Christine Hélot et Anna Stevanato : les enfants d'immigrés doivent parler leur langue maternelle en classe

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La langue française déjà attaquée de toutes parts est de plus en plus en danger ; la progammation de sa disparition « en marche » et surtout en courant.

S’exprimer en langue française bientôt un délit ?

La Langue française est vraiment de trop maintenant ; il faut l’abâtardir, la salir, la détruire et… l’interdire peut-être bientôt ; car elle ne sera plus légitime sur notre territoire multiculturel, victime de ce multiculturalisme qui défend l’autre et l’autre culture, en passant par la stratégie de l’effacement total de l’héréditaire millénaire d’origine.

Dans le nouvel ordre mondial le français ne figure pas comme langue ni dans celles qui seront parlées, ni dans celles qui l’ont été ; pas de passé, pas de futur.

Voici l’attaque frontale d’aujourd’hui que des gens « AUTORISÉS » à s’exprimer sur la question, comme le disait Coluche, ont pour bataille : « défendre la disparition de la langue française » ; Christine Hélot, professeur émérite de l’Université de Strasbourg, présidente d’honneur de l’association Dulala (D’une langue à l’autre) et Anna Stevanato, fondateur et directeur de l’association Dulala.

Franchement on se demande pourquoi tous ces gens, toutes ces personnes qui vivent sur notre sol et qui n’ont dans l’esprit que la recherche « du motif de guérilla (leur gagne lentilles, gagne petit) » en vue de dépecer la France ; de découdre, couture après couture notre Société ; oui ! pourquoi ne partent-elles pas ailleurs ; la France, n’est ni la terre, ni le monde ; il n’y a qu’une France, un seul Territoire Français, un seul Peuple Français, une seule Nation française ; tandis que le monde est fait de centaines de milliers d’autres cultures ; de races différentes ; d’Histoire non française…

Que font en France tous ces gens, nés en France, d’ancêtres français pour la plupart, mais qui se sentent étrangers à la France et ne pensent qu’à gommer la France de la face e la terre ; pourquoi ces personnes ne s’en vont-elles pas ailleurs, loin de cette France qu’ils veulent détruire parce qu’ils ne l’aiment pas.

« La France ou tu l’aimes ou tu la quittes ! » ; bien ; il est grand temps que ces anti-France se posent sincèrement et intelligemment la question pourquoi rester là où ils ne sont pas bien ? Pourquoi ne pas partir et laisser la France à ceux qui l’aiment et dont c’est la « PATRIE » leur seule Nation ?
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La France «pays multilingue» : «Certains bilinguismes sont stigmatisés quand il concerne les langues de la migration»

La France est aujourd’hui un pays multilingue, pourtant de nombreuses langues parlées par les élèves ne trouvent toujours aucune place à l’école. A quand une éducation inclusive ?

Tribune. «Je ne veux pas parler espagnol, on est en France, ici mes copains parlent français», dit un enfant franco-colombien de 5 ans. «Aucun problème pour chanter une comptine en anglais. Mais une berceuse en lingala, je ne suis pas sûre d’en avoir le droit», déclare une professionnelle de la petite enfance dans une crèche en région parisienne. Aujourd’hui, en France, on parle de nombreuses langues autres que le français, langue officielle de notre République. La France est donc bien un pays multilingue, comme de nombreux autres pays d’ailleurs et, à vrai dire, elle l’a toujours été. Mais l’idéologie de l’Etat-nation a instauré dans notre culture un monolinguisme qui a fortement marqué notre imaginaire, et en particulier notre système éducatif. Certes, on enseigne les langues étrangères depuis très longtemps mais de nombreuses langues parlées par les élèves n’y trouvent toujours aucune place.

De l’inégalité des langues et des bilinguismes

En France, comme le dit l’élève cité plus haut, on parle français, on apprend en français et «le» français, au singulier, mais la pluralité des pratiques orales et écrites actuelles des Français et des francophones dans le monde, tout comme la pluralité des langues parlées par de nombreux enfants dans leur famille, y reste invisible. De même, dans une crèche française, il est légitime de chanter en anglais mais pas en lingala.

On l’aura compris, les langues ne sont pas égales, ni dans la société ni à l’école et certains bilinguismes sont valorisés (quand il s’agit de langues européennes telles que l’anglais ou l’allemand) et d’autres sont stigmatisés quand il concerne les langues de la migration. Si l’on estime qu’en France, aujourd’hui, environ un enfant sur quatre grandit avec deux ou plusieurs langues dans sa famille, il est légitime de se demander ce que ces langues deviennent à l’école. La réponse est déconcertante : ces enfants bi/plurilingues redeviennent pour la plupart monolingues à l’école, où leurs compétences linguistiques sont soit ignorées soit interdites.

Pourtant, ce sont maintenant 50 ans de travaux de recherche sur le bilinguisme et l’éducation bilingue qui ont montré de façon convaincante les avantages cognitifs du bilinguisme sur la pensée divergente, la capacité à apprendre d’autres langues, la sensibilité dans la communication et la compréhension des différentes cultures. Ces nombreux travaux ont aussi montré le rôle primordial de la langue familiale dans les apprentissages de la langue de l’école et qu’un enfant ne peut pas apprendre à lire dans une langue qu’il ne parle pas. Alors pourquoi un tel gâchis ? Pourquoi le multilinguisme fait-il peur et est encore associé au communautarisme ? Pourquoi ne pas offrir davantage de soutien aux familles qui désirent transmettre leur langue, leur histoire et leur culture ? Les recherches ont aussi montré qu’il n’est pas facile de maintenir le bilinguisme au sein de la famille si l’école ne prend pas le relais.

Un racisme linguistique

On admettra que la diversité linguistique pose des questions éminemment politiques et très complexes. D’ailleurs, les chercheurs en sciences du langage ont montré qu’au-delà des phénomènes d’islamophobie et d’antisémitisme, il existe aussi un racisme linguistique (qui a désormais un nom : la glottophobie), soit des discours qui stigmatisent les locuteurs perçus comme s’exprimant dans une langue éloignée de la norme standard. Que faire dès lors pour déconstruire cet imaginaire négatif sur le multilinguisme et pour aider les enfants plurilingues à apprendre le français sans sacrifier leur langue familiale ?

Depuis plusieurs années, des chercheur·se·s et associations se mobilisent pour tenter de déconstruire ces préjugés et impulser une ouverture aux langues et aux cultures, afin de mettre en place une éducation inclusive, plurilingue et interculturelle. Nous invitons l’ensemble des enseignants et acteurs éducatifs à rejoindre ce mouvement afin de répondre aux enjeux des écoles multilingues du XXIe siècle.

Le site de l’association Dulala : www.dulala.fr

Christine Hélot professeure émérite de l’Université de Strasbourg, présidente d’honneur de l’association Dulala (D’une langue à l’autre) , Anna Stevanato fondatrice et directrice de l’association Dulala

https://www.liberation.fr/debats/2019/08/27/delier-les-langues-pour-relier-les-mondes_1746207

Note de Christine Tasin

Pour les 2 dégénérées, si je résume bien, l’idéal c’est la tour de Babel : chaque gosse parlant à l’école sa langue maternelle et apprenant à lire dans sa langue maternelle… Et un petit coup de malien, un autre de français, un autre d’Erythréen, un autre d’algérien, un autre de pakistanais… Le pied ! POur les gosses et pour les instits. Mais pourvu que Hélot et Stavanato aient l’ivresse, qu’importe le bordel et l’incapacité de l’école à former des être libres, curieux, ouverts et apprenants.

La Hélot est prof ? Pas possible. Elle a eu son diplôme dans une pochette surprise ? Elle forme juste nos instits… On en comprend des choses… Z’ont pas de chance à l’IESP de Strasbourg. Il est vrai qu’il suffit que des illuminés aient des tocs et qu’ils frappent à la bonne porte pour que la machine Education Nationale adopte les dits tocs et veuille les généraliser…  Ah ! la tronche de la Hélot et son CV…


http://christinehelot.u-strasbg.fr
Cette gourdasse, parce qu’elle travaille sur le bilinguisme français-anglais, croit qu’on peut transposer le modèle d’une famille moyenne cultivée avec la modèle du migrant illettré, borné par l’islam et sa culture archaïque et lui faire croire que tout se vaut…
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Quant à la Stevanato, elle est mère de 3 enfants franco-italiens, elle est donc spécialisée dans le bilinguisme… Elle dirige un machin nommé DULALA… Je n’invente rien.

anna stevanato
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Le pompon ? Un enfant ne peut pas apprendre à lire dans une langue qu’il ne parle pas... S’il ne la parle pas, c’est peut-être parce que ses parents refusent de la parler et continuent de parler comme au Bled. Mais sans doute que pour les deux péronnelles, c’est normal…Par ailleurs, j’aimerais comprendre par quel tour de passe-passe les enfants d’émigrés italiens, portugais, espagnols, cambodgiens, vietnamiens… ont réussi à apprendre à lire le français en quelques mois bien qu’arrivant d’un autre pays. C’est un mystère qui m’empêche de dormir.

 
 

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20 Commentaires

  1. Autrefois, chaque province avait sa langue qui était le patois.
    Là, on avance: dans chaque classe, nous aurons des- prétendus élèves- qui ne comprendront pas l’enseignant, et ne se comprendront même pas entre-eux.
    La seule solution; faire une classe différente pour chaque langue.
    Même pour les langues de putes.

  2. Et voila, que la destruction de ce pays continue ! Après avoir la “joie”, de voir passer les français, derniers d’Europe en Maths ,…..et, la mise en position OPTION ,de cette matière ,en 2020, c’est maintenant au tour de la langue ! L’islamisation de ce pays est acté ,en voici la preuve ! Et nous ,que faisons nous pour enfin ,réagir ? Nous pérorons !

  3. C’est le fantasme de Macron, on l’appellera le fantasme “kamishibaï “: on met un peu de tout ensemble et on va faire croire qu’il va en sortir quelque chose de génial comme au parle- ment
    Essayez avec de la peinture …

  4. Une chose est sûre, la langue de pute n’est pas encore une langue morte.

    • lls, les CONNASSES en question, parlent 3 langues :
      La langue de pute
      La langue de bois
      La langue de vipère
      C’est sûr que si, en plus, il faut n’apprendre que le français, et l’anglais aussi – très utile effectivement – ça en fait des “spécialistes” de l’enfumage …
      Mais pour détruire l’éducation, il n’y a pas mieux, parce que, réfléchissez juste un peu, comment l’instituteur ou institutrice va faire pour se faire comprendre, face à ces moutards, surtout avec les géniteurs muzzs ?
      C’est comme si, pour le réseau, il était adopté tout plein de protocoles différents – il n’existe que le TCP & l’UDP, tcp étant maintenant la norme, un peu comme l’anglais à l’oral, et passant partout …
      Inutile de dire que l’INTERNET n’existerait plus …
      N’hésitez pas à donner cet exemple, très très “parlant” si j’ose l’écrire ainsi …

  5. Quelles connes ! ça va devenir la tour de Babel, de sorte que plus personne ne se comprendra et comme la Tour de Babel, ça va finir en ruines, ce qui est déjà le cas.

  6. Je suis Francais originaire d’un pays du Levant, j’ai surtout tenu à ce que mes enfants maîtrisent d’abord et surtout la langue française.
    Aujourd’hui ils parlent tres mal leur langue d’origine mais sont devenus polytechniciens et centraliens
    Leur faire perdre temps et énergie pour une langue inutile les aurait surement handicapés

  7. Mais elle a raison, et c’est pour ça qu’ils faut impérativement empêcher ces gens de venir chez nous, qu’ils ne peuvent pas instruire correctement ici…
    Ça s’apparente à de la maltraitance infantile, passible du tribunal…

  8. Bonjour,
    Le lingala c’est génial pour qui veut apprendre la physique quantique ou l’entomologie agricole !

    • Bonjour @Antiislam ;
      Oui ! en effet, ça urge ! Faut promouvoir le lingala ! Il faut que de dix millions de locuteurs il passe à être l’expression humaine mondiale pour la sauvegarde et la transmission des connaissances.

  9. En ai-je connu de ces collègues parlant dialectes entre elles quand elles savaient que je ne le parlait pas. J’imaginais toujours qu’elles en profitaient pour dire du mal de moi. Ou pour faire croire que ce qu’elles ont à dire est intéressant. J’ai eut droit à de l’arabe, de l’alsacien, du portugais et je ne sais plus quoi. Ca marque les différences, ça sépare les gens et divise en petits groupes les ensemble. Diviser pour régner. Communautariser. Ca revient au même.
    Y’a aussi des barjots qui veulent qu’on parle et enseigne les dialectes de films ou de séries. Star trek, le seigneur des anneaux, game of thrones, et j’en passe.

  10. Inutile de dire quel bilinguisme ces péronnelles veulent favoriser. L’Anglais ? L”Espagnol ? Le Chinois ? Le Japonais ? L’Hébreu ? le Russe ?

    • celui qui comme par hasard n’apparaît pas sur son affiche de propagande.

  11. C’est tout simplement l’esprit qui règne en France, l’abandon de toutes les valeurs, culture et traditions formant une nation. Au bout, la fin de la nation.
    Nous en constatons quotidiennement la preuve à tous les niveaux.
    Comme si une force invisible poussait ce pays au suicide.

  12. Voyez les modes d’emploi sur les emballages, chercher le français qui semble avoir autant d’importance que le slovène ou le letton. Et en Belgique, le néerlandais est quasi systématiquement avant le français sur les emballages. Au téléphone, quand j’ai droit à un répondeur commercial, je m’envoie le néerlandais, puis l’anglais, puis l’allemand et enfin le français…..Et à la télé genre RTL je commence à entendre les pubs en anglais, adressées à un public jeune. Quant au globish, il est partout maintenant !

  13. Merde encore une grosse conne qui se croit investie d’une mission à la macrounet ,dilué la langue française ,notre langue dans gloubiboulga de dialecte étranger , et ça se dit intelligente , l’intelligence n’est pas là ou on le croit !
    Encore deux grosses connasses à rajouter sur la très longue liste de traîtres .

    • Je crains que pour la prochaine révolution,il ne reste guère de raccourciseuses?
      Et ils ont tellement la chiasse qu’ils vont détruire le peu qui reste.

  14. Jean Messiha ne parlait pas français à huit ans, il l’a appris et jamais n’a parlé arabe (ni copte d’ailleurs qui est langue liturgique de sa communauté chrétienne et persécuté d’origine) dans une école française, et de la République, parce que l’on y enseigne en français!
    Cela ne l’a nullement empêché de s’exprimer aujourd’hui dans un français remarquable autant que polyglotte il sait et ça peut servir il s’exprimebausdi bien en arabe(dialectal égyptien et classique) et en anglais.
    Les raciseurs gauchiasses créent des analphabètes et bloquent assimilation (dans tous les sens dubterme , assimilation des conbaissances et assimilation à la collectivité nationales).
    Nombre de nos plus grands savants et écrivains ou cinéastes ne parlaient nullement français à 7 ou huit ans, la France ne leur a jamais demandé de renier leurs origines, maisbils se sont pliés aux enseignements de la Nation et de la République dans la langue, non seulement de Molière mais aussi de notre Codes Civil et de toutes nos lois.
    Napoléon Bonaparte naquit et vécut son enfance dans son dialecte toscan mais c’est en français qu’il fit rédiger nos lois!
    Marie Curie, Henri Verneuil (Ashod Malakian), Romain Gary, Joseph Kessel…
    Et nos langues régionales n’empêchent nullement , car elles sont autochtones et non importées d’enfourcher un “Cheval d’orgueil”.
    L’Education Nationale en français clair n’est pas l’ennemie des langues et de l’ouverture d’esprit, mais c’est en français et nulle autre langue que k’on y met le pied à l’étrier de la citoyenneté contre la division, la oartition et la violence.
    Non aux enseignements dans les langues d’origine ou alors il faut se démettre de la France et la quitter, re-migrer, ces langues sont déjà suffisament dans les cercles familiaux et d’autres biais, ce n’est donc nullement l’affaire de l’éducation nationale.

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