Êtes-vous vraiment prêt à utiliser la violence pour lutter contre la violence ?

Les armes c’est bien beau, quelles soient » blanches  » ou  » à feu  » . Mais il y a la question psychologique, le mental : Êtes-vous prêt à user de la violence ?

Je vous met ici un article édité sur le site  » Survivre au Chaos  » que beaucoup d’entre vous doivent connaître, sinon et bien découvrez- le.  Il y a une myriade de conseils en tous genres et même sur le combat . Bien sûr, ceux qui sont adeptes du combat trouveront certains conseils simplistes, mais cela reste une base. Voilà le texte et suivront quelques liens de vidéo sur le combat au couteau et la défense face à une arme à feu .

Êtes-vous prêt à user de la violence ?
Êtes-vous vraiment prêt à utiliser la violence pour lutter contre la violence ?

Je suis certain que pour les lecteurs habitués au ton de ce blog, qui se veut avant tout pacifiste et non-violent, combattre la violence par la violence pourrait être l’un des meilleurs remèdes qu’une société évoluée puisse trouver pour lui permettre de perdurer.

Dans un monde ouvertement soumis au mal qui est en train de mourir de sa lâcheté, une telle question ne peut entraîner qu’une évidente réponse.

Mais est-elle aussi évidente qu’on pourrait le croire au premier abord ?

Dernièrement, j’écoutais le colonel Dave Grossman sur YouTube (ICI). Cet entretien, qu’un ami a eu l’infinie bonté de me traduire, a contribué à élargir ma compréhension de l’homme au sujet de ses capacité et désir de recourir à la violence. Ce qu’il ressort clairement de l’expérience et des études que ce colonel a menées, c’est que la grande majorité des êtres humains ne sont pas « câblés » pour utiliser la violence à l’encontre de leurs semblables. Les anciens n’étant pas des couillons, comme j’aime à le répéter souvent, je crois d’ailleurs que c’est la vraie raison pour laquelle la peine de mort avait été instaurée dans les communautés et les sociétés organisées. Moins pour punir les coupables que pour protéger les populations, avant que les abrutis que l’on connait la suppriment, du moins pour les criminels.

Si je posais la question : « Êtes-vous prêt à utiliser la violence pour arrêter la violence contre vous-même ou un être cher ? », je suis certain qu’une énorme majorité, sans aucune hésitation, répondrait par l’affirmative. Pourtant, la vérité pure et dure est que tant qu’on a pas été mis à l’épreuve, on ne le sait pas vraiment.

Grossman explique comment, depuis le début des guerres américaines -la révolution, la guerre civile et les deux guerres mondiales- la majorité des hommes de combat manquaient volontairement leur cible. Il révèle que l’aversion à tuer un autre être humain était si forte que très souvent un soldat entraîné ne tirait pas sur un autre, même au risque de sa propre vie. En prélude à la guerre du Vietnam, les états-majors avaient déployé de grands efforts pour déterminer comment former les hommes, non seulement à tuer, mais à le faire sans hésitation. Depuis, leur travail à porté ses fruits et l’armée US compte à présent quelques-uns des guerriers les plus impitoyables dans l’histoire du monde.

Certains pourraient faire remarquer que l’aversion pour la violence est une bonne chose, et que la religion de nos pères nous enseigne que « Celui qui tue par l’épée, périra par l’épée ». Je veux bien admettre le principe, mais le Christ n’a pas dit pour autant que nous ne devions jamais utiliser l’épée, ni condamné son utilisation, et Lui-même a donné l’exemple en virant les marchands du Temple à grands coups de lattes dans le fion.
Pour approfondir cet aspect théologique essentiel, je crois personnellement que si nous décidons volontairement de ne pas agir pour notre propre défense ou celle d’une personne innocente, nous commettons un péché. Nous portons maintenant la culpabilité du sang versé, et sommes responsable de tous les futurs actes de violence que notre assaillant serait en mesure de commettre. Non seulement cela, mais nous portons également la faute pour le manque de tout le bien que nous-même, ou la personne que nous n’avons pas défendue, aurait pu faire dans le futur.
Moins que la force létale
Ma conviction est que la majorité des êtres humains ont une aversion naturelle à l’encontre de toute forme de violence. En suivant les cours de combat ou de défense personnelle, que ce soit à l’armée ou plus tard dans ma vie, j’ai remarqué que presque toutes les nouvelles recrues hésitaient à utiliser ne serait-ce qu’une force minimale pour frapper leur partenaire. Pourtant, il s’agissait à chaque fois de personnes tout à fait conscientes de la nécessité d’apprendre à se défendre. Il n’empêche qu’elles devaient être formées pour accepter l’idée de frapper quelqu’un d’autre, et même après des mois de formation, certains élèves en étaient encore à n’employer que le dixième de leurs capacités. A l’époque, la violence physique n’était pas tout à fait nouvelle pour moi ; il a fallu néanmoins que je me « recycle » pour admettre que l’utilisation de la force n’était pas seulement acceptable dans ce contexte, mais qu’elle était bénéfique.
La règle des 10-80-10
Dans son livre « The Survivors Club », Ben Sherwood explore une théorie extrêmement intéressante appelée : la règle des 10-80-10. En résumé, celle-ci énonce que 10 % des gens vont exceller dans une situation de crise ; ils pensent clairement, et sont capables de prendre des mesures immédiates. Le groupe intermédiaire englobe 80 % de la population. Les gens qui en font partie sont tout simplement stupéfaits et désorientés en cas de péril grave. Leur capacité de raisonnement est compromise de manière significative et la pensée est difficile. Les 10 pour cent restant sont les gens qu’il faut absolument éviter en cas d’urgence…
Plus tard dans le livre, il explique ce que l’on appelle « l’inaction du comportement ». En fait, sa théorie de l’inaction comportementale est la suivante : tandis que vos lobes frontaux traitent la vue d’une aile d’avion en flamme, ils cherchent à raccorder l’information avec des souvenirs de situations similaires vécues dans le passé. Si vous n’avez aucune expérience d’un accident d’avion stockée dans la mémoire, votre cerveau ne peut pas trouver de correspondance et reste à tourner en boucle sans arriver à fournir une réponse adéquate. La conséquence est l’immobilité.
Cette théorie couvre très probablement tous les types d’incidents critiques. Appliquée à la violence, je pense que les premiers 10 % sont capables de violence, que ce soit pour le mal ou pour se défendre. Les 80 % du milieu sont les gens qui « gèleraient » d’abord sur place, avant de prendre des mesures ou de rester figés. Les derniers 10 % de la population sont constitués de ceux qui resteraient complètement éteints.
Marche ou Crève
Vous avez peut-être vécu personnellement le dilemme : Fuir ou combattre. Dans ce genre de situation, il existe au moins cinq réponses possibles :
– La Lutte : c’est l’option des personnes qui ont une capacité à la violence, que ce soit pour faire le mal, ou pour se défendre. Ces gens-là constituent la première catégorie dans l »imagerie traditionnelle des Loups et des Chiens de berger. Les loups sont ceux qui s’attaquent aux autres (les moutons) ; les chiens de berger, ceux qui sont capables d’utiliser la violence pour se protéger eux-mêmes et pour défendre les brebis.
– La Posture : ou le combat sans contact, en utilisant l’intimidation. C’est un grand classique dans le monde des animaux, mais on peut aussi le voir à l’oeuvre chez les humains. La posture est naturelle chez ceux qui pratiquent l’art du combat, par leur stature ou leur charisme, mais j’ai vu des gens qui n’étaient pas généralement considérés comme des combattants faire assez d’impression pour faire reculer un assaillant et prévenir une attaque.
– La Fuite : c’est le comportement typique des personnes qui ont un besoin inné d’éviter toute forme de douleur. Ces personnes-là vont fuir immédiatement, sans intenter aucune action. Certains pourraient fuir au début, juste pour se donner le temps de changer de comportement. A ne pas confondre avec ceux qui répliquent immédiatement face à une agression, dans le but de mieux prendre la fuite. C’est d’ailleurs la tactique recommandée par Paul Vunak (voir notre article ICI). Ces gens-là sont à classer bien entendu parmi les combattants, sauf qu’ils sont encore plus malins que les autres en faisant en sorte de se préserver.
– Le Gel : les gens qui restent figés sur place peuvent le faire quelques secondes seulement, le temps que leur cerveau prenne conscience de la réalité de la situation. Ce pourrait être aussi des personnes qui sont face à un stress si grand qu’elles abandonnent tout simplement. Les gens qui pratiquent le gel peuvent à l’occasion glisser vers une autre catégorie. Par exemple, une personne pourrait se figer pendant une seconde, avant d’utiliser la violence pour se défendre. Une autre pourrait geler avant de s’enfuir ou de se soumettre.
La Soumission : la personne abandonne totalement face à son assaillant. Il existe des preuves dans les rapports de police qui montrent que la soumission est globalement plus dangereuse que la riposte. Cependant, il faut garder à l’esprit que le fait de feindre la conformité et se soumettre temporairement peut aussi donner l’ascendant…
L’idée générale
Je crois que la règle des 10-80-10 et les cinq réponses possibles à la violence peuvent être combinées. La première tranche de 10 % sont les gens qui sont prêts techniquement et disposés mentalement à recourir à la violence. Ils n’ont évidemment aucune aversion pour elle. Les derniers 10 % sont constitués de ceux qui fuient (et continuent de fuir), et se soumettent. Ils sont donc incapables de violence et préféreraient mourir plutôt que d’utiliser la force, même pour sauver leur propre vie. Les 80 % du milieu représentent les gens qui se trouvent, à mon avis, sur une sorte d’échelle mobile. Il y a ceux qui, sous certaines conditions, seraient capables d’utiliser la violence, et ceux qui pourraient d’abord se figer, et plus tard répondre ou paniquer.
Comme la majorité fait partie des 80 % intermédiaires qui gèlent pendant un laps de temps, comment peut-on s’assurer que nous dépassons toute aversion pour la violence ? Comment savoir si nous n’allons pas rester figé ? Comment être sûr que nous allons nous secouer de manière à être prêt à utiliser la violence pour arrêter la violence utilisée contre nous ou un autre être humain ?
Rappelez-vous que la raison pour laquelle les gens de la plus grosse partie se figent sur place est que leur esprit est incapable de se verrouiller rapidement sur ​​une expérience antérieure. Dès lors, il apparaît que ce que nous devons faire est nous assurer qu’il existe bien quelque chose de similaire ou d’approchant dans notre stock de souvenirs…
La Visualisation
Non, je ne parle d’affirmations positives stupides du genre : « Je suis un enfant de l’univers, Dieu est avec moi et les malfaisants m’adorent ». C’est du flan. Je veux dire visualiser différents scénarios sur ce que vous pourriez faire et dire lorsque qu’une menace vous amène à passer du niveau d’alerte orange au niveau rouge. Par exemple, en visualisant l’éventualité suivante : « Si une personne m’agresse verbalement et tente de me saisir, je vais sortir ma matraque télescopique et faire cela… »

Personnellement, je n’ai jamais vécu la situation précise qui consisterait à ce que quelqu’un défonce la porte de mon domicile et pénètre la nuit avec une arme. Néanmoins, j’y ai pensé intensément, parcourant en détail dans mon esprit tout ce que je ferais dans un tel cas.

Il est un fait connu que le cerveau humain ne fait pas la différence entre une situation réellement vécue, et un film intérieur imaginé dans tous ses détails. Ce fait a été prouvé à de nombreuses reprises par des études scientifiques, et confirmé par des tests pratiques menés entre autre sur des basketteurs de haut niveau. Après avoir divisé les sportifs en deux groupes, les premiers s’entraînant physiquement au lancer franc, et les seconds pratiquant uniquement par la pensée, on s’est aperçu que leurs résultats lors de lancers réels étaient identiques !

La visualisation ne consiste pas seulement à inventer différents scénarios imaginaires qui pourraient se produire. Les films, la télévision, ou même les livres, fournissent d’innombrables exemples de confrontations violentes qui donnent autant d’occasions de pratiquer mentalement. En préparant son esprit pour des situations où la violence est une réponse légitime, on surmonte l’aversion naturelle à son encontre. C’est quelque chose qui devrait être fait en permanence, un peu comme d’autres soulèvent des haltères pour construire et maintenir leurs muscles, et c’est extrêmement efficace.

La Formation

Force non létale – Je suis un chaud partisan des cours d’auto-défense pour de multiples raisons. Regarder une bagarre à la télé ou au cinéma est une chose, celle d’y être impliqué en est une complètement différente. Non seulement dans l’aspect physique, cela va de soi, mais aussi mental. Lorsqu’on est sur le point de subir la violence, il se produit un choc psychologique qui est sans doute la raison pour laquelle 80 % des personnes se figent sur place. Comme je l’ai mentionné plus haut, on ressent presque toujours une hésitation avant de porter un coup. Bien qu’il soit possible de surmonter cela dans un combat réel, je reste persuadé que le fait de frapper quelqu’un à l’entraînement ou de se défendre contre diverses attaques fait que l’on s’habitue au choc initial. Si une situation réelle de péril extrême se présente, on est alors en mesure de le dépasser et de répondre sans hésiter.

Force létale – Si vous n’avez jamais participé à un cours de formation aux armes de poing, faites-le. Si vous l’avait fait, suivez-en un autre. Il existe des centres d’entraînement civils qui proposent des parcours de tir sur toute sorte de cibles. On trouve aussi de nombreux clubs de Paintball ou d’Airsoft. Ce sont d’excellents moyens pour vous entraîner. Ils vont vous mettre dans diverses situations que vous pourriez bien être amené à vivre un jour dans le monde réel… Si vous pouvez faire tout cela, c’est très bien ! Sinon, lorsque vous êtes à votre stand de tir, voyez la cible de la même manière que vous avez imaginée les menaces dans vos diverses visualisations mentales.

L’objectif est non seulement d’exceller avec votre arme, mais aussi de vous former à répondre par la violence pour arrêter la violence. Bien entendu, je ne doute pas que les lecteurs de ce blog sauront l’utiliser le moment venu, ni que beaucoup y sont déjà préparés. Mais la capacité à répondre par la force n’est pas toujours suffisante ; elle est liée à une autre notion tout aussi importante qui est le temps de réaction. Le fait de s’entraîner par la pratique et la visualisation mentale permet non seulement d’acquérir cette capacité, mais aussi l’indispensable réactivité qui va de pair. Le but est de gagner la précieuse seconde d’anticipation qui peut tout simplement vous sauver la vie ou celle de vos proches dans une situation de péril extrême. C’est elle qui vous fera tirer avant que l’on ne vous touche, ou parer un coup fatal avant qu’il n’atteigne sa cible…

Parce qu’il serait particulièrement illusoire de croire que c’est avec une bise sur la joue et une tape sur l’épaule que nous quitterons les politiciens dévoyés et sangsues d’outre-Méditerranée qui plombent notre patrie…

Les vidéos, d’abord la défense au couteau :
https://www.youtube.com/watch?v=Cu-KRpOVq70&list=PL728DAEFD93D537BA&index=2
Un lien toujours vers survivre au chaos avec Addy Hernandez, une femme, pour vous mesdames qui n’êtes pas faibles :
http://survivreauchaos.blogspot.fr/2013/12/un-systeme-simple-et-efficace-de.html
http://survivreauchaos.blogspot.fr/2013/12/un-systeme-simple-et-efficace-de_28.html
Puis face à une arme à feu présenté par Vladimir Vasiliev ( lire aussi l’article ) .
http://survivreauchaos.blogspot.fr/2013/11/comment-se-defendre-face-une-arme-feu-12.html
http://survivreauchaos.blogspot.fr/2013/11/comment-se-defendre-face-une-arme-feu-22.html
J’espère que ce ne fut pas trop long . Que les spécialistes donnent leur avis, mais il est sûr que tout ceci n’est pas simple et loin d’être parfait, surtout dans le stress d’une attaque, il faut en être conscient on ne devient pas un combattant en 5 minutes . Vive la Résistance !

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17 Commentaires

  1. Le temps n ‘est plus de se ” masturber avec des mots” (Barjavel,les chemins de Katmandou),mais de se préparer à un conflit ethnique et religieux qui approche à grand pas et n’épargnera personne (et surtout pas ceux qui en sont la cause,je veux parler de tous ces politiques ,ces associations bien pensantes ,tous ces partisans du “vivre ensemble”…Inutile de se voiler la face,personne ne sera épargné.Il y a les réalistes ,ceux qui s y sont préparés et ne succomberont pas sans combattre ,et les naifs,les indécis, ceux qui sont prets à tous les compromis pour etre épargnés…Ceux là mourront les premiers..Pour l ‘instant ,préparez vous soigneusement,en toute discrétion ,car quand ça éclatera ne comptez pas sur l état et ses forces pour assurer votre protection…L état est un monstre froid ,qui nous ment froidement,et le plus froid des mensonges qu il nous tient est celui ci:”moi l ‘état,je suis le peuple.”..F..Nietzsche

  2. Non ,nous ne sommes pas tous prets à faire usage de la violence ,mais pour avoir été moi meme confronté à ce cas de figure ,je peux vous affirmer que notre mince vernis de civilisation,nos 200 ans de culture judéo chrétienne volent vitent en éclat et que les instincts Primaires et barbares reviennent vite à la surface…L ‘homme est le pire des prédateurs ,il suffit juste de gratter un peu la mince couche de pseudo civilisation…De toute façon,pour combattre des barbares,il faut devenir soi meme un barbare,c ‘est la seule façon de survivre..Et,non,je ne suis pas un psychopathe,juste quelqu’un de réaliste..Une petite parenthése..En 1975,j ‘avais alors 22 ans,je suis parti avec un ami rejoindre les milices chrétiennes au Liban..Je n’étais pas un etudiant du Gud,pas un affreux facho,juste un jeune qui voulait faire autre chose que rester à disserter sans fin sur un conflit lointain,sans s ‘impliquer vraiment..Pas beaucoup d argent ,donc nous sommes partis en stop,avons traversé l Italie du nord au sud,puis embarquement pour Chypre ,et traversée jusqu’à Damour ,Ensuite,Beyrouth ou j ‘ai rejoint Les chrétiens Marronites dAl Marada,une des factions composant les milices chrétiennes..J ai participé à ce qu ‘on à appelé la bataille des hotels ,et je peux vous affirmer que l ‘on se transforme trés vite de mouton en loup (sinon,on meurt)..J ‘ai perdu la bas ma naiveté et une certaine forme d ‘innocence…J ‘ai vu là bas des choses atroces,j ‘ai aussi découvert que c ‘est d une simplicité enfantine,une fois les derniéres réticences passées ,de viser et tirer sur une silhouette ,de la voir s ‘écrouler sans voir sa peur et sa souffrance..Il faut rappeller qu ‘à l époque ,on se “foutait royalement en Europe de se qui se passait là bas,juste 1mn d ‘images au journal télévisé..Il a fallu prés de 4 années de combats avant que l’ on envoi une force de l ONU ,bien aprés que Tsahal et les Syriens soient intervenus militairement dans ce conflit atroce..Alors ,oui,une fois les derniers “tabous” brisés ,on peut devenir aussi “une bete”…L ‘HUMANITÉ À GRANDI DANS LA LUTTE PERPÉTUELLE,LA PAIX ÉTERNELLE SERAIT SON TOMBEAU…

  3. Vous êtes tous adorables, mais il faut quand même rappeler que nous représentons x/°°°° de la population…
    En face, on s’entraîne à l’égorgement avec son mouton de fin de ramadan…
    C’est un acte qui n’est pas à la portée de tout le monde des infidèles….
    Alors, il faut posséder de l'”artillerie” et apprendre à s’en servir !

  4. Cher Nestor, excellent article !!!! Je partage vraiment ce que vous avez dit. J’ai moi même plusieurs expériences dans le passé qui ont fait de moi un autre homme aujourd’hui. Il n’y a aucune prétention de ma part sur ce que je suis devenu, mais je me préfère vraiment maintenant. J’ai augmenté mes chances de survie lorsque tout se déclenchera même si cela reste modeste. La psychologie est important, avoir conscience de la situation, de ses limites physique ce qui amène à des réflexes, comportement différent vis à vis des autres. Savoir prendre des décisions en 30 secondes, souvent avec peu d’informations sans certitude justement que vous avez pris la bonne décision mais vous devez faire un choix rapide et savoir garder la tête froide en cas d’échec. Si vous êtes seul à être concerner cela n’engage que vous, mais lorsque vous prenez des décisions ayant un groupe à diriger, là c’est une autre affaire de prise de conscience. La règle des 10-80-10, s’applique en permanence dans la société actuelle. Regardez lors d’attentats en France ou ailleurs. Quel est le réflexe des personnes !!!! Marche blanche, desseins, bougies etc…. Ou se trouve le raisonnement logique dans tout cela. Nous les patriotes, lorsque l’on voit cela à la télé, la plupart d’entre nous, bondissons de colère en les traitant de lâches, de larves mais se sont les réflexes automatique de comportement aggravé par les médias qui toute la journée nous rabâche ce qui faut faire et dire. Nous ne sommes pas tous égaux face un drame quel qu’il soit. Garder la tête froide en pleine tempête n’est pas à la portée de tout le monde. Les premiers 10 % auront plus de 50 % de survie, les 80 % seront anéanti à plus 50% et les derniers 10 % seront morts sans aucun espoir. La difficulté n’est pas d’être dans les 80 voir 90 % mais d’être dans les premiers 10 % car tout repose sur eux. Lorsque votre commandant vous ordonne de tirer, en cas d’erreur ce n’est pas vous qui êtes sanctionner directement, mais votre supérieur qui doit répondre de ces actes et qui a la responsabilité de votre personne en cas de défaillance de votre part. La vie actuelle ne nous prépare pas vraiment à ce qui va se passer pour la plupart d’entre nous. Les réflexes, le comportement, les décisions sont altérés par le confort social. Être cadre ou bien cadre supérieur dans une société c’est très bien, vous dirigez un groupe de personnes mais cela n’engage pas vraiment leur vie ( sauf liciement ) en cas d’erreur. Ce qui nous attends et bien difficile qu’il ne paraît, peut être que des personnes qui jusque là, étaient dans l’ombre, vont se révéler extraordinaire dans le futur.

  5. Oui Nestor Mackno et pour tout dire j’attend cela avec impatience. tout ce que j’espère c’est que Je ne soit pas trop vieux.
    Vous cherchez des armes, c’est pas bien compliqué d’en trouver. Allez dans les jardineries et vous trouverez tout ce que vous avez besoin. Il y a des hachettes, des serpes avec un manche long ou court, et des machettes pour couper les ronces. Vous n’avez que l’embarra du choix. Croyez moi un mec déterminé avec une serpe à la main, personne n’a envie d’aller lui casser les c……

  6. Non, pas trop long et au contraire très intéressant.
    Seulement, concernant l’introduction et donc l’analyse sur le comportement des soldats en temps de guerre qui évitent de tuer, il me semble que la raison en est aussi qu’une guerre est déclarée par les dirigeants qui ont réussi à monter leurs peuples les uns contre les autres. Ainsi donc, beaucoup d’appelés voient dans le camp adverse le même homme qu’eux…alors la motivation…?
    C’est déjà différent lorsque le pays est agressé…
    Par contre, quand il s’agit de défendre sa vie, celle de sa famille et plus généralement la vie des nôtres, la motivation est totale et si la violence est le seul moyen efficace, le choix n’existe pas, du moins à mon avis.
    Il me semble qu’il y a là la véritable source de la force à se défendre, du moins mentalement. Le principal étant de savoir bien jauger l’ennemi car il faut aller plus loin que la réaction épidermique. Face à un groupe, soyons sérieux, c’est la fuite en attendant de faire mieux ! À mon avis, le plus grand des dangers est de sous-estimer l’ennemi !

    • Moi j’aimerai savoir quels sont les soldats qui ont été testés, des appelés, des engagés, des Bérets bleu ou des Rouges et des Verts ?
      Parce que chez nous, ça cogne sec dès les premiers jours, les places sont rares, les candidats nombreux, il faut donc prouver très vite ce que l’on vaut.
      Ah mon cher Pouf, j’ai bien fait lire ta lettre a ma fille, elle en a été très touchée, elle m’avait dit qu’elle t’ecrirait en passant par Christine, mais, sa meilleure Amie depuis neuf ans, déménage dans le Loiret courant août, on en a eu confirmation depuis peu.
      La môme voulait rester avec son père, puisque la mère part s’installer avec son 234 ème amant (a la louche) mais, entre un père qui adore sa gosse et une mère qui ne l’emmène que pour emmerder son ex …
      … La justice a évidemment confié la petite a la mère !
      Bref, elles profitent toutes les deux du temps qui reste avant de devoir se préparer a ne se revoir qu’un week-end sur deux.
      J’espère que tu ne lui en voudra pas trop, je pourrai insister, j’ai tenté d’ailleurs, mais les premières épreuves de la vie sont toujours les plus durs.
      Surtout ne prend pas cela pour de l’impolitesse, Gaby a des copines, mais c’est vrai que celle-ci était largement sa plus proche, elles sont d’ailleurs encore dans mon jardin a l’heure ou je t’écris, comme disait mon grand père adoptif, “quand l’une pète, c’est l’autre qui pue”
      Et dire que si la juge avait écouté les témoignages sur la mère, (qui est une cinglée je t’assure) la gosse aurait vécu tranquille avec un père génial a deux km de chez nous …
      … Monde de cinglés !

  7. Tout ça, c’est du verbiage, de la branlette mentale pour intello en mal de cognition. Seriez-vous prêts à user de nourriture en cas d’appétit ? Je sais pas, faut que je réfléchisse…

  8. Très très bon article, mais, je pense, et cela n’engage que moi, qu’il y manque l’analyse de l’inné ou de l’acquis (et bien souvent les deux se mélangent avec le temps)

  9. Force est de constater que nous nous acheminons vrers une guerre anti Islam pour lutter contre l’inféodation dont on nous rebat les oreilles qu’il s’agit d’une guerre civile…
    L’erreur est là.. Comment des Français de souche et de coeur ont ils consenti des décades durant à l’envahissement des la France par des populations accueillies et assistées qui de révèlent de plus en plus non miscibles et qui revendiquent un projet politico religieux antagoniste à nos valeurs???
    Il est trop tard..l’inféodation ou bien la guerre..l’alternative est imposée.
    Si comme je l’espère nous résistons le combat sera rude et ce,d’autant plus que nous n’avons jamais été confrontés à la guerre et même à la violence..
    Nous allons devoir nous endurcir et nous entraîner tant physiquement que psychologiquement.

  10. Merci pour ce texte instructif. Je ne suis pas un spécialiste … mais j’ai quand même envie d’y mettre mon grain de sel!
    Dix sur cent capables de se défendre, ce ne doit pas être vrai pour toutes les ethnies. Un conditionnement musulman doit aider face à des infidèles. Chez nous, en occident, le fameux commandement “Tu ne tueras point” doit inhiber bien des croyants. Le plus triste dans cette affaire est qu’il s’agit d’une mauvaise traduction. Il y a quelques années, j’écoutais le dimanche matin Rosy Einsenberg (orthographe approximative) sur France 2 et à cette époque, les rabbins chevronnés insistaient sur la véritable traduction (selon eux) qui est: “Tu n’assassineras pas”, ce qui change beaucoup de choses. Au lieu d’un dogmatisme rigoureux, on interdit seulement les crimes crapuleux faits dans le but de s’approprier les biens d’un voisin. La légitime défense est donc permise et la guerre si nécessaire … Protéger sa vie est plus qu’un droit, c’est un commandement.
    D’ailleurs, ce fameux Moïse qui aurait reçu ces célèbres commandements de l’Éternel ne s’est pas privé d’encourager la guerre et même je crois me souvenir (sauf confusion) qu’il a ordonné de sortir du camp des Hébreux la femme infidèle pour la faire lapider copieusement.

  11. Après les attentats les médias et leurs maitres les politiques ont orienté les gens vers l’idéologie de la repentance afin d’endormir d’éventuelles sursauts de révolte c’est cela que nous devons combattre !comme il est dit dans l’article la préparation mentale est le plus important car nous sommes conscients qu’il existe un danger ou des dangers et le fait d’être sur ses gardes(bonne expression) nous aidera pour résister (instinct de conservation)

  12. Savez-vous qui a dit :
    “S’il n’y a le choix qu’entre la lâcheté et la violence, je conseillerai la violence”.
    Si vous ne le savez pas déjà vous ne trouverez jamais de qui il s’agit car vous êtes victime de la propagande occidentale à son sujet, qui en a fait l’incarnation absolue du refus total d’utilisation de toute violence.
    Je vous aide : c’est un homme qui a organisé la déportation de centaines de milliers de musulmans depuis l’Inde vers le Pakistan en 1947.
    Vous ne voyez toujours pas ?
    C’est… le Mahatma Gandhi !
    Oui, oui, l’apôtre de la non-violence, le type en sari de coton blanc fait de sa main, pieds-nus et lunettes rondes, c’est bien de lui dont il s’agit et si vous ne me croyez pas vérifiez via Google.

  13. En tout cas seuls des dégénérés utilisent fleurs, bougies , gémissements et appelent à la tolérance face aux hécatombes dont ils sont l’objet !
    Je suis sûr que 80% de nos compatriotes seraient incapables de se défendre!
    Enfant, j’ai assité à la débandade éperdue de nos trouffions paniqués devant les Allemands …qui jetaient armes et munitions pour courir plus vite…tout en conservant leur précieux bidon derouge! Mais , pendant la guerre d’ Indo, que j’ai faite , alors que nous aimions beaucoup l’ attachant peuple Viêtnamien, nous faisions des cartons sur les Viêts, sans état d’âme! C’était leur peau ..ou la nôtre!

  14. pour ma par j’ai choisie la hachette couplé a une dragonne,elle laisse de vilain handicapes physique,la “stone hachette” fait 35 cm,et permet un recule de protection de prés 1 m face a ces agresseurs,elle reste une arme très impressionnante visuellement,le défaut de cet arme et quel est probablement meurtrière des le premier ou deuziéme coup,mais bon! face a un groupe,une fois le premier tombé,les autre y réfléchisse a deux fois pour venir au contact.et en seconde arme,jai opté pour le pic a glace,bien sur, bien moins impressionnante que celle cité précédament,la il faut aimé le contact au corps a corps, les blessure infligées son souvent irréversible la aussi.ne dit ton pas dormées brave gens tout et calme et sous contrôle..

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