Abécédaire italien : une Salve d'honneur dédiée à Salvini

Image inversée mais impact inchangé
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Adolescent, je ne jurais que par la France culturelle et l’Allemagne automobile. Au fil des années, je découvris le génie civil et administratif romain, la Renaissance et les avancées de la Cité des Doges. Aujourd’hui, je perçois l’Italie comme le bon copain de famille, turbulent et volubile mais tellement attachant, d’où la création de l’adjectif rital attachiant vu le volume vocal y afférent. D’un coup de tonnerre de Brescia les Dieux romains me pardonneront, si ce n’est déjà fait.

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Alexander Robotnick. Le maestro florentin de la symphonie électro-analogique. Les musulmans ont besoin du Coran pour entrer en transe, moi c’est Robotnick. Le gars n’a plus 20 ans mais comparativement nos jeunots sont des vieillards. En fin d’abécédaire, aperçu de son talent absolument inouï, oyez, oyez, oh yeah ! Brillantissimo !

Bouffeurs de macaronis ou « Makkaronifresser » : ainsi furent appelés les travailleurs italiens en Allemagne. Au fil du temps, on s’est rendu compte que les Italiens s’intégraient à tout contexte européen : ce sont de parfaits fouteurs d’ambiance alors que leurs successeurs muzz de parfaits fouteurs de merde. Quel foutoir, j’en perds mon latin arabisé.

Cinq Étoiles M5S. En 2009, ils n’étaient pas experts en politique et ne s’en cachaient nullement. En 2019, LaREM devrait également avoir cette franchise auprès du public français. Et comme la nuit porte conseil, Macron devrait y réfléchir dans un hôtel 5 étoiles.

Ducati. Le chef-d’œuvre du deux-roues. Grandissimo ! Quand j’en vois une, mes yeux peinent à rester en orbite préconfigurée. Les Allemands ont flairé le deal : quand vous commandez une Ducat’, vos ducats gonflent la trésorerie du groupe Volkswagen. Hitler est mort mais l’agressivité de sa coccinelle est restée intacte.

État italien. Il apparaît moins fort que son équivalent français bien plus axé sur l’organisation administrative et la (recherche de) cohésion sociale. Autre différence essentielle : l’espace public y est ouvert à la sphère religieuse, le concile Vatican II permettant même une large ouverture aux autres religions. La Ligue se bat depuis sa création afin de changer la donne au profit de la nonne : un catholicisme italien civil et identitaire et une désislamisation en profondeur. Le Vatican est noyé dans ses paradoxes éthiques et préfère aux noyés l’accueil des choyés.

Fiat. Les mauvaises langues diront Ferraille Italienne Assemblage Turinois, les bonnes langues comme la mienne que la 500 est une chouette voiturette brouette trottinette. Il faut reconnaître aux Italiens l’art de fabriquer des voitures abordables, c’est un marché comme un autre. Gilet jaune ou cravate jaune, on a tous droit à sa Citron. Un conseil aux lectrices : si vous êtes amoureuse d’un mécanicien Fiat, commandez-lui immédiatement une voiture car mécaniquement vous le reverrez souvent et ainsi naîtront des bambins antiélitistes fiatistes.

Giro. Le Tour d’Italie ? Médiatiquement entièrement atomisé par le Tour de France. Pourtant sur papier les deux compétitions se valent en termes de difficulté de parcours et de magie paysagère. Mais comme aux échecs, les Italiens sont prêts à sacrifier leur Tour pour conserver leur dame. Nous aussi, on veut conserver Notre-Dame mais sans pour autant perdre la Tour Eiffel. Dans tous les cas, les Italiens conservent leurs deux cavaliers suivant leur stratégie pas tant sociale que militaire « retraite assurée ».

Hitler et Mussolini. Ils se sont rencontrés pas moins de 18 fois entre 1933 à 1944. Si Benito finit par céder non à Hitler lui-même mais à l’idée de force émanant de la puissance allemande, il témoigna toute sa vie de sa répugnance face à ce « détraqué sexuel », ce « voyou hystérique », qualifiant le nazisme de déformation malsaine du fascisme romain et d’idéologie barbare. Le fascisme italien est une déclinaison très particulière d’autoritarisme souvent confondue par la jeunesse inculte avec le franquisme et le nazisme. En 1920, Mussolini déclare : « En Italie, on ne fait absolument aucune différence entre les Juifs et les non-Juifs : la nouvelle Sion, les Juifs italiens l’ont ici, sur notre adorable terre ». Si le ton se durcira progressivement suite à l’accouplement stratégique avec Hitler, Mussolini ne peut être accusé d’antisémitisme. Par contre, si Benito ressuscitait, nul doute qu’il serait accusé d’islamophobie.

Islam. Près de 3 millions de muzz en Italie dont 60% de nationalité étrangère, un « petit » 5% de la population. Ils seraient près de 4 millions en 2030 et le delirium tremens de 10% de la population atteint avant 2050 ! Que dire d’autre que vaffan+culo ? Plus j’étudie l’islam, plus je deviens vulgaire, ce qui veut dire que mon mental carbure sainement, mieux qu’une Fiat en tout cas.

Juve. La Vecchia Signora ou Vieille Dame, une grosse cylindrée footballistique. Source de plaisanteries salaces de ma part (pardon aux Turinois) quand elle joue mon Bayern culte. Connue pour son catenaccio ou verrou suisse basé sur une défense en béton. Vu que la bien-pensance italienne ne l’applique pas à la défense de sa propre culture, ce qui lui vaut d’ailleurs un carton rouge, il faut bien qu’on nomme Salvini arbitre du match de la mort et ceci dans son sens culturel.

K « cappa » n’existe pas. Instinctivement, je penserais à la Kalachnikov. On dit que la mafia a créé un État dans l’État. Ça tombe bien parce que les muzz tentent aussi le coup dans divers États européens. C’est donc une concurrence directe pour les unités Cosa Nostra, Stidda, Ndrangheta, Sacra Corona Unita et Camorra. Dans cet affrontement entre deux États parallèles, je donne ma main à couper que les mafiosos l’emporteront à tous les coups. Y’a intérêt parce que, dixit Coran et hadiths, ma prose islamophobe ça mérite une main coupée.

Ligue (du Nord). Autrefois lombardement méprisante envers le Mezzogiorno, le parti est peu à peu monté en puissance au sud. Le combat fut long, tout un climat de confiance à construire. À juste titre car une voix lombarde n’a pas plus d’importance qu’une voix sicilienne. Notez le parallèle avec une Belgique où le Nord regarde le Sud de haut. Ici, euroscepticisme rime parfois avec séparatisme, c’est la tactique aéronautique du biplan de séparation du Vlaams Belang.

Machiavel (1469-1527). Avec « Le Prince », on entre dans le réalisme politique, fini la providence, bonjour les techniques pragmatiques. La gouvernance s’articule autour de la fortuna (chance et paramètres hasardeux indépendants de la volonté divine) et de la virtu (combinaison de la force du lion et de la ruse du renard). S’il fallait juger Macron par le prisme de ces deux paramètres, on serait tenté de lui accorder la fortuna comme seul facteur de réussite. En réalité la réponse est plus expéditive : il est machiavélique.

Naples. Voir Naples et mourir ? Certainement mais de honte. Par contre, les mouettes napolitaines se frottent les pattes, pas moyen de mourir de faim parmi tout ce festin d’immondices. Sur les trottoirs, les piétons doivent véritablement jongler entre déchets et ordures. À force de zigzaguer en permanence, les Italiens sont devenus les meilleurs dribbleurs au monde.

Oriana Fallaci (1929-2006). Laïque de gauche, sa vision de la dangerosité de l’islam est exemplaire. Après le 11 Septembre 2001, elle dit : « Quand saisiront-ils que le but ultime des musulmans, à quelques exceptions près, n’est pas de cohabiter en paix parmi nous, mais de nous soumettre, de détruire nos libertés, notre façon de vivre, notre civilisation ? » et « Le massacre nous touchera aussi. Oh que oui ! Je n’en ai pas le moindre doute. Je ne l’ai jamais eu. Et j’ajoute : ils ne nous ont pas encore attaqués, car ils ont besoin de la zone d’atterrissage, de la tête de pont, de ce bien pratique avant-poste qui s’appelle Italie ». Les femmes peuvent sans conteste diriger l’Europe, à l’exception du secteur de l’Avia(tion).

Première découverte. Sans doute comme certains d’entre vous, ma première réelle collision visuelle avec l’Italie fut « Le Corniaud », une comédie populaire tellement au-dessus du lot des carpettes actuelles. J’ai même soupçonné Gérard Oury d’être ambassadeur d’Italie ou de posséder des actions dans une grosse agence de voyages à destination de la Botte via Alitalia, bientôt Ali•talia.

Quatre Saisons. Vivaldi et Albinoni ont atteint les sommets de la musicalité, une excellence indépassable. Le mobilier le plus important de votre salon n’est ni une commode Louis XV ni une armoire IKEA (au fait, comment va la Greta ?) mais les ondes sonores baroques italiennes. À écouter ces virtuoses, je me dis que ça vaut la peine de se battre contre l’islamusique des imams, et ce printemps, été, automne et hiver.

Rome. La Ville Éternelle héberge la plus grande mosquée d’Europe : 30.000 m², construite dans des matériaux locaux puisqu’elle se veut la mosquée des musulmans italiens. Financée par le Roi Fayçal d’Arabie Saoudite en personne. Il faut adopter une tenue décente pour la visiter et ces dames se couvriront d’un foulard, Europistan oblige. On se déchausse également à l’entrée, c’est pas le pied pour la botte de l’Europe. Un bon coup de Rhum pour oublier ça, triple dose cul sec. Bah, avec Salvini ce sera un jour la mosquée la plus moquée d’Europe.

Skorzeny. Sur ordre d’Hitler, le Hauptsturmführer SS Otto Skorzeny fait libérer le 12 septembre 1943 un Mussolini emprisonné au Campo Imperatore, Abruzzes. Effet de surprise total, mission accomplie. Un remix de l’opération du 10 mai 1940 sur le Fort d’Ében-Émael où 90 parachutistes allemands neutralisèrent cette gigantesque structure défensive belge en quelques heures à peine, ensuite les Panzers franchirent la Meuse. Aujourd’hui Berlin fait de même, il parachute ses eurodéputés à Bruxelles au moyen de luxueuses limousines pour un résultat nettement plus explosif et toujours sans coup férir.

Trentin-Haut Adige : une belle curiosité biculturelle. Autrefois autrichienne, la région fut rattachée à l’Italie en 1919 mais encore aujourd’hui la moitié de la population y parle allemand. La tentative d’italianisation menée par Mussolini ne donna rien. Lors des JO d’hiver, bon nombre de sportifs italiens vivant au Tyrol du Sud parlent allemand entre eux, ce qui crée certaines confusions parmi les journaleux comme à Sotchi en 2014. Italien ? Autrichien ? Allemand ? Notez que c’est pire lors du Mondial parce qu’il faut être prof de géo africaine pour comprendre toute la francité de l’Équipe de France.

Uno, la pire des Fiat. Le cauchemar des automobilistes, je ne l’offrirais pas à mon pire ennemi de peur de l’achever sur bitume ! Qui dit Uno dit meccano et si vous ôtez la négation anglaise c’est Mecca. Mince alors, moi qui avais tenté d’oublier le cauchemar islamiste via celui des automobilistes… Est pris qui croyait prendre.

Vespa. Qui n’a rêvé d’emmener l’épicière du coin au moyen de ce splendide pisse-feu italien 125cc à la délicieuse odeur moteur 2 temps à sonorité bim-bim-bim-bim ? Trois fois hélas, la déferlante migratoire musulmane transforme peu à peu l’Italie en immense vespasienne.

W « vu doppia » inconnu au bataillon alphabétique italien. Mais quitte à rester dans le registre des vespasiennes, remplacez-les par WC. Si je vous parle de fosse septique, c’est que je suis réellement sceptique face au fossé grandissant entre deux civilisations.

 
X italo-hongrois. Elle en a fait du chemin la petite Cicciolina née à Budapest en 1951. Je pense souvent à elle quand je vois une Fiat 500X lézarder sur la route puisque ça doit sans doute être la quantification de ses amants, à chacun ses fantasmes. Gardez la 500X, je préfère la Clito.
 
Y « ipsilon » n’existe pas en italien si ce n’est sous forme de dénomination commerciale comme Lancia Ypsilon. La marque n’est plus commercialisée en Belgique ni même en France. Rappelez-vous, le mi-flic mi-voyou et virevoltant Alain Delon la conduisit bien souvent. Autrefois, Lancia faisait jeu égal avec BMW avec ses Gamma et Delta mais fait figure aujourd’hui de gros Bêta face aux premiums allemandes. Une fois de plus, les Allemands se sont imposés au moyen de leur planche à dessein et ce n’est pas une coquille.
 
Zzzzzz. Hymne national italien. On demande toutefois de le mettre en sommeil et de se mettre au service de Sssss…alvini.
 
Il suffit de comparer la richesse de la mythologie romaine et son anthropomorphisme d’une réelle densité psychologique à son successeur de 10 siècles (!) islamoïde pour comprendre comment le mahométanisme progressa à reculons. Aux robots musulmans je préfère les Robotnick florentins.
 
FORZA ITALIA BELLISSIMA !
 
 
 
Addendum

Italie et intelligence sont synonymes : Oriana Fallaci et sa légendaire cigarette

 

Les Belges ? Pas si naïfs que ça : « Oriana Fallaci avait raison »

http://lepeuple.be/sur-lislam-cette-folle-doriana-fallaci-avait-raison/63769

 

Alexander Robotnick – Ascension


 

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2 Commentaires

  1. Bonjour @Richard Mil
    Oooohhh ! Bavo @Richard Mil pour cet article original et l’excelence de tous les autres ; mais dans le cas présent ce sera celui-ci. Magnifique ! Merci !

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