3 des 4 auteurs de l’étude du Lancet se rétractent… Véran ne bouge toujours pas, Véran assassin !!!!

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Tout est faux, du début à la fin, tout le monde fait du retro-pédalage, même l’OMS… Tout le monde sauf Véran qui n’a pas un mot, pas un geste pour annuler son arrêté d’interdiction de l’hydroxychloroquine. Véran Assassin !

Qui, en France, a intérêt à dégommer Raoult et/ou l’hydroxychloroquine ? Qui ? 

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Coronavirus : trois des auteurs de l’étude sur l’hydroxychloroquine du Lancet se rétractent

Ces trois auteurs écrivent dans la revue qu’ils ne « peuvent plus se porter garant de la véracité des sources des données primaires

Nouveau coup de théâtre pour l’étude controversée sur l’hydroxychloroquinee publié par The Lancet. À leur demande, trois des quatre auteurs de l’article ont demandé sa rétractation, a annoncé ce jeudi soir la revue.

« Nous ne pouvons plus nous porter garant de la véracité des sources des données primaires », écrivent Mandeep Mehra, Frank Ruschitzka et Amit Patelles. En cause, le refus de Surgisphere de donner accès à la base de données collectées. Cette société a été fondée et est présidée par Sapan Desai, le quatrième auteur de l’article.

Contacté par Le Parisien ce jeudi soir, Mandeep R. Mehra, l’auteur principal, présente ses excuses. « Je n’ai pas fait assez pour m’assurer que la source de données était appropriée. J’ai toujours effectué mes recherches conformément aux plus hautes directives éthiques et professionnelles. Cependant, nous ne pouvons jamais oublier la responsabilité qui nous incombe en tant que chercheurs de veiller scrupuleusement à ce que nous nous appuyions sur des sources de données qui respectent nos normes élevées. Pour cela, et pour toutes les perturbations – directes et indirectes – je suis vraiment désolé ».

« Comme nous n’avons pas la possibilité de vérifier les données primaires ou la source des données primaires, je n’ai plus confiance dans l’origine et la véracité des données, ni dans les conclusions auxquelles elles ont donné lieu », nous explique-t-il.

Publiée le 22 mai, l’étude concluait que l’hydroxychloroquine n’est pas bénéfique aux malades du Covid-19 hospitalisés et peut même être néfaste. Sa parution avait eu un retentissement mondial et des répercussions spectaculaires, poussant notamment l’OMS (Organisation mondiale de la santé) à suspendre les essais cliniques sur l’hydroxychloroquine contre le Covid-19.

Mais finalement, après de nombreuses critiques mettant en cause la méthodologie de l’étude, y compris de la part de scientifiques sceptiques sur l’intérêt de l’hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19, l’OMS a annoncé mercredi la reprise des essais cliniques avec cette molécule.

Surgisphere invoque des accords de confidentialité

Les critiques mettaient en particulier en cause les données sur lesquelles se fondait l’étude (96 000 patients hospitalisés entre décembre et avril dans 671 hôpitaux, récoltées) récoltées par Surgisphere. Mardi déjà, The Lancet avait émis des réserves sur l’étude sous la forme d’une « expression of concern » (« expression de préoccupation »), déclaration formelle employée par les revues scientifiques pour signifier qu’une étude pose potentiellement problème.

« Nous avons lancé une analyse indépendante de Surgisphere avec l’accord de Sapan Desai pour évaluer l’origine des éléments de la base de données, confirmer qu’elle était complète et répliquer les analyses présentées dans l’article », écrivent les trois autres auteurs dans le texte publié par le Lancet.

Mais Surgisphere ayant refusé de transférer la base de données en raison des accords de confidentialité avec ses clients (les hôpitaux à l’origine des données), les experts missionnés « n’ont pas pu conduire une revue indépendante et nous ont informés de leur retrait du processus d’évaluation par les pairs », ajoutent-ils.

Egalement contacté par Le Parisien, le Docteur Desai, patron de Surgisphere, ne « souhaite plus faire le moindre commentaire pour le moment », nous indiquent ses communicants.

https://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-trois-des-auteurs-de-l-etude-sur-l-hydroxychloroquine-du-lancet-se-retractent-04-06-2020-8330163.php

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25 Commentaires

  1. Cela me rappelle une découverte sans précédent qui avait il y a une quarantaine d’années fait les gros titres des revues scientifiques; Il s’agit-ssait de :”la mémoire de l’eau”du docteur Benveniste. comme aucun protocole sérieux. n’avait a l’époque validé cette “découverte” tous s’étaient vite retractés. La revue sciences et vie avait même édité un cheque de un millions de francs a son ordre s’il venait faire le démonstration dans ses labos. Le chèque doit toujours être encadré dans le bureau du patron. Il avait même été dit a l’époque que cela allait fonder la réalité de l’homéopathie. Par contre Boiron continue a vendre sa poudre blanche aux crédules . Véran doit faire son réa culpa et démissionner la queue basse. Ensuite aux patriotes a voir qu’il ne soit pas repris dans une commission théodule.

  2. Au fait, il serait temps que les anciens militaires qui avaient l’obligation par les toubibs militaires de se shooter à la quinine portent plainte.
    Cette sou-m. des gouvernementeurs a enfin compris tous les problèmes que les anciens ont eus après leur retour.

  3. La pose du mec altier qui monte sur l’estrade et dit “J’assume”, ça peut aussi bien être un jeu de scène tout à fait rodé, car au départ il assume (“supporte”) … quoi ? Il rembourse le chèque perçu ? Quel chèque … lol ? : demain, il va se dorer aussi bien (lol !) qu’un autre.
    Même théatre de “caballeros” pour boites à touristes que Macron et son “venez me chercher”.

    • Véran c’est une carpette à macron sans envergure . Il a bénéficié d’un concours de circonstance pour être là .La nullité ose se mesurer à la sommité .
      Le combat ne devrait pas être égal mais les cons çà ne doute de rien . Il doit y avoir de sacrés intérêt . Et en même temps il faut se dire un truc c’est que cela est devenu un combat à mort.. C’est lui Raoult ou eux !Si sont traitement est reconnu macron est accusé de tous les morts qui n’ont pas bènéficié du taitement . ,tout simplement . D’où ces manifs raciales qui arrangent bien le gouvernement pour éloigner les médias des vrais sujets. Bizarre le racialisme utilisés des deux côté de l’Atlantique pour détourner les attentions en amusant la galerie. Au moment du Obama gate et du scandale de macron ,les attaques contre Raoult et les conflits d’intérêts de ministres avec des labos .Cela sent mauvais pour certains et pas ceux que l’on pense.
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      • Je ne me fais aucune illusion: ils trouveront encore suffisamment d’ahuris pour leur poser leur bulletin de veaute.

  4. Mandeep R. Mehra, directeur médical du centre cardiaque et vasculaire de l’hôpital Brigham and Women’s à Boston, se confond aujourd’hui en excuses.”

    encore un MEHRDAH

    EN FAIT CE SONT DES INDIENS le Patel est du Kerala, oul ils sont des centaines de milliers a porter ce nom
    pareilpour le Desai

    ces deux tribus ont envahi la région parisienne

    et voilà ce qui arrive quand on permet a ces arnaqueurs nés de s’ installer dans un pays occidental, avec ses bonnes manières

  5. J ai fini par retrouver la trace putride de VARAN

    il s’ est réfugié sur l’ ile de KOMODO

    Sale reptile qui a été l’ un des pires avec le croque mort Salomon qu on a rangé dans le cercueil multiplace

  6. D’après les avocats que nous avons sollicités Il semblerait que Veran fait partie de ceux qui ce sont rétractés. Citation :
    Rétractation de l’étude anti chloroquine du “Lancet”
    Quelle histoire ! Dans ce dernier épisode de la saga #LancetGate, trois des quatre auteurs de l’étude qui a déclenché la suspension des essais chloroquine en France (Olivier Véran, Ministre de la Santé – HAS, Haute Autorité de Santé) et dans le Monde (OMS, Organisation Mondiale de la Santé) se sont rétractés de leur étude.

    Ne s’est pas (encore) rétracté Sapan Desai, co-fondateur de la société Surgisphere qui a “fourni” les données de l’étude… entreprise surgie de nulle part!
    Toute cette histoire renforce notre détermination. Nous espérons pouvoir vous faire lire notre argumentation juridique d’ici au 20 juin 2020.
    À suivre…
    Lire la source en ligne ici:
    http://x2mmq.mjt.lu/nl2/x2mmq/5rw9g.html?m=AUoAAAKaRxIAAchjPLYAALL6ZLMAAYCsBDsAm8LaAA9UPABe2XMJ2lJnasnsSSSftTMVIMN6AgAPGyQ&b=9354c45c&e=93b02571&x=gEAlpK5dD6o5ioJW-VBd9A
    Une question : Y aurait-il du retard à l’allumage quelque part et peut-on nous confirmer si Veran c’est rétracté où pas ?

    • Les 4 auteurs sont :
      – Mandeep R. Mehra
      – Sapan S. Desai
      – Frank Ruschitzka
      – Amit N. Patel

      Olivier Véran n’en fait pas partie donc attention à ne pas induire les lecteurs en erreur.
      Les trois qui se sont rétractés sont ceux qui ne sont pas Sapan Desai. Ce dernier étant le patron de Surgisphere, celui qui s’est le plus mouillé dans la combine puisqu’il est le fournisseur des données, les autres étant censés n’avoir été que les analystes qui ont interprété ces données.

  7. Il reste à Francedesinfo à inviter Veran sur plateau tv pour explications. Mais comme on connait les médias, ils ne diront rien et laisseront passer, en comité de rédaction ils vont faire gaffe si l’info est désagréable pour eux.

  8. OK, on continue de se moquer de nous.

    La réponse a été donnée à la question par Sibeth Ndiaye, lors de son compte-rendu du Conseil des Ministres en date du 3 juin.
    C’est ici : https://www.pscp.tv/Elysee/1LyGBNXljZrGN?t=6m18s à 6m18s (le curseur est positionné à la bonne séquence)

    Deux réponses, seule la deuxième compte.
    1. Olivier Véran a écrit au Lancet pour demander des comptes. Je comprends que cela signifie : tout comme vous, nous nous posons des questions et exigeons la vérité. Bref, pur blabla
    2. de toute façons, cela ne change rien puisque notre décision a été fondée non seulement sur cette étude mais aussi sur d’autres.

    La question de l’illégalité de ce décret qui prive les médecins de leur liberté de prescrire n’est bien sûr pas abordée.
    La France sous Macron ressemble de plus en plus à une dictature, et ce gouvernement affiche assez clairement son mépris pour ceux qui ne l’ont pas encore compris : “Cn fait ce qui nous plait et si vous n’êtes pas content, ça nous fait une belle jambe”.

  9. Chez les policiers on dit “Pour trouver le truand, cherchez sa femme”. Dans le cas de Véran, nos collègues de Riposte Laïque ont déjà trouvé la femme de Véran, c’est la députée Coralie Dubost, qui outre partager son lit partage aussi et surtout sa haine du Pr Raoult :
    https://ripostelaique.com/coralie-dubost-la-poule-de-veran-a-voulu-se-farcir-le-pr-raoult.html
    Alors pour faire passer un message à Véran, il suffit d’imprimer le présent article et de l’envoyer à sa poule ci-dessus dont vous trouverez l’adresse postale publique sur la page
    http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/fiche/OMC_PA719684
    en cliquant à droite sur la rubrique “Contact”.
    Il y a deux adresses postales, au choix (ou aux deux !) : celle de l’assemblée nationale ou (et) celle de sa permanence électorale en région.
    Pour imprimer facilement l’article, c’est pas compliqué :
    Cliquer sur la barre verte « Print Friendly » en bas à gauche du présent article.
    (ou accès direct : https://www.printfriendly.com/p/g/cNZ5AL )
    Dans la fenêtre d’impression qui s’ouvre, choisir la taille de texte 120% et la taille d’image 100%.
    Ceci fait, cliquer sur l’icône PDF.
    Choisir la taille de page « A4 » (« Letter » est le format américain) puis cliquer sur « Téléchargez votre PDF » et enregistrer le PDF sur votre ordinateur.
    Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version PDF de 3 pages, en deux feuilles : la première feuille imprimée recto-verso avec les pages 1 & 2 et la deuxième feuille imprimée recto seulement avec la page 3.
    Sur la page 4 restée blanche vous pouvez écrire, en gros, un slogan ou un commentaire percutant de votre crû (personnellement j’ai choisi le classique VERAN SALAUD LE PEUPLE AURA TA PEAU).
    Signer au bas de cette dernière page, en petit, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnées complètes à un assassin…) et poster.
    Voilà, faire acte concret de résistance ça commence en investissant un (ou deux) timbre(s).

  10. Il y a une échéance claire. Les “Questions au gouvernement” du mardi, à l’Assemblée nationale.
    Soit Olivier Véran aura bougé d’ici là (c.-à-d. qu’il aura annoncé que ce décret serait abrogé)
    Soit il se verra questionné, nécessairement, par un élu, sur cette question : “Qu’attendez-vous pour révoquer ce décret qui n’est plus du tout justifié scientifiquement ? Qu’est-ce qui vous a poussé à réagir avec une telle célérité sachant déjà que tous les professionnels qui avaient lu l’enquête se rendaient compte de sa médiocrité (cf. le Pr. Froguel qui parle d’une “étude de merde”) ?”

    Cette affaire sera donc réglée prochainement. Si Véran nous fait du Sibeth Ndiaye, lors de la réponse qu’il fournira à la question qui ne manquera pas d’être posée, alors on aura un moment d’anthologie de la démoctature macronienne, qui devrait fournir la matière d’un scandale de plus. France-Soir et Marianne pourraient alors consacrer quelques articles à ce sujet.
    Pour ma part, je suis très étonné du silence de Valeurs Actuelles sur la question. A croire qu’il n’y a pas lieu, pour leurs journalistes, de traiter ce sujet majeur.

    On peut aussi imaginer l’inimaginable : que Véran se fasse porter pâle, ou pire, qu’aucun de nos représentants ne pose la question.

    Bref, mardi est la ligne d’horizon.

  11. Cela doit couiner chez patrick cohen, vous savez, le 30 ème couteau journaleux qui attaquait le Professeur Raoult sur son protocole, les virus, la vaccination, etc… lorsque le Lancet publiait son torchon, Hahaha, on ne l’entend plus sur le sujet, ni Karine Lacombe la 2ème couteau d’ailleurs et bien d’autres encore que j’oublie.

  12. Il serait intéressant de voir qui se cache derrière Surgisphere, je forme l’hypothèse que pas mal de labos de Big Pharma doivent être derrière cette entité mystérieuse et certains éditeurs du Lancet ont dû aussi être bien “arrosés”.
    Il faut savoir que lorsqu’on soumet une publication à un journal scientifique correct (en existe-t’il encore?) les pairs chargés de juger la recevabilité du travail ont le droit d’exiger toutes les données et tous les documents qu’ils estiment nécessaire pour juger de la qualité et de l’honnêteté du travail. L’éditeur du journal qui prend la décision finale est lui aussi en droit d’exiger toute donnée ou document lui permettant d’apprécier la qualité, l’honnêteté et l’originalité du travail. Si vous ne fournissez pas ce que vous demandent ces personnes, ou si les documents que vous fournissez sont bidon, votre article est tout simplement refusé.
    Pour qu’un article comme celui-là passe au travers du processus d’évaluation, il ne peut pas ne pas y avoir eu de la complaisance de plusieurs personnes. Cette complaisance n’est pas gratuite et très probablement il y en a là dedans qui ont dû en retirer de très juteux avantages. Allez disons le : Surgisphere, le Lancet, Veran, Macron, leur conseil scientifique de faiseurs de courbettes et tous les autres acteurs de cette morbide kabbale sont des pourritures corrompues, il est très probable qu’ils n’ont pas hésité une seule seconde à regarder crever comme des chiens des français, nos aînés, nos soignants, et tout ça pour une sale affaire de fric. Le FRIC leur seule et unique religion, ce dieu qui est le leur et qu’ils placent au dessus de toute vie humaine. Des gibiers de potence que je vous dis!!

    • Tu as entièrement raison, il y a eu forcément de puissants donneurs d’ordre….

      • Les puissants qui payent pour influencer en leur faveur viennent tous du “marécage putride” de l’état profond que Trump est entrain d’assenir, mais macron étant embourbé jusqu’au cou avec les pieds nickelés va faire sauter Veran pour ce protéger croit il… Hahaha

        • Trump, à raison, est en train de curer, pas nettoyer, littéralement curer les écuries d’Augias, c’est pour cela qu’il y a un déchainement contre lui sans précédent pour un Président ! Longue vie à cet homme et que Dieu le bénisse !
          Il a mis un coup de bélier dans cette fournillière d’ordures criminelles ! Il va réussir car c’est la volonté du Tout Puissant !

      • Forcément Christine, et je rajouterai que le processus d’évaluation d’un article est confidentiel, ce qui veut dire que tout document ou source de donnée communiqués par les auteurs aux évaluateurs et aux éditeurs sont couverts par la close de confidentialité, donc soit les évaluateurs et les éditeurs ont vu ces documents bidon et on laissé passer l’article (1er couac), soit il ne les ont pas demandés (2d couac) car il est impossible de juger correctement et honnêtement un travail scientifique si les données nécessaires ne sont pas accessibles. L’argument de Sugisphère quant à la confidentialité des données ne tient pas, elle auraient au moins dû être transmises aux personnes chargées d’évaluer l’article qui après analyse auraient dû recaler ce torchon.
        Maintenant une fois l’article publié vous avez la responsabilité de ce qui est publié et il est normal que des collègues chercheurs du monde entier, à un moment où à un autre, vous demandent des précisions ou des données complémentaires et vous ne pouvez pas, éthiquement parlant, refuser de leur donner accès aux données et précisions qu’ils demandent, vous pouvez leur faire signer un close de confidentialité si nécessaire mais vous ne pouvez pas refuser toute donnée ou précision demandée par un collègue chercheur sur un travail à partir du moment où il est publié. J’ai moi même travaillé avec des données émanant de patients, les résultats publiés ne mentionnaient aucun nom de patient bien évidemment, chaque patient avait été codé et était représenté par un code alphanumérique il n’y avait donc aucun problème de confidentialité
        Tout ça pour dire que la confidentialité des données invoquée par Surgisphère est totalement bidon et que là dessous il ne peut pas ne pas y avoir une sale affaire de gros sous et de corruption. Et il est affligeant de constater que des revues (jadis) prestigieuses comme le Lancet soient tombées si bas dans la pourriture. Mais il faut malheureusement reconnaitre que c’est pratiquement le cas de tous les grands journaux scientifiques aujourd’hui.La pourriture est partout.

        • Je partage votre analyse et pose les questions:
          A qui profite le crime compte tenu du fait que tôt ou tard la supercherie aurait été obligatoirement découverte ?
          A-t-on essayé de gagner du temps, cacher provisoirement une vérité, laquelle, et à quelles fins ?
          Qui a financé cette étude ?
          Pourquoi des noms ont-ils accepté d’être entachés par une étude bidon ?
          Nous ne voyons qu’une partie des choses, ce scandale mondial mais, pourquoi nous fait-on regarder dans cette direction, que veut-on nous cacher pendant ce temps ?

          • Vos questions sont pertinentes; une réponse simple (pas nécessairement la bonne réponse) est que ces gens sont tellement déconnectés du reste du monde, tellement dotés d’un égo hyper-dimensionné et tellement convaincus de la haute valeur de leur unique personne, qu’ils s’imaginent que le reste du monde est si con que jamais personne ne s’apercevra de leur supercherie ou du moins que ça prendra beaucoup de temps.
            Le crime semble profiter a Big Pharma c’est sûr qu’un médoc sous brevet à 500 euros la boite ça rapporte plus qu’un cocktail de deux molécules tombées dans le domaine public. Pourquoi des noms ont accepté d’être entachés? Vous savez avec du fric on peut tout acheter et je ne me fais aucun souci pour des pourritures comme Véran qui probablement devront démissionner sous les huées mais qui se retrouveront bien casés par ce système à un poste inutile mais très grassement payé dans un quelconque comité Théodule. On est en présence d’un “système” qui a pourri le monde entier jusque dans ses moindres recoins et qui n’hésite devant rien pour ramasser toujours plus de fric même s’ils faut voir mourir des gens pour ça. Et je me demande bien pourquoi vouloir toujours plus de fric quand on a des milliers de fois ce qu’il faut pour bien vivre? (Mais c’est une autre question)

  13. Allo Véran, où es tu ?
    Le Professeur Raoult avait donc raison, je sais, c’est très dur pour un second couteau de le reconnaître et cela demande de l’honnêteté morale et scientifique.
    Quand allez vous reinstorer le droit aux médecins de Ville de prescrire l’hydroxychloroquine pour soigner leurs patients monsieur Veran et démissionner dans la foulée ?

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