Sans les Blancs, la cata : Haïti, Libéria… Avec les Blancs, la réussite : Côte d’Ivoire, Saint-Domingue…

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NEGROCRATIE EFFICIENTE ET RACISME ANTIBLANC

Depuis plusieurs semaines, on nous bassine à longueur de journée avec « les Blancs sont racistes, esclavagistes et patati et patata, ils doivent se mettre à genoux et demander pardon aux Noirs, notamment aux délinquants genre famille Traoré et compagnie. Derechef, on ose abattre ou tenter d’abattre un des symboles de l’étatisme français : Colbert l’affreux géniteur du code Noir (compilation de textes préexistants et codifiés par son fils). Il fut aussi l’architecte de la puissance économique d’un état centralisé.

Comme je suis du genre pragmatique, si Colbert est un horrible personnage qui doit être voué aux gémonies, j’ai supposé que les Noirs en général et les Africains en particulier avaient un modèle d’état performant et autrement plus efficient que ceux des Blancs à nous proposer, sans racisme, sans Blancs, fraternel et assurant la prospérité et le bien-être de sa population Noire. Existerait-il un Colbert Noir ?

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J’ai donc décidé de revisiter le passé et le présent afin de modéliser les facteurs clé de succès de la Négrocratie appliquée à la direction et le développement d’un pays… des fois que l’on soit passé à côté de quelque chose de grandiose sans le savoir.

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Pour commencer, j’aimerais évoquer une île, Hispaniola, qui a vu débarquer en 1492 cet « enfoiré » de Christophe Colomb (rien à voir avec Gérard qui est son contemporain), responsable du martyr des Amérindiens locaux. Une fois les Indiens morts de maladie, de travail forcé et autres joyeusetés, on y fit venir des esclaves Noirs pour les remplacer. Bref, des Noirs ont servi de jaunes (ndr : réservé aux QI supérieur à 120). Après quelques siècles, sur cette île ont été bâtis deux pays : Haïti et la République Dominicaine. C’est intéressant de comparer les trajectoires assez différentes de ces deux pays en deux siècles d’évolution politique et économique.

Après une révolte des esclaves menée entre autres par le fameux Toussaint Louverture, en 1804 les Français évacuent l’île et la République d’Haïti est proclamée par le général métis Jean-Jacques Dessalines. Immédiatement, Dessalines ordonne trois choses :

  1. Le massacre des Français et des Blancs (hormis prêtres, médecins, etc),
  2. Se faire sacrer Empereur (pas mal pour une République)
  3. Une constitution prévoyant la spoliation des biens des Blancs (tant qu’à faire).

De toute façon, les Blancs étaient soit morts, soit partis dans la partie hispanique de l’île ou vers d’autres cieux plus cléments. Disparus les Blancs !

Haïti est donc la première République créée par des Noirs et gérée entièrement par eux, faute de Blancs massacrés ou enfuis mais qui ne reviendront plus.

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Parallèlement, St Domingue connut un sort assez différent. Les Haïtiens occupèrent pendant 22 ans la partie hispanique de l’île mais les dominicains arrivent à se libérer et à proclamer leur première république en 1844. Notons que la majorité des dominicains blancs sont restés ou revenus après l’indépendance. Malgré une instabilité politique, des hauts et des « très » bas financiers, la nouvelle république Dominicaine connaît une bonne expansion économique. En 1931, le dictateur Rafaël Trujillo malgré un pillage du pays à son profit bénéficiera de conditions économiques favorables et mènera une politique d’industrialisation. En 1937, il fait massacrer 20000 Haïtiens en représailles d’autres massacres haïtiens. Il fut mis en place une politique active d’immigration de Blancs ; ainsi, la République Dominicaine fut le seul pays américain à accepter les réfugiés juifs fuyant les nazis. La petite communauté juive a réussi à s’intégrer, prendre souche et prospérer.

Pour résumer, Haïti s’est construit sans les Blancs et en opposant des populations de couleurs différentes (noirs et mulâtres), contrairement aux Dominicains qui ont su garder une cohérence entre les diverses populations, noires, mulâtres, blanches et aller vers un même but.

Deux siècles après, quels constats en 2020 pour une population comparable :

  • Le PIB/habitant d’Haïti est de 756$ avec un rang de 169/189 pays faisant de ce pays un des plus pauvre de la planète
  • Le PIB/habitant de la République Dominicaine est de 7650$, son PIB est 9 fois supérieur à celui d’Haïti.
  • Espérance de vie supérieure de 10 ans en RD
  • Dépenses d’éducation de 20$ en Haïti contre 181$ en RD
  • 7 voitures pour 1000 habitants en Haïti contre 161 en RD

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Si un jour vous visitez ces 2 pays, vous comprendrez et surtout vous verrez l’importance du contraste économique entre eux : Haïti est une vraie désolation alors que la République Dominicaine est la première économie des Caraïbes !

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Retournons vers l’Afrique et examinons deux autres pays voisins : le Libéria et la Côte d’Ivoire.

 

On le sait peu mais le Libéria fut la première république proclamée en Afrique en 1847 suite à son indépendance. A l’origine, des terres y furent achetées pour implanter d’anciens esclaves américains. Une re-migration avant l’heure (idée à creuser de nos jours). Ces anciens esclaves américano-libériens ont vite recréé une société injuste vis-à-vis des Africains autochtones en établissant un vote censitaire et une forme de travail forcé (un comble). Depuis sa création, des tensions ont toujours existé entre natifs et descendants d’anciens esclaves et on l’a encore vu avec les dernières guerres civiles entre Charles Taylor et Samuel Doe. La petite minorité d’origine américaine s’impose à la grande majorité des natifs. Là aussi, la Négrocratie n’a pas réussi à fusionner ses citoyens en une seule nation, laissant perdurer une forme de tribalisme et des sectarismes. Notons que les Blancs sont très peu présents mis à part une petite communauté libanaise. Malgré le fait que le Libéria soit un paradis fiscal avec un pavillon de complaisance (2ème au monde) et possède les plus grandes plantations d’hévéas, le Libéria reste un pays pauvre, ravagé par la guerre civile et le pillage des ressources naturelles, dirigé par un état impuissant. Le PIB par habitant est de 677$, encore plus pauvre que Haïti avec un taux faible de scolarisation.

Tout à côté, la Côte d’ivoire présente une autre physionomie économique. Son essor est dû à l’intelligence de son premier président Félix Houphouët-Boigny, ancien député et ministre français qui s’est appuyé sur la France et les Français pour assurer à son pays un essor incroyable de 1960 à 1980. Cette relation reste toujours très forte et la France entretient à Abidjan une base militaire importante. Cet essor, par ailleurs, a produit une forte immigration venant de pays voisins. Malgré des difficultés politiques depuis 2000, le pays est stabilisé politiquement depuis et est dirigé par un économiste de renommée internationale. La Côte d’ivoire est le premier producteur de cacao et le second en matière de bois. Son industrie malgré tout représente 40% de celle des pays de l’UEMOA et son PIB/Hab est de 1716$, la Côte d’ivoire restant le pays le plus riche de l’ouest africain francophone. C’est la petite Suisse africaine !

Là aussi, le contraste est net sur le plan économique entre le Libéria et la Côte d’ivoire, soit avec ou sans la présence des Blancs.

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Enfin terminons notre pérégrination en visitant deux pays proches où la présence des Blancs fut dominante longtemps avant d’être soit chassée soit limitée. Il s’agit du Zimbabwe et de l’Afrique du sud.

Malgré des ressources minières, le Zimbabwe était surtout un pays agricole mis en valeur par les nombreux fermiers blancs. Avant 2000, le pays était le grenier à grain de l’Afrique australe et était fournisseur du Programme Alimentaire Mondial. A partir de 2000, Mugabe exproprie les Blancs et redistribue les terres fertiles à ses anciens compagnons entre autres. Sauf qu’ils ne connaissent rien à l’agriculture ! Les récoltes s’effondrent et le pays crie rapidement famine auprès du PAM. Ce pays est en pleine déconfiture, à tel point que les autorités, après l’éviction de Mugabe, ont demandé aux Blancs de revenir. Ils ne se bousculent pas !

Du fait d’une faible population et de ressources importantes exportées, le PIB/hab reste important à 2100€, mais une grande part est captée au profit d’une nomenklatura locale particulièrement rapace.

Enfin, tout le monde connaît la situation de l’Afrique du sud, passée de locomotive économique africaine avec un niveau de vie comparable (pour les Bancs) à celui des Occidentaux, à un pays dirigé par une petite bourgeoisie Noire ayant capté le pouvoir à son seul profit. Malgré le départ de plus de 1 000 000 de Blancs, l’économie reste encore en grande partie entre leurs mains malgré l’Affirmativ Act qui discrimine les Blancs sur des postes subalternes, créant ainsi des petits Bancs pauvres et sans emploi. Cependant, progressivement, ce riche pays s’appauvrit, l’économie sud-africaine étant à bout de souffle, les Blancs quittant peu à peu leur pays. Les indicateurs économiques sont dans le rouge, plombés par une récession économique importante et par les scandales des années Zuma. Il est à noter que le principal responsable des crises sud-africaines est l’ANC par dogmatisme, corruption, clientélisme, incompétences à tous niveaux (politique raciale et sociale), loin de remplir le rêve d’une nation arc en ciel.

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Bien entendu, on ne peut pas tirer de conclusions générales, mais vous aurez remarqué quand même quelques constantes.

1/ Moins il y a de Blancs aux manettes politiques ou économiques, moins la Négrocratie est efficiente économiquement. On peut même parler de vases communicants. Il est évident que la Négrocratie ne s’embarrasse pas de compétences, seule compte la tribu ou la famille.

2/ Les Négrocrates, une fois livrés à eux-mêmes et sans le contrôle des Blancs, ont toujours les mêmes réflexes : être le chef de tribu et s’accaparer tout le pouvoir et le pognon qui va avec. Combien d’empereurs en Haïti ? Deux. Et le dernier a failli couler le pays pour payer le faste du couronnement. Un en Centrafrique qui aurait pu être diamantaire.

3/ La Négrocratie reste toujours une histoire tribale, soit via des ethnies, soit via des partis politiques représentant les intérêts d’un peuple. Le but est de s’enrichir en accaparant les biens des autres. Il y a rarement la création d’une nation globale sauf en République Dominicaine. On voit aussi l’échec de la nation arc en ciel voulue par Nelson Mandela. L’homme était à peine enterré que les Blancs étaient « excommuniés », les Zoulous et les Xhosas se regardaient de travers les mains sur les machettes, l’ANC majoritaire contre tout le monde. Bref, l’Afrique des tribus.

4/ Les Négrocrates sont souvent en guerre entre eux pour savoir qui aura les pépettes et le droit de négocier les ressources du pays à leur seul profit. C’est un aspect du problème qui m’échappe toujours : l’élite au pouvoir ne travaille pas pour le bien du peuple mais pour son seul intérêt. Prenez par exemple le cas de Robert Mugabe, feu le dictateur du Zimbabwe, dont la fortune personnelle évaluée à plus de 7 Milliards de $ correspondait à la dette du pays.

5/ Les Négrocrates sont souvent très racistes. Qu’ils n’aiment pas les blancs, c’est normal car ils sont jaloux tout en gardant les mains dans les poches (fait trop chaud) ou en les tendant pour nous réclamer du fric ; Mais ils se détestent entre eux, noirs, métis, albinos. Je dis souvent que c’est en Afrique et chez les Africains que j’ai entendu et vu le plus de racisme ethnique.  Comment peuvent-ils dans ce cas former une nation ? Comment les Africains vivant en France peuvent-ils se permettre de nous faire la morale sur le racisme supposé des Blancs ?

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CONCLUSION : sans les Blancs, les Africains restent dans la misère ; ils n’ont jamais eu un seul Colbert et encore moins un prix Nobel scientifique ; ils aiment la violence, tuer leurs voisins noirs ou les mettre en esclavage ne les dérangepas le moins du monde. La Négrocratie ne possède aucun facteur clé de succès, mais plutôt une logique d’échec. En fait, la Négrocratie c’est de la M…de dans un boubou (merci Napoléon) !

C’est pourquoi, je refuse de mettre un genou à terre pour m’excuser d’avoir travaillé et réussi ; en plus je n’ai aucune leçon de racisme à recevoir d’un Africain et encore moins quand il vient en fraude en France bouffer gratuitement avec nos cotisations.

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26 Commentaires

  1. les africains , noirs et gris, sont voués a la disparition dans quelques decennies

    ce seront les chinetoques qui en hériteront

    ils sont mille fois moins cons que les blab
    ncs

    seul compte leur intérêt

    les centaines de millions d’ africains leur serviront de magasins de pièces de rechanges d’ organes

    la viande restante remplacera avantageusement les pangolins, est lézards et autres cabots

  2. les blancs sont les méchants La chute de l’Empire maravi, au XIXe siècle, coïncide avec l’arrivée de deux groupes puissants. Les Nguni originaires du Natal (actuelle Afrique du Sud), emmenés par leur chef Zwangendaba, arrivent au Malawi après avoir fui l’Empire zoulou et l’empereur Chaka. Cet important mouvement de populations, appelé Mfecane, qui englobe bien d’autres peuples que les Nguni, a un profond impact sur le sous-continent austral. Tout en fuyant Chaka Zulu, les Nguni du chef Zwangendaba adoptent une grande partie de ses tactiques militaires et les emploient contre les Maravites. Installés dans des régions rocheuses, ils lancent des raids annuels contre leurs voisins Chewa pour ramener esclaves et nourriture.

    Le deuxième groupe qui gagne en influence à cette époque est celui des Ayao (ou Yao), venus du nord du Mozambique pour échapper à la famine et aux conflits avec la tribu Makua. Ils attaquent les Chewa et les Nguni pour revendre les prisonniers comme esclaves. Les Ayao sont les premiers, et restent longtemps les seuls, à employer des armes à feu dans leurs conflits avec d’autres tribus. Convertis à l’Islam au contact des commerçants arabes, ils bénéficient du soutien des cheiks, qui financent des écoles et des mosquées. Les Arabes introduisent également la culture du riz, qui devient prépondérante dans la région lacustre.

    Forts de leur alliance avec les Ayao, les Arabes établissent plusieurs comptoirs le long du lac Malawi. Le plus grand de ces comptoirs est fondé en 1840 à Nkhotakota par Jumbe Salim bin Abdala. Au sommet de son pouvoir, Jumbe fait transiter entre 5 000 et 20 000 esclaves par Nkhotakota par an. Les esclaves sont ensuite acheminés vers l’île de Kilwa Kisiwani, au large de l’actuelle Tanzanie. La fondation de ces comptoirs déplace le centre du commerce des esclaves vers Zanzibar

  3. soudibor : non seulement il est interdit de couper des arbres à St Domingue mais le gouvernement fait planter des acajous le long des routes pour avoir du bois précieux dans des dizaines d’années.
    Quand à Trujillio ; il était plus dangereux pour ses jeunes officiers dont l’épouse était jolie que pour le peuple qui l’aimait et aujourd’hui encore vous trouverez des Dominicains morts de rire en évoquant les massacres des haïtiens le jour du “persil ” car les Haïtiens sont incapables de prononcer correctement persil en espagnol à cause de la jota et c’est ainsi que la police les repérait et continu à le faire .

  4. Je me souviens d’une photo choc, qu’on pouvait voir dans la presse d’il y a une trentaine d’années, montrant la frontière entre Haïti et St Domingue, dans les montagnes.
    A gauche de la ligne frontière, tirée au cordeau, une zone entièrement déboisée, rasée de toute végétation jusqu’à la roche nue : le coté Haïti.
    A droite, une zone entièrement préservée, avec la forêt tropicale luxuriante : le côté St Domingue.
    Tout un symbole de différence de gestion.
    Le commentaire de la photo expliquait que ces pauvres haïtiens en avaient été réduits à devoir déboiser entièrement, pour pouvoir trouver du bois pour réchauffer leurs gamelles, et appelait à la solidarité internationale envers Haïti, expliquant que maintenant que la roche avait été mise à nue, plus rien ne pouvait repousser. Curieusement aucun commentaire sur la partie St Domingue … bizarre, ça devait surement être des vilains fachos à St Domingue, mais rien n’était dit.

    • Je confirme je l’ai vu en 2004 cette frontière, cela glace le sang une telle différence entre les deux côtés de la frontière. Par ailleurs les pauvres et les vagabons sont souvent des haïtiens qui travaillent pour presque rien en RD.

  5. Et bien entendu nous avons des places Mandela partout en France alors que nous n’avons rien à voir avec ce personnage, un peu comme la femme Parks en quelques sorte.

  6. Vous constaterez toutefois que si Haïti a arraché son indépendance en massacrant des soldats Français, depuis lors, ce sont toujours les mêmes gueux qui paient, et sans parler du “colonialisme” qu’ils mettent en place sur les territoires parlant la langue qu’ils haïssent. prétendument., mais qu’ils voudraient pratiquement tous rejoindre. ,

  7. Vécu:
    En 1968, à Dakar, l’ancien tirailleur revêtu de son drap blanc à décorations pendantes demandait: “Dis chef, ça dure longtemps l’indépendance” ?

  8. Aujourd’hui je réponds la même chose à tous les artiche car tout le monde doit en être conscient. Je ne sais plus qui a dit je ne sais plus où – « Les Chinois nous disent que l’Occident est en train de vivre sa révolution culturelle chinoise ». Souvenez-vous des dégâts que cela a fait en Chine !

  9. Au Libéria où j’ai eu la chance d’aller pour quelques mois, les seuls, je dis bien les seuls magasins d’une certaine importance, quel que soit leur fond de commerce,…… Bricolage, grande surface, ameublement etc, tout ce que vous voulez, étaient tenus par des Libanais. Pas un magasin tenu par un Libérien. Dans les restaurants, les chefs sont blancs, les maîtres d’hôtel sont blancs, pas un seul Libérien.

  10. J’ai lu il y a bien des années le livre que Mario Vargas Llosa a consacré au dictateur Trujillo sous le titre : La fête au bouc. Malgré le titre, il ne s’agit pas des orgies du dictateur mais de la terreur qu’il fit régner avec sa police omniprésente. Malgré le caractère implacable du dictateur contre toute forme de contestation – certains opposants arrêtés ont fini lâchés par la police du haut de la trappe d’un avion, d’autres par des méthodes plus terre-à-terre mais très efficaces comme la torture – le romancier réussit à ne pas le haïr et le présenter dans ses multiples facettes. L’époque et les différentes composantes ethno-culturelles de la population sont évoquées, notamment les Libanais, nombreux, venus du Liban à la fin du 19ème siècle chassés souvent par des conflits ethniques et sans doute la férule pesante de l’empire ottoman et dont la communauté a grandement contribué au développement économique de Saint Domingue. Livfre très prenant dont la lecture m’a hantée durant des années.

    • Il n’y a pas photo, Trujillo était un dictateur féroce avec pas mal de sang sur les mains (il a fait massacrer pas mal d’Haïtiens entre autre). Il en demeure pas moins qu’économiquement il a été clairvoyant. et a mené la RD vers le chemin du développement.

  11. OK pour l’article à part une énorme fausseté : dire de la Côte d’Ivoire que “malgré des difficultés politiques depuis 2000, le pays est stabilisé politiquement depuis et est dirigé par un économiste de renommée internationale” est tout à fait faux. Ce pays a été complètement déstabilisé par Ouattara et son ‘pote’ Sarkozy qui y ont amené la guerre et des milliers de morts, ce pour virer Gbagbo et le mettre en prison (et, quoique jugé innocent, tout est fait pour l’empêcher d’être vraiment libre). Ce même Ouattara (qui n’est pas du tout un’ économiste de renommée internationale’! Il a juste travaillé au FMI), né burkinabé et non ivoirien, et maintenant à la tête de la Côte d’Ivoire, est une véritable crapule sans foi ni loi. “Stabilisé’ mon oeil, de plus en plus de gens sont dans misère et lui continue de se gaver sur leur dos. Une sorte de Macronie africaine…

    • Désolé, mais pour bien connaitre la Côte d’Ivoire, je vous laisse libre de votre commentaire, mais je ne suis absolument pas d’accord. S’il y a eu une crapule en RCI c’est Bagbo le boulanger socialiste (car il roule tout le monde dans la farine) et sa volonté d’empêcher Ouattara de se présenter aux élections. Et la dernière fois, quand il a été battu loyalement, il a fallu que l’armée française s’en mêle pour le virer. On peut critiquer Ouattara (surtout si vous êtes Bété), mais depuis depuis qu’il est au pouvoir, la RCI évolue, a retrouvé une belle croissance. Tout n’est pas rose certainement, mais Ouattara est un dirigeant sérieux. en tout cas mes anciens collaborateurs Bétés ne semblent pas s’en plaindre et me demande souvent de revenir créer une nouvelle boîte… ce qui hors de question !

      • Cela me fait penser aux macronistes : aveugles naïfs encensant leur maître qui se fout du bon peuple et élu, comme Ouattara, grâce à des procédés frauduleux. Macron Ouattara : deux crapules.

        • En matière de fraude et de magouille, Ouattara n’arrive pas aux chevilles de Bagbo le socialo qui a plombé ce si beau pays !

  12. n’y a t il pas une Union Africaine qui devrait faire le boulot comme UE ? lutte contre le terrorisme la famine et travailler pour le peuple africain? curieux les médias français n’en parlent que rarement , quand on voit le résultat … Jamais je baisserai les yeux ni la tête devant ces gens

  13. Pour la statue de Colbert taguée pourquoi pas appliquer le œil pour œil dent pour dent sur la fresque de stains par exemple je dis ça je dis rien .et pour la dernière phrase de l’article de vade-mecum idem ,je n’ai a m’excuser de rien .et si ils ne sont pas contents c’est pareil .

    • Soyons clair : les africains n’arrivent déjà pas à s’entendre entre ethnies du même pays, alors au niveau du continent c’est mission impossible. D’ailleurs les rares qui ont entrepris cela sont morts, Kaddafi le premier.

  14. Un ami me racontait au retour de vacances en Martinique que c’était le seul endroit ou il avait entendu l’expression : ” sale nègre” , et c’était seulement entre noirs.

    • J’ai connu ça.
      Les conducteurs préféraient être contrôlés par des gendarmes Blancs disant qu’au moins il pouvaient discuter.

  15. Un ami de mon père qui avait été en Afrique ma dit un jour, “tu vois pour faire une guerre en Afrique c’est pas compliqué, tu choisi un village fortement peuplé, c’est pas difficile il n’y a que ça, tu jette par avion, déconne pas n’y va pas à pied, une veste militaire, un képi et un fusil, tu peux être tranquille, le premier qui met la veste et le képi et qui prend le flingue devient général et va faire la guerre au village voisin et en rien de temps c’est la guerre partout. in.

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