Bien que dissous, le CCIF impose toujours sa loi dans les tribunaux français

COMMUNIQUE DE PRESSE DE RESISTANCE REPUBLICAINE ET RIPOSTE LAIQUE

Le Conseil des ministres, le mercredi 2 décembre, a confirmé la dissolution du CCIF, annoncée par le ministre de l’Intérieur, au lendemain de l’assassinat de Samuel Paty, pointant le rôle actif d’associations islamistes. Gérald Darmanin les accusait d’alimenter le terrorisme, et de participer au séparatisme qui se mettait en place sur notre territoire. Le CCIF en faisait partie et l’association avait annoncé, quelques semaines avant la dissolution définitive, qu’elle se dissolvait elle-même.
Or, nous avons été les témoins, ce vendredi 4 décembre, 48 heures après dissolution officielle du CCIF en Conseil des Ministres, d’une scène ahurissante, dans un tribunal français. Alors que le procès en appel de Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, accusée de manière grotesque par les islamistes du CCIF d’apologie du terrorisme, avait commencé à 17 heures 30, leurs deux avocats, dont Ouadie El Hamamouchi, par ailleurs militant socialiste, arrivèrent, vingt minutes plus tard. Ils avaient pourtant été déboutés en première instance, n’avaient pas fait appel, et n’avaient donc rien à faire à ce procès, au-delà du fait qu’ils avaient été dissous. Très agressifs, ils se permirent, en sus,  de demander l’ajournement du procès malgré leur dissolution, s’abritant derrière un recours déposé au Conseil d’Etat.

Malgré tout, à la grande indignation de la défense de Christine Tasin et de la salle, les juges décidèrent de se soumettre à leurs menaces, et décidèrent donc d’ajourner ce procès. Signalons que sur cette affaire, c’est la troisième fois qu’ils multiplient les arguties pour justifier, et obtenir, le report de ce procès.

Nous constatons donc que, bien que dissous, le CCIF continue à imposer sa loi, par des menaces déguisées, dans les prétoires. La nomination de Dupond-Moretti, qui se disait fier de défendre la famille Mérah, leur a-t-elle fait comprendre qu’ils bénéficiaient d’appuis solides, au plus haut niveau de l’Etat ?

Il serait temps que la République tape  du poing sur la table, cesse de laisser les islamistes l’humilier, dans les prétoires et ailleurs.

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17 Commentaires

  1. Le comble du comble. Alors qu’on aurait dû leur interdire l’entrée du Tribunal ou ils n’avaient rien à y faire, La République Française par un de ses piliers La Justice Française au nom du Peuple Français s’est lamentablement soumise à des représentants d’une Association politico-religieuse venue d’ailleurs qu’on aurait pas dû accepter sa création sur notre territoire. Honte honte honte !

  2. Vivement le remplaçant à l’imposteur de l’Elysée pour faire le ménage en renvoyant les sauvages d’où ils viennent et les islamistes/ASSASSINS se prosterner devant alla dans le désert !!! Il faut purger la FRANCE de toute cette merde ……

  3. OK, il a fait beaucoup de mal, mais que pensez vous de l’ordure qui l’a remplacé?
    Il est vrai que ses adeptes ont oublié qu’il serrait la main de son chef ….

  4. 19Voulez vous dire le CORANOVIRUS?
    Cette infâme saloperie qui voit l’archange Gabriel a largement dépassé les chiffre de 19 (millions)

  5. Ces gens là osent tout, parce qu’ils savent parfaitement qu’ils auront le dernier mot, que la politique de la France penche pour eux, même si l’État distribue des miettes, comme la dissolution du CCIF.

  6. Le pouvoir du Conseil d’Etat sur l’exécutif, est un cadeau de Giscard, il en a fait des méfaits celui-là en si peu d’années !!

  7. la biquette de magistrate s’est probablement
    faite monter par des boucs mahométans
    ceci expliquerait alors son islamophilie
    cette biquette hallalisée du Q
    a certainement contracté le Coranvirus !
    elle devrait être piquée !.. point barre °_

  8. Quoi d’étonnant dans la décision de ces racailles judiciaires ? La raison d’être des juges est de ramper devant les maîtres du jour, et ils considèrent toujours les barbus pédophiles comme leurs maîtres. CQFD.

  9. ces gens là sont pire que la peste et le choléra. il faut les virer de notre pays n’en déplaisent à ces imbéciles de gauchos

  10. Il ne faut surtout pas que le Conseil d’Etat désavoue la décision du Conseil des Ministres. Ces ordures du CCIF doivent disparaître. Sinon la lutte contre le séparatisme sera un leurre !

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