J’étais à la bataille de Poitiers, écuyer du grand Charles… Lisez et rêvez !

Nous avons évoqué récemment, sur RR, les opposants historiques à l’islamisation de la France, dont Charles Martel. Je propose donc à nos lecteurs, en avant-première, un passage de mon second roman, à paraître l’an prochain, et intitulé “Les Dernières Barres”.

 Mon héros se retrouve dans l’un des chapitres, plongé dans la fameuse bataille où il sert comme écuyer de Charles Martel.

A l’époque de la bataille de Poitiers, en l’an de grâce 732 après la naissance du Christ, se nomme Charles de Joyon, il est encore un adolescent, il n’est âgé que de 16 ans.

 

Charles, du haut de ses seize ans, n’avait jamais vu un tel rassemblement d’hommes en armes. Il chevauchait en compagnie d’Abélard, l’envoyé de Charles, Maire du Palais, fils de Pépin, qui serait plus tard surnommé Charles Martel, souverain de fait sans en être roi, du domaine franc. Derrière eux les cent cinquante hommes provenant du château de Joyon et de la garde personnelle d’Abélard, brandissaient fièrement  les étendards vivement colorés frappés des armes des deux seigneurs qui chevauchaient à leur tête.

Du haut de la colline où ils se trouvaient ils découvraient une vue plongeante sur l’Ost qui avait pris ses quartiers dans la plaine. Les tentes multicolores se dressaient dans la boucle d’un méandre paresseux de la Vienne quelques lieues au Nord de Poitiers.

L’agitation était à son comble car l’armée commandée par Eudes, duc d’Aquitaine et de Gascogne, venait de faire sa jonction avec celle du grand Charles.

Alliance tardive de deux hommes qui s’étaient affrontés si violemment quelques années plus tôt…

Mais Eudes n’avait plus le choix. Attaqué par les troupes du chef Sarrazin Abd el Ramahne en 721, il avait remporté une première victoire, mais en 732 les hordes arabo-musulmanes supérieures en nombre, avaient eu raison de sa résistance et lui avaient infligé une lourde défaite. S’il voulait préserver sa province et résister à l’invasion des Maures, il devait se renforcer.

Comme de son côté le Maire du Palais se devait d’arrêter les Arabes avant que, sur leur lancée, ils n’investissent ses provinces du Nord, les deux anciens ennemis avaient conclu une alliance sacrée de circonstance pour la défense du territoire franc.

En ces temps de féodalisme forcené, la première véritable notion de Nation venait de voir le jour sous l’égide de la religion catholique.

Comme il est d’usage en politique, les ennemis d’hier  étaient tombés dans les bras l’un de l’autre avec force proclamations d’amitié éternelle, aussitôt après la conclusion de cette alliance.

Les Sarrazins venaient de prendre Poitiers d’assaut et semaient la terreur sur leur passage. Ils ignoraient la pitié. Le meurtre, et le viol systématique de tout ce qui portait jupon, sans considération d’âge ou de condition, inhérents à leur culture, étaient leur lot quotidien. A cela il fallait ajouter le pillage, élevé à la hauteur d’un grand Art. Jamais encore, de mémoire de Gascon, on n’avait vu une telle rapacité, souffert de telles atrocités.

La torture et l’assassinat systématique des populations étaient perpétrés au nom d’Allah.

Leur prophète Mahomet était censé leur avoir prescrit de convertir ou de massacrer tous les Roumis réfractaires. En vérité ils semblaient se soucier fort peu de conversion et beaucoup plus de pillage et de meurtre. Quoi qu’il en soit, les populations terrorisées avaient fait appel à leurs seigneurs pour les défendre. Cet usage faisait déjà partie du contrat social féodal qui commençait à s’instaurer. Le paysan ou le bourgeois devait l’impôt mais le seigneur devait protection.

  Charles, qui n’était pas encore « Martel » était un fin stratège. Il savait que, malgré le renfort des troupes d’Eudes de Gascogne, ses forces demeuraient inférieures en nombre à celle d’Abd El Ramahne.

Il avait aussi appris au fil des batailles l’importance cruciale de la cavalerie en rase campagne. Elle permettait de pallier l’insuffisance du nombre par la mobilité et la force d’impact. Il n’avait donc eu de cesse de transformer une phalange de piétons valeureux mais indisciplinés en une force de cavalerie maniable, capable de lutter à armes égales avec celle des Sarrazins.

Enfin, Il avait  compris que la mobilité était une des clefs de la victoire et sut avec sagesse se servit d’un travers de son ennemi.

Profitant du penchant immodéré et ancestral des troupes arabes pour le pillage, il les laissa s’emparer et se goinfrer pendant six jours de suite d’un colossal butin. Dès lors la mobilité des troupes Sarrazines, alourdies par ce trésor bien encombrant bourré sur des charriots surchargés, devint fort réduite.

Il ne lui restait plus qu’à attaquer en priant le « Dieu de Clotilde » invoqué jadis par Clovis, de faire pencher la balance du côté du glaive plutôt que du cimeterre.

C’est quelques jours avant la bataille, dite par la suite « de Poitiers », dont la renommée traverserait les siècles, et qui vaudrait au Maire du Palais d’acquérir le surnom de « Martel », que Charles de Joyon fut présenté au commandant en chef des forces franques par Abélard, le fidèle, délégué dans les provinces pour quérir des renforts.

Le Maire du Palais examina Charles d’un œil bleu et scrutateur. Il était dans la force de l’âge ; une barbe blonde mêlée de quelques fils blancs venait mourir sur le gorgeron d’une armure qui enserrait sa formidable poitrine.  On devinait que la longue épée qui battait son flanc ne devait pas peser bien lourd aux mains de cet homme bâti en force.

C’est avec un sourire de bienvenue qu’il s’adressa au tout jeune homme.

Eh bien Charles, toi qui partage mon prénom, Abélard m’a dit que tu souhaitais aussi partager le destin de tous ces valeureux hommes de nos provinces, réunis ici pour barrer la route à l’envahisseur ! A ce que je vois la jeunesse d’Aquitaine est pleine d’honneur et de bravoure.

J’ai bien connu ton père, un brave parmi les braves. Tu es de son sang et je ne doute pas que  tu nous prouves bientôt que tu as reçu sa vaillance en héritage. Combien d’hommes as-tu amenés avec toi, combien de cavaliers ? 

Charles, suivant l’usage, avait plié le genou devant celui qu’il pouvait considérer comme son suzerain, bien qu’en vérité, l’Aquitaine étant indépendante, il ne dut hommage qu’à Eudes d’Aquitaine. Il s’inclina avant de répondre :

C’est grand honneur que vous faites à la mémoire de mon cher père, à notre maison et à moi-même. Je n’ai pu emmener avec moi que cent hommes d’armes dont quinze cavaliers. Messire nous ne pouvions faire plus, notre train est modeste !

-Relevez- vous Charles, je connais le comté de Joyon et ses facultés contributives. Votre effort a été considérable et digne de votre lignée. Si tous ceux qui sont ici présents en avaient fait autant nous serions plus de cent mille dans cette plaine. Je tiens, en mémoire de votre père qui fut mon écuyer, à vous avoir à mes côtés pendant la bataille. Nous renouerons ainsi avec une tradition dont je n’ai eu qu’à me louer par le passé. 

Flatté et touché à la fois, Charles balbutia un remerciement, s’inclina et se retira.

                                                             ****

Vous vous rendez compte Seigneur Charles ! Nous allons combattre aux côtés du commandant en chef, d’un homme aux multiples victoires tout auréolé de gloire ! 

Le garçon qui avait parlé se nommait Pépin. Sa fougue juvénile- il n’avait pas vingt ans- rosissait des joues qu’un blond duvet commençait à ombrer. Charles l’avait déjà remarqué. En l’absence de l’écuyer officiel demeuré aux cotés de sa mère à Joyon, il avait décidé de lui conférer cet honneur à titre provisoire.

La voix d’un homme d’âge plus mûr retentit à son tour :

Ce qu’il faut surtout en attendre ce sont des coups de cimeterre ! Plus nous serons proches de Charles le Grand, plus nous serons exposés aux attaques Sarrazines. Ces maudits Maures n’auront de cesse que d’essayer de l’occire, et par là même de nous trucider. 

Charles tint à mettre le holà à cette controverse :

Ne vous disputez pas mes amis ; Vous avez tous deux raison. C’est grand honneur qui nous est fait, et c’est aussi nous exposer à grand péril. Mais la force de notre foi et le bon droit guideront nos épées. Dieu prendra soin de nous, dans la victoire ou dans la mort, pourvu que cette mort nous prenne dans l’honneur. Alors la gloire de Dieu et celle des hommes seront notre récompense.

Charles avait parlé avec son cœur et comme un guerrier d’expérience, mais au fond de lui-même il était rongé par le doute. Son vieux maître d’arme avait beau lui avoir transmis tout ce qu’il savait, il avait beau être sûr de toutes ses attaques et de ses parades, être doté d’une forte constitution et d’une grande souplesse, il n’avait aucune expérience du combat réel. Ces mêlées confuses au cours desquelles il fallait se préserver de tous côtés tout en restant le gardien de son suzerain lui étaient étrangères. Serait-il dépassé ? Ne succomberait-il pas à la panique. Ne serait-il pas tenté de s’enfuir, jetant à jamais l’opprobre sur sa lignée ?

Il s’apprêtait à se coucher parmi ses hommes dans une petite tente sans prétention, bien éloignée du luxe de celles des grands féodaux présents, quand un soldat se présenta à lui.

Messire, votre présence est requise auprès de Charles, notre commandant en chef. Veuillez me suivre messire !

Surpris de cette invitation parfaitement inattendue, Charles emboîta le pas au garde.

C’était un  aréopage des principaux barons que contenait à grand peine la tente pourtant vaste de Maire du Palais. Un grand tumulte régnait. Chacun soutenait à haute voix que sa méthode était la meilleure pour venir à bout d’Abd El Ramahne et de ses troupes aguerries. Soudain leur hôte se leva de son majestueux fauteuil :

Silence messires, j’ai réuni ici la fine fleur de mon Ost à la veille de la plus grande  et la plus sacrée bataille qu’ait connue la Chrétienté, afin que nous arrêtions notre plan de campagne.

Mais avant cela je voulais vous présenter le fils de mon ancien et bien aimé compagnon de guerre : Pierre Joyon. Il fit signe à Charles de s’approcher et le désigna à l’assemblée…

Voici messires, Charles comte de Joyon, qui nous est venu rejoindre avec cent de ses valeureux compagnons !. Un homme d’âge mûr au visage barré par une horrible cicatrice intervint d’une voix de stentor :

Mais c’est un enfançon.  Moi, Enguerrand comte d’Angoulême je vous dis que sa place n’est pas au combat mais dans les jupes de sa mère ! Je n’en veux pas auprès de moi dans la bataille ! Une partie de l’assistance partit d’un rire gras. L’autre qui avait bien connu le père de Charles se tut par respect pour sa mémoire. Mais leur physionomie reflétait leur accord avec les dures paroles d’Enguerrand.

Le teint du Maire du Palais vira au rouge.

Il suffit messires ! En offensant Charles comte de Joyon, vous offensez gravement ma personne. Et si nul n’entend lui accorder la confiance qu’il mérite, sachez que je considérerais comme un honneur qu’il soit à la bataille mon écuyer, reprenant ainsi la charge qui fut celle de son père ! Acceptez-vous Charles ?

Mettant fin au murmure d’incrédulité qui avait succédé à ces propos, le jeune homme assura sa voix pour répondre :

C’est en vérité trop d’honneur que vous me faites là Sire Charles. Je vais prier Dieu de me donner la force et le courage de m’en montrer digne. Le jeune homme s’approcha et s’inclina profondément.

Voici donc une affaire entendue, passons maintenant à notre plan.

Jusqu’à près de minuit ils arrêtèrent le plan de bataille. Alors qu’il saluait le Maire du Palais en prenant congé Charles l’entendit lui dire à mi-voix :

Je compte sur vous demain, vous servirez à ma droite comme le faisait votre regretté père.

Le jeune homme ne parvint que bien tard à trouver le sommeil, tiraillé entre la fierté d’avoir ainsi été appelé à une aussi haute fonction, et  l’angoisse de ne pas se montrer à la hauteur de la tâche.

Vers neuf heures le lendemain, l’Ost dissimulé par un repli de terrain était disposé en ordre de bataille. Au milieu de la cavalerie, le Maire du Palais, reconnaissable à ses armoiries d’or et de bleu azur, le chef surmonté d’un heaume à la couronne rehaussée d’or, donnait ses dernières instructions.

Le duc de Berry, à la tête d’un important contingent de chevaliers devait engager le combat, et manœuvrait pour entraîner le gros de l’armée sarrazine vers la boucle de la Vienne gonflée par les pluies d’Octobre. Le moment venu il devait battre en retraite, en espérant qu’il serait suivi par un fort contingent de Sarrazins dans le plus grand désordre, comme il est d’usage dans ce type de curées.

Il devait alors tourner le coin d’un bois où étaient soigneusement dissimulés trois  rangs d’archers destinés à décimer les poursuivants. Un autre contingent de cavalerie emmené par le comte de Poitou et caché lui aussi dans le bois devait alors charger coupant ainsi en deux le gros de l’armée Sarrazine.

Enfin, ruse suprême, un fort contingent d’archers montés sur des barges plates devait descendre le cours de la Vienne et, inaccessibles sur l’eau à toute attaque terrestre, transpercer à loisir de leurs flèches les Sarrazins empêtrés dans la boue.

Il était ensuite prévu que Charles, le Maire du Palais, attaque le moment venu, avec ses troupes fraîches, le dernier corps d’armée d’Abd El Ramahne, resté en réserve en arrière de l’engagement, en le prenant à revers par une charge de cavalerie lourde.

Si nous coupons la branche, le fruit tombera !  avait conclu le chef franc.

                                                            *****

Charles suivait l’engagement, immobile sur son destrier piaffant d’impatience, aux côtés de celui de son royal souverain. Tout se déroulait suivant le plan prévu. Gêné par un cortège de chariots sur lesquels était chargé un butin hétéroclite, l’armée sarrazine se déplaçait lentement. Fort de la supériorité numérique de ses troupes, sûr de leur technique de combat et de la victoire finale, Abd El Ramahne n’avait pas voulu abandonner son butin pour livrer bataille. Les chrriots s’embourbaient dans la prairie gorgée d’eau par une crue récente de la Vienne et retardaient encore les mouvements du gros de l’armée.

Du petit bois, une volée de flèches meurtrières  vint frapper les poursuivants du duc de Berry. La charge inattendue de la cavalerie du comte de Poitou qui lui succéda transforma la poursuite en débandade, faisant reculer vers la prairie boueuse les troupes musulmanes qui avaient  échappé au massacre. L’armée sarrazine était désormais réduite de moitié. Les survivants tombaient comme des mouches, percés de volées de flèches expédiées des barges qui descendaient lentement le cours de la rivière.

C’est alors que le bras de Charles Martel se leva pour ordonner la charge. Placé à ses côtés, au deuxième rang des assaillants, Charles de Joyon fut entraîné dans un ouragan de bruit et de fureur. Le premier choc avec les lignes ennemies fut terrible. Autour d’Abd El Ramahne, était concentrée l’élite des troupes Mauresques. Charles sentit sa lance s’enfoncer dans une poitrine insuffisamment protégée par une fine cote de maille. Il ne put la retirer à temps et dut se saisir en toute hâte de son épée à deux tranchants. Près de lui, le Maire du Palais frappait sans relâche avec une masse d’armes tout ce qui passait à sa portée. Ecrasant les heaumes, broyant crânes et membres avec une folle audace, à une cadence d’enfer.

Le jeune homme s’efforçait de rester à ses côtés et de protéger le flanc droit du suzerain avec son écu et son épée. Absorbé par sa tâche il avait un peu perdu de vue les leçons de vigilance que lui avait prodiguées son maître d’arme.  Il  sentit soudain une fulgurante douleur à son bras gauche qui tenait l’écu. Un Sarrazin à pied avait réussi à l’approcher par derrière et à lui porter ce coup qui avait tranché la cote de maille et pénétré profondément la chair.

Mais devant lui, le chef franc s’enfonçait de plus en plus dans les rangs ennemis. Charles éperonna sa monture pour tenter de le rejoindre malgré la douleur aigüe et  le liquide rouge qui s’écoulait de son bras blessé.

Le Sarrazin qui l’avait atteint fit deux pas en avant  pour lui couper la route. Charles feinta un coup d’estoc et d’un terrible moulinet trancha net la tête de l’imprudent qui tomba sur le sol pendant que le corps encore debout laissait échapper des geysers de sang.

Il avait presque rejoint son chef lorsqu’il avisa un Sarrazin plus grand que les autres, qui portait son attaque par la droite du Maire du Palais. Il était  vêtu d’une cotte de maille dorée et coiffée d’un casque pointu assorti. Un premier coup terrible avait fendu l’écu, et le Sarrazin attendait qu’un de ses soldats engage Le Maire du Palais par la gauche pour lui porter le coup fatal. Il levait son sabre recourbé dont la lame ruisselait de sang et se préparait à abattre sur son adversaire quand Charles parvint, à bout de bras, à lui porter un coup d’estoc qui pénétra à peine les chairs mais détourna de son but la lame du Sarrazin.

Le souverain Franc prenant conscience du danger se retourna et d’un formidable revers de sa masse d’arme, toucha à son tour le grand Sarrazin au bras. Charles profita de ses dernières forces pour plonger sa lame dans la poitrine du Maure. Il sentit son épée percer la cotte de maille et s’enfoncer dans la poitrine qu’elle traversa de part en part. Le Sarrazin qu’il sentait gigoter désespérément au bout de sa lame  poussa un hurlement. Son corps se renversa en arrière et il tomba de cheval.

Le jeune homme entendit alors un immense cri  enfler, tel une vague gigantesque :

Il est mort, Abd El Ramahne est mort, Joyon l’a tué ! Puis il se sentit glisser dans un néant cotonneux. Un trou noir et vertigineux. Il n’avait plus mal. Encore une sensation de fierté et puis plus rien…

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10 Commentaires

  1. Toute mon admiration pour ce texte et tous les autres qui mettent en scène votre prolifique petite famille à quatre pattes. Je vous lis toujours avec une grande admiration. Merci monsieur Cirier

  2. J’aime beaucoup les romans de chevalerie, celui-ci me partait fort intéressant et bien écrit,
    le récit vous entraine et on aimerait lire la suite

  3. Magnifique texte, je me suis régalé, grand amateur d’histoire du moyen-age, je ne vais pas manquer de l’acheter. Prévenez nous de sa parution. Merci.

  4. Et c’est ainsi qu’un chaton, bien des années plus tard se retrouva baptisé…
    ça promet ce futur ouvrage ! Il faudra nous donner les références, afin que nous nous précipitions tous en librairie.
    Merci à Patrice Cirier pour ce beau texte, émouvant, puissant.

    • Bonjour, et merci de vos compliments. Ce livre:”Lesdernières Barres ne paraitra que l’an prochain (bien qu’il soit terminé) aux éditions Godefroy de bouillon.En effetun premierouvrage intitulé “Derrière le Barreau doit paraître chez lemême éditeur incessamment. Le premier tome devrait paraître début Avril.
      Je ferais connaître sa parution sur Résistance Républicaine.
      Vous comprendrez qu’il serait maladroit de faire paraître les 2 titres en mêmetemps, Ce qui explique ce décalage. A propos, les chatons vont revenir bientôt, les Miaou Chats Y din n’ont qu’à bien se tenir!
      Prions pour que nous vienne un nouveau Martel!

  5. Un petit hors sujet :
    Philippe de Villiers: «Il faut avoir le courage d’affronter l’islamisation progressive de la France !»20 mars 2019 à 09h18
    Ce mercredi, Nicolas Beytout reçoit Philippe de Villiers, ancien député européen et auteur
    Après avoir beaucoup hésité, Emmanuel Macron a décidé de ne pas toucher la loi de 1905, mais de régler quelques points qui gravitent autour de cette loi. A-t-il raison ? «Evidemment, mais il faut aller plus loin, estime notre invité. Par exemple, ce n’est pas normal qu’il y ait des financements étrangers des mosquées. Ou encore des centaines d’imams salariés de gouvernements étrangers. C’est ça le vrai problème, en fait».
    suite sur ;
    https://www.lopinion.fr/video/lopinion/philippe-villiers-il-faut-avoir-courage-d-affronter-l-islamisation-181423

    • De Villiers est à côté de la plaque lui aussi, le vrai problème n’est pas les imams payés par l’étranger, le problème est l’islam tout court

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