Étranges fascinations pour Médine, la bande à Baader, Mesrine, Bonnie and Clyde…

On peut s’étonner que le chanteur Médine, prosélyte de l’islam et de tout ce qui va avec, bénéficie déjà de guichets fermés non seulement pour son spectacle prévu au Bataclan -que nous comptons bien faire annuler- mais aussi pour plusieurs autres prévus ailleurs. On peut s’étonner que dans un pays civilisé déjà tant touché par les méfaits de l’islam, par ses prédations, ses insolences, ses remises en cause de notre mode de vie, ses crimes dont témoigne la si longue liste de nos martyrs, il se trouve une catégorie de population adepte des chansons faisant l’apologie du djihad.

Étranges consciences dont il est difficile de comprendre les perturbations, dirait-on. Souvenons-nous que l’Occupation a eu ses collabos, au choix issus de pur crétinisme, ou d’adhésion au nazisme, ou d’opportunisme criminel. Nous avons à nouveau les mêmes, que ni l’immaturité de la jeunesse des uns, et moins encore la poursuite de vieilles chimères soixante-huitardes des autres ne saurait excuser. Si nos ancêtres ont combattu l’islam pendant quatorze siècles, c’est qu’ils avaient des raisons que ni le temps ni les idéologies d’aujourd’hui ne peuvent effacer, fort heureusement.

Pitoyables sont ces idiots qui croient que ces idéologies vont refonder l’islam et plus encore refonder le fonctionnement si ancien de l’humanité tout entière. Faire un homme nouveau a été le but du communisme et du nazisme, et on sait bien ce que cela a donné ! Les collabos d’aujourd’hui imaginent un islam totalement fantasmé, tout comme les communistes d’hier croyaient au paradis des travailleurs en URSS et dans les pays de l’Est européen. Mais la leçon n’a pas suffi. Ni même les innombrables témoignages et avertissements des apostats de l’islam, des chrétiens d’Orient, des gens simplement lucides… Ni même les agressions de toutes sortes ayant lieu actuellement et depuis longtemps, ni même les massacres du World Trade Center, du Bataclan, de Nice et d’ailleurs.

Il faut bien dire que l’absence de véritables connaissances historiques, issues de l’Histoire et non pas de croyances idéologiques ayant revu et corrigé la vérité, y est pour beaucoup. Elle se joint à la haine de soi, de sa race dominante, de sa religion cofondatrice de notre civilisation, de nos grand hommes, de nos découvertes et technologies, de nos arts et lettres, de nos us et coutumes, des bienfaits civilisationnels et techniques de notre présence autrefois dans des pays lointains… Tout cela diffusé, argumenté, imposé dans les jeunes cervelles des enfants par tous ces gauchistes criminels qui squattent depuis longtemps l’Éducation Nationale.

De plus, l’État n’offre plus à la jeunesse -et aux moins jeunes- les grands projets, la participation aux grandes réalisations d’autrefois, telles que les barrages hydroélectriques, le paquebot France, l’avion Concorde et tant d’autres choses qui nous ont fait rêver lorsque nous étions enfants, qui donnaient du travail à une multitude d’ouvriers et de spécialistes de tous niveaux, dans un contexte où la conscience professionnelle signifiait crédibilité, prospérité et épanouissement tant personnels que collectifs.

Aujourd’hui n’importe-quel projet est soumis à la censure d’écologistes de salon, aux actions de spécialistes de la contestation et à des lois contradictoires. Si tant est que l’on puisse appeler « projets » les quelques prévisions restant à ce qui reste de nos industries, hésitant à entreprendre au delà du court terme dans une société déstabilisée par la mondialisation et ses spéculations bancaires.

Beaucoup d’individus sont lobotomisés par ce qui sert de scolarité avec ses diplômes dévalués, la propagande gauchiste, le consumérisme édifié en religion, la « mobilité » exigée alors qu’on fait la guerre à l’automobile, les jeux vidéos, l’illusion d’amis virtuels, les produits chimiques et les vaccins pleins d’aluminium, le renoncement aux racines humaines officialisé par les politiciens et l’Union européenne. Ils sont ainsi prêts à saisir toute occasion d’être quelqu’un, d’être reconnus, et cette exigence issue du fond des âges est référencé dans la Pyramide de Maslow parmi les besoins fondamentaux de l’homme. Si l’individu n’est pas reconnu socialement par les voies offertes par une société civilisée, telles que l’activité professionnelle, l’épanouissement familial ou l’engagement citoyen, il cherchera ailleurs, même inconsciemment, ce qui pourra le valoriser.

Ah oui, diront certains, nous retrouvons là « Travail-Famille-Patrie » qui était la devise du gouvernement de Vichy ! Oui, désolé que cette belle formule plus ancienne que lui ait été provisoirement confisquée par un gouvernement collaborateur de l’ennemi, tout comme le svastika, l’un des plus anciens symboles de l’humanité, fut accaparé par les nazis. Il n’empêche que l’individu privé de travail, de famille et de patrie est déstabilisé, tout comme le svastika, symbole de la puissance divine dans plusieurs religions, est dénaturé par son option nazie.

Aujourd’hui le travail étant presque un luxe menacé en permanence par le chômage, certains le trouvent dans des activités associatives dont beaucoup sont ouvertement anti-France. Les familles se décomposant au fil des difficultés sociales sont remplacées par une sorte de fraternité d’intérêts idéologiques ou logistiques gauchisante, ou alors par ces amis virtuels qui peuplent le petit monde des réseaux sociaux. La patrie étant devenue sujet de discrédit et de rejet est remplacée par une vision mondiale, mondialiste, alors que la Terre entière est bien trop grande pour un seul peuple et plus encore pour un seul individu ne pouvant trouver partout la même compétence territoriale.

Pour ceux à qui tout cela ne suffit pas, plutôt que de chercher des sources d’épanouissement dans les références historiques, patrimoniales, familiales, spirituelles, il reste une option qui fut déjà maintes fois choisie à des époques et dans des pays pourtant prospères et prometteurs : la fuite en avant dans les destructions, les pillages et les meurtres. Avant d’en arriver là, et tout le monde ne saurait s’impliquer et moins encore exceller en ce domaine, on peut facilement en rêver en idolâtrant ceux qui prônent ou pratiquent ces reniements de l’humanité.

En préambule à quelques exemples, notons bien que beaucoup de malfaiteurs historiques ayant prétendu justifier leurs actions, soit par une soi-disant lutte des classes, soit par la libération des opprimés, n’étaient eux-mêmes pas issus de milieux pauvres, misérables, « défavorisés » comme on dit aujourd’hui. Bien au contraire, leur situation rassurante et confortable, aussi bien affective que matérielle, leur aurait permis de s’épanouir, voire de devenir de grands hommes, s’ils n’avaient pas prolongé dans la vie d’adulte leur crise d’adolescence ; s’ils n’avaient pas utilisé leur intelligence pour faire le mal par une sorte d’obsession existentialiste conjuguée à la haine de ceux et de ce qui les avaient faits. Une haine particulièrement exprimée envers les membres des forces de l’ordre et de tous ceux qui avaient en charge l’administration et la justice. C’est bien ce que nous retrouvons aujourd’hui, mais venant de gens de tous milieux et de toutes conditions, et ce à grande échelle, à un niveau peut-être jamais vu dans l’histoire de l’humanité.

Quelques exemples historiques de malfaiteurs ayant suscité les passions, la fascination, la sympathie, voire l’admiration des foules :

Le bandit américain John Dillinger, homme au physique avantageux et à l’intelligence rare, issu d’un milieu de commerçants aisés. Ses méfaits déterminèrent d’urgence la mise en place opérationnelle du F.B.I. (rien que ça!) dirigé pendant 48 ans par le célèbre John Edgar Hoover. Dillinger fut tué par la police.

Le couple de bandits américains Bonnie Parker et Clyde Barrow, « Bonnie and Clyde » dont plusieurs films ont retracé la carrière, ayant respectivement tué onze et neuf personnes. Ils furent tués par la police. Leur voiture criblée de balles est conservée dans un casino du Nevada. En 2018, des chanteurs -notamment de rap- les citent encore dans leurs récitals et leurs tombes sont toujours fleuries régulièrement.

Le « révolutionnaire » Ernesto Rafael Guevara, dit « Che Guevara » était médecin, c’est-à-dire qu’il n’avait ni l’ignorance ni la pauvreté dans sa vie personnelle. Il adhéra à l’idéologie communiste et en devint fanatique. Il était si encombrant que même Fidel Castro dut se débarrasser de lui en l’envoyant répandre la peste communiste dans toute l’Amérique latine. Ernesto Guevara fut tué par l’armée bolivienne. Une célèbre photo de lui prise en 1960 par Alberto Korda est encore aujourd’hui un véritable mythe reproduit sur de nombreux objets, notamment des T-Shirts.

Le terroriste international Carlos, de son vrai nom Ilich Ramírez Sánchez, né au Venezuela d’un père richissime et néanmoins admirateur des staliniens, d’où le prénom de son fils. Étant sympathisant des terroristes palestiniens, Carlos importa en France le conflit du Moyen-Orient par plusieurs actions terroristes, avec l’appui des pays de l’Est et de plusieurs États musulmans. Ses attentats meurtriers rompirent la paix civile retrouvée en France après la guerre d’Algérie, frappant des civils innocents et installant la crainte dans des années pourtant prospères. Il fut arrêté par les services secrets français à un moment où plus aucun pays n’avait besoin de lui et condamné à la prison à perpétuité. Le président vénézuélien Hugo Chávez fit son éloge devant un congrès de gauchos. Carlos est actuellement détenu à la prison de Poissy, dans les Yvelines.

La terroriste allemande Ulrike Meinhof et son compagnon Andreas Baader, dirigeant la tristement célèbre « Bande à Baader » qui assassina plusieurs personnes et commit diverses destructions, tout en prenant parti pour les terroristes palestiniens dans le drame des Jeux Olympiques de Münich. Elle fut condamnée à une peine de prison, où elle reçut la visite bienveillante de Jean-Paul Sartre. Elle fut retrouvée pendue dans sa cellule. Trois autres membres de la bande seront retrouvés suicidés simultanément dans leur prison l’année suivante.

Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon, Joëlle Aubron et Georges Cipriani dirigèrent le groupe terroriste Action Directe, qui revendiqua 80 attentats ou assassinats en France dans les années 70-80, un temps où l’on vivait pourtant bien. Ils assassinèrent notamment le général René Audran et Georges Besse, PDG de Renault. Ce groupe fera l’objet de tractations secrètes de conseillers élyséens et de propos douteux du président François Mitterrand. Condamnés en 1989 à la réclusion criminelle à perpétuité, Rouillan bénéficie d’un régime de semi-liberté depuis 2011, Ménigon est libérée depuis 2008, Aubron est morte d’un cancer en 2006 après avoir été libérée en 2004, Cipriani est en liberté conditionnelle depuis 2011.

Jacques Mesrine, issu lui aussi d’un milieu aisé, se considérait en mal de reconnaissance. Il aspirait au vedettariat, et aussi à une fin aussi tragique que spectaculaire. Manipulateur, il fut le premier à se servir des médias pour devenir célèbre. Emprisonné, il demanda la suppression des QHS (Quartiers de Haute Sécurité) dont son propre comportement justifiait l’existence. Le journal « Libération » publia régulièrement ses messages et quelques gauchistes virent en lui le dénonciateur des anomalies de la société. Condamné à 20 ans de détention pour attaques à main armée, tentatives de meurtres et autres prises d’otages, il s’évada de la prison de La Santé et fit parler de lui pendant 18 mois, narguant la police et menaçant le commissaire Robert Broussard. Celui-ci dirigea la spectaculaire opération où Jacques Mesrine perdit la vie le 2 Novembre 1979.

Comme pour Bonnie Parker et Clyde Barrow, certains remirent en cause l’action de la police qui n’avait pas trouvé d’autre moyen pour mettre fin à une longue série de crimes.

Tous ces exemples n’ont pas servi de leçon. Ni aux amateurs de guérilla urbaine, ni aux politiciens, ni à ceux qui cautionnent la criminalité instituée en lutte révolutionnaire, ni à ceux qui trouvent des excuses aux errements mortels de quelques assassins auto-satisfaits. Voici pourquoi aujourd’hui Médine, le colporteur chantant de l’islam, peut rassembler autant de fans avec notamment un album faisant l’apologie du djihad. On a les héros que l’on peut. Ou que l’on mérite.

 
 

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21 Commentaires

  1. Les propagandistes actuels connaissent bien le mécanisme de l’endoctrinement, ils préparent la société de demain et à la voir, ça sera pas jojo

  2. ça me fait penser aux multiples films américains sur la mafia sicilienne, qui ont été présentés en France comme des chefs d’œuvre à ne surtout pas rater, qui encensaient la racaille et la faisaient passer pour les héros modernes
    en France, il y en a eu beaucoup aussi qui ont vu Bernard Tapie en nouveau héros du socialisme, l’homme qui rachetait les entreprises en perdition à un franc symbolique et les revendait plusieurs millions

  3. ” Il faut bien dire que l’absence de véritables connaissances historiques, issues de l’Histoire et non pas de croyances idéologiques ayant revu et corrigé la vérité, y est pour beaucoup. ”
    Mais il y a aussi autre chose : on n’imagine pas à quel point beaucoup de gens n’ont comme seule source d’information que la télé et sont gavés uniquement au régime abrutissant de sa propagande, laquelle sévit bien au delà des seuls journaux télévisés (reportages d’Arte, décérébration de TPMP, NRJ Awards et autres consécration du lupanar multiculturel, etc….)

  4. J’ajoute un mot sur le matraquage intellectuel et au risque de me répéter ici. En effet, j’ai déjà signalé que les fictions télé sont aux ordres de l’Etat (quand je pense que mai 68 a sanctionné DE Gaulle avec l’ORTEF à ses ordres !)…
    Aujourd’hui la télé fait de la propagande pour le métissage, l’homosexualité, la transsexualité, au travers de téléfilms que l’on regarde en famille, sans méfiance, a priori ! J’en veux pour preuve le téléfilm du jeudi 21 juin “Entre vents et marées”, réalisé il faut le dire par Josée Dayan… Je n’aime pas les “policiers” mais comme aucun autre programmes ne m’intéressait, j’ai fini par céder à la tentation de regarder une aventure de plus du “capitaine Marleau”, interprétée par Corinne Masiero, très drôle, il faut le reconnaître (mais d’origine italienne et pas opposée à l’immigration car ses grands parents, n’est-ce pas… – c’était dit sous-couvert d’une autre fiction mais cela correspond à “sa” réalité et à son opinion, j’en suis persuadée).
    Puis, il y avait aussi Nicole Garcia et Muriel Robin et côté talent on ne peut les bouder…
    Bref, je ne raconterai pas l’histoire. Qu’il suffise de dire qu’il y a deux ados amoureux l’un de l’autre mais que la venue d’un travailleur d’origine arabe viendra perturbrer. La jeune fille finira par succomber dans ses bras. Il ne faut pas passer sous silence les petites phrases, telle celle de Marleau en le découvrant : “Il est mignon”…. (c’est vrai que l’acteur est plus avenant que ceux que nous rencontrons généralement…)… Puis, c’est lui, ce jeune immigré, et non les deux ados bien de chez nous, qui prend les bonnes initiatives, c’est lui qui est courageux, galant, serviable, enfin le vrai chevalier servant, toutes qualités, il faut bien le dire que nous aimerions trouver dans la vraie vie auprès de ceux avec qui nous cohabitons par force…
    Hormis ces embrassades en pleine bouche entre la jeune fille de bonne famille et de souche bien française et ce jeune très bronzé et très bouclé, on découvre avec stupéfaction que le mari de la maire avait une passion cachée pour le voyou chargé de transformer le village breton en une marina ultra moderne… Et que ce même voyou était sous la menace d’un puissant malfra qui lui infligeait des corrections par un transsexuel sous ses ordres – en réalité un effrayant individu ni homme ni femme –
    Ainsi, la réalisatrice a réussi le pari de réunir dans une seule et même fiction, tous les impératifs auxquels est soumise notre malheureuse société.
    J’éprouve toujours un malaise profond après avoir vu ces téléfilms non pas tant à cause des crimes horribles que l’on y perpètre, mais des messages distillés en filigrane. Je pense alors en priorité à la jeunesse, intoxiquée par le MAL qu’on lui sert, d’autant plus nocif qu’il est banalisé par le côté virtuel, tout en empruntant à la pédagogie sa force et sa persuasion.
    Le diable ne ferait pas mieux.

    • Olivia.
      Pas seulement les téléfilms. La totalité du contenu de la télévision est destiné à façonner notre pensée. En plus d’un contenu “idéologique”, il est structuré en temps que “pause” entre chaque spot publicitaire. Les prochains vont morfler, je vous le dis !

    • En effet, ces images, ces paroles ne sont pas innocentes. Des gens très bien placés préparent le mal-être de la jeunesse dite de souche, souffrance qui trouvera son auto-guérison dans la drogue, la destruction et le suicide.

    • Bravo @Olivia, vous avez eu la force de regarder un de ces horribles navets servis par la télé française et concoctés amoureusement avec nos prélèvements obligatoires à l’audiovisuel, et merci d’avoir fait le compte-rendu,
      ça m’a bien fait rire sur le coup….
      malheureusement ce type de propagande lourdingue et destructrice est servi à tous les repas, et comme il n’y a pas grand-chose d’autre pour la jeunesse vautrée sur le canapé après le repas du soir, c’est le dessert choisi par défaut pour toutes les familles françaises,
      Les conditionneurs le savent bien et mettent les manettes à plein gaz, comment ne pas déboussoler les jeunes avec de telles inepties ??
      Combien d’idées fausses leur inculque-t-on ?

      • Merci pour la réponse : et encore j’ai oublié l’apothéose de la fin de fiction : l’un des protagonistes, le meurtrier, resurgit après son arrestation à la grande surprise de celle pour qui il a tué… Il répond à son étonnement en lui disant que les prisons étant pleines on l’a remis en liberté !!! Il a deux ans devant lui, avant son procès, pour profiter de la vie avec son amoureuse ! Et je pense que dans la réalité c’est ainsi : nous croisons des assassins tous les jours, en attendant que la justice veuille bien incarcérer les coupables pour de bon !

        • ah ! la fin, oui c’est l’apothéose, mais conforme à la réalité, cette fois , mdr !

  5. La fascination du mal est un constant sujet de réflexion et d’étonnement pour les gens “normaux”… La clé du problème est peut-être dans l’absence de discernement entre le bien et le mal pour beaucoup. Notre société est rongée par le canabis depuis plusieurs générations… Les blancs deviennent des proies mais ils s’acharnent eux-mêmes à leur propre disparition. En plus de la drogue, je m’étonne de découvrir autant de jeunes filles tatouées ou avec des piercing dans le nez ou sur les lèvres… J’imagine la gêne pour se nourrir quant à embrasser un partenaire…. ? N’est-ce pas le signe d’une décadence, le renoncement à notre identité, que de puiser dans les coutumes de Maoris ou peuplades africaines ? Quant au côté esthétique je le cherche vainement…

  6. J’aurais dû écrire : “Ce à quoi je suis arrivé moi-même et que nous démontre aussi si bien notre Christine.”

  7. Alix, je vous surprends en flagrant délit de ce mélange dont vous m’accusez. Je n’avais jamais vu les noms de Robespierre et de Zorro cités sur la même ligne.
    Au cas où vous ne le sauriez pas, Zorro, Robin des Bois et Arsène Lupin sont des personnages fictifs qui ne sauraient donc cautionner des références. Videla en Argentine et Pinochet au Chili ont sévi dans leurs pays respectifs après la mort de Guevara. Quant à la Bande à Bonnot, Jean-Marc Rouillan d’Action Directe cité dans mon article rendit hommage à son chef dans sa “Lettre à Jules” publiée en 2004. Alix, vous semblez ne pas arriver à faire le divorce d’avec la gauche d’aujourd’hui par rapport aux idéaux de celle de Jean Jaurès, ce que j’ai fait moi-même et que nous démontre si bien notre Christine. Il faut savoir remettre en cause même ce à quoi l’on a participé soi-même, soit parce que les réalités ont changé, soit parce que la conjoncture a changé au fil du temps. J’écris là en fonction d’expériences personnelles. Cela peut être mentalement douloureux mais est nécessaire pour ne pas poursuivre des idéaux que la force des événements rend caduques. Je vous conseille la lecture de mon livre “Citoyens ce roman est le vôtre” (Édilivre).

  8. Non, Daniel Pollet a raison. On ne doit pas laisser la jeunesse à s’identifier à des voyous. Che Guevara a fait couler beaucoup de sang. Était-ce utile quand on voit l’état de Cuba aujourd’hui? Il a combattu pour une idéologie marxiste mais certainement par amour des peuples.
    Quant à la fascination des jeunes pour Arsène Lupin, Zorro et compagnie, le divertissement que j’adore aussi n’est que cinéma ou littérature; la réalité est certainement beaucoup plus cruelle.
    D’ailleurs, c’est ce qui se passe dans les banlieues où l’on attire les gros dadets avec des djihadistes fantasmés en héros de jeux video. On a vu la suite et ce n’est pas fini.
    La meilleure façon d’éduquer les jeunes c’est de leur apprendre à travailler au lieu de rêvasser à des super héros qui n’existent pas..
    Dans le temps les camps scouts apprenaient la vie; maintenant, ce sont les pouces du gamin affalé sur le divan qui travaillent.

  9. On peut être de gauche ou de droite mais il faut pas faire d’amalgame. Un goulag, même communiste, reste un goulag. La grande Marche de Mao, même si elle a été encensée par nos bien-pensants de gauche, a été marquée de nombreux crimes qui demeurent des crimes, quels qu’en soient les motifs. Et de plus, franchement qu’en reste-il aujourd’hui ??? des camps de prisonniers où les gens se font dépeçer pour leurs organes ??? ah bien, bravo, hein !
    Le Sentier Lumineux n’était pas lumineux. Bonnie et Clyde étaient de vulgaires petits criminels, Ulrike Meinhof et Andreas Baader ont justifié leurs actions criminelles par leur idéologie. Mais comment voulez-vous qu’une idéologie peut-être louable puisse être basée sur des assassinats ??? La discrimination positive, ça n’existe pas; une discrimination reste une discrimination, un meurtre reste un meurtre. J’en veux pour preuve que le peuple allemand n’a jamais suivi Baader-Meinhof dans leurs délires. Arsène Lupin n’a jamais assassiné personne, que je sache. il n’y a rien de commun entre ces trois exemples-là. Il s’agit également de redéfinir ce qu’est “le fait révolutionnaire” car alors, on pourrait très bien dire que les na-zis ont été des révolutionnaires. Là, on est en pleine PNL. On confond la valeur avec l’équivalent concret ! On pourrait aussi dire que les islamistes sont des révolutionnaires !
    Il ne s’agit pas d’un pacifisme à outrance. Il y aura toujours des “victimes collatérales” mais il s’agit d’arrêter de relativiser n’importe quoi, de nous faire croire que Mal = Bien car c’est bien ce procédé-là qu’utilise le système pour mieux nous manipuler.

  10. Mais nous sommes aussi fascinés par Cartouche, Mandrin, les pirates, Robin des Bois, Zorro, Arsène Lupin… !
    Nous sommes aussi les héritiers de 1789, Che Guevara a été nécessaire à l’Amérique Latine pour se libérer du joug des USA et des dictatures.
    Nos révolutions se sont faites dans le sang.
    Vous pensez sincèrement que le pacifisme à outrance peut nous libérer ?
    Je crois que vous mélangez beaucoup de données et de convictions diverses, ce qui rend bancal votre article.
    1 L’univers mental lié aux bandits
    2 Les révolutionnaires
    3 Les idéologies
    Personnellement je n’ai aucun problème avec la construction du mythe du gendarme et du voleur, du cow-boy et des indiens etc..
    J’estime qu’il y a une part de violence nécessaire dans tout fait révolutionnaire.
    Cela ne m’empêche pas de m’opposer à l’islam.
    Je veux combattre l’islam sans pour autant déconstruire une part mentale et des réalités qui appartiennent à ma civilisation.
    J’apprécie Che Guevara, Zorro, Robespierre, La bande à Bonnot avec Jacques Brel (film)
    PS : que RR ne devienne pas RL, la personne de gauche que je suis n’arrive pas du tout à lire RL !

    • Arsène Lupin, Cartouche, Fanfan la tulipe, les Pieds Nickelés etc…rien à voir avec les salopards passés en revue par Daniel !
      Liste à laquelle j’ajouterais bien JPSartre qui exhortait– en toute tranquillité–les algériens, de façon à ce que chacun élimine au moins un français, ainsi que la clique de journalopes qui emplissaient des pages et des pages de louanges à l’égard de pol pot et du kampuchéa “démocratique” dans leur “journal de référence” et autres torche-c.l !…
      Qui n’est pas “de gauche”, s’il s’agit d’organiser et de faire vivre un système
      redistributif qui vienne en aide à certains de nos compatriotes, moins chanceux ou moins favorisés ?…
      Mais je refuse que mes impôts ( + y ajouter nos emprunts d’Etat) servent à venir en aide au monde entier !!!….
      Rappel :
      France 1% de la population mondiale et 15% du total des dépenses sociales du monde entier !
      Alors, que RR et RL ne touchent surtout à rien !
      Ils permettent à de nombreux patriotes de se retrouver avec un dénominateur commun : la défense des valeurs qui ont fait notre pays et de notre liberté de pensée et d’expression.
      Au fait, en tant que “de gauche”, vous n’avez pas été gêné par le soutien apporté, en son temps, par la “fondation Jean Jaurès” au candidat mandataire du club des milliardaires ?

      • La fondation Jean Jaurès n’est pas Jean Jaurès !
        Vrai Macron est un homme politique de droite, un ultra libéral.
        En vrac :
        Si la révolution cubaine n’avait pas eu lieu , ils auraient certainement un Trudeau à la tête de l’Etat, ça fait rêver.
        Je suis sûr que comme beaucoup quand les communistes chinois s’attaquent aux ouighours musulmans, ça vous fait plaisir )
        Je suis de gauche très certainement comme doit l’être Christine.
        Je ne confonds pas la vraie gauche avec cette gôche qui est au pouvoir acquise au système libéral de droite et cette gôche d’opposition qui joue les idiots utiles.

        • Rien à voir avec l’article de Daniel !
          On se demande où vous voulez en venir ?
          Les ouighours musulmans persécutés ? On s’en tape !
          S’ils se comportent en Chine en pays conquis comme en Occident, c’est à cause de leur fanatisme crétino-religieux !
          Et que les chinois les traitent autrement qu’à coups de prestations sociales ne me regarde pas !
          Il y a tant d’autres blogs, de sites et d’assoces sur lesquels vos observations favorables à la RATP seraient bienvenus ailleurs que sur RR ou RL …

  11. Précision : la voiture de Jacques Mesrine fut détruite sous la surveillance personnelle du commissaire Broussard, afin que nul ne récupère quelque pièce pouvant servir d’objet de culte. Elle fut broyée simultanément avec quatre autres véhicules afin de rendre impossible toute identification de restes.

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