Castaner, ministre con, fier de l’être et sûr de le rester ! (Rester con, pas ministre…)



Le JDD publie une interview de notre ministre de l’Intérieur absolument remarquable (l’interview, pas le ministre…).
Elle montre combien l’abîme de la bêtise peut être insondable.

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Castaner fait l’unanimité contre lui (pardon, l’unanimité moins une voix : la sienne).

Il faut dire qu’il les cumule avec une ardeur impressionnante ces derniers temps.



Le principal reproche à lui faire est qu’il est l’archétype du mauvais chef.
Une des principales vertus d’un chef est de soutenir ses hommes même (et surtout) quand ils ont fauté.
Castaner les accable, même quand il n’ont pas fauté de manière certaine. N’est-il pas l’auteur du magnifique oxymore du « soupçon avéré » ?

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Affaiblir les forces de l’ordre en leur interdisant une technique d’immobilisation des récalcitrants est aussi une erreur grossière. Persister devant les réactions unanimes en est une encore plus grosse.

L’épisode du genou à terre n’est pas mal non plus. Un ministre de l’Intérieur, premier flic de France, censé être garant de l’ordre, ne s’agenouille devant personne.

Donc incapable de diriger, n’ayant de plus compris ni sa mission ni son rôle, il n’a franchement rien à faire place Beauvau. L’erreur de casting est devenue si manifeste que même lui commence à comprendre qu’il est sur un siège éjectable.

Il tente de s’accrocher à son poste par tous les moyens, comme en atteste cette magnifique interview où il défend son bilan :

Christophe Castaner veut rester au ministère de l’Intérieur, assumant de « bousculer les choses »

Certes, pour les bousculer, il les bouscule !

Mais façon chien dans un jeu de quilles ou bien éléphant dans un magasin de porcelaine.

Il lui arrive néanmoins d’avoir des éclairs de lucidité, car il reconnaît qu’« il y a eu des tensions », mais la cécité reprend vite le dessus, car il n’a «jamais eu le sentiment d’être lâché par la base ».
Les menottes symboliquement jetées à terre ? Il n’a pas dû bien voir.

Il est grand temps que ce guignol dégage. Il est surprenant que Macron ait toléré un tel boulet jusqu’à présent. Castaner aurait-il un dossier ?

Juste un petit conseil à Macron : qu’il attende la rentrée pour tirer la chasse.

En effet, que pourrait bien faire Castaner s’il perdait son maroquin avant ?

Les boîtes de nuit sont fermées jusqu’en septembre…

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7 Commentaires

  1. Seul le caca sent le caca et Castaner dégage une odeur fétide, une odeur de caca.

    En voilà au moins un de clairement identifié…

  2. Faites savoir concrètement au Président “Micron” que vous partagez pleinement l’opinion exprimée au sujet de Castaner dans cet article :
    IMPRIMER l’article et L’ENVOYER par La Poste à l’ADRESSE POSTALE PUBLIQUE du Président “Micron” que vous trouverez au paragraphe 2 sur la page
    https://formalites-administratives.ooreka.fr/fiche/voir/632053/ecrire-au-president-de-la-republique
    A noter : il n’y a PAS BESOIN de timbrer.
    Pour imprimer facilement l’article, c’est pas compliqué :
    Cliquer sur la barre verte « Print Friendly » en bas à gauche du présent article.
    (ou accès direct : https://www.printfriendly.com/p/g/qbXG37 )
    Dans la fenêtre d’impression qui s’ouvre, choisir la taille de texte 120% et la taille d’image 100%.
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    Choisir la taille de page « A4 » (« Letter » est le format américain) puis cliquer sur « Téléchargez votre PDF » et enregistrer le PDF sur votre ordinateur.
    Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version PDF de 2 pages, au choix : en deux feuilles imprimées recto chacune ou bien en une seule feuille imprimée recto-verso.
    Signer au bas de la dernière page, dans l’espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnées complètes à un aspirant-dictateur…) et poster.
    Voilà, faire acte concret de résistance afin d’avoir la peau d’un collabo ministre de l’intérieur ça commence sans même avoir besoin d’investir un timbre.

  3. Alors la question de fond est : pourquoi µcron l’a nommé à ce poste ?

  4. Bof il a déjà un genoux à terre, comme les fiottes, d’habitude il se couche devant.
    Il n’a rien d’un ministre, un sinistre tout au plus, comme son maître qui hante l’Elysée.

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