Il y a 58 ans, le 1er mars 62, eut lieu le drame de Mers El Kebir

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Cela s’est passé un 1er mars 1962, en Algérie. Cela semble très loin, mais en réalité c’est tout proche de nous et qui peut assurer que demain, le même drame ne se produira pas sur le territoire national ?

Ils n’en sont pas encore là, mais demain les instincts primaires reprendront le dessus.

Ne dites surtout pas : « encore l’Algérie » car non seulement la France commence à connaitre ce que furent les tueurs du FLN dont les descendants sont ici, impunis, avec de surcroît la nationalité française ; mais aussi ce que sont d’autres barbares de l’Afrique pour qui la vie d’un enfant, d’un bébé, ne vaut pas plus que l’égorgement d’une chèvre.

J’AI vu ce que faisaient les barbares en Algérie ; J’AI vu les massacres en Afrique Occidentale.

C’est du pareil au même.

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MERS el KEBIR 1er Mars 1962

Le nom de Mers el Kébir est hélas attaché à la destruction de la flotte française par la marine Anglaise : 1300 morts, 350 blessés. On pourra revenir sur les responsabilités des Anglais et du représentant de la France libre car il faut savoir que si les Anglais avaient décidé cette attaque c’était parce que la Marine avait refusé de se rallier à de Gaulle. D’ailleurs les navires en rade de Dakar subirent eux aussi le même sort.

Mais Mers el Kébir est aussi connu pour sa base navale sous-marine objet des convoitises des deux forces en présence : l’URSS et les USA.

Et Mers el Kébir sera le théâtre d’un massacre monstrueux commis sur des civils : une mère de 34 ans, une petite de 6 ans et un garçonnet de 4 ans.

C’est cette tragédie que je souhaite vous faire connaître ci-dessous.

Le 1er mars 1962, tombait un jeudi. Il faisait le temps même de la vie, le temps qu’on imagine pour le Paradis. Un air doux et léger, un ciel aux profondeurs bleues à qui le soleil réservait sa plus fastueuse débauche de lumière, une senteur subtile de jardin laissait supposer une journée radieuse…

Il était environ 11h, un groupe de musulmans encadré par des femmes fit irruption dans la conciergerie du stade de La Marsa, à Mers El-Kébir, tout près de la base militaire. Dans une véritable crise de folie meurtrière collective, ces hommes s’emparèrent de la gardienne, une européenne de trente ans, Mme Josette Ortéga et, sans la moindre raison, à coups de hache, la massacrèrent. Couverte de plaies affreuses, dans un ultime effort, elle tenta de s’interposer entre les bourreaux déchaînés et son petit garçon, mais en vain. Les tortionnaires déments frappèrent encore sous les yeux horrifiés du petit André, quatre ans, puis quand il ne resta plus qu’une loque sanguinolente, ils se saisirent de l’enfant et lui broyèrent le crâne contre le mur.

Alors que, leur forfait accompli, ils s’apprêtaient à partir, ils aperçurent la fillette, Sylvette, cinq ans, qui venait du jardin, les bras chargés de fleurs. Aussitôt l’un des hommes se jeta sur elle, la roua de coups puis, la saisissant par les pieds, lui fracassa la tête contre la muraille.

Quand M. Jean Ortéga, employé à la direction des constructions navales, franchit la grille du stade, le silence qui régnait le fit frissonner. D’ordinaire, ses enfants accouraient, les bras tendus dans un geste d’amour. Une angoisse indéfinissable le submergea. Il approcha lentement, regarda autour de lui… puis, là, dans la cour, un petit corps désarticulé tenant encore dans ses mains crispées des géraniums, la tête réduite en bouillie, une large flaque de sang noirâtre tout autour.

Dès le lendemain les derniers défenseurs du drapeau tricolore entreprirent de venger cette boucherie inutile sur des innocents.

Ils furent vengés. Mais ils ne revinrent pas à la vie.

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9 Commentaires

  1. @BM77; Il y a longtemps j’écoutais Papa et j’ai retenu ce qu’il indiquait à un voisin, sous-off légion arrivé d’Indochine: ” les Français ne bougent que lorsque l’on veut s’emparer de leurs pantoufles”. Transposez cette image à la situation actuelle de la France; elle est tout à fait justifiée.
    Pourtant la cruauté de ces barbares s’est tout de même illustrée avec la décapitation le 26 Juin 2015 (il y a tout de même 5 ans)de ce chef d’entreprise.
    Vous ne pourrez JAMAIS résonner ces barbares, dès la naissance on leur enseigne la haine du Roumi; quant aux femmes: elles sont les pires.
    Face à ce fléau il n’y a qu’une seule attitude à adopter. Mais?!

  2. Je ne le souhaite pas que nous subissions les mêmes atrocités en France bien que cela ait déjà commencé avec les attentats et diverses attaques au couteau .
    Si cela pouvait au moins faire réfléchir les gens ! Le chômage , la pauvreté , la discrimination ou la race, l’exil ou le mal du pays ne sont pas des excuses pour la délinquance et les agressions. La preuve par les pieds noirs qui auraient du en vouloir à ceux qui avaient fait qu’ils avaient été obligés de choisir entre la valise ou le cercueil!
    Nos ennemis d’aujourd’hui étaient nos ennemis d’hier et le resteront, que cela plaise ou non aux collabos de tout bord!!! C’est la réalité dont nous avons le témoignage tous les jours!!

  3. Je ne sais pas si vous avez connu personnellement ce Jean Ortéga qui a retrouvé sa petite famille sauvagement assassinée,
    j’imagine qu’il n’a pas pu s’en remettre

    • Jean Ortéga était apparenté avec un ami qui, lui aussi, a été marqué à vie quelques semaines avant. L’explosion d’une grenade lui a coûté la vue, il avait 16 ans. Et pour courronner le tout, cet ami, n’a pu être opéré en France – pourtant sa mère Patrie – c’est l’Espagne qui a tenté de lui rendre la vue. Trop tard. Voilà les banalités que nous avons vécues sans que quiconque ne s’en préoccupe. Au contraire les Malraux, simone de beauvoir, entre autres faisaient l’apologie du FLN d’un Audin.

      • Des horreurs comme ça, et voir le FLN s’installer en France avec la complicité des traîtres, ce n’est pas soutenable,

        qui sait si Claude SINKE de Bayonne n’a pas réagi à de vieux souvenirs douloureux

    • A l”époque ce pauvre homme donnait l’impression d’être devenu fou ! Il ne se remettait pas d”une telle douleur ! Jamais les autorités de la Santé française ne se sont penchées vers le Pretium Doloris causé sur une foule immense qui a dû trouver le courage et la force de fonctionner normalement comme citoyens “lamda” au sein de la communauté française de la Métropole…J’ai su que Jean Ortéga est mort dans le Var, il n’y a pas très longtemps, en ce début d’année, de manière tragique encore: ! Il a été renversé et écrasé en vélo sur la route par un véhicule. Un rom avec lequel il avait eu un différend aurait été arrêté et condamné pour ce meurtre ! Jean Ortéga a dû enfin trouver une paix perdue depuis si longtemps ! Les malheureux membres de cette famille sont désormais réunis dans l’amour éternel de Dieu.

  4. De pareils déchaînements de sauvagerie m’ont été racontés sur l’Afrique noire,

    en fait , dès la moindre contrariété, ils s’excitent en meute et ils se soulagent en massacrant dans la violence et le sang, comme des animaux qui ont perdu la raison et mûs par des instincts barbares, ils se dirigent en général vers les quartiers blancs, attirés comme des lucioles par la lumière,

    les blancs concentrent toutes les rancœurs, et toutes les convoitises, comme actuellement les fermiers blancs d’Afrique du sud

  5. J’avais un oncle ancien Fusilier Marin qui est parti en algérie ou il a d’ailleurs rencontré celle qui allait devenir ma tante , une seule fois il a un peu parlé de certaines choses …….j’ai compris ce jour là que certains peuples ne sont pas des humains ! Un documentaire datant de quelques années donnait la parole a des témoins décrivant le sort réservé aux Harkis resté en algérie , empalés vivants et ouverts en deux de la tête au ventre ………..De tels témoignages ne risquent pas d’être diffusés aujourd’hui , c’est pas des humains ça peut pas être des humains ! Et nous on fait des procès a nos soldats qui ont combattu ces monstres …….

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Aussaresses

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Le_Pen

  6. Hé oui, ce sont les coups faciles et peu risqués qui étaient accomplis, et dans l’horreur, comme les nombreux petits fermiers égorgés derrière leur charrue dans des champs isolés, ou enlevés et dont les corps sont resté introuvables, les postiers, les instits, les cheminots, les portes drapeaux (même musulmans) des anciens combattants etc…
    Par contre, une bonne partie des grands propriétaires s’acquittant de la jizya au FLN, ou s’étant mieux protégés, ou ayant délégué à des régisseurs indigènes étaient épargnés …
    Les auteurs de ces atrocités conservaient bonne conscience, convaincus qu’ils étaient d’avoir accompli un ordre d’allah………
    Nous en sommes au même point, aujourd’hui, en France .C’est pourquoi, les frères kouachi, les koulibali, si ahmed et autres pourritures ne feront jamais l’objet d’une fatwa de la part des activistes de l’oumma, ceux qui combattent l’islamophobie et veulent l’interdire pour mieux imposer l’islam et la charia …

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