A Gradignan aussi, l’insécurité gagne : tabassé pour avoir voulu défendre 2 femmes agressées !

 

Dans ma bonne ville de la Communauté Urbaine de Bordeaux…

Qui connaît la ville à bobos qu’est Gradignan ?

Une petite ville de la CUB, votant toujours droite ou centre droit, des gens biens, beaucoup de profs de fac et même de grandes écoles…
Bien sûr elle a dû satisfaire aux obligations de logements sociaux (plus très récents), mais jusqu’ici sans grande « incivilité » comme il se dit au plus haut de l’Etat, enfin ce qu’il en reste. Bien moins de soucis que Talence sa voisine… jusqu’à ce jour !

Bon, il y a un an, une tentative de vol à l’arraché, je crois bien dans les jardins de la mairie, elle n’a même pas eu les honneurs de la presse régionale !

Mais enfin j’ai la fierté de me trouver dans une ville fille de Bordeaux la belle endormie ! Ce Bordeaux qui se réveille dans un cauchemar, ce, depuis début juin… une conséquence du confinement comme vous vous en doutez ! De l’ordre de 50 blessés dans un nombre considérable d’agressions dont certaines à l’arme blanche ! Les MNA -que Bordeaux et le département aiment bien- et de très jeunes adultes s’illustrent particulièrement !

Ainsi je découvre sur sudouest.fr, en date du 27, le rapport d’une agression devenue commune dans cette vieille France qui tombe en lambeaux !

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«Le garçon qui accompagnait deux amies a voulu mettre fin à la drague grossière de deux individus. Il s’est vite retrouvé avec un couteau sous la gorge

Vendredi vers 5h30, cours du Général-de-Gaulle à Gradignan, deux individus se sont montrés très insistants envers deux jeunes filles. Le copain qui accompagnait ces dernières a voulu mettre fin à cette drague grossière mais s’est vite retrouvé avec un couteau sous la gorge car les deux hommes étaient armés.

Frappé à la tête à coups de poing, il n’a pu que regarder ses agresseurs filer. Mais il a eu le temps de mémoriser leur visage.

Vers 12 h 45, il les a reconnus dans un supermarché ! Il a tout de suite prévenu la police qui a interpellé les deux jeunes de 24 et 25 ans et les a placés en garde à vue.»

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Ces deux Aquitains de longue génération -n’en doutons pas, même pas des Gaulois- n’étaient pas très malins, attaquer un habitant du lieu qui pouvait les reconnaître ! Je ne doute pas qu’ils ressemblent comme deux gouttes d’eau aux individus de l’affiche dénonçant le harcèlement de rue à Bordeaux :-))  !

En fait, à Gradignan comme dans beaucoup de villes aujourd’hui des jeunes gens courageux mais menacés, une masse bien-pensante, et des “victimes de la société” le couteau en poche pensant que tout leur est dû !

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Epilogue quelques jours après !

« T’as entendu parler des agressions au couteau à Bordeaux ?
Je vais te planter et b… ta copine »

Deux hommes ont été jugés, et condamnés, lundi 27 juillet, pour une agression gratuite vendredi 24 juillet dernier, à Gradignan

Ils nient en bloc. « Je ne suis pas le seul garçon au monde à avoir des dreadlocks », avance Dylan Wiltord. « D’autres personnes que moi portent des tatouages au visage », enchaîne son copain, Jonathan Mongis. Ces deux garçons âgés d’une vingtaine d’années, sans emploi, étaient jugés, hier, devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour une agression gratuite, au couteau, de trois étudiants…
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Un Dylan et un Jonathan*… avec dreadlocks et des tatouages au visage… Ils ont subi une bonne influence !!! Tiens les noms, vrais qu’il semble que ce ne soient pas de véritables CPF, mais ils le sont devenus !
* : comme dit dans un commentaire, sous-culture américaine, on la voit d’ailleurs avec BLM !

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7 Commentaires

  1. Les agresseurs sont sans doute des « djeuns » de bonne famille : Jean Rachid et François Mouloud, connus depuis longtemps par la Justice, la Police et les médias.

  2. La métropole bordelaise, avec l’équipe qui a pris le pouvoir à Bordeaux, vous allez pleurer !

  3. ”Dylan et Jonathan… ” soit les médias ont changé les noms des agresseurs, soit c’est peux être des noirs (beaucoup ont des prénoms français), soit c’est des blancs brésilianisés et islamisés, complètement déculturés. Dreadlocks et tatouages sur les visages, c’est sur que nous n’avons pas a faire la fine fleur .
    de toute façon des prénoms comme Dylan ou Yanis… La plupart de ceux qui les portent, sont souvent issus de familles de cas sociaux de la pire espèce, parents atomisés par la sous culture américaine, regardant toute la journée des site com.

  4. Et la peine, si peine il y a, sera très probablement très clémente car notre justice de merde protège avant tout les racailles et je suis sûr que des bons bobos bienpensants ne se gêneront pas de dire que ces filles avaient dû être un peu provocatrices, c’est vrai quoi quelle idée de se balader en short et petit haut en plein été!!! Une burqa serait plus convenable …

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