Lettre à Marsault, traîné dans la boue par les antifas, qui arrête tout…

Marsault arrêterait tout à cause des milices fascistes ? Ce serait une reculade inacceptable.

Pour rappel de ce qu’est Marsault et des polémiques qui l’ont conduit à renoncer à son travail,  à son art :

http://resistancerepublicaine.com/search/Marsault

Voici donc la video où il s’explique, où il raconte son succès, les critiques, les interdits de réseaux sociaux, la mauvaise réputation chez les libraires… et même l’engrenage, il se demandait chaque jour ce qu’il allait bien pouvoir faire pour embêter les antifas qui lui ont carrément “niqué” son début de carrière.

Sous la video la superbe lettre d’Axel Vontargier

Christine Tasin

 

Salut Marsault, salut l’artiste !

J’ai vu ta vidéo où tu dis au revoir à tes lecteurs, dont je fais partie.

Je te comprends.

Tu t’es battu, tu as donné des coups et tu en as pris aussi.

Fatigué, dégoutté, écœuré, tu te retires, peut-être au vert, quelque temps, loin de tout ça.

Comme d’autres, tu as désigné la vérité de ton doigt, de ton crayon… Et tu en as pris plein la gueule.

La résistance ne se paye plus dans la torture au fond d’une geôle sombre et humide sous les interrogatoires de la gestapo, le venin est plus long, plus doucereux. Il atteint lentement la chair, épuise la cervelle jusqu’à détruire même les plus forts. Même un colosse de cent kilos finit par lâcher. Las des antifas, nouvelles chemises brunes écervelées, protecteurs d’un système mondialiste qu’ils condamnent intellectuellement, las des menaces de procès, las des insultes de « fachos », « racistes ».

Et puis surtout, j’ai vu la fatigue. Tu es démotivé par l’absence d’espoir devant ce peuple indolent qui poursuit sa petite quête du bonheur dans un monde dégueulasse, démotivé par une propagande médiatique que rien n’effraie, démotivé par la censure qui touche toutes les âmes libres vouées à s’exprimer sur internet, à s’auto-éditer et à galérer.

Moi aussi, chaque jour, j’oscille entre espoir et découragement. A chaque livre ou article, comme un de tes poivrots que tu croques, je me dis que c’est le dernier verre, qu’après j’arrête, que de toute façon c’est fini, que ça ne sert à rien ; les pourris qui nous gouvernent sont trop puissants, ils ont tout verrouillé, que je ne suis rien, que nous ne sommes pas assez nombreux.

Mais il y en a, notamment ici, qui tiennent bon. Ils gardent les rangs serrés. Loin des honneurs, dans l’anonymat, bénévolement, ils ne lâchent rien et poursuivent le combat. Il y a parfois des ressorts insoupçonnables, une force mystérieuse qui soulève un peuple que l’on croyait plongé dans la torpeur. Le peuple français est d’ailleurs pour ça le champion. Il est capable de s’avachir des décennies dans la médiocrité, et de se soulever vers la gloire et la grandeur, c’est Poitiers, Bouvines, Castillon, Valmy…

Alors l’ami, requinque-toi bien, fais-toi une bonne petite cure de Gitanes et de binouses et reviens-nous fringuant. On a besoin de toi, on a besoin de tous ceux qui ont compris… Pour la France, ou tout au moins, pour l’idée que l’on s’en fait !

 

 

 

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10 Commentaires

  1. Christine le dis très bien nous sommes des millions pour l’instant nous sommes encore des taiseux nous lustrons nos casques, heaumes, cothurnes, nos boucliers, en attendant d’avancer lentement mais sûrement vers la victoire ce sera long et difficile nos sarisses sont encore levées vers le ciel, mais il commence lentement mais sûrement à s’incliner en direction de l’ennemi.
    Pour l’instant d’autres techniques et encore plutôt spartiates avant d’être macédonienne nous avançons lentement nos sont un peu plus courtes gérons deux ou trois allure de combat mais quand une nation tout entière sera derrière nous 2 et demi et leurs collaborateurs s’enfuiront bien loin de nous.
    À moins que nous soyons des tortues mais la tortue romaine elle aussi se révélant et plus flexible pu encore se montrer invincible pendant de longs siècles.
    Ce qui compte c’est le c(h)œur qu’il a derrière ses bouclier se lance où ses épées.
    Courage!

  2. Ce n’est qu’une pause, une traversé du désert, avant le retour en triomphe, il faut l’espérer.

  3. Moi aussi, chaque jour, j’oscille entre espoir et découragement.(J’AI CRU UN MOMENT QUE TU ME DßECRIVAIS) A chaque livre ou article, comme un de tes poivrots que tu croques, je me dis que c’est le dernier verre, qu’après j’arrête, que de toute façon c’est fini, que ça ne sert à rien ; ( MA SOEUR ME DIT QUE JE SUIS DEVENU OBSÉDÉ. ELLE NE COMPREND PAS QUE JE CHERCHE AVEC OBSESSION DE QUOI ESPÉRER)les pourris qui nous gouvernent sont trop puissants, ils ont tout verrouillé, que je ne suis rien, que nous ne sommes pas assez nombreux.(JE PENSE LA MÊMECHOSE)
    Mais il y en a, notamment ici, qui tiennent bon. Ils gardent les rangs serrés. Loin des honneurs, dans l’anonymat, bénévolement, ils ne lâchent rien et poursuivent le combat. JE RENDS ICI HOMMAGE À CHRISTINE TASIN QUI EST POUR MOI “AMIE COURAGE”. PENSER À ELLE M’AIDE À TENIR LE COUP ET CONTINUER

  4. Abandonner, c’est donner blanc-seing aux S.A. de la gauche. Je sais, c’est facile à dire mais à part les traiter en terroriste (ce qu’il sont sous couvert des partis et ce que ne fera aucun gouvernement) que faire ?.

  5. Cet au- revoir résonne provisoirement de manière sinistre, mais donne de la force à tout le temps qu’il prendra loin pour lui hors de ses inconditionnels comme de ses attaquants.
    Ce qu’il dit de terrible sur la France a mainte fois été dénoncé dans ce site. Qu’il se porte bien lui aussi, selon nos souhaits, et que son retour corresponde simultanément à une sortie du cloaque français et à l’épanouissement de ses dons et de la liberté d’expression de notre pays.

  6. Bel hommage. Il a raison de prendre du recul, ça ne sert à rien de se bousiller la santé pour des ploucs. Quand je vois le nombre de sites de réinformations, et que je vois le nombre de personnes qui ne savent même pas ce que c’est, cloitrées devant leur télé comme dans les années 90, sans jamais écrire le titre d’un sujet d’actu dans google qui pourrait les porter ailleurs, je me dis qu’il a raison de se ménager car il y a encore du boulot…

  7. Marsault………………………………. ça résonne comme le nom d’ un de ces personnages de Claude Seigolle……….fort …….et les pieds bien enfoncés dans cette glèbe du Berry

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