Le toutou Taché exulte : pas de rapport entre terrorisme et immigration ! Vraiment ?

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Le zozo n’est pas capable de le démontrer, mais il jubile, tweetant le titre de l’article du Point… Puisque les medias macroniens le disent c’est forcément que c’est vrai, hein ! Oyez la bonne parole du dhimmi Taché, peuple illettré de Gaulois réfractaires, qui osez, bande de fachos, imputer le terrorisme à l’immigration.

Je n’ai pas lu la prétendue étude/démonstration du Point… je ne vais pas payer ce PQ pour ça, quand même ! 

Mais il suffit juste, pour démontrer l’imposture… de démontrer a contrario le lien entre immigration et terrorisme. Ne devrait-on pas plutôt faire le rapprochement, entre islam et terrorisme et, partant, entre immigration musulmane et terrorisme  quand on étudie les seuls pays occidentaux. Et peut-être est-ce là la clé de l’arnaque du titre du Point repris par Taché. Titre qui, à lui tout seul, est une insulte aux victimes des attentats de 2015.

Et leur démonstration est, pour le moins, tirée par les cheveux… oui les terroristes viennent de pays où il y a du terrorisme mais pour autant il n’y a pas de lien entre immigration et terrorisme… Et puis ce lien est affirmé par les populistes… donc il n’est pas valable ! Les auteurs laissent entendre que ce serait la mauvais accueil fait aux immigrés qui les pousserait au terrorisme. Bref, du Macron dans le texte, on comprend que le sinistre Taché applaudisse.

Quatre chercheurs, proches du Cato Institute – un think tank libertarien américain, viennent de publier une étude, « Do immigrants import terrorism ? », qui bat en brèche ce discours. Leur conclusion est radicale : « Nous n’observons aucune relation entre immigration et terrorisme, que ce soit en nombre d’attaques ou de victimes, dans les pays d’accueil. »

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Peu de travaux ont été réalisés sur le sujet. Les auteurs en recensent deux :

  • Le premier, publié en 2017, analysait l’immigration bilatérale entre 20 pays d’accueil (tous membres de l’OCDE) et 187 pays d’origine, entre 1980 et 2010. Il ne relevait « aucune preuve qui suggère que l’immigration venant des pays “musulmans” suscite un plus grand risque de terrorisme dans les pays d’accueil ». L’étude notait toutefois qu’il existe « un risque terroriste accru dans le cas où le terrorisme est élevé dans le pays d’origine ».
  • Le second, publié en 2016, qui analysait des données s’étalant entre 1970 et 2000, concluait que « les pays d’origine ayant un niveau de terrorisme plus élevé tendent à transmettre l’activité terroriste aux pays de destination qui reçoivent le plus de leurs migrants ».

L’étude de Forrester et ses coauteurs innove, d’abord parce qu’elle est plus vaste : elle porte sur 170 pays de destination, de 1995 à 2015. Son apport réside ensuite dans ce qu’elle porte plus particulièrement son attention sur les pays musulmans et ceux qui sont en guerre – c’est-à-dire les pays que visait le président Trump avec ses décrets.

[…]

Les auteurs font plusieurs hypothèses pour concevoir le lien qui pourrait exister entre terrorisme et migrations. D’abord, les terroristes pourraient s’insérer parmi les flux de migrants « classiques ». Ensuite, les enfants de migrants pourraient devenir terroristes (ce fut le cas, par exemple, disent les auteurs, pour les attentats contre Charlie, en France, en 2015), « en réaction à des discriminations, réelles ou perçues » (ce qui mériterait d’être discuté !) et « en raison de contacts avec des groupes terroristes des pays d’origine de leurs parents ». Ainsi, l’immigration pourrait favoriser le terrorisme en ayant pour effet d’inciter « les personnes nées dans le pays à renforcer leur comportement hostile à l’égard des immigrants ».

[…]

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 On sait que la fameuse étude évoquée par le Point et le caniche Taché porte sur… 170 pays, soit presque la terre entière, ce qui dilue sérieusement le poids de ce que nous subissons, nous, en Europe  ! 

Combien de pays accueillant des migrants parmi ces 170 ? Combien de pays musulmans  subissant le terrorisme ? Combien de pays non musulmans subissant le terrorisme ?  Combien de pays subissant à la fois migrants et terrorisme ? Peut-être que la réponse est dans l’article du Point, mais étudier en même temps terrorisme et immigration dans 170 pays revient à manipuler et mentir. 

Il est évident que dans nombres de pays musulmans, le terrorisme existe, des sunnites vers les chiites et réciproquement, quand il ne s’agit pas de règlements de compte politiques, et qu’il n’est pas question ici d’immigration. Mais ce n’est pas notre problème, à nous, en Europe…

Il est évident que dans nombre de pays non musulmans, en Afrique notamment, le terrorisme musulman existe… pour obliger les chrétiens à se soumettre et à se convertir. Et il n’est pas question ici d’immigration. Mais ce n’est pas notre problème, à nous, en Europe…

Il est évident que dans nombre de pays non musulmans européens, le terrorisme musulman qui est là également pour imposer l’islam partout dans le monde, est lié, forcément à l’immigration. D’abord parce que le terrorisme, chez nous, est toujours musulman. Ensuite parce que l’immense majorité des assassins musulmans sont des migrants, demandeurs d’asile ou descendants d’immigrés (voir les exemples dans les deux articles cités ci-dessous) . Il y a quelques terroristes d’origine française, des convertis, certes, mais ils ne le sont que parce qu’ils ont côtoyé des musulmans, qu’ils ont habité des banlieues où, pour se faire accepter, il faut embrasser l’islam, qu’ils ont fréquenté des mosquées qui ne sont là, en France… qu’à cause des immigrés musulmans et pour eux. L’islam n’est pas une religion de France, elle est importée et imposée alors que, chaque jour, elle montre son incompatibilité avec notre pays, et le terrorisme, musulman, n’arrive qu’avec l’immigration musulmane. D’aucuns essaient d’expliquer le terrorisme par les difficultés d’assimilation, oubliant délibérément la mission djihadiste confiée à Mahomet et ses fidèles par Allah. Mais cela ne change rien quant au résultat. Impossible de démontrer le contraire…

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Lisons 2 extraits d’articles sur ce sujet, venant de gens qui ne sont pas proches de RR. Certes, ils disent bien que tous les migrants ne sont pas des terroristes mais la plupart des terroristes sont des migrants, des immigrés ou des descendants d’immigrés…

Et si un diplomate favorable aux migrations est le premier à dire qu’il faut relier les fichiers de migrants et les fichiers anti-terroristes, ce n’est pas un hasard.

Guylain Chevrier, par exemple, dans Atlantico, affirme que ce n’est pas très sérieux de dire la même chose que Taché.

Guylain Chevrier, docteur en histoire, enseignant et formateur en travail social, vice-président du Comité Laïcité République. 4 septembre 2019

[Les articles de la revue de presse sont sélectionnés à titre informatif et ne reflètent pas nécessairement la position du Comité Laïcité République.]

“Selon une récente étude américaine, publiée dans le Journal of Economic Behavior and Organization, il n’y aurait pas de lien, dans le monde, entre le niveau d’immigration et le terrorisme.

Atlantico.fr : Une étude américaine publiée dans le Journal of Economic Behavior and Organization estime qu’il n’y aurait pas de lien, dans le monde, entre le niveau d’immigration (en particulier sur le niveau d’immigration musulmane) et le terrorisme. Or la question de l’immigration revient avec les évènements de Villeurbanne du week-end. Est-ce vraiment le problème central lorsque l’on parle de terrorisme ? La question de l’intégration n’est-elle pas première ?

Guylain Chevrier : Par-delà l’attentat de Villeurbanne commis par un migrant afghan, un autre jeune afghan soupçonné d’avoir attaqué au couteau deux touristes américains dans la gare d’Amsterdam –Central, l’année dernière, a affirmé lundi devant les juges qu’il s’était rendu aux Pays-Bas pour « protéger le prophète Mahomet » Des attaques au couteau du même genre qui se sont multipliées en Europe. On se rappelle que parmi les terroristes des attentats du 13 novembre 2015, il y avait deux migrants irakiens, alors que deux autres migrants pakistanais avaient été arrêtés en Autriche pour défaut de documents administratifs qui étaient censés les rejoindre. Considérer ainsi, comme le fait cette étude américaine, qu’il n’y aurait pas de lien entre immigration et terrorisme n’est pas très sérieux. Autre chose est de ne pas confondre migrants et terroristes, et de tomber dans l’amalgame en généralisant.

La situation actuelle en France, avec une radicalisation religieuse qui galope dans un contexte de montée du communautarisme qui en est l’un des principaux terreaux, donne une image assez contrastée de l’intégration, qui paraît ne pas atteindre pleinement son but. Autrement dit, faire des citoyens ayant la volonté de vivre ensemble autour d’un contrat social viable. Si l’on s’est un peu raté sur ce sujet ces dernières années, on n’a plus le droit à l’erreur aujourd’hui face à la pression migratoire.

La question de l’intégration ne peut se poser de la même façon qu’il y a dix ans au vu de la réalité de l’immigration actuelle, marquée par les conflits armés où l’aspect religieux domine. Ce qui comprend des risques nouveaux. Pas simplement au regard du risque terroriste mais de l’intégrisme religieux qui est parfois très présent dans les pays d’origine, et peut être l’antichambre d’une radicalisation religieuse dans le pays d’accueil si l’intégration n’aboutit pas ou mal. Imagine-t-on bien le décalage qui existe pour un migrant afghan, qui n’a connu que la religion comme repère social et culturel, politique, sous le signe de la violence et des talibans, avec notre société, ses mœurs, son mode de vie, ses institutions ?

L’enjeu que constitue l’intégration des migrants est souligné dans le rapport de la Commission spéciale sur le terrorisme de l’UE dans ses observations (2018). Il explique que le flux de migrants en situation irrégulière et de réfugiés, constitue un problème pour leur intégration dans les sociétés européennes et nécessite des investissements accrus et spécifiques en faveur de l’inclusion sociale et culturelle. Il y a aussi sans doute là à ne pas négliger un rapport à l’équilibre interne des pays à respecter, qui se manifeste à travers la difficulté à intégrer et le risque que se forment des communautés séparées du reste du corps social, le divisant. La maîtrise des flux migratoires demeure aussi une grande question politique pour les Etats, étroitement liée aux possibilités d’intégration de populations hétérogènes venues de territoires de plus en plus éloignés géographiquement et culturellement.

Ces moments dramatiques vous semblent-ils les opportuns pour traiter ces questions ? Dans quelle mesure donnent-ils lieu à l’apparition d’un clivage sur ces questions qui mériteraient d’être mieux traitées ? 

L’agenda médiatique est largement sous l’impulsion d’événements marquants dans ce domaine qui ne cessent de faire incidence, sans laisser refroidir le sujet. La tendance étant aujourd’hui aussi à chercher à faire à tout prix le buzz, à pratiquer une politique du clash sur les plateaux de télé, qui va très bien avec le caractère dramatique des attentats. On a ainsi du mal à prendre un certain recul.

D’autant que parallèlement on assiste à une injonction permanente à l’accueil des migrants, par l’entremise d’ONG qui n’hésitent pas, comme dans le cas de L’Océan Viking, (ONG SOS Méditerranée et Médecins sans Frontière) à créer une certaine hystérie en prenant en otage les pays européens mis devant le fait accompli de devoir accueillir dans l’urgence, sans que l’action politique ne puisse être pensée. Sur les rescapés récupérés près des côtes libyennes en méditerranée par le bateau, la France a décidé d’en accueillir 150.

Ce qui clive aussi, c’est cette vision de la question migratoire illustrée par Les cahiers de science et vie (Juillet 2019), où on affirme que ce sont « les migrants qui ont construit l’Occident », en utilisant à contresens de l’histoire ce terme pour parler des mouvements de peuples qui sont à l’origine de la France. En filigrane, il y a une forme de discours de la culpabilisation sous cette présentation orientée de l’histoire, justifiant d’accueillir sans compter et de laisser tout faire, contrairement aux exigences fortes de l’intégration. On y trouve même affirmé selon le sociologue François Heran, que « l’Europe n’aurait pas pu se relever de ses guerres sans l’aide des migrants. » C’est passer sous silence le rôle éminent dans ce domaine de la classe ouvrière française, dont le rôle puissant s’est reflétée dans un parti communiste qui alors ne l’était pas moins, les travailleurs immigrés jouant leur rôle dans cela, mais rien que le leur. Et de conclure : « Et l’idée que c’est plus difficile d’intégrer des étrangers aujourd’hui qu’hier est simplement fausse ». Niant ainsi une réalité qui est observable par tout un chacun, quant aux difficultés d’intégration qui se manifestent régulièrement dans notre actualité, et au regard de la question migratoire actuelle.

 

[…]

http://www.laicite-republique.org/g-chevrier-considerer-qu-il-n-y-aurait-pas-de-lien-entre-immigration-et.html

Et le diplomate Pierre Vimont dans le Figaro

«Désormais, le lien entre terrorisme et immigration est présent dans les esprits»

INTERVIEW – Deux des trois kamikazes du Stade de France avaient été contrôlés en octobre en Grèce, avant de rejoindre la France. Une donnée qui complique considérablement la gestion de la crise migratoire en Europe, estime Pierre Vimont, diplomate et «senior associate» à la fondation Carnegie Europe.

Les attaques de Paris ont concrétisé une crainte relayées depuis plusieurs mois par de nombreux responsables politiques européens, essentiellement populistes: celle d’infiltrations terroristes parmi les migrants qui affluent depuis cet été par la route des Balkans. Deux des trois kamikazes du Stade de France ont en effet été contrôlés à la frontière grecque début octobre. Depuis, le débat sur l’accueil des réfugiés et l’opportunité de garder les accords Shengen revient en force. Le ministre hongrois Victor Orbán va jusqu’à estimer dans une interview à Politico que «tous les terroristes sont fondamentalement des migrants». Ce lien entre terrorisme et immigration qui s’installe dans les esprits complique la gestion de la crise migratoire en Europe, regrette Pierre Vimont, ancien diplomate et senior associate à la fondation Carnegie Europe.

LE FIGARO – L’Europe a-t-elle sous-estimé le risque d’infiltration terroriste parmi les migrants?

PIERRE VIMONT .- Je ne pense pas qu’il ait été pris à la légère. Les responsables italiens qui ont dû gérer les flux migratoires venus de Libye ont alerté sur ce risque dès 2013. Seulement, nous n’avons pas pris les mesures nécessaires à temps. Le risque d’infiltration terroriste parmi les migrants est une réalité à prendre en compte pour renforcer les contrôles à nos frontières. Mais le discours selon lequel tous les réfugiés sont des terroristes potentiels n’est pas acceptable. Aujourd’hui, les gouvernements d’Europe sont sous la pression des partis populistes et de l’opinion publique. Cela conduit d’ailleurs a un changement de perception de ces migrants: Au début de l’été, ils étaient considérés comme des personnes en détresse à aider. Puis les dirigeants européens ont modifie peu à peu ce discours. Ils ont estimé qu’on ne pouvait pas tous les accueillir, et qu’ils devaient accepter la répartition qu’on leur proposait au lieu de vouloir systématiquement rejoindre l’Allemagne et la Suède. Enfin, depuis les attaques de Paris, le lien entre immigration est terrorisme est présent dans les esprits.

La lutte contre le terroriste passe-t-elle par la suspension de la libre circulation dans l’espace européen?

Non, revenir sur l’accord Schengen n’est pas la solution. Le rétablissement provisoire des contrôles aux frontières est prévu par le traité, c’est d’ailleurs ce qui s’est passé entre la Belgique et la France au lendemain des attentats de Paris. Au demeurant il semble que Salah Abdeslam ait été contrôlé de retour vers la Belgique et soit quand même passé. Par ailleurs, les terroristes en puissance ne reviennent pas tous de Syrie. Certains se sont radicalisés à l’intérieur même de nos frontières. Le problème est donc plus large que la question de l’accord Schengen.

Quelle serait l’alternative?

Il faut un meilleur échange d’information et de renseignement entre les services de police et antiterroristes européens. Actuellement, les hotspots grecs et italiens ne font que relever l’identité et les empreintes des migrants, sans contrôle sécuritaire sérieux. Ces fichiers d’empreintes et d’identifications doivent être reliés aux fichiers antiterroristes. La réunion des ministres européens de l’Intérieur et de la Justice, vendredi à Bruxelles, va dans ce sens. Ils se sont également engagés à adopter avant la fin de l’année un registre des noms des passagers des vols (PNR) au niveau européen. Mais plusieurs points restent à trancher, notamment le temps de conservation de ces données (de deux mois à un an), et le type des vols retenus, internes ou internationaux. Les Etats membres vont également travailler avec les pays de transit comme la Serbie et la Macédoine pour mieux contrôler les arrivées. Enfin, ils veulent convaincre la Turquie de renforcer ses contrôles aux frontières extérieures pour limiter l’afflux de réfugiés.

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8 Commentaires

  1. Il est comme son maitre; un mondialiste fou, donc ,on a aucune chance de faire changer d’avis ce jeune extrémiste. Il niera l’évidence même si il sait que . Le terrorisme n’est venu que de l’immigration malgré les ordres venus de l’extérieur .
    Toute la société de médias et les politiques n’ont fait que maquiller les faits de délinquance et de terrorisme et ont employé des termes qui relativisaient les actes comme ceux de “jeunes” ou de “déséquilibrés surtout quand ils étaient aux commandes . Quand ils ne peuvent pas se réfugient derrière des lois antiracistes de comptage ethnique, ils dissimulent les noms comme les racailles dissimulent leur visage derrière des cagoules pour pouvoir nier l’évidence de leurs méfaits. l
    De plus il y a un état d’esprit très inquiétant dans toutes les composantes de l’immigration qu’elles soit de Africaine ou maghrébine. Ces gens encouragés par des politiques Français comme taché et macron entretiennent une sorte d’hostilité latente contre tout ce qui est Français en utilisant pêle mêle le passé colonial ou l’esclavage
    J’inclue dans le terrorisme, celui de masse des émeutes que là aussi les politiques essaient de nous faire avaler comme sociales !!! Pour mieux allonger la monnaie et calmer tout le monde y compris et surtout les élus locaux avec le trouillomètre à zéro!
    Le terrorisme ce n’est que cela, commettre des exactions pour faire plier la société en créant une situation de guerre civile.
    Car cela génère obligatoirement une division entre les partisans de la fermeté et ceux qui veulent négocier .
    La stratégie a été la même pendant la guerre d’Algérie, déjà légitimée par la gauche très peu regardante concernant les victimes!
    En cela ceux venus de l’extérieur, qui créent cette situation de guerre civile permanente en France ont réussi leur coup. Il jouent sur cette fracture nationale alors que pour moi il ne devrait pas y en avoir , il devrait au contraire se créer un consensus contre la délinquance et l’immigration . Le sécuritaire et l’identitaire ne sont ni de gauche ni de droite.
    La sécurité est une des composante de la République sinon la plus importante. C’est à cause de types pas finis ,comme ce taché ,qui se sont succédés depuis au moins 30 ans, que nous sommes dans la pire de situation de tous les pays occidentaux en matière de sécurité. Je ne sais pas à quoi il carbure ce type mais il me parait inquiétant d’avoir des gens de cet acabit dans les plus hautes sphères de l’Etat. Pour taché, Collomb et hollande ont donc commis une faute d’avoir laisser libre court à leur inquiétude sur la poudrière Française ?
    C’est tous les jours que le précédent ministre de l’intérieur de macron, Gérard Collomb, recevait des rapports sur l’état alarmant de la France en matière de délits les plus divers.
    Il faut bien comprendre comment fonctionnent taché et son mentor macron. C’est extrêmement simple presque simpliste , ils jouent deux cartes à fond dans un un pari fou; le libéralisme et l’immigration e. L’un étant assuré par l’autre et vice et versa. Dans les pays respectifs de ces populations qui nous envahissent , ce sont ces modèles ultra libéraux qui prédominent . L’état est inexistant sinon pour conserver le pouvoir. L’armée étant destiné à contenir son propre peuple. Leurs sociétés Africaines ou Maghrébines fatalistes par essence, sont livrées aux affres du libéralisme le plus débridé. Ils ne comprennent pas que nous défendions des acquis dont il ont été grands bénéficiaires mais auxquels ils sont totalement hermétiques car ils ont été absent de leur obtention et donc sont absent pour les défendre.
    Ils sont par cela d’excellent clients pour un politique du libéral à tout crin qui a montré ses limites à l’occasion de la pandémie . Ce qu’il faut savoir et ce sur lequel pari macron ce sont les limites que les Français eux mêmes vont mettre à cette politique. Pour l’instant, et a part dans les réseaux sociaux, nous ne voyons rien venir de la part d’un pays amorphe de par ses seules obsessions consuméristes et miné par les divisions crées par le fait migratoire !!!

  2. Je ne sais pas où habite la tache, mais il devrait profiter du confinement pour nettoyer ses carreaux.

  3. Taché, rassure-moi : les jeunes français qui migrent au Canada ou en Australie, tous les népalais qui bossent à Singapour ou en Arabie, les migrations inter-pays africains (même inter-pays européens?), les latinos qui migrent au nord, etc, etc, etc… sont dans l’étude ? Alors statistiquement, c’est peut-être vrai…

  4. @Christine,

    Bonjour,

    L’origine de l’étude est le “Cato Insitute”:

    https://www.cato.org

    Ces gens-là sont des ultra-libéraux (libertariens) , des idéologues totalement dingues qui ne veulent connaître que des individus interchangeables, comme des pièces de machines.

    Pour eux, une idéologie collective, “holiste” comme ils disent, telle que l’islam est incompréhensible.

    Ils ne connaissent que des paires d’individus échangeant, sur un pied d’égalité (!), dans le cadre de leur dieu Marché.

    Le monde réel, celui du fanatisme musulman par exemple, n’entre pas dans leur champ de conscience.

    • “In additon, a new study from Michelangelo Landgrave and Nowrasteh shows that immi­grants are less likely to be incarcerated than native‐​born Americans relative to their share of the population”.
      J’entendais les mêmes conneries dans les années 80 de la part d’étudiants nord-africains parlant d’études censées montrer qu’il n’y avait pas plus de délinquance chez les immigrés que dans la population de souche.
      On se demande pourquoi alors les statistiques montrant le contraire ont été interdites de publication.

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