Invariable, inébranlable, déterminée et… souriante ! 21/05/2011

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Le hasard ? fait que deux amis, Nation puis Paco me proposent chacun, presque le même jour,  un article  qui parle de moi ou plutôt de ma Résistance à l’islam. Ma modestie ne s’y retrouve pas trop… mais chacun a une si belle plume pour parler, à travers moi, de la nécessaire résistance à la pire saloperie que le monde ait connu que je ne puis leur refuser la publication… Mais je tiens à ajouter que sans eux, sans vous amis lecteurs, amis patriotes, il n’y aurait pas de Résistance du tout, il n’y aurait que quelques individus un peu plus fous que les autres pour croire que l’on peut, quand on s’appelle David, s’attaquer à Goliath et le vaincre.

Christine Tasin

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De clic en clic, ma souris d’ordinateur me balade et me trimballe d’un site à l’autre, dans des « lieux de rencontres » inattendus et me voilà, une partie du jour à lire, visionner, investiguer. C’est ainsi, qu’une vidéo est apparue sur mon écran : « Belle-et-rebelle rencontre Christine Tasin ». Pardon Christine, pour cette grave atteinte à ta modestie. Je ne te connaissais pas à l’époque et je dois dire que l’ensemble de mes préoccupations était à des lustres, des années lumière, de tous les sujets qui nous sont pour certains en commun. Haa, comme j’avais bien raison d’affirmer l’autre jour en commentaire, que la liberté était ton port d’attache. Mais elle est aussi ton parcours, ton itinéraire, ton intention primale, ton ambition. La Liberté, pardon Christine car même si tu n’es pas la seule à mériter ce titre, tu en es, pour moi, la Marianne, allez, l’une d’entre elles. Sur cette vidéo, sorte de Gavroche au féminin, te voilà sur la barricade des mots. Mais pas n’importe lesquels, non. Les mots dont tu te sers pour faire barrière, pour t’opposer, pour empêcher l’élan, ce sont ceux du véritable langage. Celui du cœur que ceignent et protègent les remparts de la conscience, les murailles de la pensée profonde sereine et déterminée.

Et ton « jeu de claquettes », avec les dents pour marquer ta désapprobation, c’est une signature qui n’appartient qu’à toi.

Voilà ! Bises.        

PACO. 10/08/2020.

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C’était il y a 9 ans, en mai 2011… Elle n’a rien perdu de sa détermination, malgré les coups, les condamnations...

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