Erdogan, Obama, le CCIF et Macron en deuil : le Frère musulman Morsi is dead ; bon débarras !

Tous les Frères musulmans, réels ou de coeur, pleurnichent et accusent Sissi d’avoir fait tuer Morsi. Evidemment. Sissi n’est pas un ange mais si il a senti que les Frères musulmans risquaient de revenir au pouvoir il a pu faire assassiner l’islamiste Morsi. C’est pas une grosse perte.

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Il était emprisonné depuis 2013, le Président égyptien Sissi ayant déclaré les Frères musulmans et leur chef en Egypte, Morsi,  organisation terroriste..

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En 2013, plus de 20 millions d’Egyptiens dans la rue pendant des jours avaient fini par obtenir la démission de Morsi.

http://resistancerepublicaine.com/2013/07/06/egypte-la-violence-est-du-cote-des-pro-morsi-par-alexander/

Jugé, il avait été condamné  à 20 ans de prison.

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La chasse aux Frères musulmans avait été terrible, il faut dire ce que ces derniers n’avaient pas fait dans la dentelle, promettant de brûler les chrétiens et de multiplier les attentats-suicides :

http://resistancerepublicaine.com/2013/07/05/les-pro-morsi-promettent-de-bruler-les-chretiens-et-de-multiplier-les-attentats-suicide/

La mort pour  700 partisans de Morsi

http://resistancerepublicaine.com/2014/04/29/egypte-peine-de-mort-pour-pres-de-700-pro-morsi/

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Elu par les Egyptiens en 2012, l’islamiste avait été chassé du pouvoir par la prise de pouvoir de l’armée, menée par Sissi, suite aux gigantesques manifestations des Egyptiens.

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C’est d’ailleurs un bel exemple, même les Egyptiens ont réussi à mettre dehors les Frères musulmans et nous, nous ne pourrions pas mettre dehors Macron et ses amis Frères musulmans ? 

C’est que les traîtres qui nous gouvernent aiment, que dis-je, adorent les Frères musulmans ! Non contents de leur donner la légion d’honneur et de les aider à prendre la tête de l’islam de France et donc de la France, ils ont toujours déployé le tapis rouge pour les islamistes-Frères musulmans.

http://resistancerepublicaine.com/2013/01/30/hollande-recoit-lislamiste-morsi-a-lelysee-vendredi/

D’ailleurs Hollande avait aussi permis aux Frères musulmans fuyant l’Egypte de s’installer en France, d’y manifester, d’y faire des coups de force:

Comme par hasard, la video, terrifiante, a été désactivée !

Ça fait froid dans le dos. L’horreur. Horreur qui nous menace. Les Frères musulmans sont bien installés en France. Ils font, en toute impunité, leur sale besogne pour interdire par la force tout débat, toute contestation de leur vision des choses. Il faut regarder la video et voir les multiples « rabia », symbole des Frères musulmans, brandis ; les mêmes que celui choisi pour avatar par l’un de ceux qui, sur facebook, me menacent.  Il faut lire l’analyse publiée par Poste de Veille qui commence par cette introduction :  » Mercredi 16 octobre, une trentaine de partisans de l’ancien président égyptien Mohamed Morsi, renversé en juillet par l’armée égyptienne, ont brutalement interrompu un débat organisé à Paris, dans les locaux de l’Institut du monde arabe (IMA), autour de l’écrivain cairote Alaa Al-Aswany. »  Il faut également lire le témoignage de Gilles Gauthier, ancien consul à Alexandrie, que nous publions à la suite de cet article.

http://resistancerepublicaine.com/2013/10/21/coup-de-force-des-freres-musulmans-en-plein-paris/

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Récit ci-dessous :

Coup de force des Frères musulmans en plein Paris (2), commentaires d’un témoin, ancien consul


Lorsque les pro-Morsi sont parvenus à empêcher la conférence de l’écrivain Al Aswany, ce dernier et son traducteur, l’ancien consul d’Alexandrie Gilles Gauthier, ont dû précipitamment être mis à l’abri des violences, comme on le voit sur la video.

Cela a définitivement ouvert les yeux de Gilles Gauthier, qui a publié surfacebook un texte intitulé Intolérance et mensonges. Le voici.C’est moi qui ai mis en gras certains passages.

Christine Tasin 

En commençant ce bref message j’ai envie de remercier les frères musulmans de Paris et leurs amis très attentionnés de m’avoir montré ce que réellement ils sont. Conscient de tous les cheminements psychologiques qui pouvaient conduire des personnes malheureuses à trouver un refuge identitaire dans une religion qu’ils connaissent d’ailleurs fort mal, j’avais jusqu’ici fait preuve de beaucoup de compréhension à l’égard de ceux qui, incapables d’affronter le siècle dans lequel ils vivent pensaient pouvoir trouver un refuge dans une histoire lointaine et imparfaitement connue et dans une religion dont ils ignorent les lumineuses transcendances pour se contenter de la surface rugueuse que leur en montrent leurs curés mal décrottés.
Depuis ce soir, mon indulgence a pris fin. Je sais où ils se trouvent et où je me trouve.
Alaa El Aswany, l’auteur de l‘immeuble Yacoubian, de Chicago, de J’aurais aimé être Egyptien et de l’Automobile Club bientôt traduit en français avait accepté à ma demande, alors qu’il se trouvait à Paris, de venir parler de son oeuvre à l’Institut du monde arabe. Je comprenais, et il comprenait que, après l’éviction par le peuple égyptien du président Morsi, des questions allaient être posées par des personnes qui pensaient encore que, après son coup d’état constitutionnel du mois de Novembre 2012 ce président incarnait encore une certaine forme de légitimité. Alaa El Aswany était prêt à leur répondre et à expliquer à ce public français sa vision de ce qui se passait en Egypte.
A l’Institut du monde arabe, comme cela est d’usage commun, l’orateur s’exprime habituellement pendant quarante-cinq minutes après lesquelles quinze minutes sont laissées au débat. Il est, après tout, plus intéressant d’entendre parler un écrivain engagé depuis plus de dix ans dans les luttes de son pays, que des orateurs du quartier latin qui ont depuis bien longtemps traversé notre mer commune.
A peine la conférence engagée des doigts commencèrent à se lever. Comme modérateur de cette rencontre j’expliquai que les questions pourraient être posées plus tard mais que le moment n’était pas venu.
Un peu las d’entendre parler de littérature, des personnes qui n’en avaient peut-être pas l’habitude et qui, de toute façon, n’étaient pas venues pour cela, se sont mises à s’agiter. Le pauvre modérateur s’est soudain vu déborder et l’orateur privé de parole. Detous les recoins d’une salle préalablement occupée et soigneusement quadrillée, des nervis se sont levés reprenant des slogans qui, en d’autres temps, avaient été utilisés par de vrais révolutionnaires, et se sont dirigés, menaçants, vers la tribune. Un service de sécurité limité – car des actes de sauvageries de ce genre sont encore rares – a permis de faire sortir sans dégâts corporels l’orateur et le modérateur qui ont attendu que se poursuive la furia ikhouania, cassant les vitres, jetant les sièges, giflant les femmes et les hommes qui émettaient des réserves face à ce déferlement de barbarie, et, accessoirement volant des téléphones portables. 

Je me suis dit alors que le mot fascisme avait encore un sens.

Lorsque le président Marzouki était venu à l’Institut du monde arabe, il avait également été accueilli par des opposants. Les opposants tunisiens du président Marzouki étaient des laïques puisque c’étaient les islamistes qui sous son ombre étaient au pouvoir en Tunisie.
En dehors de l’intrusion violente, mais gracieuse, de deux femens, les opposants au président Marzouki ont respecté les règles habituelles de la civilité. Leurs questions ont été dures, exigeantes, mais sont restées des questions. Ils ont attendu, avant de prendre la parole qu’on la leur donne, et le président Marzouki a eu la possibilité de leur répondre. C’étaient des opposants déterminés, mais démocratiques.
Ce soir, à l’Institut du monde arabe, nous n’avions pas affaire à des démocrates, mais à une bande de voyous qui, comme dans les années vingt en Italie et dans les années trente en Allemagne n’avaient que leur force physique comme argument.

Pourquoi tant de violence et tant d’acharnement ? Réduite en Egypte, déstabilisés en Tunisie, la confrérie des frères musulmans sent le pouvoir qu’elle attend depuis quatre-vingt ans lui échapper des mains et son rêve millénariste s’effondrer. Il faut dire qu’avec un peu de cervelle et moins de sermons, ils auraient eu beaucoup de cartes entre les mains. Il ne reste plus que celle de la brutalité.
Mais, grâce à un tout petit émirat posé sur une très grosse poche de gaz, ils bénéficient d’un soutien médiatique très efficace.
A l’heure où la plupart des moyens d’information mondiaux doivent faire face à de graves problèmes budgétaires qui les obligent à réduire le nombre de leurs correspondants à l’étranger, quoi de plus facile que de reprendre la télévision Al Djezirah. Si Al Djezirah dit quatre mille morts, allons-y pour quatre mille morts, cela fait mieux dans un titre que trois cent. Et six-mille est encore plus alléchant. De toutes façons, personne n’ira compter.
Ce soir Al Djezirah a couvert en live la conférence d’Alaa El Aswany. Disons même que les cameramen cette chaîne si interactive ne semblaient pas bien éloignés des organisateurs de l’algarade. 
Al Djezirah a entendu un étranger assis à la droite d’Alaa El Aswany (je pense que c’était moi, bien que je ne pense pas être étranger Paris) prendre la défense du président Sissi. L’étranger en question s’était contenté, sur un ton parfois un peu sec, mais inefficace, de rappeler à plusieurs reprises que les questions, comme il est de coutume, seraient posées à la fin. Il n’a prononcé aucun phonème qui de près ou de loin se rapproche du doux susurrement de Sissi.
Mais l’étranger en question a pu se rendre compte par lui-même de ce qu’on lui avait depuis longtemps répété : qu’El Djezirah n’avait pas un très grand respect pour la vérité et que l’important pour ceux qui utilisaient ou possédaient cette chaîne, c’était que leurs mensonges aient une large audience.

Oui, je le redis ici, je suis reconnaissant aux voyous de ce soir. Ils m’ont convaincu. Ils m’ont rassuré. L’histoire n’ira pas dans leur direction. Les peuples arabes ont déjà compris ce qu’étaient ces gens-là. Les croyants savent qu’ils n’ont pas besoin d’eux pour prier ni pour régler leurs existences. Les patriotes, fiers de leurs pays, Egypte, Syrie, Liban, Irak, Jordanie, Arabie, Emirats, Oman, Yémen, Maroc, Bahrein, Koweit, Algérie, Tunisie … et fiers de leur commune appartenance à la civilisation arabe et à la civilisation de l’Islam, n’ont pas besoin de leur vision étriquée de la condition humaine. L’avenir se fera sans eux. Ils s’en rendent peut-être compte. Ils en souffrent sans doute. Je souhaite que les moins atteints d’entre eux en puissent guérir.
En attendant Joyeux Aïd à tous (y compris aux méchants qui après tout sont créatures du bon Dieu, et plus à plaindre qu’à maudire). ?? ??? ????? ?????

http://resistancerepublicaine.com/2013/10/21/coup-de-force-des-freres-musulmans-en-plein-paris-2-commentaires-dun-temoin-ancien-consul/

Croyez-vous que les exemples à l’étranger auraient ouvert les yeux de nos gouvernants ? Croyez-vous qu’ils auraient dissous le CCIF, le CCIF et ces centaines d’associations de leur mouvance ?

Au contraire…

 

P.S Pour en savoir plus sur Sissi

http://resistancerepublicaine.com/search/Sissi

 

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10 Commentaires

  1. Quel bonheur la mort d’un dégénéré suppo de islam, réjouissons nous mes frères patriotes , un nuisible de moins.

  2. Cela prouve que l’islam ( l’islamisme est une invention pour ne pas heurter la sensibilité musulmane ) est incompatible avec la démocratie ,les droits de l’homme, de la femme, des minorités.
    Il n’existe AUCUN pays musulmans qui soit réellement démocratique.
    Il n’y AUCUN pays musulman qui respecte les droits de l’homme.
    Il n’y a AUCUN pays musulman qui respecte la liberté de conscience.
    Il n’y a AUCUN pays musulman qui respecte la liberté de culte des minorités religieuses.
    La dictature islamique a été remplcée ( sans aucune surprise ) par une dictature militaire.
    On reconnait un arbre à ses fruits.
    L’islam est une dictature stalinienne déguisée en religion.

  3. un office religieux a eu lieu a sa mémoire dans certaines mosquées en France, tenue par des frères musulmans, salafils de putes !!

    ça c’est passé tot ce matin, ils ont récité la “prière de l’ absent” a la mémoire de leur héros

    comment je le sais ?? facile! désque je ne sais rien je dis tout, mais dés que je sais tout je ne dis plus rien !

    héhéhéhé! j’ ai des yeux et des oreilles, des oreilles qui entravent le jars ! 😆

  4. IL Y A COMME CELA DES BEAUX JOURS…uNE CRAPULE DE MOINS! BÉNI SOIT SISSI

  5. Bon débarras et une saloperie de moins sur cette Terre , s’ils pouvaient tous disparaître avec leurs soutient boboides gauchistes et autres affidés en une nuit , putain quel pied !

  6. Un Frère musulman mué en dictateur, renversé par des militaires.

    Un bel exemple !

    Et rappelé par Allah, qui vaut mieux que ses sectateurs à la mode Mahomet.

    Une lueur d’espoir ?

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