les caricatures, je m’en fiche. »(NDLR ah bon, et c’est pour une simple exclusion qu’il a appelé à l’aide sur les réseaux sociaux et l’imam de BarakaCity et le ccif ? ?? https://resistancerepublicaine.com/2020/10/17/ibrahim-le-pere-de-zaina-a-arme-le-bras-de-lassassin-de-samuel-p-le-prof-egorge-de-conflans/

https://www.ouest-france.fr/faits-divers/attentat/dissolution-de-barakacity-l-interieur-invoque-des-messages-apologiques-du-terrorisme-7023840 ) L’homme dit avoir simplement voulu « se comporter en bon père ». « Je n’étais pas là par rapport à la discrimination ou la caricature. Ce n’était pas mon sujet. Je regrette sincèrement l’ampleur des dégâts », affirme-t-il, expliquant n’avoir pas su sur le moment les raisons de l’exclusion de sa fille et regrettant n’avoir pas « vérifié son histoire ».

Les propos de Brahim Chnina tranchent avec la virulence de ses discours lors de sa campagne de dénigrement de Samuel Paty sur les réseaux sociaux, qu’il qualifiait alors de « malade à virer ». Lors de sa garde à vue en octobre, il avait même comparé l’enseignant à « Hitler »… « Je n’ai pas pensé que mes messages allaient être lus par des terroristes, plaide aujourd’hui le père de famille. Je ne cherchais pas à faire du mal en faisant ce message-là. J’ai du mal à imaginer que l’on en soit arrivé là, qu’on ait perdu un professeur d’histoire, que toute la société m’en veuille […] ». Depuis sa mise en examen, Brahim Chnina est écroué à Fresnes (Val-de-Marne). « Mon client a pris du recul, il a eu le temps d’analyser ce qui s’était passé, relève son avocat Me Nabil El Ouchikli, refusant de parler de rétropédalage. Il en fait des cauchemars toutes les nuits. Il a compris qu’il avait été instrumentalisé par sa fille qui lui a menti, même si cela a été difficile à accepter ».

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41 Commentaires

  1. En résumé,après les tergiversations et l’enquête sur la décapitation de Samuel Paty il ressort que la religion de paix et d’amour n’est absolument pas responsable de cet horrible massacre !

  2. Rectif : doit s’identifier … Désolé .. Merci de rectifier si encore temps

  3. Merci pour cet article
    Quelle belle photo d’un beau, bon gars et bon pro, que ses proches doivent pleurer… Nous pensons beaucoup à eux…
    J’ai lu qu’après les plaintes véhémentes de brahim chnina et de abdelhakim sefrioui auprès de la principale, c’est Samuel Paty qui aurait été convoqué au Commissariat pour prendre une volée de cloche !!!….
    A vérifier… Si J.Ferry a l’info, pour que les adhérents de RR, ainsi que toute la France ait connaissance de l’état de morbidité du pays avec la peste verte islamiste qui s’y répand …
    Et cet article dans le canard appartenant au plus grand milliardaire de France !!… C’est révoltant de subversion ! Il est vrai qu’une bonne partie de ses lecteurs doit s’identifier aux pourritures de brahim, abdelhakim et abdoullak de mé2 !… C’est “vendeur” … Salopards de vendus !

  4. Le mensonge institutionnel de l’islam à son paroxysme…Que la Justice française fasse payer l’irréparable

  5. Entendu hier au JT, la charogne qui a menti a été placée dans un autre établissement (ouille, quelle sanction dure !).
    Tout juste si on ne lui a pas octroyé une protection policière.

  6. Et le Pape est allé serrer la paluche d’un islamiste ultra-radicalisé, là aussi aucun rapport aux massacres des Chrétiens d’orient…

  7. Facile non ? Être créatrice et programmatrice d’un meurtre et s’en sortir simplement par l’expression d’un simple mensonge! La tehkiya dans toute sa perversion ! Continue à leur faire confiance et vous êtes morts ! Encore des points gagnants pour l Islam conquérant ! Merci DArd malin et ses complices!

  8. une seule punition a l’ arabique,et en disant ça, je dois dire que j’ ai beaucoup de respect

    couper la langue de la fille et crever ls oreilles du père

    et pour qu ils n oublient jamais: couper leurs mains droites

    je dois ajouter que j’ ai beaucoup de respect, quasi admiratif pour les saoudiques quand il rendent la justice

    ça viendra peut etre un jour ………….

  9. Mais qu’est-ce qu’on s’en fout des trémolos de la petite menteuse !!
    tout ce cinéma pour essayer d’en prendre le moins possible.
    Ces arriérés menteurs et tueurs vivent sous notre toit, avec nos impôts, et il faut que ça change!

  10. Les catastrophes sont toujours une suite d’évènements qui s’enchaînent mais chaque évènement à bien sa place et son rôle dans le résultat final. Il aurait suffi d’enlever un seul de ces relais pour que tout s’arrête. Cela veut dire qu’un évènement séparé à sa propre force de nuisance mais que relié aux autres il va générer une catastrophe très puissante. Tout ça nous ramène à la responsabilité collective de l’islam qui en propageant la haine du français tous azimuts, va finir par créer des faisceaux de connexion qui seront puissants et qui pourront aboutir à des morts.

  11. Son avocat dit que sa cliente est navrée, traumatisée, etc. Le père cauchemarde toute les nuits, il a pris du recul. Etc… Par contre pas un mot de la fatwa lancée contre ce malheureux professeur par le canal des réseaux sociaux. Tiens, bizarre, il n’y a pas eu de modérateurs pour censurer ses propos et je me pose la question : son compte a-t-il été suspendu, comme certains le sont sur tweeter et autres? Je pense que c’est la trouille qui fait réagir le père et la fille, trouille de répondre de leurs actes devant la justice, s’ils sont condamnés…

  12. Le père a t il eu une ” enfance malheureuse”, un père violent, alcoolique, une maladie mentale ?
    Un bon vieux rappel à la loi lui fera du bien.

    une République faible est condamnée à disparaître………Et c’est le cas de la France depuis 50 ans.

  13. La fachosphère a ignominieusement récupéré et instrumentalisé l’affaire Samuel Paty en pratiquant des amalgames et des stigmatisations islamophobes contre l’islam, en faisant le buzz, mais aujourd’hui la vraie vérité éclate et le soufflé raciste orchestré par l’immonde extrême-droite se dégonfle : ce n’était qu’une simple “bêtise” d’adolescente.

    Finalement, rien de bien grave. Faute avouée est totalement pardonnée, car bon sang [car d’immigré] ne saurait mentir. Circulez.

    Il faut réhabiliter et réautoriser le CCIF et BarakaCity, victimes dans cette affaire d’un lynchage de l’extrême-droite islamophobe. Rappelons que comme l’a scientifiquement établi le CCIF, l’islamophobie est un délit.

    __

    Je ne sais plus où j’ai lu ou entendu la semaine dernière un commentaire sur la rédaction du Parisien, mais il paraît que c’est un repère de gauchistes, voire d’islamogauchistes gratinés.

    On va encore nous expliquer que finalement, la vraie victime, c’est cette pauvre jeune fille. Salaud de Paty, c’est à cause de toi que maintenant elle est stigmatisée et traumatisée!

  14. pauvre gamine ,si jeune et déjà robotisée a l’islam et ses dérives………….manque plus qu’une burqua et elle sera au top de cette “religion” d’amour ,de paix et de tolérance…. et elle sera sauvée par la France……….

  15. De toute façon ils sont biberonés à la haine des kouffars depuis leur plus jeune age, par les parents.
    Toute la famille devrait être expulsée. Point barre.

    • On les fout dehors par la porte……Le lendemain ils rentrent par la fenêtre ou par la cheminée.
      COUPONS TOUTES LES AIDES SOCIALES ET LES AIDES A L’AFRIQUE !!! Ce sont des criquets pèlerins comme ceux qui dévastent le Kenya ces temps ci.

  16. la gauche journalistique fait tout ce qu’elle peut pour soutenir l’islam , mais le jour ou un des leurs sera décapité là ils vont comprendre ces imbéciles. les 2 profs menacés dernièrement , c’est bien l’islam qui est en cause ce n’est pas la religion catholique ou protestante. que je sache….

    • Le jour où quelques journaleux seront décapités, ils comprendront > Rien n’est moins sûr tant ils sont indécrottables.
      Ce jour-là, ils diront encore : Pas d’amalgames ! Ils ne sont pas tout ça ! Et bien évidemment, le couteau couteau sous la gorge, pendant leur cinq dernières secondes de vie : Vous n’aurez pas ma haine.

  17. je retiens qu’ il a peur que ” la société lui en veuille ” ! c’est typique d’une façon de penser et de victimisation propre à cette culture , nous sommes à des années lumière ..avez vous déjà entendu pareille phrase et pensée …

  18. ET OUI un etre humain est mort et representant de l etat pour instruire des bourricots qui ne pensent qu a faire le mal
    yen a mare !!!!

  19. De toute façon les islamistes auront tjrs toutes les excuses. Le corps enseignant est infesté d’islamos gauchistes qui prennent leur défense, une certaine presse aussi, sans parler des services publics. Cette idéologie est en train de tuer la France à petit feu !

    • C’est mon diagnostic depuis 40 ans !
      Ils nous tuent et nous remplacent, comme en Algérie…….. Quand les Français n’ont eu que quelques heures pour partir et que les barbares entraient par la porte de derrière…..
      Imaginez votre maison ou appartement, demain, avec une grosse douzaine de bédouins autour du brasero installé au milieu du salon………en train de manger le couscous avec les mains……..
      C’était chez vous…..vous aviez travaillé toute votre vie pour acquérir cette maison, votre nid et la donner à vos enfants.

  20. Peine lourde de prison pour Brahim Chnina suivi d’un déchéance de nationalité et expulsion pour incitation au meurtre et à la haine raciale. Maison de redressement pour sa fille.
    Les médias parlent du mensonge mais pas de la mort d’un homme qui passe au second plan alors qu’il faisait son métier.
    Bandes d’ordures.

  21. Pauvre Brahim Chnina … il n’est à l’origine que de la décapitation de Samuel Paty !!! Arrêter d’en faire toute une histoire … même le CCIF l’a compris ! Le pauvre Brahim ne comprends non plus ce qu’il lui arrive ! Pourquoi ? Il n’a que comparé Samuel Paty à Hitler … Son avocat Ouchikli demande la clémence … ça fait parti des fondements du christianisme … pardonnons aux terroristes islamistes qui assassinent nos professeurs nos enfants et violent nos filles !

    • oui , qui plus est il y en a qui se battent pour cela au Mali et ailleurs , alors que l’on a ce qui faut ici !!

  22. Donc, on a une musulmane qui se sent mal dans sa peau, qui ment en prétextant que le professeur montre des caricatures du prophète musulman à des musulmans. Résultat : le professeur se prend une fatwa de la part de musulmans et se fait décapiter par un musulman qui considérait que ce professeur déshonorait l’islam (religion des musulmans), et TOUT ça n’a rien à voir avec l’islam et les musulmans ?
    Ils vont arrêter de nous prendre pour des cons, oui ?

  23. “(…) plusieurs camarades de Z. affirment qu’elle n’était pas présente lors de ce cours, (…).”.
    C’est bien pourtant ce que j’avais déjà lu lors de précédents articles ci et là au début de cette sinistre affaire. Non ? Découvriraient-ils soudain l’eau chaude alors qu’elle coulait dès le début ?

    • exact : on sait depuis le début qu’elle a menti mais vous remarquerez qu’elle a persisté en traitant les autres de menteurs ( nous ne savons pas si ce sont des mécréants )
      On peut penser que les enquêteurs ont du faire un gros travail pour l’amener à “reconnaitre ” son mensonge .

  24. Aujourd’hui, tous les individus sont fliqués, y compris les collégiens dans leur établissement et à plus forte raison Z., l’adolescente musulmane à l’origine de ce meurtre puisque le 6 octobre, elle était sous le coup d’une exclusion donc absente.
    Cette absence pour exclusion d’une journée était donc très facile à vérifier par les policiers auprès du collège, dès son dépôt de plainte le 8 octobre. Pourquoi n’ont-ils pas commencé par cela ?
    A présent, on veut nous nous faire croire qu’il a fallu près de quatre mois pour découvrir cet élément essentiel. On nous prend vraiment pour des quiches.
    En outre, dans quelques années, cette collégienne aura 18 ans, 20 ans…. Vu de quoi elle est capable et combien elle est déjà islamo-fanatique, on n’ose pas imaginer ce que seront ses futures actions contre les mécréants.

    • Mais cela avait été souligné depuis le début par les médias …je crois que là on nous donne toute la procédure …je dis ça

  25. Que cette crétine dangereuse ait menti ou pas il n’en demeure pas moins que c’est bien un islamique radical – donc de religion musulmane – qui avait décapité notre malheureux Samuel Paty avec la complicité d’un certain nombre de collégiens âpres au gain. On va encore trouver des fausses excuses à ces derniers, Judas en herbe, pour annoncer que, issus de familles stigmatisées et pauvres, ils avaient été alléchés par la somme d’argent proposée par l’assassin de leur prof à qui ils avaient dû sourire en le croisant avant son violent décès ?

    • Avoir menti pour avoir dissimulé une exclusion pour cause d’absentéisme, franchement cette gamine n’a rien trouvé de mieux que d’accuser son professeur? Et il y a eu mort d’homme! Je ne crois pas du tout à ses remords et à ses jérémiades! Aujourd’hui, je pense à l’époque où je séchais les cours d’EPS (rarement) ; j’aurais dû dire à mon père que les extraterrestres m’avait enlevé. On n’avait pas encore sous la main ces histoires d’islamophobie, ça n’existait pas encore, puisque il n’y avait presque pas ou peu de musulmans en France.

  26. Le pouvoir politico médiatico va t-il s’excuser, s’agenouiller devant ce père si épris de sa religion de paix et d’amour, devant sa fille menteuse de par son besoin d’affection et de reconnaissance paternelle …? Samuel Paty n’est, aprèe tout, qu’un professeur de français décapité pour avoir osé inviter ses élèves à réfléchir ….

  27. Ne s’agit-il pas d’une famille musulmane ? Oui ? Donc c’est bien l’islamisme qui est en cause !

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