Après le pacte Ribbentrop-Molotov, le pacte Mélenchon-CCIF, plus grave encore que celui de 39 ?

.

Errare humanum est… sed perseverare diabolicum !
 
Celui qui ne sait pas d’où il vient ne peut savoir où il va ! (Otto von Bismarck).

 
J’aime bien me référer à l’Histoire avec un H majuscule.
La vraie !
Pas l’histoire (avec un petit h) enseignée quotidiennement dans notre monde de bisounours, après avoir été calibrée au moule du politiquement correct. Non, l’Histoire qui s’appuie sur des faits, des écrits, des documents incontestables car consultables.

.
 
Tout ce que je cite ci-après est vérifiable : en cas de doute, googlisez ! Je n’ai aucune envie que mon article ressemble à une thèse de doctorat avec de multiples renvois en bas de page.

.
 
Évidemment, l’histoire veut que les résistants communistes se soient opposés à l’occupant nazi et l’aient presque mis en déroute à eux seuls.
Le Parti Communiste se prétendait (et se prétend toujours) être « le parti des 75.000 fusillés », défenseur du monde libre, de la Patrie.
 
Belle légende ! Les communistes ont très vite mis en pratique la doctrine d’Hitler en matière de communication : « Un mensonge répété dix fois reste un mensonge, répété dix mille fois, il devient une vérité »

.
 
L’Histoire, elle, nous enseigne tout autre chose :
 
Certes, les communistes ont payé un lourd tribu à l’occupant nazi.

.
Cependant, rétablissons les faits :
–       D’abord, sans vouloir se livrer à une comptabilité macabre, il n’y a eu « que » 25.000 fusillés pendant la guerre, et les communistes n’étaient pas les seuls à avoir eu ce privilège. D’où sortent ces 75.000 ? (c’est selon les organisateurs ou selon la police ?…)
 
–       Ensuite, les communistes ont été des collabos de la première heure. Le pacte de non-agression Ribbentrop -Molotov ayant été signé en août 1939, nazis et communistes copinaient allègrement. Les communistes, sur ordre de Moscou, ont compromis la production d’armes en France, soit en la ralentissant, soit en la sabotant carrément.
 
Dans un tract du P.C. daté de février 1940, on peut lire : 
« Par tous les moyens appropriés, en mettant en œuvre toutes vos ressources d’intelligence, empêchez, retardez, rendez inutilisables toutes les fabrications de guerre ».
 
Le fait est avéré. Je ne citerai qu’un seul exemple : suite à des explosion en vol d’avions sortis des usines Farman de Billancourt, l’enquête a permis l’arrestation de douze ouvriers, dont quatre ont été condamnés à mort. (voir l’encadré en fin d’article)

.
 
–       Ce n’est qu’après le 22 juin 1941 quand Hitler a attaqué l’URSS que le renversement d’alliances a eu lieu et que les communistes français sont entrés en résistance.
 
Alors, est-ce par patriotisme et pour défendre la démocratie que nos communistes ont rejoint le maquis ? Oh que nenni ! C’était sur ordre de Moscou tout simplement.

.
 
La suite l’a prouvé, car pendant les guerres d’Indochine et d’Algérie, les sabotages ont continué de plus belle. Grenades, munitions, moteurs et même porte-avion (Le Dixmude) ont été sabotés par les ouvriers communistes. Ils ont ainsi assassiné sans vergogne leurs propres compatriotes au nom d’une idéologie mortifère dont nous sommes fort heureusement débarrassés à jamais.


Pourquoi ? L’embrigadement, l’idéologie, l’espoir insensé d’un monde meilleur, de lendemains qui chantent ont certainement fait perdre la tête à beaucoup.

.

Ce fut (littéralement…) le cas de Fernand Iveton, communiste guillotiné à Alger en février 1957 pour tentative de sabotage, qui a eu ces derniers mots :
 
« La vie d’un homme, la mienne, compte peu. Ce qui compte, c’est l’Algérie, son avenir. Et l’Algérie sera libre demain. Je suis persuadé que l’amitié entre Français et Algériens se ressoudera. »
 
C’est pathétique, et presque tristement beau. Si le pauvre homme revenait dans ce monde, il pourrait mesurer la futilité de son geste, la folie de son combat et l’erreur à laquelle son idéologie l’a amené. Tout porte à croire qu’il s’empresserait d’adhérer à RR pour expier son comportement…

.
 
Son geste partait visiblement d’une bonne intention : une de celles dont justement l’enfer est pavé.
 
Et cette propension des communistes en particulier (et de la gauche en général) à toujours se tromper de combat devrait commencer à les faire réfléchir, tout de même.

.
 
La récente alliance entre les communistes, une bonne partie de la gauche et les islamistes procède de la même logique de l’erreur.
On dirait que ce chromosome de l’erreur est un marqueur du génome de la gauche.

 

.

Cette marche insensée où PCF, France Insoumise, féministes, vont rejoindre les pires revendication des imams radicaux est une félonie, peut-être encore plus grave que celle de 1939.

Heureusement, tout comme en 1939, où un tiers des députés communistes avait fait sécession suite au pacte germano-soviétique, certains membres du PCF aujourd’hui entrent en dissidence avec leur parti, en n’ayant pas signé l’appel à manifester. Visiblement, ils pressentent à juste titre le pire, comme leurs aïeux l’avaient fait voici 90 ans.

Après le pacte Ribbentrop-Molotov, le pacte Mélenchon-CCIF ?

Les cocus de l’Histoire seront toujours les mêmes !

Cependant, en attendant, ils auront fait des dégâts.

.

 

Au début du mois d’avril 1940, dans un rapport d’une dizaine de pages, classé « Très secret », les services de la police d’État de Seine-et-Oise dressent un état de la « Situation dans les usines travaillant pour la défense nationale ». On enregistre partout un ralentissement dans la production. Les causes avancées pour en expliquer les raisons sont multiples. Celle qui revient, tel un leitmotiv, touche à « la propagande révolutionnaire ». Le rapporteur précise : « On s’indigne contre les retenues, les restrictions, ou on se félicite de la paix de la Russie imposée à la Finlande. Le mot d’ordre qui circule depuis ces derniers jours est le suivant : “ Pour freiner la production, invoquer des motifs de maladie ou provoquer des blessures de travail pouvant entraîner une quinzaine de jours de repos ”. Des détériorations de machines dont certaines sont volontaires, continuent à être constatées. Les enquêtes ouvertes dans tous les cas signalés arrivent difficilement à établir l’acte de sabotage volontaire 
 
En avril 1940, surviennent des accidents d’avions sortis des usines Farman de Boulogne-Billancourt, provoquant la mort de pilotes. Une enquête révèle qu’il y a eu sabotage : avec un fil de laiton sectionné, au bout d’un certain nombre d’heures de vol, un écrou desserré laisse échapper l’essence et provoque une explosion en plein vol. Douze ouvriers sont arrêtés, parmi lesquels trois reconnaissent être communistes. Deux des communistes sont parmi les six ouvriers qui sont libérés après interrogatoire. Le 27 mai 1940, un tribunal militaire condamne deux ouvriers à vingt ans de travaux forcés et quatre autres sont condamnés à mort, dont Léon Lebeau, communiste qui obtient la grâce présidentielle, mais la question de savoir si les trois autres ont été effectivement fusillés reste ouverte16
 
Ainsi, un tract distribué en février 1940, déclare aux ouvriers : « [P]ar tous les moyens appropriés, en mettant en œuvre toutes vos ressources d’intelligence, empêchez, retardez, rendez inutilisables toutes les fabrications de guerre. » 
 
« Félicitations au succès du Vietminh. Nous sommes de cœur avec lui. Nous envoyons aux troupes du Vietminh notre fraternel salut et notre témoignage de solidarité agissante. » (Journal communiste « L’Humanité » du 6 mars 1952)
 
Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants… Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion… Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes… Les moteurs des véhicules de terrains comme ceux des avions subissaient également toutes sortes de sabotage : Joints de culasse limés et  limaille de fer dans les carters à huile… Ce fut le cas, entre autres, des moteurs de l’hydravion « Catalina » de la 8F où furent impliqués des ouvriers des ateliers de la base de Cuers-Pierrefeu… Même le porte-avions d’escorte « Dixmude », n’échappa pas aux dégradations : Ligne d’arbre endommagé. L’enquête permit d’identifier le saboteur en la personne du quartier-maître mécanicien Heimburger, membre du Parti Communiste Français.
Tout cela, pourtant, n’était rien d’autre que de la haute trahison et les ouvriers comme leurs commanditaires qui envoyaient chaque jour à une mort certaine des soldats français, auraient dû être traduits devant des Tribunaux d’exception pour « intelligence avec l’ennemi ». Ils ne furent jamais inquiétés ! Et cette strophe du poème du capitaine Borelli, officier de Légion, adressé à ses hommes morts au combat, prennent ici, un sens particulier :« Quant à savoir, si tout s’est passé de la sorte, si vous n’êtes pas restés pour rien là-bas, si vous n’êtes pas morts pour une chose morte, Ô, mes pauvres amis, ne le demandez pas ! »
Sur les quais, les aérodromes et les gares tenus par la CGT,  la mobilisation communiste était identique. Les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations… Les navires et les trains étaient immobilisés, les détériorations  ne se comptaient plus, les grèves se multipliaient… A Grenoble, une pièce d’artillerie fut jetée à bas du train. En gare de Saint-Pierre-des-Corps, à Tours, une militante communiste, Raymonde Dien, devint une héroïne nationale pour s’être couchée en travers d’une voie. Cette violence atteignit son point culminant dans la nuit du 2 au 3 décembre 1947. A la suite du sabotage d’une voie ferrée par un commando de la cellule communiste d’Arras, l’express Paris-Lille dérailla, faisant 16 morts et 30 blessés…
Prisonniers français du Viet Minh. 75% sont morts…
Quant aux blessés rapatriés, généralement débarqués de nuit à Marseille, ils étaient acheminés secrètement en région parisienne où ils arrivaient au matin à la gare de l’Est. Mais cette discrétion ne les épargnait pas des manifestations hostiles des cheminots CGT. Les blessés étaient injuriés et frappés sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait « que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine » car, à l’Assemblée Nationale, les députés communistes avaient exigé que « la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d’Indochine qui peuvent crever (sic) ». A Noël un député suggéra qu’un colis de Noël soit envoyé aux combattants d’Extrême Orient. Une député du PCF s’exclama aussitôt : « Le seul cadeau qu’ils méritent, c’est douze balles dans la peau ! ».
Par ailleurs, outre les armes et les fonds adressés régulièrement au « grand frère vietminh », des tonnes de médicaments lui étaient également acheminés par l’Union des Femmes Françaises (1) et l’indignation de nos soldats ne résultait pas tellement de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que, chaque jour, des soldats français mouraient, faute d’en posséder.
 
ALGERIE
 
l est le seul Européen parmi les 198 prisonniers politiques guillotinés de la guerre d’Algérie29. Me Albert Smadja, son avocat commis d’office, témoin de l’exécution, rapporte qu’avant de mourir Fernand Iveton déclara : « La vie d’un homme, la mienne, compte peu. Ce qui compte, c’est l’Algérie, son avenir. Et l’Algérie sera libre demain. Je suis persuadé que l’amitié entre Français et Algériens se ressoudera. »30.
 
BLUM
En juillet 1933, au Congrès du parti socialiste, Léon Blum développe une stratégie qui peut aujourd’hui surprendre. Il déclare que « voter des crédits militaires, ce serait peut-être l’acte le plus dangereux pour la paix que nous puissions commettre (…) une seule garantie peut désamorcer un conflit (…) c’est le désarmement général, afin que le moyen matériel manque à l’agresseur, que les états soient contraints de soumettre leurs litiges à l’arbitrage de la Société des Nations ».-7-
 
Plus tard, en août 1947, devant une commission parlementaire, Blum reconnaîtra une certaine naïveté dans ces propos. Blumexplique qu’« il existait un moyen peut-être unique de prévenir la guerre de 1939. Ce moyen consistait à pratiquer, dès la prise de pouvoir de Hitler, une action préventive. Si nous avions proposé à cette époque, les autres partis socialistes et nous, d’interdire par la force l’installation en Allemagne du gouvernement nazi, je crois que nous aurions entraîné l’opinion publique et la majorité des parlements ». Mais il ajoute : « Nous ne l’avons pas fait, parce que nous avions une horreur religieuse de la guerre ».-8- Le dogmatisme l’a emporté sur la réalité.

https://prisons-cherche-midi-mauzac.com/varia/le-sabotage-dans-les-usines-daviation-et-le-pcf-entre-mythes-et-realites-925

 665 total views,  1 views today

image_pdf

6 Commentaires

  1. On peut jurer une chose, les politiques et autres collabos qui défilent aujourd’hui finiront au mieux avec une balle dans la peau ou au bout d’une corde mais un jour, on devra leur demander des comptes et à Mélenchon en premier !

  2. Mais autant il pouvait y avoir des intérêts géopolitiques communs entre les deux fractions : communistes/nazis que l’on peut parfaitement imaginer en matière de domination impérialiste, autant on ne discerne absolument pas ce qui pourrait motiver une telle coopération entre le communiste athée bouffeur de curés–mélanchons-nous– et les promoteurs de la charia ???!!!!…..
    Si quelqu’un de LFI pouvait nous argumenter cette position absurde à tous points de vue ?
    Allez ! Pas de complexe ! Eclairez-nous ! Vite !

    • Bonjour,

      Excellente question !

      A mon avis l’unique réponse tient en quelques mots : 7 députés sur 15 de Mélenchon ont été élus en Seine Saint-Denis.

      C’est du pur intérêt électoral …

      A très courte vue : dans quelques années, ces députés se feront “grand-remplacer” par des islamistes …

  3. Qui se souvient des «LIBEREZ HENRI MARTIN» ?
    Ou autres cocos agressant des blessés d’Indochine en gare d’Orange?
    Nous ne sommes bientôt plus très nombreux.
    Nous étions très jeunes, mais, nous voyons l’angoisse des mères, soeurs, épouses des membres du Corps Expéditionnaire en indo.

    A ceux qui n’ont pas connu ces moments tragiques, lisez ou relisez Lartéguy!

    Salutations patriotiques
    Gérard

    • tu m’ as rappelé les “rats de la nam ou” a dien bien phu

      ces tire ailleurs, mais tire au flanc qui volaient les parachutages de plasma pour en faire du mobilier…

      ET QUI EVITERENT LES CONVOIS DE LA MORT A COUPS DE “DI DI MAU LEN”

      normal, les viets soutenaient les algériens du naissant FLN ……….

    • Oui j’ai lu larteguy
      Depuis toujours les cocos ont pas changer ce sont toujours et encore les mêmes traîtres.

Les commentaires sont fermés.