L'islamophobe Général Flynn, choisi par Trump, subit une campagne médiatique diffamatoire

Quand le Wall Street Journal prend ses lecteurs pour des débiles profonds !

Publié le par Copyright: toute reproduction des articles doit mentionner le nom de Hildegard von Hessen am Rhein. 

Décidément, que ce soit aux USA, en France, en Allemagne, en Italie, en Grèce, pour les langues que je maîtrise, les « pressetituées » sont toutes les mêmes, à promouvoir l’idéologie mortifère de gauche, qui font ressembler le « monde libre » à la Corée du Nord, drapée dans le manteau rance de la « démocratie » et d’une liberté d’expression disparue depuis vingt ans et sous pression depuis que la Merkel a décidé de passer des accords avec Zuckerberg, de censurer toutes les “fausses informations” et “incitations à la haine raciale”, de poursuivre tous ces malpensants à hauteur de 500.000 € … Mis sous pression par un Etat français devenu une dictature, qui emprisonne ceux qui résistent sur le terrain à l’invasion islamisée, poursuit ceux qui ne pensent pas correct, par ses officines comme SOS racisme, LDH et autres fumisteries contre l’islamophobie.

Le Général Michael Flynn, qui fut d’un fort soutien au président élu Donald Trump, islamo-critique, démontre sa grande influence dans la réorganisation des services secrets. Ceci nous est rapporté de manière perfide, aux fins de manipuler l’opinion, par les « analystes » du Wall Street Journal. Ils ont dû s’y mettre à six pour arriver à pondre ce caca avant-hier. Gordon Lubold, Shane Harris, Paul Sonne, Julian Barnes, Damian Paletta et Michael C. Bender. Je vous en fournis la traduction, qui démontre que les manipulations anti-Trump n’ont pas de limites.

L’on-y constatera des témoignages à charge contre le Général Flynn, que les « analystes » du WSJ soupçonnent d’être revanchard. Manière sournoise de discréditer à nouveau le Président Trump et son entourage, dont ils souhaitent l’échec. Et elles ne s’en privent jamais, les « pressetituées », dont est assurément le WSJ.  Ils ajoutent que Monsieur Trump n’a aucune expérience en « consommation »des services secrets ! Ah ! Parce que chaque Président élu en avait de l’expérience avant de prendre le poste ? Nous commençons à avoir l’habitude de cette hystérie anti-Trump. Ici, il est maintes fois fait fielleusement allusion « au Général retraité », pour certainement minimiser ses capacités intellectuelles. Ensuite, il est accusé d’influencer Monsieur Trump par ses opinions personnelles. C’est faire bien peu de crédit au Président Trump d’avoir un sens critique personnel, qui l’empêcherait d’avoir les idées claires. Sa carrière en affaire prouve le contraire. Dans les affaires de son niveau, si l’on ne sait pas déléguer, on ne devient pas multi milliardaire ! De ce genre de réflexion, les « analystes » du WSJ en sont incapables, aveuglés par leur haine anti-Trump !

Et puis, ils rendent responsable la chaîne d’information russe RT (Russia Today), d’être un outil de propagande qui aurait fait perdre la sorcière. Ils reprochent au Général Flynn de s’être rendu à Moscou pour célébrer le 10ième anniversaire de la chaîne ! Ce serait une preuve accablante de l’interférence russe dans les élections américaines.

Cette allégation est d’une mauvaise foi crasse, lorsqu’on pense que CNN est l’outil mondial de propagande US de gauche, ainsi que toutes les autres chaînes appartenant aux 6 plus grands groupes mondiaux, General Electrics, News Corporation, Disney, Viacom, Time Warner et CBS qui possèdent 90% des médias US avec des tentacules dans le monde entier,  alors que la Russie n’a qu’une seule chaîne, RT ! C’est lui octroyer, à cette chaîne, un pouvoir qu’elle n’a pas, comparé à la puissance de frappe mondiale de propagande du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial) que je viens d’énumérer ci-dessus !

Bien entendu, le Général est accusé d’islamophobie et de diffuser des théories conspirationnistes. Le WSJ, renverse la situation et accuse, ce dont il est coutumier. Pour cacher ses crimes, il suffit d’accuser l’autre de les avoir commis. Cependant la chute de l’article vient étayer les critiques du Général … Comprenne qui pourra ! Le WSJ est en pleine confusion mentale et prend ses lecteurs pour des débiles profonds.
Pour ce qui me concerne, j’ai regardé, entendu, les déclarations du Général sur l’islam (en lien), que cet homme là conseille le Président Trump, ne peut que me rassurer. Aucune « pressetituée » française ne s’est jamais donné la peine d’interviewer le Général, SOS racisme et la LDH se seraient déchaînés contre nos chaines qu’ils poursuivraient de « racisme » et « d’islamophobie » ! Pourtant, Al Jazeera l’a fait. En lien. Il va sans dire que le journaliste de Al Jazeera interrompt sans arrêt le Général, qui garde un sang froid remarquable.  Plus il y en aura qui critiqueront, diffameront, déblatèreront contre le Général Flynn, plus je me dis que Trump a choisi l’homme de la situation.
Hildegard von Hessen am Rhein

“Analyse” du WSJ traduite par HvHaR 

Le Général Major, Michael Flynn, qui était en 2010 le plus haut gradé des services secrets US en Afghanistan, critiquait l’appareil d’espionnage américain, qu’il contribua à superviser, comme étant hypertrophié et hors sol. Quatre ans après, il fut viré de la tête de la plus importante agence militaire de service secret, pour avoir dit la vérité sur les insuffisances préparatoires de capacité de réaction de la sécurité nationale.

Aujourd’hui, le Général Flynn, retiré depuis 2014 en tant que Ltd. Gal., est à nouveau en position d’avancer ses vues, comment l’Amérique doit se protéger, cette fois en tant que conseiller du président élu, Donald Trump, qui l’a désigné à la sécurité nationale. 

Le Général Flynn et les principaux conseillers de Trump, étudient les changements structurels qui vont composer la communauté des services secrets des Etats Unis. 

La semaine dernière, le Wall Street Journal (en lien) rapportait que les officiels de l’équipe de transition ont discuté la réduction de la taille et des effectifs de l’autorité du bureau du « Director of National Intelligence », directeur des services secrets nationaux, ainsi que des changements possibles à la CIA. Le projet est toujours en cours de discussions internes. L’équipe de transition Trump n’a pas encore de plans officiels, rapportent des interlocuteurs proches des discussions. 

Sean Spicer, un porte parole de Trump a déclaré jeudi que les discussions sont « provisoires » en niant qu’il y avait des projets de remaniements. Monsieur Spicer continue : « La priorité pour le président élu, est d’assurer la sécurité du peuple américain et la sécurité de la nation et il est engagé à trouver les meilleures solutions pour y arriver. »

Cependant, le scepticisme agressif de M. Trump, contre la communauté du renseignement, fait écho aux vues du Général Flynn et cela concernant les deux organisations, la qualité du renseignement national et le besoin de changement, selon des officiels en rapport avec l’équipe de transition et le Général Flynn.

En tant que conseiller du président élu le plus proche, il informe M. Trump des développements et participe à des présentations confidentielles avec des officiels des services secrets. L’équipe de transition Trump déclare que le Général n’est pas disponible pour commenter.

Par une série de tweets, M. Trump s’interrogeait sur les conclusions des services secrets concernant la Russie qui serait intervenue pour l’aider  à gagner les élections.

Des fonctionnaires en poste et passés, déclarent qu’ils y voient la patte du Général Flynn dans la signification de ces tweets et les allusions fréquentes de Trump sur la communauté du renseignement qui saboterait les analyses de 2002 concernant le programme suspecté d’armement à l’Iraq. « J’y vois clairement les empreintes de Mike Flynn sur le sujet. » lance un fonctionnaire US, qui a des liens avec l’équipe de transition proche du Général Flynn. Les changements concernant le bureau du directeur de l’intelligence nationale, sont proposés depuis des années par des esprits critiques, qui estiment que le bureau est devenu hypertrophié, au-delà de son envergure initiale. 

Dans cet esprit, certains fonctionnaires disent que les propositions du Général Flynn pourraient être une suite de propositions de longue date. D’autres y détectent une odeur de vengeance.

Le Général Flynn fut évincé en son temps, en tant que chef de l’agence, simultanément, par James Clapper, directeur de l’intelligence nationale et Michael Vickers, chef civil du renseignement du Pentagone, pour cause de sa défaillance à diriger l’agence, croient savoir des fonctionnaires US, qui assistèrent à son éviction. 

D’anciens hauts fonctionnaires du renseignement se disent préoccupés par le fait que le Général Flynn puisse porter des griefs qui viendraient ainsi « colorer » les conseils qu’il apporte à M. Trump. «Je me sens concerné là-dessus et je pense que tout ceci démontre une atmosphère de jubilation et de revanche », déclare un autre ancien haut fonctionnaire du renseignement US, qui a travaillé avec le Général Flynn au DIA (Defense Intelligence Agency). Le Général Flynn est persuadé qu’il a été remercié parce qu’il mettait au défi la Maison Blanche d’Obama, sur la nécessité de se concentrer sur Al Qaeda et autres groupes du genre. 

Le Général Flynn écrivait cet été dans le New York Post : « Je sentais que le système de renseignement était trop politisé, particulièrement au Département de la Défense. » En lien.

Monsieur Trump n’a aucune expérience antérieure comme consommateur des services secrets US. Lorsqu’il critique les agences, il tire ses conclusions d’après des évaluations anciennes et imparfaites et les accuse de fuites d’informations sur les hacks russes à des fins politiques. L’un de ces anciens hauts fonctionnaires observe que, le Général retraité, avait accusé l’administration Obama de minimiser à des fins politiques son analyse sur la résilience d’Al Qaida et de l’Etat Islamique. Les opinions personnelles du Général Flynn sur la communauté du renseignement influent de manière significative Monsieur Trump.

Alors qu’il portait toujours l’uniforme, le Général Flynn argumentait passionnément que les analystes des services de renseignements devaient être plus proche des combats et même être en poste sur les champs de batailles. Lorsqu’il était à la DIA (Defense Intelligence Agency), il raillait la bureaucratie du renseignement, estimant que le système récompensait les entrepreneurs et perpétuait les licenciements. En tant que directeur, le Général Flynn a réduit les fonds destinées à payer les entrepreneurs au sein de la communauté du renseignement militaire, croit savoir un ancien fonctionnaire US. « C’est un gros gaspillage en terme de la façon dont nous faisons nos dépenses dans le monde du renseignement. » dit-il.

Des fonctionnaires proches de l’équipe de transition disent, que les américains attendent de Monsieur Trump, qu’il pousse les réformes dans divers secteurs du gouvernement, y compris dans l’appareil du renseignement américain.

Un rapport du renseignement US a publié vendredi, démontre les efforts de hauts fonctionnaires russes, à influer sur l’élection 2016 . Gerald F. Seib, du WSJ croit savoir ce que cette révélation signifie pour le Président Elu Donald Trump et le système électoral. Certains anciens fonctionnaires et experts se posent la question sur le besoin de ces initiatives. Dennis Blair, un amiral quatre étoiles retraité, qui fut directeur du renseignement national de 2009-2010, dit que l’idée d’hypertrophie au sein de la communauté du renseignement est un « canard » ! Puis, il continue : « Changer pour le mieux, n’est pas seulement une affaire de changer l’organisation et couper dans les effectifs, mais rétablir l’autorité, reconstituer un processus de rendre des comptes et responsabiliser ceux qui sont aux manettes. »

Le Général Flynn a également attiré l’attention sur d’autres sujets, inclus sa relation avec la télévision russe RT, connu officiellement sous le nom de Russia Today. 

Un rapport de renseignement US déclassifié, vendredi, a trouvé que la chaine financée pour partie par le Kremlin, faisait partie de l’effort pour saper la campagne présidentielle de Hillary Clinton au bénéfice de Monsieur Trump.  Le Général Flynn a visité Moscou en décembre 2015, durant la campagne Trump, pour y participer à un gala qui fêtait le 10ième anniversaire de la chaine RT. Durant ces célébrations, le Général Flynn a accordé une interview avec le présentateur vedette devant une audience et fut ensuite photographié, assis aux côtés du Président Poutine au dîner de gala.  Le Général Flynn argumentait son voyage dans le Washington Post, l’année dernière, précisant que l’état russe l’a rémunéré pour se rendre à cet événement, qu’il décrit comme « une grande occasion d’apprendre. »

Des hauts fonctionnaires ont récemment exprimé leurs inquiétudes sur le Général Flynn, qui utiliserait les médias sociaux pour y colporter des théories conspirationnistes, des fausses informations et des remarques contre les musulmans. 

Un tweet du Général renvoie à un site qui accuse sans preuve que Madame Clinton serait liée à des crimes sexuels contre des enfants. Ce qui pose des questions quant au jugement du Général Flynn, déclare le Sénateur Tim Kaine, ancien candidat à la vice-présidence, durant une audience, jeudi, sur le renseignement et le hacking russe. Monsieur Kaine n’a pas nommé directement le Général Flynn, mais a fait allusion à son titre dans la prochaine administration. Il déclare : « Ce sont des histoires que la plupart des gradés 4 étoiles trouveront incroyables. Qu’un conseiller à la sécurité trouve ces histoires crédibles et les partages me préoccupe énormément. »

Le Général Flynn était un officier de carrière dans le renseignement, qui s’est fait connaître comme haut fonctionnaire dans les très secrètes « Joint Special Operations Command », entre 2004 et 2007, qui étaient déployées en Afghanistan et en Irak et plus tard avec la mission au sein du « US Central Command » et au siège du Pentagone. Alors qu’il portait toujours l’uniforme, en 2010, le Général écrivit ses positions dans une analyse: « Mettre en place le renseignement : Projet pour rendre le renseignement pertinent en Afghanistan ». Il y recommande, afin de rendre les analystes du renseignement plus efficaces, de les conduire hors des bureaux du siège et de les placer sur les champs de batailles. Le Général écrivait encore : « Parce que les Etats Unis sont concentrés majoritairement sur des efforts et analyses concernant des groupes rebelles, notre appareil de renseignement est incapable de répondre à des questions fondamentales sur l’environnement dans lequel nous opérons et les gens que nous essayons de protéger et de persuader. » En sa qualité de chef de la DIA (Defense Intelligence Agency), le Général Flynn était préoccupé par ce qu’il estimait une duplication inutile des efforts des agences de renseignements. Exemple, un ancien fonctionnaire disait que, si la Chine menait un test de missiles balistiques, cela déclencherait les activités de six directions de renseignements différentes, dans divers organismes militaires et de renseignement sur un même sujet. Et ce fonctionnaire, pour faire écho aux critiques du Général Flynn déclare : « Si une personne a un aperçu sur l’argent que la communauté du renseignement dépense et combien elle est hypertrophiée, vous comprendrez que nous ne sommes pas de bons intendants des ressources du contribuables. »

Traduction: Hildegard von Hessen am Rhein

 

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8 Commentaires

  1. Avec un peu de chance pour la vision politique du péquin moyen encore encarté PS, il n’est pas impossible qu’Hollande se mette en ménage avec Léonarda et délaisse sa concubine Julie Gayet devenue morne plaine pour un président sortant? Va savoir? Tous l’égout sont dans la nature!!!!!!!!!!!!!!!

  2. Ils se déchainent vaille que vaille ! cela sera peut-être pire encore chez nous à l’élection de Marine

  3. Les masques tombent, les clivages se précisent nettement: C’est une bonne chose, on va pouvoir commencer les choses sérieuses.

  4. Bonjour,
    Le “Wall Street Journal” , c’est l’organe de la mondialisation heureuse à destination des gagnants de tous les pays de la situation actuelle.
    Pas étonnant qu’il râle quand s’equisse le dézingage de son utopie …

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