Laëtitia Halliday grand gourou du macronisme, pays sans frontières et sans armes…

Laëticia Hallyday, manager artistique sur l’album posthume et multiculturaliste de Johnny

Laëticia Boudou rencontre Johnny Hallyday à Miami en mars 1995 dans une boîte de nuit de son père. Le 25 mars 1996, à Neuilly sur Seine, à l’âge de 21 ans, Laëticia Boudou se marie avec Johnny Hallyday, âgé de 52 ans. Elle est la quatrième épouse du chanteur après Sylvie Vartan, Babeth Etienne et Adeline Blondieau.

À partir des années 2010, Laëticia Hallyday s’investit dans la vie professionnelle de Johnny en devenant le « manageur de l’ombre » de son époux. Autodidacte, elle accompagne les choix et gère les affaires professionnelles de son mari. Les différentes entreprises du chanteur sont depuis l’été 2012 au nom de sa grand-mère paternelle, Élyette Boudou, installée avec le couple à Los Angeles. Selon la presse : « Laëticia est à la fois le manager de Johnny, sa styliste, sa directrice artistique, sa productrice, sa négociatrice, la responsable de son image, son infirmière et son avenir. ».

Depuis la mort de Johnny il y a un an en décembre 2017, le clan Hallyday se déchire autour des testaments de l’artiste et des droits d’auteur sur l’album posthume du chanteur. Laëticia Hallyday revendique l’application du droit américain alors que les enfants de Johnny, David et Laura, demandent l’application du droit français en insistant sur le fait que leur père présentait des liens manifestement plus étroits avec la France.

En vertu d’un jugement rendu par le TGI de Nanterre en 2018, David et Laura ont été écartés du droit de regard sur les dernières compositions musicales de Johnny, ce dernier ayant validé l’ensemble des morceaux de son vivant selon sa maison de disque. C’est donc Laëticia Hallyday qui a eu le dernier mot, confirmant ainsi son emprise sur le choix des musiciens et des chansons pour cet album posthume.

A la lecture des textes de cet opus, on voit apparaître en réalité un pamphlet politique destiné à manipuler les fans de Johnny Hallyday et son public. Depuis toujours proche du pouvoir, notamment du Président Macron, le couple Hallyday ne fait que relayer les paroles de la bien-pensance et de nos dirigeants politiques.

Le titre de l’album posthume fait directement référence à un pays en paix en lançant « Mon pays, c’est l’amour ! » alors que la France traverse une période de grandes turbulences avec de nombreux attentats et la montée de l’islamisme. Loin de l’amour, la France est aujourd’hui gangrénée par la violence et la haine. Les morceaux de l’album, composés sur des rengaines chères au rockeur, ne font que véhiculer un message en faveur de l’ouverture des frontières et du multiculturalisme.

« Je viens d’un pays où l’on baisse les armes,

Une patrie gouvernée par le rire et les larmes,

Je viens d’un endroit sans drapeau ni frontière,

Une terre sans loi où personne ne se perd »

Marraine pour UNICEF et mère adoptive de deux enfants vietnamiennes, Laëticia Hallyday prend souvent la défense des peuples opprimés. Lors des obsèques de Johnny Hallyday, elle avait publiquement refusé la présence du Front National à ces funérailles nationales, écartant ainsi de nombreux admirateurs du chanteur. Les connivences entre le monde du show business et le monde de nos élites mondialistes ne font aujourd’hui plus aucun doute.

Voir en complément :

http://resistancerepublicaine.com/2018/10/19/mon-pays-cest-lamour-cest-pour-ca-que-tu-las-quitte-johnny/

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3 Commentaires

  1. La veuve joyeuse, prise en photo à St Barth, en boîte de nuit avec sa fille de 10 ans!!! Cet été.

  2. « Mon pays, c’est l’amour ! »

    Pour moi, je ne prends pas ce titre à la lettre et je ne pense pas (mais peut-être que je me trompe même si je le sens comme cela) qu’il s’adresse à la France mais au sentiment “d”amour” (seul “pays” qu’il reconnaitrait) et dans ce contexte les paroles se comprennent autrement.

  3. J’avais vu son interview au 13h de TF1. Bonjour la diction. Elle c’est pas “heu” à chaque phrase, c’est “ham” tous les 2 mots.
    Je veux bien croire qu’elle était impressionnée par les caméras mais à ce point-là…

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