Le traître Marek Halter invite Macron à remplacer les Français par les musulmans

A tous les râteliers

On le voit s’attabler à tous les râteliers.
Et son discours promeut momo le chamelier…
Ce marek est très altéré,
mais il se montre affairé,
à défendre des mœurs très inhospitaliers…
PACO. Persiste et signe !
Lire “les mensonges de Marek Halter” ici.
 

 

Marek Halter, vous connaissez ?

C’est l’auteur d’un bouquin “réconciliez-vous”… Le titre donne le “la”…

Juif honteux, ou juif de cour, allez savoir ( mais n’est-ce pas la même chose ? ), rescapé de la seconde guerre mondiale ( circonstance aggravante pour son cas ), il quitte sa Pologne natale à 14 ans et s’installe à Paris. Artiste peintre engagé, il milite pour la paix entre Israël et la Palestine, lutte contre l’antisémitisme, et il sera un des fondateurs de SOS Racisme.

Il avait été condamné, sur plainte de l’Agrif, pour avoir mis en cause la responsabilité du catholicisme à Auschwitz !

Il fut en 2017 un des organisateurs de la marche des imams contre le terrorisme (on ne rit pas, c’est tragique….).

Mais on retiendra tout particulièrement sa réputation d’affabulateur :

Marek Halter a été sévèrement critiqué notamment par l’ancien résistant juif polonais Michel Borwicz qui avance que l’autobiographie de Halter est « bourrée d’inventions pures et simples », qu’il n’aurait jamais vu le ghetto de Varsovie, qui ne sera construit (2 octobre 1940) qu’après son départ avec sa mère pour la zone d’occupation soviétique. Michel Borwicz récuse l’affirmation que le père de Halter aurait tenté de rejoindre le maquis, ainsi que celle de la participation de son grand-père au journal clandestin du ghetto Yedièss. Selon Michel Borwicz, l’anecdote concernant la visite à Moscou et Staline n’aurait pas plus de véracité historique6.

Selon les magazines Le Point et Le Nouvel Observateur, de nombreuses autres anecdotes racontées par Marek Halter seraient fausses ou inexactes7,8.

Wikipedia.

 
C’est avec cette idée en tête qu’il faut lire la lettre ouverte à Macron qu’il vient de commettre.
https://www.nouvelobs.com/politique/20180619.OBS8403/islam-et-banlieues-les-territoires-perdus-ne-le-sont-sont-qu-aux-yeux-de-ceux-qui-ne-s-y-aventurent-pas.html
Pot-Pourri :
Le titre dit tout.

Islam et banlieues : “Les territoires perdus ne le sont qu’aux yeux de ceux qui ne s’y aventurent pas !”

Vraisemblablement, Marek Halter, qui vit au milieu des grands de ce monde, se nourrissantt de caviar et de champagne, n’a jamais mis les pieds, lui non plus, dans les territoires perdus de la République.
Vraisemblablement, Marek Halter n’a jamais eu le souci de voir sa fille, parce que non voilée, insultée, agressée, menacée de viol ( et on ne parlera pas du mariage forcé des ados musulmanes ).
Vraisemblablement Marek Halter n’a jamais vécu dans un  HLM où on n’ose pas entrer à cause des dealers qui y font la loi.
Vraisemblablement, Marek Halter n’a jamais enseigné dans les territoires perdus de la République, il n’est même jamais allé y faire des conférences sur la shoah. Il ne sait vraiment pas qu’il faut se battre pour y parler de Darwin, d’athéisme, de catholicisme, même et que les filles y sont dispensées de sport pour ne pas aller à la piscine ? Quant aux cours de biologie, quant au respect de l’enseignant…
Mais Halter ne s’est jamais donné la peine de lire Les Territoires perdus de la République, pas plus que le rapport  Obin, pas plus que le dernier rapport sur l’école du Haut Conseil à l’intégration…
Il est tellement plus facile de donner des leçons et des conseils depuis les ors de la République en compissant soigneusement ceux qui sont obligés de vivre et/ou de travailler dans ces zones étrangères et ennemies.
Il ose l’imbécile, prononcer ces paroles extraordinaires :

J’ai appris, par mes lectures mais surtout grâce à mes multiples actions militantes, que, quand on veut s’adresser à un individu ou à un groupe d’individus, il est bon de recueillir, au préalable, un maximum d’informations à son sujet. Aucune discussion intellectuelle ne peut remplacer une promenade dans les rues de Saint-Denis, de Roubaix ou de Trappes, ou de tout autre ville où vivent les millions de Français d’obédience musulmane. Ces lieux que certains ont crédités de cette appellation qui fit recette : “les territoires perdus de la République”.

Il est bon de recueillir, au préalable, un maximum d’informations à son sujet… Quid de ceux qui y vivent, qui y travaillent, qui passent des années à y enquêter, imbécile de Marek Halter ?  Qui de ceux qui ne se contentent pas d’une promenade de santé ?

Les millions de musulmans, donc, qui vivent en France, qui votent et paient leurs impôts, ne pensent pas que leur identité soit une maladie dont il faut guérir. En revanche, à force de se voir caricaturés dans les débats de nos intellectuels ou dans les médias, la revendication de leur appartenance religieuse devient une sorte de résistance. Et la présence, de plus en plus nourrie, des policiers en uniforme dans leurs quartiers leur apparaît soudain non comme une force de protection, mais comme une force de répression.

Ben voyons…. Depuis quand payer ses impôts est-il un gage d’assimilation, de respect des valeurs et coutumes, d’amour de la France, Marek Halter ? Depuis quand ?
Naturellement, il reprend l’argumentation des Frères musulmans, de Valls et de Macron ( belle tripette ) : ce serait parce que l’on n’aime pas l’islam que les musulmans sont musulmans, parce qu’ils se sentiraient mal aimés et mal accueillis qu’ils deviendraient terroristes…
Et la meilleure : les policiers obligés d’intervenir dans les quartiers pour protéger les honnêtes gens seraient responsables des désordres…
Et tout le reste est du même tabac, naturellement :

Les musulmans comparés à des Bretons qui, en guise de voile, de ramadan, de halal... arboreraient  leurs bonnets rouges… Intéressant, n’est-ce pas. Vous identifiez tout de suite, dans la rue, tous les Bretons que vous croisez à leurs bonnets rouges, n’est-ce pas ? Et à part une minorité d’indépendantistes, vous en connaissez beaucoup, vous, des Bretons qui ne veulent pas être dans le même cimetière que les autres Français, qui ne parlent que breton chez eux et à leurs enfants, qui demandent des piscines et des salles spéciales réservées aux Bretons et d’autres aux Bretonnes, qui sucent le sang des autres Français pour qu’ils leur construisent des églises spécifiques et payent leurs animateurs ? Vous en connaissez beaucoup, vous, des Bretons qui mettent les lois d’Anne de Bretagne avant les lois de la République française et conchient ces dernières ?

On s’arrêtera tout de même une minute sur les solutions prônées par le minable traître Halter :

-Permettre aux jeunes musulmans de connaître leur histoire ( ils ne sont donc pas des Français comme les autres ? L’histoire de la France, ce n’est pas la leur ? ) en leur faisant découvrir Averroès, Avicenne, Ibn Khaldoun et le beau modèle de Mahomet vu par Boukhari au lieu de Voltaire.  Il considère même que la vie du petit Mahomet serait passionnante… Comme si ils ne parlaient pas assez de Mahomet à l’école coranique et à la mosquée. Comme s’ils ne manquaient déjà pas suffisamment de connaissance de la France et de ceux qui sont devenus leurs ancêtres, les Gaulois. Ils sont français, non ?

-Créer un site “les musulmans parlent aux musulmans” sur le modèle du fameux “ici Londres, des Français parlent aux Français“. Bigre, tout aussi efficace que de vouloir détourner les collabos et les miliciens du pétainisme et du nazisme en leur faisant écouter De Gaulle entre 40 et 44 !

-Créer un clergé qui n’existe pas en islam et faire accréditer les imams par le Ministère des Cultes… Bon on connaît c’est le projet de Macron, l’islam dit de France.

-Obliger tous les musulmans à connaître le Coran. Y compris les versets encourageant à tuer Juifs et infidèles et à battre sa femme ? Cette proposition prouve s’il en était besoin que le beau conseiller Halter ne le connaît pas et que le donneur de leçons qu’il est ne l’a jamais lu. Pas très sérieux, tout ça…

-Que Macron s’adresse directement à tous les musulmans à la télé et leur dise qu’il les aime… Effectivement, ce serait cohérent avec sa politique, puisqu’il n’en a que pour les musulmans.
Bref, un islamo-collabo de compétition…. qui explique carrément à Macron comment montrer aux musulmans qu’ils formeraient un peuple et que ce peuple serait  le seul et vrai peuple de France..
Très musulmane façon de parler puisque renvoyant au principe de la Oumma… la seule nation musulmane.
 

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31 Commentaires

  1. Il habite rue des Minimes à Paris 3ème ca donne dans la rue de Turenne, ma mère aujourd’hui disparue était la gardienne de son immeuble de 6 étages sans ascenseur, en 1968/1970 moi à l’époque je n’avais que 10 ans et je dois dire qu’il n’a pas marqué ma mémoire, à l’époque il n’y avait pas autant de musulmans qu’aujourd’hui donc pas les problèmes que nous connaissons à Paris et dans les cités de banlieues, mais je ne me serais jamais douter de son islamophilie maladive non cela reste pour moi un mystère ! il est romancier, peintre a ses heures, je n’ai jamais vu un seul de ses tableaux ! apparemment il acheté l’appartement du dessus où vivait un couple pour en faire un duplex et agrandir ainsi son logement et son atelier de peinture, il vit depuis au moins les années 60 et peut être même avant là bas donc 50/60 ans sûrement à son arrivée de Pologne. A l’époque sa femme s’appelait Clara, ensuite il y a eu Reïa mais j’ignorais qu’il avait une fille ! Quand j’étais petite il me paraissait immense avec sa barbe brune, aujourd’hui il est un islamo fellateur. Pour lui les problèmes des banlieues ne sont qu’a des gens qui ne s’y rendent pas autrement dit les banlieues zones de non droit n’existent pas ! c’est sûrement dù au fait qu’il n’y a jamais vécu ni mis les pieds; lui qui est enfermé dans duplex du 3 ème arrdt de Paris, car il n’y a que des zozos de gauche pour acheter et lire ses bouquins, il ne peut survivre que grâce à ça !.

  2. Ces juifs ashkénazes passés par le marxisme le communisme sont complètement barjots, complètement aux antipodes des Zemmour ou des Bat YeOr ( bien qu’achkénaze mais lucide).
    Les Juifs arabophones originaires d’Afrique du Nord notamment du Maroc ou vivant en Israël et originaires du Yémen et des pays arabes qui ont quittés savent très bien ce qu’il y a dans le Coran eux, et ce que l’islam pense d’eux, tout comme les chrétiens d’Orient arabophones courageux .
    Les musulmans ne sont pas “les fils d’Abraham” , leur Ibrahim n’est pas Abraham leur Ibrahim sacrifice Ismaël au lieu de le bannir comme dans la Bible, en lieu et place d’Isaac , et les juifs et les chrétiens ne sont pas les “gens du Livre” cette dénomination est une expression islamiques(les juifs n’ont pas un Livre mais des rouleaux et nous chrétiens notre Bible est un terme grec qui se rapproche plus de la bibliothèque que d’un livre unique, un Coran dont bien des versets furent d’abord rédigés sur des os de dromadaires(!),l’islam dépouille les chrétiens et les Juifs de leurs écritures et les présentent comme “falsifiées” , c’est une honte des gens comme Halter, qui est à jeter aux latrines avec les curés dialogueux.
    Et les rabbins et pasteurs et popes qui seraient aussi dialogueux également.

  3. Un affabulateur donc qui trahit pour défendre un autre grand affabulateur.Quelquefois, les fils d’Abraham me font un peu c…..Moi dont tous les ancêtres ont fait ce pays, ça m’agace de devoir subir les leçons et les trahisons d’un Polonais qui méprise mon peuple et ses valeurs.

    • “.Quelquefois, les fils d’Abraham me font un peu c…..
      mais chie, Asma! chie donc !!
      n’ oublie pas de te torcher tout de même……et puis, puisque tes ancêtres ont fait ce pays, va donc manifester a la Basilique de Saint Denis ou reposent “CQRQFF”
      tu devrais comprendre ce sigle mieux que moi dont les ancêtres fils d’ Abraham, vécurent sous la dure férule des “autres” fils d’ Abraham
      ceux dont la seule opposition des “Français” comme toi consiste a pianoter…sur un clavier!
      tu as pourtant mille fois plus a défendre que moi ou mes semblables!
      mais voilà, pour des gens comme toi et tes ancêtres ce fut plus facile de “défendre la France du Marais sale Putain”
      face a ces braves et humbles fils d’ Abraham juifs tellement reconnaissants envers la France de les avoir (mal) reçus dans le début du 20 eme siècle, qu ils ne laissèrent sur le carreau d’ Auschwitz “que” 75.000 martyrs
      et tu as le culot de prendre comme pseudo le nom d’ une poétesse juive qui fut décapitée sur ordre de Mohamed….
      (***)

      • Bonjour,
        Faire des musulmans des “fils d’Abraham” est une escroquerie : ils accusent les Juifs d’avoir falsifié leurs écrits.
        Je ne comprends pas comment on peut se réclamer de cette filiation en niant totalement la Bible.
        Les musulmans nient toute altérité en fait …

  4. Pour se convaincre de la fourberie et des intentions éminemment malhonnêtes du marek:

    • je ne vois pas ce que Halter a à voir avec cette video , je ne comprends pas

  5. Voici une info qui devait plaire ici et là et faire fleurir de multiples slogans sur le modèle de ” Bretons partout … ”
    Macron présente Le Drian au Pape : «Les Bretons, c’est la mafia française»
    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/06/26/25001-20180626ARTFIG00243-macron-presente-le-drian-au-pape-les-bretons-c-est-la-mafia-francaise.php
    Plus grave l’info de l’heure qui vient
    http://www.fdesouche.com/1031469-commune-libre-de-tolbiac-appel-au-rassemblement-a-la-basilique-de-saint-denis-a-18h

    • je vais le sortir à qq copains bretons, ils vont apprécier ce compliment de leur président

  6. “Obliger tous les musulmans à connaître le Coran.”
    Oh mon D., c’est une lumière celui là… Plus les musulmans connaissent la coranerie, plus ils sont violents, j’ai vu entre autres cette évolution en Afrique sous l’influence d’imams pakistanais et saoudiens qui transformaient l’islam coutumier et globalement pacifié africain en un islam authentique, en rappelant à leurs ouailles que les coutumes adoucissant l’islam étaient haram, le résultat était haine, attentat, …

  7. dans les milieux de la Rue des Rosiers il a gagné le surnom exquis de “Cabot teint”
    cabot comme il est et prenant soin de se teindre les cheveux en noir jais, aux racines blanco-roussâtres

  8. c’est “fou”. lorsque je l’ai vu à la télé, c’est l’impression qu’il donne.
    et puis pour parler des arabes, ne jamais prêter l’oreille à un ashkénaze.
    il n’a rencontré des arabes que dans des salons huppés de la république.
    Il n’est pas né dans un territoire occupé par l’islam, n’a jamais subi leur joug, n’a pas dû se sauver à toute vitesse en laissant tout derrière lui.
    pauvre type.

    • Cet ennemi de la communauté est une véritable honte il fait du zèle en étant plus musulman qu’un musulman ! C’est pénible autant d’ignorance .
      Merci pour les infos très documentées sur cet affabulateur qui devrait de toute urgence prendre sa retraite .
      En plus , il ignore tous les juifs qui ont fait leur alya ou qui ont dû déménager ( j’en fais partie donc je peux en parler) à cause des musulmans et de l’antisémitisme . Ce n’est certainement pas là où il vit et dans les salons qu’il sait de quoi il parle .

  9. Il n’y en a pas un pour récupérer l’autre. 2 ennemis de leur communauté. Pauvres personnages à oublier très vite

  10. le pauvret Halter n’ a jamais fait le poids, malgré sa facheuse tendance a s’ agiter, comme un morpion dans un pubis
    xxxxxxxxxx
    une brillante description du morbaque, due au “Point”
    “””C et homme est une énigme. S’il était animal, il serait caméléon, comme Zelig, le héros de Woody Allen. Marek Halter raconte avec talent comment il prend le thé à la table des grands de ce monde, de Golda Meir à Jean-Paul II, de Nasser à Eltsine, de Sharon à Poutine. Une amie le décrit en Candide de Saint-Germain-des-Prés, un « optimiste qui ne se décourage jamais. Il est capable de se lever le matin en se disant qu’il passera dans la journée un coup de fil à des puissants pour demander la paix sur la planète ».
    Halter a des histoires à revendre. Le pape décède, il raconte une audience et un déjeuner à la bonne franquette avec le souverain pontife. Arafat trépasse, Marek Halter narre son « amitié » avec le Vieux. L’UMP intronise Sarkozy président, l’intellectuel apparaît dans le film de promotion. A la cérémonie du 60e anniversaire de la libération d’Auschwitz, l’écrivain surgit au côté de Jacques Chirac. En mars, le même serre la main du Premier ministre israélien, Ariel Sharon, puis celle du Palestinien Ahmed Qoreï.
    L’auteur du best-seller « La mémoire d’Abraham », et plus récemment d’une série sur les femmes de la Bible, « Sarah », « Tsippora » et « Lilah », chez Robert Laffont, ne dédaigne pas de se mettre en scène. Pour parler de l’Histoire et de l’actualité, le publiciste à succès confie ses souvenirs. En fait, il se cache derrière sa notoriété. Etre volubile est parfois, comme on sait, le meilleur moyen de se taire.
    Une figure de la scène médiatique aura rarement été un tel tas de secrets. Le curriculum vitae de Marek Halter est ardu à déchiffrer comme la kabbale, tant il semble avoir eu de vies. Avec sa barbe, sa chevelure de Samson et sa plastique antique, ce Depardieu du récit biblique a une tête à jouer Moïse dans un péplum. Selon une de ses amies, « il a le visage de Jupiter dans le “Jupiter et Thétis” d’Ingres ». A Mea Shearim, on pourrait le prendre pour Rabbi Jacob. A Moscou, il évoque Karl Marx. Comme Atlas, il prend sur lui tous les malheurs du monde.
    Le mystère Marek Halter remonte à sa naissance. Il a vu le jour à Varsovie avant la guerre. Sa mère, Perl, était poétesse yiddish, son père, Salomon, imprimeur. Pour le reste, l’état civil de l’écrivain est intrigant. D’abord, Marek ne s’appelle pas Marek, mais Aron, comme le prouve son extrait d’acte de naissance. ll avance une explication : « Il y avait une erreur sur le visa collectif de ma famille, à notre arrivée en France juste après la guerre. » Sur sa carte d’identité, il est écrit : « prénom usuel : Marek ». Celui qui est passé à la célébrité en « Marek » ne souffre pas son autre prénom : « Aron était un faux cul, qui a fait construire le veau d’or, je n’aime pas ça. »
    Date de naissance ? L’écrivain indique partout le 27 janvier 1936, sur sa fiche « Who’s who » et les documents officiels par exemple. L’année est fausse. La date officielle de l’état civil français, qui figure sur sa carte d’identité ou son passeport, est le 27 janvier 1932. « C’est une autre erreur de l’état civil, indique l’écrivain, et je n’ai jamais cherché à la rectifier. » Mais il lui arrive de s’emmêler les pinceaux. A la page 23 du « Judaïsme raconté à mes filleuls » (Pocket, 2001), Marek Halter écrit « j’avais 9 ans » dans une scène qui se situe logiquement en 1941. Soit une naissance en 1932…
    Coquetterie d’un homme soucieux de cacher son âge ? Le détail n’est pas sans importance. Car il permet de préciser les premières années de sa vie, notamment ce qui en serait l’événement fondateur : la fuite du ghetto de Varsovie par les égouts. Depuis qu’il est allé frapper à la porte de Sartre, auquel il lança: « Je suis un survivant du ghetto », Halter parle de l’expérience vécue à son plus jeune âge. En 1995, le pape lui demande : « Alors, vous êtes né à Varsovie ? » L’écrivain répond : « Non, Saint-Père, je suis né dans le ghetto de Varsovie. » Or les quartiers juifs de Varsovie ne furent ceints par un mur qu’en novembre 1940. Avant, il n’y avait pas de ghetto.
    Dans les cercles yiddish de Paris, les contradictions de Marek Halter font jaser depuis longtemps. En mars 1980, Michel Borwicz, un historien du ghetto, publie un libelle dans le quotidien Unzer Wort . Dans son article, portant le titre « Assez mentir », Borwicz assure que Halter, qui eut le prix Aujourd’hui en 1976 pour « Le fou et les rois », n’a jamais vécu dans le ghetto. Après « La mémoire d’Abraham », en 1983, Borwicz écrira une brochure de 14 pages, relevant des incohérences graves, et qui circulera sous le manteau : « Le cas de Marek Halter, jusqu’où est-il tolérable d’aller trop loin ? »
    Des fleurs pour Staline.
    Professeur des universités, Rachel Hertel est la fille de très proches amis de ses parents. Elle confie : « Jamais les parents de Marek n’ont raconté avoir vécu au ghetto ; ils disaient être partis juste après l’éclatement de la guerre, en 1939. » Comme des dizaines de milliers de juifs de Pologne, qui ont fui en Union soviétique. Après, le piège s’est refermé. Halter se défend : « J’ignore pourquoi Borwicz m’en voulait ainsi, et d’ailleurs je n’ai jamais dit être resté longtemps dans le ghetto. »
    Interrogé sur cet épisode, le baron Paul Halter, cousin de Marek et président de la Fondation Auschwitz à Bruxelles, assure ne pas savoir la vérité : « Evidemment, Marek s’arrange avec la réalité ; ses livres ne sont pas des autobiographies, quand même ! » Sa cousine, Michèle, qui n’a plus de liens avec lui, ajoute : « Sa vraie vie, je ne la connais pas. »
    La vie de Marek Halter est un roman. A lire sa biographie officielle, en 1945, il est délégué des pionniers d’Ouzbékistan à la fête de la Victoire à Moscou. Directeur de l’Institut juif de Varsovie, Felix Tych n’y croit pas : « Il est très étrange qu’un jeune juif originaire de Pologne ait été délégué des pionniers d’une république d’Union soviétique, a fortiori à cette époque. » Ce jour-là, Marek Halter jure avoir remis un bouquet de fleurs au « petit père des peuples » : « Staline prit mes fleurs, me passa la main dans les cheveux et dit quelque chose que, troublé, je n’entendis pas. » La première rencontre avec un grand de ce monde. Rachel Hertel assure que jamais Marek n’en avait parlé avant la mort de ses parents.
    De retour d’Union soviétique, la famille Halter s’installe à Lodz, en Pologne, puis rejoint Paris. La biographie officielle de Marek Halter situe l’arrivée en France en 1950. Détail sans importance : les archives du ministère de l’Intérieur ont conservé la trace d’une entrée sur le territoire le 2 décembre 1948. Le futur écrivain engage avec succès une carrière d’artiste peintre. Reçu aux Beaux-Arts, lauréat du prix international de Deauville, il s’envole pour travailler à Buenos Aires. Selon la biographie officielle, « il se lie avec le président argentin Peron ». Il faut croire que Peron a un sens étrange de l’amitié. Car Marek Halter, qui fréquente des révolutionnaires, est contraint à quitter l’Argentine deux ans plus tard. En juin 1984, l’écrivain narre l’épisode dans Le Point : « Peron courtoisement me fait expulser. »
    De retour en France, Marek Halter se targue d’intervenir « auprès des hommes d’Etat pour le respect des droits de l’homme ». Alors que se profile en 1967 la guerre des Six-Jours, il s’engage en faveur d’Israël et pour la paix. L’écrivain relate souvent une anecdote : le 6 juin 1967, « j’ai été reçu à l’Elysée par le général de Gaulle ». Maurice Clavel l’aurait présenté en précisant : « Mon général, vous ne connaissez pas cet homme qui a tout vu, tout vécu. » En fait, Le Monde du 7 juin 1967 évoque une « délégation », sans faire mention d’Halter. Lui-même écrira d’ailleurs dans « Le fou et les rois » (Albin Michel, 1976) : « En vérité, seul Clavel fut reçu. »
    Un documentaliste, un « nègre ».
    Telle une éponge, Marek Halter absorbe l’Histoire et l’actualité. Sa vie s’inspire de ses livres autant que l’inverse. En 1977, il se lance dans une grande aventure, la préparation de « La mémoire d’Abraham ». « Roman », est-il écrit sous le titre. Mais des passages en italique laissent penser que l’histoire est celle de la famille de l’auteur, une lignée de scribes depuis deux mille ans, passant par un proche de Gutenberg. Marek Halter fait appel à une équipe de documentalistes. Aujourd’hui journaliste à Marianne, l’historien Patrick Girard se souvient y avoir consacré trois ou quatre ans. Il s’en amuse : « L’arbre chronologique était complètement faux. La généalogie juive ne remonte pas au-delà du XVIe ou du XVIIe siècle. » La petite équipe cherche des références culturelles pour mettre en place une intrigue. La rédaction finale du livre est confiée à un « nègre » réputé, Jean-Noël Gurgand, qui travaille le manuscrit pendant deux mois. Non sans laisser de traces. Peu après la page 200, deux personnages, Lia et Avelina, portent les prénoms de la fille du « nègre » et de la meilleure amie de celle-ci…
    Marek Halter ne nie pas se faire aider pour ses livres, en précisant : « Flaubert avait bien Maxime Du Camp pour lui dire “ça ne va pas” ! » L’écrivain précise que le journaliste du Monde Pierre Viansson-Ponté avait « relu » « Le fou et les rois », c’est-à-dire y avait mis la dernière main. Viansson-Ponté s’était d’ailleurs chargé lui-même de rédiger la critique dans son quotidien, en ces termes : « Quel destin surprenant, quel homme étonnant et quel beau livre ! » Un autre ami de Marek Halter, Michel-Antoine Burnier, qui oeuvra sur plusieurs de ses livres, assure s’en être tenu à « une relecture de rédacteur en chef ».
    Intuitif, Marek Halter sent l’époque. Il sait utiliser son carnet d’adresses pour promouvoir ses valeurs. Avec sa verve, il ne manque jamais de passer un coup de fil aux journalistes comme aux hommes politiques, pour attirer l’attention sur ses actions. En 1979, Halter participe à la création d’Action contre la faim (ACF). En 1986, il est parmi les premiers à soutenir SOS Racisme. Aujourd’hui, il se rapproche de Ni putes ni soumises.
    Inlassablement, l’écrivain construit son personnage. L’éditeur Robert Laffont explique les raisons de son succès : « Il était à la fois un garçon sympathique, courageux, et capable de parler de l’horreur des camps. » Selon un ancien proche, « son fonds de commerce est l’oecuménisme entre le judaïsme et les autres religions révélées ». La figure des Justes, qu’il promeut, n’est pas trop culpabilisante pour la France.
    Des missions de plus en plus officielles vont lui être confiées. En 1991, il prend la présidence du Collège universitaire français de Moscou. « Dès les premiers jours de la perestroïka, avec Andreï Sakharov, j’ai installé le collège au sein de l’université Lomonossov », se targue Halter, en jouant avec la chronologie. La perestroïka débute en 1986, Sakharov décède en 1989 et le collège ne voit le jour qu’en 1991. Marek Halter certifie avoir lancé l’idée de créer un collège français dans le bureau de Gorbatchev, où son « ami » Sakharov l’aurait emmené.
    Contactée par Le Point, la veuve de Sakharov, Elena Bonner, qui réside à Boston, met un bémol à ces évocations. Elle se souvient que l’intellectuel français présidait une association déclarée à la préfecture de police de Paris, l’Institut international Sakharov. Mais d’intimité avec l’opposant il n’y eut guère. Elena Bonner a été accueillie chez Marek Halter un soir de mai 1986, en l’absence de son mari. Si sa mémoire est bonne, l’écrivain français et le scientifique russe ne se sont vus qu’une fois. La rencontre eut lieu à Moscou après le retour d’exil de Sakharov, en décembre 1986. La veuve ajoute que son mari n’est jamais entré dans le bureau de Gorbatchev.
    A Moscou, Halter montre l’étendue de son carnet d’adresses. Des personnalités de l’université française, de la politique ou du show-biz, de François Furet à Jacques Chirac, sans oublier Gérard Depardieu, passent par le collège. Le président Eltsine et le Premier ministre Primakov le reçoivent. Halter raconte qu’il rencontre Poutine, encore inconnu, lors du dîner d’inauguration du collège universitaire de Saint-Pétersbourg. Le futur homme fort de la Russie lui aurait glissé ce soir-là : « J’ai vu “Les Incorruptibles” à la télé, je veux être l’Eliot Ness russe. »
    « Je suis un ami de Marek Halter ! »
    En 1997, il fonde Les Nouvelles françaises, un magazine censé rapprocher France et Russie. Dans l’un des numéros, une page est consacrée au directeur de la communication d’Eltsine, Sergueï Yastrzhembsky. Proche de Marek, cet ancien du KGB est grand amateur de chasse en Ouzbékistan, là même où Halter dit avoir commencé sa carrière de conteur en racontant des histoires à des petits voyous. Halter semble avoir gardé des attaches en Ouzbékistan.
    En 1999, l’écrivain intervient auprès du ministre de l’Intérieur, Jean-Pierre Chevènement, pour lui demander s’il peut lever une interdiction de séjour d’un Ouzbek, qui se trouve être un membre important de la criminalité organisée. Les services spécialisés sont d’autant plus surpris qu’un autre mafieux ouzbek, refoulé à la frontière française, lance : « Je suis un ami de Marek Halter ! » Explication de l’écrivain : « Les Nouvelles françaises avaient besoin de publicité. Un Ouzbek m’a proposé de financer un supplément sur l’Ouzbékistan. Le jour où il m’a demandé de l’aider, je l’ai fait en prenant toutes les précautions. »
    En 2002, Jacques Chirac et Lionel Jospin s’accordent pour nommer Marek Halter « commissaire général de la participation française aux cérémonies du tricentenaire de Saint-Pétersbourg ». Le projet principal en est une « Tour pour la paix », érigée au milieu d’une place historique, financée par des entreprises mécènes. Les chefs d’entreprise sont ensuite sensibilisés à la cause par Jean-Pierre Raffarin, lors d’un déjeuner à Matignon où il intronise Halter. Une polémique s’ensuit, car la conceptrice de la « Tour » n’est autre que Clara Halter, l’épouse du commissaire général, par ailleurs artiste reconnue. L’écrivain arguë que les autorités politiques de la ville étaient demandeuses de ce projet.
    Marek Halter aime à donner l’image de l’influence. A la mort du pape, il certifie lui avoir soufflé l’idée de se recueillir au mur des Lamentations lors de son voyage à Jérusalem, alors que l’audience eut lieu en 1995 et le périple de Jean-Paul II en 2000. Lorsque Yasser Arafat disparaît, il raconte lui avoir lui-même présenté sa future épouse, Soha, en Tunisie, alors que l’épisode eut lieu à l’hôtel Crillon à Paris, hors de la présence de Halter.
    Comme Kafka, l’intellectuel considère que « Dieu est une énorme oreille qui nous écoute ». En conséquence, on « ne peut pas dire n’importe quoi ». Mais Halter ajoute ne jamais avoir été à l’école, et n’avoir pas appris la religion des faits à l’université. Le « passeur », comme il se définit, ne se souvient que des « sensations ». Patrick Girard, son ancien collaborateur, sourit : « Il n’est pas dans l’escroquerie. Il s’est mis dans un piège et n’arrive pas à s’en dépatouiller. S’il refaisait l’histoire de sa vie, il vérifierait les dates. » Quand on pose des questions gênantes à Marek Halter, il répond avec douceur, en posant sa main sur l’avant-bras de son interlocuteur…………
    xxxxxxx
    c’est un tactile 😆

    • mille mercis pour ces informations. Que va faire Macron devant ce dinosaure s’agenouillant devant lui des caramels plein les mains…Très intéressant.

  11. En règle générale il y a plus de Juifs Ashkénazes d’europe de l’est qui sont pro-squatters arabes de la Terre Juive que de Séfarades. Lesquels des deux connaissent le mieux les populations dites arabes? Ceux qui les ont pratiqués durant des siècles ou les Ashkénazes qui les découvrent actuellement? Le second point est que durant la guerre 1939-45, où Mr Halter a tant souffert, la grande majorité des arabes soutenaient les puissances de l’Axe. Une déclaration commune Hitler-Mussolini de décembre 1940 promettait clairement aux arabes l’élimination du Foyer National Juif de Palestine, le pillage des biens Juifs, et la libération du joug colonial Franco-Britannique, tant au Moyen-orient qu’au Maghreb. Citons simplement les émissions de propagande en langue arabe de Radio Bari pour l’Italie fasciste et radio Seesen pour les Nazis. Les arabes, de syrie, d’irak, d’égypte, et du Maghreb, attendaient les germano-italiens comme des libérateurs. On ne trouve pas de troupes arabes combattant du côté allié à l’instar de la Brigade Juive de Palestine par exemple. Certes, seulement à partir de 1943, quelques milliers d’ arabes maghrébins participent aux campagnes françaises de Tunisie, italie et France, mais sous la promesse d’indépendance après la guerre, et il n’y a pas d’unités arabes dans les armées anglo-américaines durant toute la guerre. Donc la position de Mr Halter est difficile à comprendre, d’autant que les pays maghrébins ont envoyé des troupes combattre l’Etat Juif tant en 1967 qu’en 1973. Le troisième point est comment Mr Halter qui veut intervenir dans la politique intérieure française, définit-il le Sionisme? Quelle est sa participation au fonctionnement de l’Etat Juif? J’ai des difficultés à comprendre! Si quelqu’un a les réponses à ces questions, qu’il n’hésite-pas à les fournir.

  12. Qu’il aille vivre ensemble dans une banlieue. Il ne resistera pas trois jours

  13. Ce monsieur, totalement irresponsable , est le parangon même du Bobo , lui de gauche , proche des Socialos bien sûr , qui ne connait rien aux banlieues perdues , aux écoles juives et aux synagogues harcelées .
    ?
    Il fait partie de ces Juifs ashkenases des années 60, souvent coco qui considéraient les colonies françaises , comme terres d’exploitation et de répression . Le blabla du Nouvel Obs
    Concernant Israel, il a trouvé l’amitié de Yasser Arafat mais n’a jamais rien dit d’Igal Amir qui git encore en prison .
    Personnage littéraire , peu intéressant . Il n’est pas représentatif de la communauté juive mais il l’est du petit segment des grandes gueules comme P. Klugman , J. Daniel ou Rony Brauman . Ces gens sont la honte pour les patriotes juifs français . Il ne faut surtout pas leur accorder d’importance hormis dans leurs fictions dont ils ne semblent jamais sortir

  14. “Juif honteux, ou juif de cour”
    les deux mon Capitaine!
    etsurtout doté d’ un sens phénoménal du fayotage et du lèche culeries de toutes couleurs, pourvu que ça lui rapporte, peu importe quoi; pognon, honneurs, invitations prestigieuses -il y a quelques années il avait révéilloné a l’ elysée avec Flanby..- articles élogieux, reconnaissance,, sa besace a engranger est si vaste!
    et là ou je vous fais une revélation, son premier bouquin “la Mémoire d’ Abraham” eut un gros sucçès, je fus moi même enchanté par sa lecture!
    mais , manque de pot, tous ses autres livres qui ont succédé, sont a peine du niveau des littératures de gare, des platitudes a la Marc Lévy, d’ une nullité affligeante
    il ne faut pas croire que la “Mémoire d’ Abraham” fut son oeuvre!
    impossible! quand on compare aux nullités qu il a pondues depuis…
    un “nègre” trés vraisemblablement qui lui a mis le pied a l’ étrier
    l’ intrigance du vilain bonhomme a fait le reste
    je l’ ai rencontré quelques fois dans les rues du Marais….Elie Wiesel est un aimable déconneur a coté du Marek Halter et sa sale gueule de tourmenté, bien calculé!
    un inutile intégral et je peux ajouter, pas du tout bien vu au sein de la “communauté” juive de France

      • c’est plus commode tout de même avec un PC que l’ ifaune, surtout l’ aprés midi…
        on est enfin arrivés a destination…
        le Barde m’ a envoyé un mail ,superbe comme d’ hab en me disant qu il rejoindrait RR
        je ne lui ais pas parlé de toi
        tu le reconnaitras a son style inimitable

        • Mhhh, quel message cabalistique !
          Enfin, nous sommes heureux de vous revoir…
          C’est vrai, « La mémoire d’Abraham » était intéressant à lire. Mais Marek Halter, c’est un peu le bon papi qui radote et dit un peu n’importe quoi.
          J’avais un tonton comme ça qui adorait raconter des histoires invraisemblables. A chaque fois, c’était plus incroyable, plus énÔrme… C’était divertissant, bien sûr, mais on repartait un peu fatigué, avec la légère impression de s’être fait avoir…

          • SalutYanne
            le PC n’ a pas quitté le coffre de la bagnole pendant 15 jours
            content moi aussi de retrouver les amis

    • Comme Attali et bhl d’ailleurs , ils ont la fâcheuse habitude de l’ouvrir pour dire des bêtises d’un niveau abyssal.

  15. Comme tu dis, Christine, je suis satisfait de l’avoir “habillé pour l’été !”

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