Femme et islam : quelques rappels …

Salut à toutes et à tous,
Ce que signifie être la femme d’un musulman
inspiré de la chronique de Abdullah Al Araby parue dans Islam Review [1]

Sachez avant tout qu’une musulmane ne peut en aucun cas épouser un non musulman.
Alors que le musulman peut se marier avec les femmes juives ou chrétiennes.
Pas avec les femmes des autres religions, ou avec les femmes sans religion : le Coran ne prévoit pour elles qu’une seule alternative : la conversion à l’islam ou la mort.

Le Coran enseigne que les hommes sont supérieurs aux femmes :

“[…] Mais les hommes ont cependant une prédominance sur elles. Et Allah est Puissant et Sage” (Coran S 2:V228).

Parce que, Mesdames, Allah vous a accordé moins d’intelligence qu’aux hommes et moins de discernement, mais aussi que vous êtes plus dépensières :

Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah” (Coran S4:V34).

Le Coran enseigne que les femmes héritent de la moitié par rapport aux hommes :

Voici ce qu’Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S’il n’y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s’il n’y en a qu’une, à elle alors la moitié” (Coran S4:V11).

Mesdames, si vous n’avez pas compris la première injonction, Allah dans sa bonté vous la répète :

[…] Mais s’il a deux sœurs (ou plus), à elles alors les deux tiers de ce qu’il laisse ; et s’il a des frères et des sœurs, à un frère alors revient une portion égale à celle de deux sœurs […]” (Coran S4:V176).

Le Coran enseigne que le témoignage d’une femme vaut moitié moins que celui d’un homme :

“[…] Faites-en témoigner par deux témoins d’entre vos hommes ; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes d’entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l’une d’elles s’égarent, l’autre puisse lui rappeler […]” (Coran S2:V282).

Le Coran considère la femme comme la propriété de l’homme, tout comme les enfants, le bétail et les objets :

On a enjolivé aux gens l’amour des choses qu’ils désirent : femmes, enfants, trésors thésaurisés d’or et d’argent, chevaux marqués, bétail et champs ; tout cela est l’objet de jouissance pour la vie présente, alors que c’est près d’Allah qu’il y a bon retour” (Coran S3:V14).

Mahomet enseigne que les femmes manquent d’esprit et sont faibles en religion :

“Je n’ai pas vu plus déficient en intelligence et en religion que les femmes” (hadith sahih al-Bukhari vol. 2:541).

Et qu’elles sont un mauvais présage :

“S’il y a un signe maléfique quelque part, c’est dans la femme, le cheval et la maison” (al Bukhari vol. 07:30).

Mahomet enseigne que les femmes sont des incapables :

“Nombreux sont les hommes à avoir atteint la perfection mais aucune femme n’a atteint ce degré à part Assia, femme de Pharaon, et Marie, fille d’Imran” (al-Bukhari LV 623).

Votre vie sexuelle.
Le coran considère la femme comme un objet sexuel :

“Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. […] (Coran S2:V223).

Mahomet enseigne que la femme doit être punie sans que l’homme éprouve de remords:

“Aucun d’entre vous ne devra fouetter sa femme comme il fouette un esclave et ensuite avoir des rapports sexuels avec elle dans le reste de la journée.” (al-Bukhari LXII 132).

Vos enfants
La charia a établi que, dans les mariages mixtes:

“les enfants suivront la meilleure des deux religions de leurs parents”.

Et évidemment, la meilleure parmi toutes les religions, c’est l’islam :

“Certes, la religion acceptée d’Allah, c’est l’islam. […]. Et quiconque ne croit pas aux signes d’Allah… alors Allah est prompt à demander compte !”.

Épouser un musulman n’est pas un acte anodin, cela peut même être une expérience vitale.
Les vies que vous sauverez sont votre propre vie et celle de vos futurs enfants.
Alors, faites mentir Allah et son faux-prophète, par votre jugeote, par votre discernement et par votre intelligence.
Par Aqveyli N-Jerjer
Vive la France, Vive nous.
Messaoud obligé par l’épée.

 674 total views,  5 views today

image_pdf

22 Commentaires

  1. “Vue le nombre de musulmans croyants en France”, je n’en suis pas si sûr, mais comme je l’ai écrit et sans réponse de Messaoud, je pense que ce sont les femmes qui sont les plus zélées, et elles éduquent les enfants.
    Beaucoup de supposés “croyants” musulmans ne croient pas un mot de ce qu’ils racontent conciemment ou non.
    Nous sommes confrontés à de l’auto-persuasion indispensable au lavage de cerveau pratiqué par ces “docteurs” islamiques, qui ne sont pas vraiment dupes de leur baratin.

  2. Vue le nombre de musulmans croyants en France, cela ne me surprendrait pas qu’à long terme qu’une république islamique Française apparaisse.
    Nos arrières petits-enfants vont devoir certainement gérer beaucoup de problèmes de société.

  3. Il faut toujours se marier avec un français quand on est une française. Si pas possible, un belge, un espagnol, un allemand, un russe, un italien, un québécois, un canadien, un bon américain, un peu riche. Mais jamiais avec un fou de Dieu. Les islamistes sont tous des pourris.

  4. entre nous, Cher Antislam, je pense que c’est une vacherie concertée entre Mounkar et Nakir
    même Iblis n’ aurait pas osé!!
    mais ces deux (j’ ose pas dire quoi…..) parce que ce sont eux qui se posent sur chaque épaule du défunt et lui font subir l’ interrogatoire…..aussi puissants que le juge d’ instruction en France
    quand au comment de déconage, tant pis! y en aura d’ autres 😆

  5. c’est quoi cette censure de mon post ????????
    on peut plus rigoler ? défense de déconner ??
    on joue a imiter “Oumma.com” ??? ou “Démocrassie Incitative ” ???
    quelle que soit l’ explication qui me serait donnée, sauf un incident du robot ou autre, je ne l’ accepterais pas!!
    ce genre de procédé envers un vieux contributeur est insupportable
    si ça a été “modéré” volontairement, merci de me le confirmer
    chacun prenant ses responsabilités, le modérateur (qui est-ce ? ) et moi

    • Bonjour,
      Oulala, ne nous énervons pas.
      Je ne trouve rien de vous à la poubelle.
      C’est un coup récurrent d’Iblis qui hante notre site et maraboute notre logiciel :=) …
      Merci de poster à nouveau.
      (Le modérateur)

  6. @Messaoud,
    Faut-il oublier que ce sont souvent des femmes qui défendent l’islam ?
    J’ai moi-même été repris par une de ces bigotes, célèbre en France et professeur d’université. Elle m’a reproché de me croire supérieur aux musulmans qui ont vécu qui vivent et qui vivront, voire même de les insulter, quand je lui ai dit que je ne croyais pas au coran. Ce qui lui a évité de répondre à ma question quant à la sourate 4 : 34 que vous mentionnez si justement.
    Elle s’est aussi défilée quant il a été question de l’âge d’Aïcha lors de son premier rapport sexuel avec Mahomet à l’âge de 9ans. Elle a allégué qu’il a été prouvé que les dates sont fausses et qu’il ne faut pas “salir” son prophète.
    Elle oublie que Mahomet et Aïcha ne peuvent plus contredire personne, et que c’est donc le message [falsifié ou non] qui a été retenu.
    Les écrits islamiques sont très clairs sur ce sujet et ils inspirent des millions de musulmans ainsi que les écoles juridiques islamiques https://islamqa.info/fr/177280.
    Je ne crois pas en la sincérité de ces “docteurs” en islam et encore moins si ces “docteurs” sont des femmes.
    L’islam est trop monolithique pour être réformé et il ne peut que disparaître du moins sous sa forme actuelle. J’attends donc que des femmes musulmanes agissent en ce sens, mais quand je les vois voilées et revendiquant leur islam encore plus fermement que les hommes, je ne peux m’empêcher de douter.
    Cordialement.

  7. Bonne idée, à la veille du ramdam, de rappeler ces quelques hadîths ou principes éclairants. Mais il y a de quoi s’interroger sur ce que vous citez (l’argent étant la réparation posthume du deuil…) :
    ““Voici ce qu’Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S’il n’y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s’il n’y en a qu’une, à elle alors la moitié” (Coran S4:V11).” S’il n’y a “que” des filles, à qui profite le tiers manquant de l’héritage? Et s’il n’y en a qu’une, à qui profite la moitié restante de l’héritage? Aux frères? beaux-frères? Oncles? Imam? allah? Et la pauvre veuve alors? Surtout celle qui est bi -nationale et partie faire le jihad avec son mec et a pondu une gnarde sur place? Est-ce que le droit français pressé de rapatriement desdites, va attaquer la charia? Allo? Maqueron? Belloubet??

    • Salut à toutes et à tous,
      Á l’attention de FOMALO, sur vôtre questionnement sur les héritiers en loi islamique!
      Il y a quelque temps j’ai dû me concentrer sur le code de la famille algérienne, en voici des extraits les plus intéressants,
      (https://www.joradp.dz/HFR/Accueil.htm – Source originale)
      La constitution algérienne
      Art-1er-l’Algérie est une République Démocratique et Populaire. Elle est une et indivisible.
      Art. 2-L’islam est la religion de l’État.
      Art. 3.l’Arabe est la langue nationale et officielle.
      L’Arabe demeure la langue officielle de l’État.
      Algérie-code de la famille
      LIVRE TROISIEME DES SUCCESSIONS
      Chapitre II
      Les catégories d’héritiers
      Art. 139-Les catégories d’héritiers sont :
      1°) les héritiers réservataires (en ligne directe),
      2°) les héritiers universels,
      3°) les héritiers par parenté utérine ou cognats
      Art. 140.- Les héritiers réservataires (fard) sont ceux dont la part successorale est légalement déterminée.
      Art. 141.Les héritiers réservataires du sexe masculin sont : le père, l’ascendant paternel quel que
      soit son degré, le mari, le frère utérin et le frère germain, selon la thèse omarienne.
      Art. 142-Les héritières réservataires sont : la fille, la descendante du fils quel que soit son degré, la
      mère, l’épouse, l’ascendante paternelle et maternelle quel que soit leur degré, la sœur germaine, la sœur
      consanguine et la sœur utérine.
      Art. 143-Les parts de succession légalement déterminées sont au nombre de six : la moitié, le quart, le huitième, les deux tiers, le tiers et le sixième.
      Les héritiers réservataires ayant droit à la moitié
      Art. 144-Les héritiers réservataires ayant droit à la moitié de la succession sont au nombre de cinq :
      1°) le mari à condition que son épouse défunte soit sans descendance.
      2°) la fille à condition qu’elle soit l’unique descendante du de cujus à l’exclusion de tous autres
      descendants des deux sexes.
      3°) la descendante du fils à condition qu’elle soit l’unique héritière à l’exclusion de tous autres
      descendants directs des deux sexes et d’un descendant du fils du même degré qu’elle.
      4°) la sœur germaine à condition qu’elle soit unique à défaut de frère germain, de père, de descendants
      directs ou de descendants du fils quel qu’en soit le sexe et de grand-père qui la rendrait héritière
      universelle.
      5°) la sœur consanguine à condition qu’elle soit unique, à défaut de frères ou de sœurs consanguins,
      et de tous héritiers cités relativement à la sœur germaine.
      Les héritiers réservataires ayant droit au quart
      Art. 145-Les héritiers réservataires ayant droit au quart de la succession sont au nombre de deux :
      1°) le mari dont l’épouse laisse une descendance,
      2°) l’épouse ou les épouses dont le mari ne laisse pas de descendance.
      Les héritiers réservataires ayant droit au huitième
      Art-146-Le huitième de la succession revient à l’épouse ou aux épouses dont le mari laisse une
      descendance.
      Les héritiers réservataires ayant droit aux deux tiers
      Art-147-Les héritiers réservataires ayant droit aux deux tiers de la succession sont au nombre de quatre
      1°) les filles lorsqu’elles sont deux ou plus à défaut de fils du de cujus.
      2°) les descendantes du fils du de cujus lorsqu’elles sont deux ou plus à défaut de descendance directe
      des deux sexes du de cujus ou de descendants du fils au même degré.
      3°) les sœurs germaines lorsqu’elles sont deux ou plus, à défaut de frère germain, de père ou de
      descendance directe des deux sexes du de cujus.
      4°) les sœurs consanguines lorsqu’elles sont deux ou plus, à défaut de frères consanguins ou
      d’héritiers cités relativement aux deux sœurs germaines.
      Les héritiers réservataires ayant droit au tiers
      Art-148.-Les héritiers réservataires ayant droit au tiers de la succession sont au nombre de trois.
      1°) la mère à défaut de descendance des deux sexes du de cujus, ayant vocation héréditaire, ou des frères germains, consanguins et utérins même exclus.
      2°) les frères ou sœurs utérins à défaut du père du de cujus et de son grand-père paternel, de
      descendance directe de celui-ci et de descendance du fils des deux sexes.
      3°) le grand-père en concurrence avec des frères et soeurs germains ou consanguins du de cujus à
      condition que le tiers soit la réserve la plus favorable pour lui.
      Les héritiers réservataires ayant droit au sixième
      Art.-149-Les héritiers réservataires ayant droit au sixième de la succession sont au nombre de sept.
      1°) le père lorsque le de cujus laisse une descendance directe ou par son fils, quelle soit de sexe
      masculin ou féminin.
      2°) la mère lorsque le de cujus laisse une descendance à vocation héréditaire ou plusieurs frères et
      sœurs ayant vocation héréditaires ou non.
      3°) l’ascendant paternel à défaut de père lorsque le de cujus laisse une descendance directe ou par le fils ;
      4°) l’ascendante paternelle ou maternelle si elle est seule. En cas de concurrence entre les deux
      ascendantes au même degré du de cujus et lorsque l’ascendante maternelle est au degré le plus éloigné
      celles-ci se partagent le sixième à parts égales. Si l’ascendante maternelle est au degré le plus rapproché
      du de cujus, elle bénéficie du sixième à l’exclusion de l’autre.
      5°) la ou les filles du fils en concurrence avec une fille directe du de cujus à défaut d’un héritier de
      sexe masculin au même degré qu’elles.
      6°) la ou les sœurs consanguines en concurrence avec une sœur germaine du de cujus, à défaut de
      frère consanguin, de père et de descendance des deux sexes du de cujus.
      7°) le frère utérin ou la sœur utérine à défaut d’ascendance et de descendance du cujus ayant
      vocation héréditaire.
      Donc dans tous les cas de figures, les femmes sont spoliées de leur plein gré ! (cqfd)
      Il est noté qu’un musulman peut hériter d’un non musulman, mais le contraire n’est pas permis!
      Amis compatriotes,, maintenez-vous en forme, pratiquez une activité, par exemple l’art de la canne, exercice éminemment Français.
      Apprenons, réfléchissons, un pour tous, tous pour un, Messaoud obligé par l’épée.

  8. Pour ma part, je suis certaine que jamais ce genre de “prescriptions” ne passera en France.
    Ne serait-ce que l’ombre de cela serait le “réveil” des Français et le point de départ de la révolution (cf l’Histoire de France).
    Inutile que certains rêvent….. Si oui, c’est qu’ils n’ont rien compris aux Français, et donc, qu’ils n’en sont pas.

    • Bonjour,
      C’est déjà une doctrine acceptée par l’UNEF, en plus à Sorbonne-Paris IV, la plus prestigieuse des facs en matière littéraire ..

      • Vous savez Antiislam, l’UNEF n’est pas une référence et représente encore moins la société Française dans son ensemble. Le milieu étudiant a toujours eu des agitateurs à contre-courant de la Société et n’est pas pris en exemple par la majorité des Français.
        Ce n’est pas dans l’esprit Français, c’est trop loin de notre façon de vivre (des siècles cela ne s’efface pas comme cela dans les consciences, c’est viscéral) et de penser.
        Ce serait un tournant trop radical, ce qui est différent dans les pays du Moyen-Orient.
        Avez-vous vu dans ces pays des combats égalité homme/femme si sensible dans notre Société (même si il y aurait certes beaucoup à en dire et celles qui le représentent ne sont pas des exemples de la mentalité française de souche) ? Cela prouve que ces valeurs sont bien ancrées et un recul moyenâgeux ne me semble pas possible sans révolte intestine violente.

    • Salut à toutes et à tous,
      À l’attention de Amelie Poulain
      À Mayotte, l’islam tranquille
      Le parisien, Grand angle Aurore Lartigue, Envoyée Spéciale À Mayotte| 27 mai 2013, 17h50 (extraits)
      Situé dans l’archipel des Comores, dans l’océan Indien, Mayotte compte environ 95 % de musulmans.
      Sur cette île de 200 000 habitants – devenue département français en avril 2011 –, la loi sur le voile qui a fait tant de bruit en métropole fait doucement sourire. « Le châle fait partie de la coutume, balaie l’enseignant : il n’a rien à voir avec la religion. »
      Les fêtes musulmanes s’ajoutent aux jours fériés nationaux
      À Mayotte, l’islam a donc un visage tranquille. Les fêtes du calendrier musulman viennent s’ajouter aux jours fériés nationaux. Et pendant le jeûne du ramadan, les administrations adaptent tout naturellement leurs horaires de travail.
      Sur cette île où la culture africaine est venue teinter d’animisme (croyance prêtant une âme aux animaux et aux éléments naturels) la pratique de l’islam, tout le monde vous le dira : la religion est quelque chose de personnel.
      Et la laïcité ? « C’est la tolérance et le respect de chacun, lance Faouzia Cordji, présidente d’une association locale de défense des droits des femmes. Ce n’est pas avec des lois que ce respect s’impose. La différence, c’est ce qui fait la richesse. »
      « Pourtant, la façon dont l’islam s’intègre ici dans la République devrait servir d’exemple en métropole ! », s’exclame Thani Mohamed Soilihi, sénateur PS de Mayotte.
      Dans sa classe, l’instituteur Riffay Abdoul-Haïr déploie la carte de France.
      « Le programme est le même qu’en métropole. Et nous apprenons aussi nos ancêtres les Gaulois », sourit-il. 12 h 15, la sonnerie donne le signal de la sortie des classes.
      Mais, à l’exception d’Elouan, un petit blondinet m’zungu – c’est ainsi que les Mahorais appellent les Blancs –, les enfants entament une nouvelle journée.
      Tandis que le maître fait un détour par la mosquée, Chaina, 9 ans, va revêtir un voile un peu plus couvrant pour la prière et Mounir, enfiler son kofia, le couvre-chef traditionnel, pour se rendre à l’école coranique (madrassa). Là, on ne plaisante pas avec les absences.
      Après la classe, l’école coranique
      15 heures, l’appel à la prière du muezzin s’élève. Dans la pénombre, une quarantaine d’enfants, la mine sérieuse, s’installent en rang d’oignon, garçons devant, filles derrière, pour prier à l’unisson.
      « Savoir lire le Coran est la chose la plus précieuse pour un musulman, explique Saïd Madi Assani Chanfi, le directeur de l’établissement. Mais on forme aussi des citoyens. On apprend aux enfants le vivre ensemble. »
      Aujourd’hui encore, les cadis sont des fonctionnaires de l’Etat. D’où l’ambiguïté de leur statut. Il faut dire que depuis 1841, la France a toujours reconnu leur autorité.
      C’est même sur eux que le pays s’est appuyé pour bâtir son administration. Actuellement, ils réfléchissent avec le conseil général à leur avenir républicain. Eux se verraient bien en « médiateurs sociaux ». « Ce qu’on fait n’a rien à voir avec l’islam, insiste Saïd Ali Mondroha. On veut juste être les garants du droit local. » Et d’invoquer le régime spécial qui prévaut toujours en Alsace et en Moselle en matière de droit. « A Mayotte, l’islam n’est pas politique », insiste de son côté le député Boinali Saïd…
      1841 Pour compenser la perte de l’île Maurice, récupérée par les Britanniques, la France débarque à Mayotte. Elle tire profit des batailles incessantes que se livrent les sultans de l’archipel des Comores, dont fait partie Mayotte, et rachète l’île au sultan Andriantsouli.
      Amis compatriotes,, maintenez-vous en forme, pratiquez une activité, par exemple l’art de la canne, exercice éminemment Français.
      Apprenons, réfléchissons, un pour tous, tous pour un, Messaoud obligé par l’épée.

      • Merci MESSAOUD pour votre développement intéressant, cependant, pour moi, Mayotte, ne représente en rien l’esprit Français tel qu’on peut l’entendre en Métropole, ancrée dans une autre Histoire comme on le sait.
        Ainsi, je persiste, on ne peut comparer Mayotte avec la mentalité Française. D’ailleurs,je me dis que l’on fait quelque part le jeu des adeptes idéologues du “vivre ensemble” en jouant la carte de l’assimilation d’une culture (si différente !) à une autre, car tout est là.

  9. l’islam est une religion de connards faite pour d’autres connards, debiles et incultes maintenus dans une bétise et une obéissance absolue. l’islam est une soit disant religion, de merde!

  10. Salut à toutes et à tous,
    Votre Mariage avec un musulman
    Le Coran permet la polygamie :
    “Et si vous craignez de n’être pas justes envers les orphelins… Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille)” (Coran 4:03).
    Le Coran, qui consacre toute une sourate à la répudiation (at-Talaq, sourate 65), permet à l’homme de répudier sa ou ses femmes par un simple mot prononcé devant témoins : “talaq“. La femme peut demander le divorce, mais la procédure est tellement compliquée que même si elle l’obtenait, c’est toujours à ses dépens, notamment pour la garde des enfants. (À ce sujet, lire mon article [2])
    Le Coran enseigne que la femme peut être l’objet de sanctions de la part de son mari. Le mari peut la battre et, en punition, peut s’abstenir d’avoir des relations sexuelles.
    “[…] Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !” (Coran 4:34).
    Un proverbe arabo-musulman (horrible), probablement inspiré à son auteur par ce verset, dit ceci :
    “Quand tu rentres chez toi, bats ta femme. Si toi tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait”
    Vive la France, Vive nous, Messaoud obligé par l’épée.

    • Et pour les bas du plafond convaincus que l’islam est vérité:
      (…)celles dont vous >>> craignez la désobéissance (…)
      Il suffit de craindre …. c’est à dire que le mec soupçonneux, jaloux de nature peut exercer sa violence.
      C’est encore une incompatibilité avec nos principes puisque nous condamnons uniquement lorsque le PRESUME coupable est certifié de l’être.

  11. RAPPEL BIEN NECESSAIRE pour les candidates au mariage avec un musulman AVANT LES EMMERDES.
    Vous avez oublié LA POLYGAMIE

Les commentaires sont fermés.