L'arroseur arrosé : le syndicat policier Alliance qui a appelé à voter contre Marine se plaint de Macron !


 
https://www.lepoint.fr/societe/policiers-en-nous-stigmatisant-le-president-se-met-au-niveau-de-melenchon-06-12-2020-2404426_23.php
https://www.capital.fr/economie-politique/le-syndicat-policier-alliance-appelle-a-faire-battre-le-pen-1223376

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11 Commentaires

  1. @ Gisèle , les deux merdes équipés de capuches et foulard sur la gueule qui gardent l’entrée de la cité pendant que les autres dealent n’ont pas été ennuyés , eux sont en règle !

  2. et pendant ce temps pas un seul black-bloc
    d’arrêté et encore moins d’emprisonné
    pas un seul islamo-narcotrafiquant arabe
    ou/et afro-maghrébin d’énucléé ou éborgné
    ni même d’appréhendé !
    sur ordres de Macron le Benallaophile
    et de sa clique d’islamophiles
    ce pays est vraiment le royaume des racailles
    et le paradis des démons-musulmerdes

  3. ils savent faire du zèle à l’occasion!
    Non exhaustif et pourtant BIEN TROP LONG!!!!
    « Ainsi, ont été verbalisés, ou ont reçu des informations manifestement inexactes dans le but de les dissuader
    d’effectuer des déplacements pourtant autorisés :
    A – Des verbalisations durant la réalisation de courses essentielles à vélo, malgré la possession de documents en règle
    – Madame A, 59 ans, Pignan (34), comptable : circulant à vélo le 8 avril 2020, elle se fait verbaliser sur le retour de courses essentielles, au motif que les courses devraient être effectuées en voiture. Selon l’agent de police, le vélo ne serait autorisé que pour un usage sportif dans un rayon de 1 km et dans le délai d’une heure.
    – Monsieur B, 52 ans, Le Barcarès (66), technicien automobile – circulant le 25 mars 2020, il se fait verbaliser à 300 mètres de chez lui alors qu’il se rendait à la boulangerie. Alors qu’il est atteint de myopathie et qu’il lui est très difficile de marcher, le vélo lui est recommandé par son neurologue.
    – Madame C, 60 ans, Saint-Maurice-sur-Dargoire (69), puéricultrice : circulant à vélo le 2 avril 2020 en compagnie de son conjoint atteint de SLA, elle se fait stopper par des gendarmes (et est priée de rebrousser chemin) alors qu’elle était sur le point de faire des courses essentielles. Le motif invoqué est que le vélo serait autorisé uniquement pour se rendre au travail. Par ailleurs, le conjoint de Mme C a besoin d‘activité physique pour freiner sa maladie. Il ne peut pas pratiquer le jogging.
    – Monsieur D, 64 ans, Niort (79), ingénieur à la retraite : circulant à vélo le 11 avril 2020, il se fait verbaliser à 850m de son domicile à Niort, alors qu’il se rendait au marché. Le policier prétendait que seuls les déplacements domicile-travail peuvent être effectués à vélo, et a ordonné à M. D de rentrer chez lui en poussant son vélo.
    – Madame E, 58 ans, Saint-Rémy-lès-Chevreuse (78), ingénieur Météo France : circulant à vélo le 8 avril 2020, elle a été verbalisée sur le chemin retour de la boulangerie, courses apparentes sur le guidon, le gendarme invoquant un arrêté préfectoral (inexistant après vérification). Mme E a été forcée à rentrer chez elle à pied en poussant son vélo. Il lui est indiqué « d’oublier le vélo d’ici la fin du confinement ».
    – Madame F, 49 ans, Aix-en-Provence, institutrice : circulant à vélo le 8 avril 2020, sa voiture étant hors d’usage, elle se rend à un magasin bio situé à 5 km de son domicile, et se fait verbaliser sur le chemin retour malgré son attestation dérogatoire, au motif qu’elle aurait dû faire ses courses au plus près de son domicile. Pourtant, elle avait besoin d’un produit spécifique en lien avec la maladie de son fils, en rupture dans l’unique magasin plus proche.
    – Monsieur G, 37 ans, architecte, Mons-en-Baroeul (59370) : le 20 mars 2020, en sortant du travail, il est passé faire des courses de première nécessité à l’épicerie spécialisée en produits labellisés agriculture Biologique la plus proche de son domicile (3 km) ; ses courses, placées dans ses sacoches de vélo étaient visibles ; il a pourtant été verbalisé car l’agent lui a reproché de se « promener trop loin de [son] domicile ».
    – Monsieur H, 65 ans, retraité, Clermont-L’Hérault (34) : le 27 mars 2020, son automobile ne démarrant pas suite à dix jours de confinement, il a utilisé son vélo électrique pour effectuer des achats de première nécessité ; il était habillé en tenue de ville ; à 10 h, il a été verbalisé par la gendarmerie de Clermont-L’Hérault, alors même que son motif de sortie est légitime et autorisé par les décrets.
    – Monsieur I, 71 ans, Venzolasca (2B), retraité : circulant à vélo le 10 avril 2020, il se fait verbaliser au motif qu’il circule à vélo. M. I suppose que c’est lié à son vélo de course et à sa tenue sportive. En effet, habitant dans un moulin inaccessible en voiture, il doit franchir une pente raide, d’où le choix du type de vélo et son accoutrement. La verbalisation l’a empêché de réaliser ses courses essentielles : retirer de l’argent et acheter un médicament pour sa petite fille atteinte d’allergie.
    B – Des verbalisations durant la réalisation de trajets domicile-travail à vélo, malgré la possession de documents en règle
    – Monsieur J, 45 ans, Vernon (27), agent de maintenance : circulant à vélo le 8 avril 2020 pour se rendre à son travail, il se fait verbaliser au motif que sa tenue vestimentaire laisse supposer qu’il pratique une activité sportive, malgré la présentation des documents justificatifs exigés (attestation employeur).
    – Monsieur K, 53 ans, Challes-les-Eaux (73), directeur général : circulant à vélo le 23 mars 2020 pour rentrer de son travail, il se fait verbaliser au motif que son déplacement de 15 km est trop long pour un déplacement vélo, afin de ne pas charger les urgences en temps de crise. M. K est pourtant en règle (attestation…) et indique que le seul véhicule alternatif qu’il possède est un deux-roues motorisé, il s’étonne donc de l’injonction, ces derniers étant statistiquement beaucoup plus dangereux que les vélos.
    C – Des verbalisations durant la réalisation de trajets domicile-travail à vélo, alors que le seul itinéraire sécurisé était fermé par arrêté, sans que la fermeture ne soit connue des témoins
    – Monsieur L, 34 ans, Noisy-le-Sec (93), agent de sécurité incendie : circulant à vélo le 8 avril 2020 pour rejoindre son travail, il a été verbalisé à la sortie du canal de l’Ourcq. Ce dernier était fermé par arrêté, mais cette fermeture n’était pas indiquée sur le chemin d’accès emprunté par Monsieur L. Par ailleurs, les forces de l’ordre ont refusé de prendre connaissance des documents justificatifs présentés.
    – Monsieur M, 35 ans, Ostwald (67), vendeur – circulant le 9 avril 2020 pour un trajet domicile-travail de 20 kilomètres, trajet qu’il effectue régulièrement depuis janvier 2019, s’est fait verbaliser sur le canal de la Bruche, fermé par arrêté préfectoral depuis ce jour-là (information qu’il n’avait pas). Ayant déjà parcouru 7 km au moment d’arriver sur l’infrastructure fermée, il ne pouvait rebrousser chemin pour ne pas arriver en retard au travail. Verbalisé sur ce trajet malgré sa bonne foi (non-connaissance du décret) et son attestation employeur, il a dû prendre un trajet long et dangereux pour rentrer chez lui le soir même.
    D – Des verbalisations lors d’une sortie ayant pour motif l’activité physique respectant le décret : durée de moins d’une heure et dans le périmètre autorisé
    – Monsieur N, 65 ans, Lyon (69), retraité : circulant à vélo le 2 avril 2020, il se fait verbaliser au titre de l’activité physique. Pourtant, il avait débuté sa sortie moins d’une heure plus tôt, avait sur lui l’attestation dérogatoire dûment remplie et se trouvait à moins de 1 kilomètre de son domicile.
    – Monsieur O, 37 ans, cadre, Neuilly-sur-Seine (92) : le 22 mars 2020, il a utilisé son vélo pour son activité physique (il a coché cette case sur son attestation) ; à 17h30, à 200 mètres de chez lui, des policiers l’ont verbalisé en lui affirmant que le vélo ne constituait pas une activité physique autorisé au sens du décret ; or, après cette verbalisation, il a contacté le commissariat de Neuilly-sur-Seine, qui lui a dit le contraire. Par ailleurs, sa contravention n’est pas précisément motivée quant aux faits ayant donné lieu à verbalisation.
    E – La désinformation par les forces de l’ordre n’ayant pas donné lieu à une verbalisation
    – Madame P, 64 ans, Sainte-Gemmes-sur-Loire (49), retraitée : circulant à vélo le 10 avril 2020 pour effectuer des courses essentielles, s’est vu signifier par des gendarmes qu’elle était en infraction car l’usage du vélo était réservée au trajet domicile-travail, prétendument “suite à des abus”. Mme P n’a trouvé aucune trace d’un tel arrêté préfectoral, mais n’ose plus circuler à vélo.
    – Monsieur Q, 48 ans, Saint-Momelin (59), enseignant : circulant à vélo le 7 avril 2020 rentrant de la boulangerie la plus proche, située à 5 km de son village, les gendarmes le stoppent et lui signalent que les déplacements pour motif ‘courses essentielles’ sont à effectuer obligatoirement à pied ou en voiture, et menacent de le verbaliser s’il réitère l’utilisation du vélo.
    – Madame R, 46 ans, Paris (75), traductrice : circulant à vélo le 10 avril 2020 pour effectuer des courses essentielles, un gendarme lui demande si elle sait que le vélo est interdit. Mme R répondant “oui, mais uniquement pour la pratique sportive”, le gendarme prétend le contraire. Lors d’un nouveau contrôle le 13 avril, sa non-détention de permis de conduire est vérifiée, suite à quoi il lui est indiqué que « circuler à vélo est un privilège accordé exclusivement aux gens qui n’ont pas de le permis ». »

  4. Il ont préféré Micron, ils l’ont ! Bien profond ! Avec sa cohorte de bons à rien et de mauvais à tout dont des ministres qui leur crachent dessus. Mais en 2024, on recommence…

  5. Selon ce que j’avais lu de l’Histoire de la Révolution – (Tout ça pour finir par avoir un dictateur-freluquet)
    Les mêmes gardes qui protégeaint le Roi se sont retournés contre lui.
    On attend quoi??? A quand le vent de la révolte Devons nous attendre que le projet funeste de sa majesté soit mené à son terme pour se réveiller?

  6. phantomask , j’ai écouté la vidéo de Alexandre Langlois à Sud radio, ce policier qui a donné sa démission , et c’est ce qu’il semble dire…c’est même terrible ce que subit le policier de base bien que je crois que ces magouilles existent dans d’autres métiers, on est toujours obligé de se plier un minimum dans sa vie professionnelle ..mais ils ont en plus cette pression de la rue et des attaques physique, mort parfois au bout …on comprend mieux les suicides en nombre, la pression est trop grande ajouté à cela un président qui souffle le chaud et le froid, qui est dans la division constante, ce qui est très grave..il n’est véritablement pas à sa place .. et l’opposition qui ne dit rien sauf Pécresse ce matin !!

  7. Syndicats qui préfèrent se la faire mettre plutôt que de reconnaître leurs erreurs,
    et puis Alliance, c’est d’une hypocrisie sans nom, il faut les entendre pour comprendre que la hiérarchie syndicale touche un max pour soutenir le micon, et non leurs abonnés

  8. De toute façon la police obéie au gouvernement et rien qu’au gouvernement donc il ne faut pas attendre quelque chose d’elle, elle est toujours du côté de l’ordre établis c’est dans ses gênes.

  9. mais quel EN++++ ce MACRON
    au lieu de faire avec les policiers
    et les gendarmes Français
    et ainsi que de les soutenir
    et de les protéger …
    cet EN++++ de MACRON
    préfère protéger et soutenir
    les ISLAMO-RACAILLES
    et les ISLAMO-NAZIS

  10. le syndicat policier Alliance
    noyauté, miné et gangrené
    par des officiers supérieurs francs-maçons
    et qui ironie du mauvais sort se voient maintenant traités de Nazis, de Waffens-SS et de Gestapistes par celui-là même (Macron)
    pour qui ils ont veautés c’est à dire pour le collabo-traître et dhimmi-islamophile Macron
    et bien sur à l’époque contre la fille d’Hitler … Marine !

  11. Quand on voit comment Macron traite la police et laisse faire les casseurs en toute impunité, les policiers qui en ont marre vont peut-être voter différemment. Par contre une personne âgée de 75 ans a eu une amende de 165 € car elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer et s’est trompée de date sur son attestation, en faisant ses courses. Pas de compassion ! Macron a décidé de matraquer les retraités dès le début de son mandat, en leur piquant du fric plutôt que de maintenir l’ISF et ça continue. Par contre devant les partis et les associations d’extreme gauche qui se placent toujours en victime là il baisse son froc !

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