Pour Maïa Mazaurette, un Blanc attiré par une Noire est raciste et “n’a pas de culture sexuelle européenne”

Mais qu’est devenu le journal d’Hubert Beuve-Méry ?

L’ex-“quotidien de référence”, après le passage du trotskiste Plenel chantre d’une société métissée, en vient à publier des articles néoféministes prônant le contraire.

Du temps d’Edwy Plenel, le Blanc devait obligatoirement se mélanger à la diversité ethnique pour un bonheur métissé. Se métisser, c’était même « une politique de résistance » (La découverte du monde, 2002) face à l’extrême-droite vivant son repli identitaire « par peur du monde et crainte de l’étranger. »

Et voilà que maintenant, une chroniqueuse-blogueuse, Maïa Mazaurette, nous assène le contraire : l’attirance sexuelle des Blancs pour la diversité ne serait qu’un fantasme post-colonial issu d’un « imaginaire raciste […] racontant la tragique absence de culture sexuelle européenne. »

Amis lecteurs (l’article du Monde semblant se focaliser sur le mâle blanc), votre petit faible pour la fille des îles ou celle du Vietnam s’avère donc le révélateur d’une perversité sans égal et d’une risible pauvreté sexuelle. Face à ce délire néoféministe s’insinuant jusque dans l’intimité du couple et de la chambre à coucher, le roman visionnaire 1984 paraît désormais dépassé.

Maïa Mazurette n’est pourtant pas d’origine africaine ou asiatique mais une Européenne bien blanche appartenant à cette nouvelle génération de féministes obsédée par la race qui, par ethnomasochisme ou pure misandrie, crie sa haine de l’homme blanc.

Pour un nouveau monde orwellien du contrôle des fantasmes, de l’imaginaire et des désirs sexuels…

Ce que révèle la fascination pour les sexualités « exotiques »

Étalon noir, Chinois raffiné… un imaginaire raciste qui raconte, selon la chroniqueuse de « La Matinale » Maïa Mazaurette, la tragique absence de culture sexuelle européenne.

LE MONDE | 

A l’époque où j’ai grandi, l’érotisation des corps « exotiques » ne se questionnait même pas : j’avais le choix entre le sensuel Amant chinois de Duras, les lycéens japonais des mangas, les beaux Indiens des westerns, la musique de Prince, les pectoraux de Sayid dans « Lost », les mots troublants de Césaire au programme du bac : « Et ce ne sont pas seulement les bouches qui chantent, mais les mains, mais les pieds, mais les fesses, mais les sexes, et la créature tout entière qui se liquéfie en sons, voix et rythme »

Les Blancs non seulement clamaient leur attirance pour les non-Blancs, mais souhaitaient les épingler à leur tableau de chasse sexuel (une fascinante version humaine du safari). Il fallait avoir « essayé » un Noir comme on essaierait un chemisier ou la tarte flambée. L’angélisme des générations antérieures, passées parfois par les colonies, était encore plus flagrant (« ces gens sont formidables »). Indifférents à leur propre couleur, les Occidentaux réduisaient ces partenaires sexuels à leur peau… et demandaient, en plus, qu’on leur donne des médailles du mérite. Etre antiraciste, c’était ça.

En 2018, cette vision unilatérale du monde, ces bons sentiments, ne sont plus acceptables. On l’a vu avec le mouvement #metoo : le désir n’est pas toujours un compliment. Il peut même être un mauvais traitement.

En l’occurrence, les personnes racisées en ont ras-le-bol de la fascination des Blancs qui les assigne à des stéréotypes : l’étalon noir et sa tigresse, le Chinois raffiné, le Japonais pervers, les Maghrébins chauds comme la braise, les femmes asiatiques forcément soumises… Cette exaspération s’exprime sur Twitter (#jenesuispastanegresse, #misogynoir), dans des livres (La Légende du sexe surdimensionné des Noirs, par Serge Bilé), dans des podcasts comme le Tchip sur Arteradio ou Code Switch sur NPR). Cette lassitude se heurte à la confusion des antiracistes d’hier : peut-on être un mauvais allié quand on couche hors-sol ? Très manifestement, oui.

Hiérarchie du désir

D’ailleurs, ce désir se traduit-il réellement dans les faits ? En 2014, le site de rencontres OkCupid révélait que les femmes noires et les hommes asiatiques avaient beaucoup moins de succès que les autres (ils recevaient 15 % ou 20 % moins de messages), tandis que les hommes blancs et les femmes asiatiques étaient particulièrement recherchés. Ces chiffres ont été confirmés par l’analyse de données Facebook de 2013.Cette hiérarchie du désir se traduit dans les unions : en France, 14 % des mariages sont mixtes (Ined, 2015), dont un quart implique deux partenaires européens. Traduction : neuf fois sur dix, on finit par se caser dans sa propre « couleur ». La fétichisation des minorités se double donc d’un maintien des distances de « sécurité » qui rappelle les mots de Freud : « Là, où ils aiment, ils ne désirent pas et là où ils désirent, ils ne peuvent aimer. »

On objectera qu’il est naturel d’avoir des préférences, ou d’avoir un type. Sauf que le regard se forme culturellement, et peut en conséquence être déconstruit, reconstruit et augmenté. Le fait de reconnaître plus facilement les visages des personnes appartenant à sa propre ethnie s’appelle lecross-race effect. Ce biais cognitif influe sur nos capacités à individualiser les minorités, à comprendre leurs émotions et in fine, à les désirer. L’histoire ne s’arrête heureusement pas là. En s’exposant à d’autres visages, on apprend à les intégrer à son univers mental. Les préférences peuvent donc être questionnées : nous n’en sommes pas victimes.

La fascination occidentale s’exporte en outre dans le domaine de pratiques sexuelles spécifiques : le bondage au Japon, le twerking des filles des cités qui savent bouger des fesses (comme chacun sait), le kunyaza du Rwanda, le Kamasutra et le tantra de l’Inde, les harems des Arabes,l’innocence des Indo-Américains…

Autant de projections qui alimentent l’essai Sexe, race & colonies, paru en septembre aux éditions La Découverte sous la direction de Pascal Blanchard – et dont les choix esthétiques (1 200 illustrations) ont fait débat(montrer ou ne pas montrer ?). On peut y lire : « Le corps de l’“Autre” est pensé simultanément comme symbole d’innocence et de dépravations multiples : un corps qui excite autant qu’il effraie. Dans ce contexte, les femmes “indigènes” sont ainsi revêtues d’une innocence sexuelle qui les conduit avec constance au “péché” ou à une “dépravation sexuelle atavique” liée à leur “race” : tout ceci confortant la position conquérante et dominante et du maître et du colonisateur. »

Le point de vue du colonisateur

Position conquérante ? Certainement. Position dominante ? Pas de manière unilatérale, d’autant que le temps des colonies est passé, en transformant les codes de la performance ou de la beauté : la pornographie vante les prouesses des Noirs, la pop culture tombe sous le charme de la minceur et la lisseté « naturelles » des Asiatiques. Car l’étrange contrepoint de ces clichés, c’est qu’« ils » (les Noirs, les Arabes, les « autres ») sont mieux membrés que les Blancs, plus musclés, plus performants, et qu’« elles » sont plus fermes que les Blanches, plus douces, meilleures coucheuses, plus soumises, moins soumises. (Le point de vue adopté est celui du colonisateur : les vainqueurs écrivent l’histoire, ils écrivent aussi le désir.)

Outre cette persistante tendance à imaginer que l’herbe soit plus verte dans le champ (de coton) du voisin, cette idéalisation en dit long sur les angles morts de la blanchité. Elle projette en effet, en creux, le reflet inversé d’un quotidien perçu comme médiocre : une sexualité trop ennuyeuse, trop réprimée, des corps trop couverts, des voyeurismes impossibles, des fétichismes inassumables, des vierges pas assez vierges, des homosexualités, bisexualités ou transexualités trop difficiles à vivre…

Cet imaginaire raciste renvoie à une tragique absence de culture sexuelle européenne : sous les stéréotypes, le roi est nu. Car du côté de l’héritage érotique occidental… ce n’est pas exactement Byzance. Les compétences « de souche » se réduisent de prime abord au missionnaire, au tout-pornographique et à la honte. La grande invention restera la ceinture de chasteté (bon, d’accord, et le vibrateur).

Cette admiration pour les corps et sexualités « exotiques » enferme en outre les Blancs dans le rôle de novices impuissants, d’amants essentiellement incapables, attendant d’être initiés par un sombre inconnu. Quitte à se délester de tout sens de l’initiative. Quitte à créer une nouvelle charge pour les racisés : celle d’alimenter les fantasmes et la formation sexuelle de la classe dominante (sans oublier de remercier les Blancs de leur généreux intérêt). Cette déresponsabilisation est une lâcheté et une paresse : rien n’empêche aux Occidentaux d’apprendre par eux-mêmes de nouvelles formes d’érotisme et de nouvelles pratiques.

On ne peut pas réduire les minorités à leur peau sans se réduire soi-même : sortir des stéréotypes anciens ou contemporains, c’est augmenter le champ de tous les possibles. Si le sexe est politique, comment ne pas s’enthousiasmer pour ce programme-ci ?

https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2018/10/14/ce-que-revele-la-fascination-pour-les-sexualites-exotiques_5369143_4497916.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter

http://www.fdesouche.com/1088583-ce-que-revele-la-fascination-pour-les-sexualites-exotiques

 

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23 Commentaires

  1. manifestement cette Mazaurette n’a jamais entendu parler de la sensualité et de la différence entre caresser de la soie ou du satin .
    elle comprendrait mieux les différences de peau auxquelles sont sensibles les petits coquins comme moi

  2. J’en ai marre de tous ces gens qui vivent dans leur petit cocon et ne côtoient pas les gens de toutes les couleurs car ils ne pourront jamais vraiment connaître la vérité sur celui qui est différent d’eux.Je suis une réunionnaise blanche et mon ancêtre a fait partie des premiers français qui sont venus s’installer sur l’île.J’ai fait ma scolarité avec des élèves d’origine chinoise,indienne tamoule,indienne musulmane;africaine,européenne.On vivait tous dans une bonne entente et notre île portait bien son nom.Malheureusement depuis quelques années cette entente est en train de s’effriter et ceci à cause de gens soi disant anti-racistes qui sont sans arrêt à nous rappeler notre passé colonial,l’esclavagisme,etc…Aussi comme cette Maïa qui dénigre les blancs.

      • Il me semble que ce racisme anti-blanc est une mode venue des USA, avec leur nouvelle vague démocrate, et les crieurs de haine, rappeurs de leur état,

        les gauchistes français ont fait un copié-collé, et là où régnait l’entente, ils ont créé la discorde,

        j’ai connu des martiniquais, noirs , qui étaient fiers de leurs ancêtres aristos blancs, car ils en avaient hérité la culture, l’honneur, le courage, les bonnes manières vieille France,
        à vrai dire, ils sont par bien des aspects très supérieurs à ces blancs haineux gauchistes , crasseux, qui sèment leurs excréments de complexés refoulés, intellos bas de plafond,

    • Quand on gratte un peu derrière ces néo féministes ou autres écologistes on tombe invariablement sur des mondialistes à l’anglo saxonne qui régisse la société en communautaristes .
      Car c’est ce que l’on comprend de ses explications fumeuses, il faut accepter du migrant mais chacun doit rester dans sa sphère sociale et raciale tout en le rendant disponible pour être exploité par cette intelligentsia.
      Le problème c’est que le monde parfait de Maïa peut se retourner contre elle si des populations importées se mettent dans l’idée de devenir ceux qui imposent!
      Tout ces gens qui veulent faire le bonheur des gens à leur place sont liberticides .
      Qu’on laisse les gens tranquilles penser , rêver ou fantasmer comme bon leur semble et que ces connes s’occupent de leur cas personnel avec un psy .
      Et alors! Que nous importe que quelqu’un choisisse sa partenaire par idéalisation exotique cela ne fera de mal à personne dans la société mais les gens qui s’insèrent dans la tête des gens pour leur imposer leur conception de ce que doit être leur rapport avec l’autre , c’est inquiétant même dans la démarche.
      Je revendique d’avoir aimé une genre d’exotisme à une certaine période de ma vie mais d’avoir changé et évolué sur la question cela fait parti du cheminement de chacun ce qui ne veut pas dire que l’on est dupe et que l’on ne soit pas conscient et je connais des noirs e( des blancs qui jouent avec cet imaginaire exotique assumé.

    • Je suis d’accord avec vous ils donnent de leçons mais se gardent bien de pas côtoyer les gens auxquels ils devraient demander l’ avis avant de parler en leur nom.
      Etes-vous une petite blanche des montagnes ou faites vous parti de la “caste” des gros blancs? je veux dire que parmi la population réunionnaise blanche il y avait des gens issus de différentes classes sociales ;

  3. Les féministes sont des personnes qui ne se reconnaissent pas dans leurs corps de femmes
    Elles auraient voulus être nées hommes
    Des grandes malades

  4. Maurizette ou les élucubrations de la bobo parigot, qui vit dans son microcosme, inculte et formaté, avec de grosses œillères, et un prisme déformant devant les yeux
    faut sortir, ma petite , aller de par le monde,
    faut également se renseigner un tant soit peu, sur ta propre culture,

    ah lala ! voilà le résultat des programmes de l’EN

    • Oui, l’EN fait des ravages avec les nouvelles générations on en voit le résultat.

  5. Beaucoup de Françaises blanches fréquentent des noirs. Tous les hommes, qu’ils soient blancs, noirs ou asiatiques, préfèrent les femmes blanches. Donc, dans quelques décennies, il restera très peu de blanches, et elles seront les reines courtisées par les milliardaires, puis elles disparaîtront en même temps que la race blanche, supplantée par les métis.
    Maintenant lorsqu’on croise une Française (intoxiquée par le féminisme ), dans la rue, elle nous fait la gueule, rarement un sourire. Alors que les Asiatiques sont très souriantes et d’un abord agréable (pour l’instant, car elles finiront par être embrigadées par les kapos féministes elles aussi).

  6. Une chose m’interpelle et me pose question : pourquoi ce genre de féministes qui prétendent représenter la gent féminine et parler en leur nom sont-elles aussi obsédées par le sexe, Maurizette, Schiappia, Fourest, Autain… et tant d’autres prétendues zélites ?

  7. Il est hélas devenu de plus en plus difficile d’échapper à la propagande de l’audiovisuel public.
    Le néoféminisme et les migrants polluent les émissions de France culture de plus en plus souvent notamment. L’anti-Trump primaire aussi. On peut difficilement y échapper.
    Quant à la télévision, Aurore Bergé voudrait même faire payer ceux qui arrivent à se soustraire à la machine infernale de la propagande télévisée.
    https://www.lepoint.fr/medias/redevance-tele-aurore-berge-juge-inevitable-son-extension-a-tous-les-foyers-08-10-2018-2261127_260.php
    “Fille de comédiens qui participent aux mouvements étudiants de mai 68, elle s’intéresse très tôt à la politique. Son père, Alain Bergé (dit Alain Dorval), est la voix française de Sylvester Stallone et sa mère, Dominique Dumont, prête sa voix à Katherine Kelly Lang dans la série Amour, Gloire et Beauté. Elle grandit à Versailles et Méré, et commence à militer à l’âge de 16 ans pour lutter contre le Front national. Elle effectue sa scolarité à Versailles, à l’école Colonel de Bange puis à Saint-Jean-Hulst”.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Aurore_Berg%C3%A9
    Donc en fait on a la réponse à la question de savoir pourquoi la taxe d’habitation va disparaître : c’est pour mieux faire gober la taxe d’abrutissement, la taxe d’écervellement, la taxe de prêt-à-penser, la taxe des émissions de variétés, des “soaps”, des JT manipulateurs, la taxe de soumission totale à la pensée unique.
    Même si le rendement sera moindre que la TH actuelle payée à raison de l’occupation d’un logement (malgré des exonérations injustes de certains), l’enjeu symbolique est assez fort pour que le pouvoir macronien consente à réduire les rentrées d’argent.
    Impossible désormais de cocher la case qui permettait de dire chaque année, dans sa déclaration de revenus : “non, je ne suis pas un mouton”, pardon “non, je n’ai pas de télévision”.
    Le rêve dans une dictature parfaite…
    Voilà donc ce que ça couvait, cette disparition de la taxe d’habitation !

  8. Encore un exercice d’auto-flagellation et d’ethno masochisme. L’auteure ou l’autrice, on ne sait plus comment dire oublie qu’en Europe aussi des oeuvres érotiques ont existé notamment le Décaméron ou les contes de Canterbury, sans compter les écrivains libertins du 17ème siècle.
    En outre l’imaginaire érotique varie d’un individu à l’autre et non d’une ethnie à un autre. Quant aux stéréotypes dans le domaine sexuel c’est la chose la plus largement partagée du monde et les populations africaines et asiatiques ont aussi leurs propres stéréotypes.

    • @Rinocero : Vous avez entièrement raison .

      Mais il ne faut pas espérer qu’elle ait le moindre semblant de culture … Vos références ne lui diront rien .

  9. “moi la laminée”

    histoire de parodier le titre du roman d’ Aimé Césaire qu elle aime tant !! 😆

  10. En tout cas le radis noir et plus gros que le radis rose et le radis gris doit être entre les deux. Maintenant nous savons pourquoi Macron préfère le gris ou le noir au rose.

  11. Et les Blanches attirées par les Noirs, à quoi cela est-il dû madame la psycho-intello de comptoir de café, vous avez oublié d’en parler, me semble-t-il ?

    Comment peut-on naître aussi stupide ? Y-en-a marre de ces prétendus et autoproclamés “intellectuels” qui veulent exister à tour prix par des logorrhées incessantes !

    • @Vent d’Est, Vent d’Ouest : j’approuve !

      Le plus amusant dans ce tas de stupidité c’est qu’en réalité dés qu’un homme noir ou arabe a le choix , il s’empresse de se trouver une blanche .

      Les statistiques faites par les sites de recontres sont formels : les blancs et les blanches sont les plus sollicités , ensuite viennent les asiatiques .

      Mais bon , Maïa Mazaurette était plus occupée à lire Césaireet et à regarder des Westerns qu’à s’intéresser à sa propre culture … l’idiote .

  12. Du coup , les africains qui mutilent les organes génitaux de leurs propres filles et de leurs propres femmes et qui massacrent les homos tellement la sexualité est quelque chose de terrifiant et de diabolique à leurs yeux … C’est avoir une culture sexuelle ?

    Les musulmans qui sont tellement névrosés et phobiques de la sexualité qu’ils en sont au point d’obliger leurs femmes à se déguiser en Belphégor et qui imposent la séparation des hommes et des femmes dans l’espace public vous allez me dire sérieusement qu’ils ont une culture sexuelle ?

    Le Japon avec son nombre sans cesse croissant de jeune qui rejettent la vie de couple et préfèrent opter pour le célibat ? Non plus ?
    Liens :
    https://www.lci.fr/international/japon-le-nombre-de-personnes-vierges-et-celibataires-inquietent-le-gouvernement-2003576.html

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/07/06/le-syndrome-du-celibat-au-japon-et-ailleurs/

    Et avec tout ça , ce serait les européens qui n’auraient pas de culture sexuelle ?

    Le marquis de Sade , vous connaissez ?
    Les liaisons dangereuses ?
    Les statues de l’antiquité grecque qui glorifiait la beauté et l’érotisme ?
    Les innombrables récits grivois du moyen âge ?
    Les peintures de la renaissance qui remettait l’homme et son corps au centre de l’art ?
    Les Adamites qui furent les premiers hippies de l’histoire et qui revendiquaient la nudité et l’amour libre plusieurs siècles avant les jeunes Américains des années soixante ?
    Les libertins du 18éme siècle ?
    Le dieu Éros , vous connaissez ?

    Maïa Mazaurette aurait du passer moins de temps à lire ses mangas et à regarder Lost , et aurait du consacrer un minimum de temps à la culture et l’histoire européenne avant de l’ouvrir …

    • ça me fait penser aux maisons close japonaises, où les femmes ne sont accessibles que par un interstice de quelques centimètres au niveau du pubis, le reste étant caché derrière la cloison,
      du mal à faire rêver ou fantasmer !

      • @frejusien

        Bonne remarque , je n’y avais pas pensé mais elle aurait eu toute sa place dans les exemples que je citais .

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