Les lâches de BLM s’en prennent à nos statues au lieu de se battre pour les 40 millions d’esclaves des pays musulmans

 

Black Lives Matter (BLM) et autres : ils disent qu’ils sont contre le racisme mais c’est faux !

Ils ont surtout  un gros problème avec l’Occident.

Il y a 40 millions d’esclaves actuellement dans le monde.

Les femmes noires de la photo,  esclaves en Libye ( ?) seront ravies de savoir que des antifas et Black Lives Matter ont déboulonné la statue de Christophe Colomb et taggué celle de Churchill…[compte Twitter qui dénonce l’islam]

De nombreux jeunes en France sont persuadés que seule la traite Atlantique a existé, puisque c’est la seule dont parlent école, médias, politiques et associations.

Ce ne sont pas les statues qu’il faut démolir ce sont les esclavagistes du présent qu’il faut combattre !

Photos Narciso Contreras, Paris Match

 

L’esclavage moderne et l’hypocrisie de ceux qui se réveillent maintenant.

D’après un article de Judith Bergman/ Gatestone Institute.

 

 

 

On estime qu’il y a actuellement 9,2 millions d’esclaves noirs en Afrique. L’esclavage, selon cet indice, comprend le travail forcé, l’exploitation sexuelle forcée et le mariage forcé. [Indice mondial de l’esclavage, 2018].

 

“Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), il y a trois fois plus de personnes en servitude forcée aujourd’hui que celles qui ont été capturées et vendues pendant les 350 ans de la traite transatlantique des esclaves”, Time Magazine, 14 mars 2019.

 

L’esclavage moderne rapporte aux réseaux criminels environ 150 milliards de dollars par an, soit presque autant  la contrebande de drogue et le trafic d’armes.

 

“Les pays du G-20 importent chaque année pour 354 milliards de dollars de produits issus de l’esclavage moderne”. – Indice mondial de l’esclavage, 2018.

 

 

 

Alors que Black Lives Matter (BLM) et ses collabos débattent sans fin pour changer les noms des rues et enlever les statues, ils ignorent les 40 millions de victimes de l’esclavage réel dans le monde aujourd’hui, dont 9,2 millions d’hommes, de femmes et d’enfants actuellement réduits en esclavage en Afrique.

 

Sur la photo : Des vandales tentent d’abattre la statue du président américain Andrew Jackson à Lafayette Square, le 22 juin 2020, près de la Maison Blanche à Washington, DC. (Photo par Tasos Katopodis/Getty Images)

 

 

On veut nous faire croire que s’attaquer aux vieilles statues de personnes mortes depuis longtemps sserait censé aider tout le monde, en particulier les millions de personnes noires et non noires qui sont encore asservies aujourd’hui.

 

40 millions d’esclaves actuellement.

 Il semblerait que les militants du BLM qui viennent de se  réveiller et leurs nombreux partisans à genoux ne se soucient pas du sort des esclaves modernes, dont le nombre est estimé à 40 millions aujourd’hui.

De toute évidence, il est beaucoup plus facile, et sans doute plus agréable, de détruire des monuments historiques occidentaux que de s’engager dans la difficile tâche d’abolir réellement l’esclavage moderne.

 

Et les esclaves noirs en Afrique ?

On estime à 9,2 millions le nombre d’hommes, de femmes et d’enfants qui vivent actuellement en esclavage moderne en Afrique, selon le Global Slavery Index, qui inclut le travail forcé, l’exploitation sexuelle forcée et le mariage forcé.

 

Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), il y a trois fois plus de personnes en servitude forcée aujourd’hui que celles qui ont été capturées et vendues pendant les 350 ans de la traite transatlantique des esclaves

Time Magazine, mars 2019.

 Selon l’OIT, l’esclavage moderne a vu 25 millions de personnes en servitude pour dettes et 15 millions en mariage forcé.

 

On estime que l’esclavage moderne rapporte aux réseaux criminels 150 milliards de dollars par an, un chiffre proche de celui du trafic de drogue et d’armes.

 

“L’esclavage moderne est de loin plus rentable aujourd’hui qu’à aucun autre moment de l’histoire de l’humanité”, a déclaré au Time Siddharth Kara, un économiste du Carr Center for Human Rights Policy. Selon l’Indice mondial de l’esclavage 2018, “les pays du G-20 importent chaque année pour quelque 354 milliards de dollars de produits issus de l’esclavage moderne”.

 

En 2017, des images choquantes sont apparues lors de ventes aux enchères d’esclaves en Libye : CNN a documenté un incident au cours duquel des hommes arabophones ont vendu douze Nigérians. En 2019, Time Magazine a interviewé un migrant africain, Iabarot, qui avait été vendu en esclavage sur le chemin de l’Europe :

 

“Lorsque Iabarot a atteint la frontière sud de la Libye, il a rencontré un chauffeur de taxi apparemment amical qui lui a proposé de le conduire gratuitement à la capitale, Tripoli. Au lieu de cela, il a été vendu à un “Libyen blanc”, ou arabe, pour 200 dollars. Il a été forcé de travailler pour rembourser sa “dette” sur un chantier de construction, un schéma qui se répétait à chaque fois qu’il était vendu et revendu”.

 

Le trafic sexuel constitue une part considérable de l’esclavage moderne. La mafia nigériane, par exemple, selon un rapport de 2019 du Washington Post, se livre à la traite des femmes par dizaines de milliers :

 

“Certains experts affirment que pas moins de 20 000 femmes nigérianes, dont certaines sont mineures, sont arrivées en Sicile entre 2016 et 2018, victimes de la traite en coopération avec des Nigérians en Italie et au pays”.

 

Selon un rapport de juillet 2017 de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) des Nations unies :

 

“Au cours des trois dernières années, l’OIM Italie a constaté une augmentation de près de 600 % du nombre de victimes potentielles du trafic sexuel arrivant en Italie par voie maritime. Cette tendance à la hausse s’est poursuivie au cours des six premiers mois de 2017, la plupart des victimes arrivant du Nigeria”. Dans son rapport, l’OIM a estimé que 80 % des filles, souvent mineures, arrivant du Nigéria – dont le nombre a augmenté de façon spectaculaire, passant de 1 454 en 2014 à 11 009 en 2016 – étaient des “victimes potentielles de la traite à des fins d’exploitation sexuelle”.

 

Afrique : Mali, Mauritanie…

Dans certaines parties du continent africain, notamment au Sahel, l’esclavage est encore ancré dans la culture traditionnelle, même si, officiellement, l’esclavage a été interdit. Dans des pays tels que le Mali et la Mauritanie, l’esclavage dit de descendance ou “de caste” – dans lequel l’esclavage est transmis de génération en génération, de sorte que les esclaves naissent dans leur situation – est encore pratiqué par certains.

Au Mali, l’esclavage est légal !

En 2013, on estimait qu’environ 250 000 personnes vivaient dans des conditions proches de l’esclavage au Mali, où l’esclavage n’est pas illégal. Une esclave malienne, Raichatou, a déclaré au Guardian en 2013 qu’elle était devenue esclave à l’âge de sept ans lorsque sa mère, également esclave, est morte. “Mon père ne pouvait que regarder, impuissant, le maître de ma mère venir nous réclamer, moi et mes frères”, a-t-elle déclaré. Elle a travaillé comme servante pour la famille sans salaire pendant près de 20 ans, et a été forcée de se marier avec un autre esclave qu’elle ne connaissait pas, afin de pouvoir fournir à son maître d’autres esclaves .

 

En Mauritanie, on estime que jusqu’à 20 % de la population est réduite en esclavage, même si l’esclavage a été officiellement interdit en 1981. Les esclaves sont pour la plupart issus de la minorité Haratine, qui sont des Africains noirs, alors que près de la moitié de la population est arabe ou berbère. Selon un rapport du Guardian datant de 2018 :

 

“L’esclavage a une longue histoire dans cette nation du désert nord-africain. Pendant des siècles, les Maures arabophones ont fait des raids dans les villages africains, ce qui a entraîné un système de castes rigide qui existe encore aujourd’hui, les habitants à la peau foncée étant redevables à leurs “maîtres” à la peau claire. Le statut d’esclave est transmis de la mère à l’enfant, et les militants anti-esclavagistes sont régulièrement torturés et détenus. Pourtant, le gouvernement nie régulièrement l’existence de l’esclavage en Mauritanie, se félicitant au contraire d’avoir éradiqué cette pratique”.

 

Le rapport décrit également quelques-uns des horribles destins des esclaves Haratine.

Illustration avec un témoignage au Mali :

“Aichetou Mint M’barack était un esclave par descendance dans la région de Rosso. Comme sa sœur, elle a été enlevée à sa mère puis donnée à un membre de la famille du maître pour être servante. Elle s’est mariée dans la maison de ses maîtres et a eu huit enfants, dont deux lui ont été enlevés pour être esclaves dans d’autres familles. En 2010, la sœur aînée d’Aichetou a pu la libérer… après qu’elle ait elle-même fui ses maîtres lorsqu’ils ont versé des braises chaudes sur son bébé, le tuant”.

 

BLM et les nombreux cadres d’entreprises, professeurs d’université, personnalités des médias, du sport et de la culture qui plient les genoux devant le mouvement semblent totalement indifférents au sort des personnes comme Aichetou. Il est probable qu’ils n’ont jamais entendu parler d’elle ou de ses nombreux compagnons d’infortune. Ce sont apparemment des vies noires qui n’ont pas d’importance —  sauf pour les personnes courageuses qui travaillent dans les organisations anti-esclavagistes sur place.

 

Au lieu de cela, le BLM et leur clique débattent sans fin pour changer les noms des rues et des universités, et enlever les statues, tout cela n’étant rien de plus qu’un signal de vertu infantile.

Ils perdent leur temps à débattre de la question de savoir si des personnes qui n’ont jamais été elles-mêmes esclaves devraient recevoir des réparations de la part de personnes qui n’ont jamais possédé d’esclave.

 

Se livrer à toutes ces gesticulations, tout en ignorant les 40 millions de victimes actuelles de l’esclavage réel, représente non seulement les profondeurs incommensurables de leur hypocrisie, mais constitue une insulte extrême à ceux qui subissent leur esclavage en silence, tout en mourant lentement des abus physiques, sexuels et psychologiques qu’ils sont contraints d’endurer. Si quelque chose est “offensant”, c’est bien cela.

 

D’après Judith Bergman, chroniqueuse, avocate et analyste politique, est une éminente Senior Fellow au Gatestone Institute.

https://www.gatestoneinstitute.org/16152/modern-slavery

 

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3 Commentaires

  1. Il est vrai que s’en prendre aux statues démontre un courage certain.
    Il y a donc moins de risques de s’en prendre à des larves qui ne bougeront pas, surtout avec les saloperies qui nous chient au minimum une merde tous les jours

  2. Ah mais non c’est plus facile de foutre le bordel en taguant,en deboulonnant des statues plutôt que d’aller en Afrique se battre contre l’esclavage, ces gens sont des perturbateurs ,des fouteurs de m….,qui n’ont rien d’autre à foutre que de foutre le bordel ,et l’esclavage dans leurs pays d’origines ou celui de leurs parents en réalité ils s’en tapent .

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