Hidalgo se ségolénise à vitesse grand V… finalement, quel est l'apport des femmes en politique ?

BREVE

Paris, port de mer et qui entend bien le devenir…

Gagnée par la cruchitude, et frappée par le dindonovirus du Poitou, Hidalgo se ségolénise à vitesse grand V.

Je vais me faire agonir par tous les hystéro-féministes du site (il ne doit heureusement pas y en avoir beaucoup), mais tant pis, je pose la question : finalement, quel est l’apport des femmes en politique? En quoi la parité a-t-elle améliorée celle-ci?

Et cela est vrai pour toutes les professions : l’éducation nationale (dégringolade du niveau concomitante), la Justice (laxisme croissant), etc.

Il y a quarante ans, on nous expliquait qu’il fallait absolument mettre plus de femmes aux commandes, que cela allait tout changer en beaucoup plus mieux on allait voir ce qu’on allait voir. Où est le mieux? Jusqu’ici, je n’ai rien vu. Sauf que les femmes sont encore plus rigides, bornées, autoritaristes et sectaires que les hommes.

J’ai toujours pensé qu’il y avait une raison pour laquelle les hommes avaient un jour pris le pouvoir et exclu les femmes. En effet, selon les chercheurs, les sociétés primitives étaient matriarcales et dirigées par les femmes. Un jour, les hommes ont dû en avoir marre de leur autoritarisme et faire la révolution, en leur interdisant de commander à l’avenir. Pensez-y.

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11 Commentaires

  1. Merci pour la recherche Mr François des Groux.
    C’est pas grave, c’est week-end !

  2. Mon commentaire n’est pas paru
    Est-ce le signe qu’on ne peut plus rien dire.
    pourtant le contenu n’était pas à blâmer !!!
    Bref !
    Vaut mieux passer à autre chose…

    • @raslebol
      Il y a un commentaire de vous à l’article de Pikachu (“Aujourd’hui, serez-vous fluide ou multiple, demi-fille ou demi-garçon, demi-non-binaire ou agenré ?”).
      Mais je ne vois rien d’autre.

  3. Bonjour, en écrivant mon commentaire, non seulement je ne pensais pas qu’il finirait en article, mais j’avais même des craintes qu’il ne passe pas.
    Du coup, comme il s’agissait surtout d’une réaction à la phrase ridicule d’Hidalgo, mon propos n’était pas développé et nuancé.
    Comprenons-moi bien : je n’ai rien contre la présence des femmes à n’importe quel niveau, pourvu qu’elles en aient les compétences et les capacités. Contrairement aux apparences, je suis tout à fait féministe et pour l’égalité (Vive Christine)
    En revanche, je rappelle qu’on nous a imposé la parité forcée avec des arguments fallacieux, et en nous vantant les formidables améliorations que cela apporterait, notamment à la politique, en termes de modérations, d’apaisement des débats jusque-là gonflés à la testostérone des mâles, responsable de tous les maux politiques, des rivalités, des guerres, etc…
    Or, comme le ferait remarquer Zemmour, cette promotion des femmes passée en force a eu l’effet habituel des discriminations positives : un effet d’éviction qui permet à des individus médiocres (ici des femmes, mais cela vaut pour n’importe quelle autre catégorie promue au piston, Noirs aux USA, etc.) d’obtenir des postes au détriment d’individus (ici des hommes) plus qualifiés, car on veut le résultat immédiatement sans prendre le temps de faire “monter” des compétences et de former les gens.
    On a un phénomène du même genre avec le “dégagisme” de 2017 qui a permis une vague d’élus et de ministres “En Marche” totalement incompétents. Castaner, venu du PS, n’aurait jamais été ministre si le PS avait gagné toutes les élections dans les 30 prochaines années.
    Bref, ma réaction est aussi une déception : si cela a probablement bénéficié aux femmes en tant que telles (encore que, vu le nombre de femmes isolées et divorcée, et plus souvent pauvres…), je ne constate pas que cela apporte un réel progrès à la société , une amélioration de son fonctionnement. Les femmes ne font pas mieux que les hommes, et le mélange hommes-femmes n’est pas plus performant. Quant à l’éviction totale des hommes (comme prônée par la folle Alice Coffin), je crains que cela ne soit pire que l’inverse. Désolé mesdames, mais les bâtisseurs et les organisateurs, ceux qui font tourner les civilisations, cela a toujours été les hommes.
    ____
    Concernant l’autoritarisme et la rigidité des femmes en position de commandement, c’est un constat que j’ai fait toute ma vie : il est toujours plus facile de négocier avec un homme et d’obtenir son indulgence (par exemple un flic vs une fliquette)
    Je m’amuse beaucoup des exemples de femmes politiques donnés par les autres commentateurs, qui confirment mon propos, ô combien : dois-je vous rappeler les faits d’armes de ces douces personnes que furent Elisabeth 1ère (cf Marie Stuart), Catherine II, Golda Meir (la liste des terroristes de Munich à exécuter), Indira Gandhi, Margaret Thatcher (Malouines, grévistes de la faim Irlandais, grève des mineurs de GB) ?
    En remontage plus loin dans l’Histoire de France, je vous invite à lire l’édifiante histoire de la rivalité entre les douces reines franques Frédégonde et Brunhilde (celle qui a inspiré la Walkyrie, aussi appelée Brunehaut)
    Dans le genre dirigeants aimables, doux et débonnaires, on fit mieux. Elles étaient plutôt sur le mode tyrannie que modération.
    ___
    Par ailleurs, je constate que les pimbêches qui s’expriment sur les plateaux télé et au nom des différents mouvements gauchistes radicaux sont loin d’être modérées et conciliantes, elles sont bien plus jusqu’au-boutistes sectaires, intransigeantes que les hommes (qui sont pourtant déjà gratinés dans ces mouvances). De Haas, Assa Traoré, Houria Bouteldja, Rémy-Leleu, Caroline Mékary, Obono, toutes les dingos de LFI et EELV, Arlette, etc etc.
    Cela n’est d’ailleurs pas nouveau dans l’Histoire : on a observé cela à toutes les époques. Contrairement aux clichés, les femmes jouent rarement un rôle de modération. C’est même le plus souvent l’inverse, elles sont souvent plus exaltées (cf figure de la Pasionaria)
    Oh, zut, j’ai failli oublier de citer Greta! Oubli réparé.
    ____
    Bien sûr, il s’agit seulement d’une tendance générale, d’un trend statistique, il y a des variations individuelles importantes en termes de traits psychologiques, aussi bien chez les femmes que chez les hommes.
    ___
    Je conclurais par un bonne blague juive :
    – Quelle est la différence entre une mère juive et un terroriste palestinien?
    – Avec le terroriste, on peut négocier.
    ___
    Et en conclusion de la conclusion, en dépit de tout ce que je viens d’exposer :
    https://www.youtube.com/watch?v=ekGwbP_Qfog

  4. “Plus rigides, bornées, autoritaristes et sectaires que les hommes” ?
    Je ne crois pas que ce soit généralisable.
    Marine le Pen par exemple est moins bornée que son père l’était : elle a accepté d’infléchir certaines positions du FN notamment en matière sociétale où l’on a bien compris que c’est à son corps défendant en 2017 qu’elle annonçait que son parti reviendrait sur le “mariage pour tous” si elle était élue.
    C’est précisément parce qu’elle n’est pas assez sectaire que beaucoup lui font des reproches… ouverture à gauche, souci de ne pas se montrer trop “rigide” en prenant la défense d’une Obono qui pourtant est son ennemie politique, ou censée l’être, ou en affirmant que l’islam peut être compatible avec la République alors qu’aucun régime musulman n’est républicain, même la “république” islamique d’Iran puisque la négation des droits de l’Homme inhérente à la charia empêche que ce régime soit un gouvernement par le peuple et pour le peuple.
    Quant à être autoritariste, pour l’instant nous n’en sommes qu’au stade des déclarations puisqu’elle n’a encore jamais exercé le pouvoir exécutif…

  5. @Christine Tasin
    Sans oublier que derrière de grands hommes politiques, il y a eu souvent des femmes dans l’ombre qui les ont aidés ou guidés (voir téléguidés).

  6. Tout à fait d’accord, Niko et Vademecum, nous avons publié cette réflexion caustique et humoristique de Pikachu pour son côté provocateur propre à faire naître rire et débat, mais les exemples que vous citez montrent à l’envi que les femmes savent et peuvent diriger un pays. Mes préférées, dans l’ordre, Golda Meir et la grande Catherine… et il y en a bien d’autres

  7. Elle reprend une idée de Sarkozy qui lui aussi “voulait Paris jusqu’à la mer”.
    Une idée complètement saugrenue à priori, dont on voit bien les risques pour l’environnement (la rurbanisation graduelle de toute la vallée de la Seine jusqu’à l’embouchure) Mais derrière cette idée mégalomane . Au demeurant le maire de Paris n’a aucune compètence pour décider de l’aménagement du territoire. mais cette idée très mégalomane et si peu écologique est avant tout un argument à mettre en avant dans la prochaine campagne des régionales face à Valérie Pécresse, la présidente sortante en charge il me semble du dossier du Grand Paris. Sauf erreur de ma part la maire de Paris n’ayant pas la main sur le dossier du grand Paris, elle lui oppose un projet de Paris jusqu’à la mer. histoire de se mettre toutes les grosses boîtes du BTP dans sa manche vu les ambitions présidentielles qu’Anne Hidalgo cachent de moins en moins.

  8. Il y a peu de femmes de valeur en politique, c’est vrai. Pour ma part, j’en vois quand même quelques unes dans l’histoire plus ou moins récente : Blanche de Castille, Elisabeth Ière d’Angleterre, la Grande Catherine de Russie, Anne d’Autriche (régente de 1643 à 1651), Marie-Thérèse d’Autriche, Margaret Thatcher, Golda Meir. J’en oublie sans doute. Mais ces femmes-là n’avaient rien à voir avec Annie Dingo, la folledingue du Poitou ou Si Bête Ndiaye. Elles étaient pourtant fortes et autoritaires, mais avaient souvent une vision claire de ce que devait être un bon gouvernement et avaient surtout conscience que l’intérêt de leur pays dépassait leur petite personne. Sans Anne d’Autriche, par exemple, la monarchie absolue aurait sans doute été balayée. Louis XIV, son fils, ne s’y est d’ailleurs pas trompé puisque, quand sa mère est morte, il a dit : “Elle mériterait d’être mis au rang des plus grands rois”.

  9. Le changement des sociétés matriarcales en société patriarcales a d’autres raisons que l’autoritarisme des femmes, c’est un peu simplet comme explication. C’est plus un problème de pouvoir, celui de la procréation quand les hommes ont enfin compris que pour que les femmes aient des enfants il fallait un acte sexuel… avec un homme (genré et pas binaire ni trans ni rien d’autre ). Par ailleurs, l’histoire montre que de grandes femmes politiques ont su parfaitement diriger leur pays et avaient une autre trempe que les deux pimbêches citées dans l’article !

  10. Aussi étonnant que cela puisse paraître, j’ai toujours pensé comme vous, à quelques rares exceptions et j’espère que Marion Maréchal en fera partie, le cas échéant.
    Ceci étant dit, les hommes qui nous gouvernent depuis 40 ans sont veules et lâches, des iconoclastes envers les forts et vertébrés envers les faibles.

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