Les journaleux Perrotin et Martin en rage : la police n’a pas arrêté Pierre Cassen !

Décidément, les jeunes pousses du journalisme d’Etat sont particulièrement prometteuses. Après Pauline Verduzier, auteur d’un article que nous avons qualifié de putassier, dans une réponse cinglante, nous voici obligés de reprendre à nouveau la plume.

 Cette fois, il nous faut répondre à deux autres journalistes prometteurs, les nommés David Perrotin et Julien Martin.

 Commençons par les remercier de leurs bonnes intentions… Tous leurs confrères se sont donné le mot et ont choisi d’ignorer le rassemblement parisien qui se tenait place de la Bourse, à l’initiative de Riposte Laïque et de Résistance républicaineL’AFP n’ayant pas relayé nos communiqués, non plus que les medias traditionnels, leurs lecteurs n’ont pas su qu’un rassemblement parisien demandant la démission de Valls et Cazeneuve, et la mise hors d’état de nuire de l’islam en France aurait lieu.

Mieux encore, les vaillants Rouletabille des salles de rédaction ne s’étant pas déplacés, les lecteurs des medias n’ont  pas su qu’un rassemblement parisien demandant la démission de Valls et Cazeneuve, et la mise hors d’état de nuire de l’islam en France avait eu lieu.  Le Français moyen continue donc de se poser des questions sur l’absence de réaction politique et associative à la première décapitation effectuée en France, se demandant, après le 11 janvier, pourquoi deux poids deux mesures…

 Néanmoins, David Perrotin était présent, et, si on en croit son article, un vaillant journaleux du Nouvel Observateur, Julien Martin. En effet, crime de lèse-journalisme, le rassemblement, place de la Bourse, se tenait à côté des locaux de l’AFP et de ceux du Nouvel Observateur. Selon nos informations, les pauvres chéris auraient été profondément traumatisés par les slogans entendus, et une cellule psychologique aurait été nécessaire pour les plus vulnérables d’entre eux.

Le prétendu journaliste David Perrotin est un obscur plumitif qu’Oriana Garibaldi avait épinglé quand il sévissait à Rue 89, et qu’il essayait de jeter sa pierre sur Eric Zemmour, lors des séances de lynchage public que la bête noire de la bien-pensance subissait régulièrement.

 A présent, il sévit donc sur le site Buzzfeed News (ça c’est tendance !), où le dernier jeu à la mode consiste à réclamer l’interdiction  de ceux avec qui l’on n’est pas d’accord ! Les apprentis staliniens ont apparemment le vent en poupe dans les medias de 2015, et le jeune Perrotin semble y évoluer comme un poisson dans l’eau.
 En tout cas, ce garçon paraît avoir un problème avec Riposte Laïque. Ce « Je suis Charlie » ne décolère pas, en effet. Comment ce qu’il appelle “le rassemblement islamophobe” a-t-il pu être autorisé ? Il est vrai que sa manière de relater les événements est fort particulière. Il n’a entendu qu’une chose, lors de cette heure et demie de rassemblement parisien : « Taubira au bagne », et « Najat à Rabat ». Il paraît qu’on appellerait cela des slogans racistes. On avoue qu’on n’a pas entendu cela, et que, à part cela, quelle que soit la pertinence de ces quelques mots, on ne voit pas ce qu’il y aurait de répréhensible dans ces propos, à moins de considérer que toute critique de ces deux personnages tombe sous le coup de la loi. Pour information, signalons-leur que d’autres manifestants, lorsque Valls a été sifflé, ont crié « A Barcelone », tout simplement parce qu’ils ne supportent plus l’image de ces personnages nés hors de nos frontières qui doivent tout à la France, et qui ne lui montrent aucune reconnaissance, rien de plus.
 Mais ce journaleux, non content de ne pas rendre compte en toute objectivité  de notre manifestation a fait bien mieux.  Voyant les préparatifs sur la place,  et n’en croyant pas ses yeux, il a appelé la Préfecture une heure avant la manifestation,  surpris, voire dépité, qu’elle n’ait pas été interdite. Pour un peu, du haut de son statut de journaleux, il aurait exigé des explications de Boucault et Cazeneuve en personne !
 Le compte-rendu qu’il en fait montre que son approche de journaliste n’est pas celle d’un bon « Je suis Charlie », attaché à la liberté d’expression. Au lieu de se réjouir qu’ait pu se tenir à Paris, suite à la première décapitation islamique en France, un rassemblement afin d’exiger la démission du ministre de l’Intérieur et du Premier ministre, il interpelle la préfecture, coupable d’avoir autorisé ce rassemblement.
 L’amateurisme de ce zèbre est par ailleurs consternante. Il nous déclare mariés, sans vérifier. Il évoque une Riposte Catholique présente au rassemblement qu’il est le seul à avoir vu. Il affirme que les rassemblements de RL et RR seraient habituellement interdits, alors que des dizaines d’initiatives ont déjà été autorisées, et que seuls trois rassemblements ont été interdits. Sa malhonnêteté est celle d’un militant politique, pas d’un journaliste. Il a été le seul à entendre des injures et des propos racistes. Il qualifie le rassemblement de « xénophobe », sans se sentir obligé de justifier le terme, ni de mentionner les interventions de deux militants issus d’Afrique du Nord. Il fait un parallèle avec « Jours de Colère », résumant cette initiative à quelques mots d’ordre hostiles aux Juifs. Pourtant, aussi intolérables qu’ils soient, c’était de la petite bière à côté des mots d’ordre musulmans, filmés par Guy Sauvage, où on entendait les disciples de la religion d’amour et de paix, dans les rues de Paris, appeler à exterminer les Juifs ! Perrotin a eu un trou de mémoire extraordinaire en affirmant “Depuis la manifestation «Jour de colère» de janvier 2014 et ses slogans antisémites–comme«Juifs hors d’Europe»– repris en plein Paris, il n’y avait pas eu de manifestation publique autorisée et ouvertement xénophobe”.

Etrange… 

A moins que… quand des manifestants pro palestiniens se retrouvent à plusieurs milliers pour crier “mort aux juifs”  malgré l’interdiction préfectorale il ne s’agisse pas d’antisémitisme ni de xénophobie ?

 Etrange… Il ne serait pas un peu antisémite, le camarade Perrotin ?
 En sus, il est tout malheureux, David Perrotin et ne peut toujours pas, tout au long de cet article, accepter qu’une telle initiative ait pu se tenir. Il faut que la Préfecture se justifie, il faut que la Préfecture se sente en faute. Il ne faut plus que des slogans hautement subversifs, comme “l’islam de France c’est du pipeau” ou “la charia ne passera pas”   puissent encore être entendus dans les rues parisiennes, et agresser les chastes oreilles de ses confrères de l’AFP et du Nouvel Obs…  Alors il harcèle la préfecture de police, le lendemain encore. COMMENT SE FAIT-IL QUE LA PREFECTURE DE POLICE N’AIT PAS INTERDIT CETTE MANIFESTATION ?
 Et il n’est pas le seul à s’être posé la question.

Un deuxième journaleux, adepte lui aussi du monde enchanté des Khmers rouges, a sévi ; un nommé Julien Martin, du Nouvel Obs, dont la réaction est révélatrice de l’esprit de petit flic qui anime cette caste de plus en plus agressive avec une parole qui n’est pas la sienne, celle des patriotes.

 Ce petit paltoquet, qui dégage en lui l’arrogance des fils de bourgeois qui se font leur crise de gauchisme et se croient des rebelles, se vante, selon l’article de Perrotin (avec qui il a travaillé à Rue 89), ni plus ni moins, d’avoir descendu quatre à quatre les étages du Nouvel Observateur (dont les locaux sont situés près de la place de la Bourse), pour interpeller la maréchaussée, coupable de laisser se dérouler un tel rassemblement !
 Ne doutant de rien, il a même demandé au commissaire de police d’arrêter Pierre Cassen, et appelle de ses vœux le dépôt d’une plainte contre le fondateur de Riposte Laïque, suite aux propos tenus.

Les « Je suis Charlie », cela ose tout, c’est à cela qu’on les reconnaît.

 A noter, dans cet échange croustillant, l’humour et le bon sens du commissaire de police, qui répond à l’âne Martin qui lui demande d’arrêter Pierre Cassen, rien de moins : « Mais vous êtes journaliste, vous devriez être favorable à la liberté d’expression, non ? ».
 Ci-dessous, retranscription de l’interview accordée à Perrotin, qu’un ami avait enregistrée :
 Perrotin : Avez-vous déposé une autorisation de manifester ?
 Pierre Cassen : Oui, dès vendredi.
 Perrotin : Celle-ci vous a-t-elle été accordée ?
 Pierre Cassen : Oui, lundi.
 Perrotin : Vous avez la preuve ?
 Pierre Cassen : Oui, voilà la personne qui a obtenu cette autorisation en direct. Autre chose ?
 Perrotin : Vous ne craignez pas les poursuites judiciaires après avoir tenu de tels propos ?
 Pierre Cassen : Non, pourquoi, quelque chose vous a choqué ?
 Perrotin : Vous avez dit « Islam hors de France ». C’est de l’incitation à la haine.
 Pierre Cassen : Cher Monsieur, quand je dis que l’islam n’a pas sa place en France, j’attaque un dogme, et pas des individus. Il ne vous aura pas échappé que deux personnes sont intervenues ce soir, l’un s’appelait Pascal Hilout, né Mohamed, et l’autre Salem Ben Ammar. Rassuré ?
 Perrotin : J’ai entendu « Taubira au bagne » et « Najat à Rabat », c’est du racisme.
 Pierre Cassen : Je n’ai pas entendu ces mots d’ordre, et moi je n’ai pas scandé cela.
 Perrotin : Où avez-vous recruté votre service d’ordre ?
 Pierre Cassen : Je pourrais vous répondre que si on vous le demande, vous direz que vous ne savez pas, mais je vous dirai tout de même que, dans le contexte actuel, nous ne pouvons pas nous permettre d’appeler à un rassemblement sans protéger les participants d’une possible agression islamique, ou gauchiste, ou les deux ensemble. Donc, nous avons des amis qui, conscients de ces risques, assurent la sécurité des participants. Cela se passe dans tous les rassemblements, vous savez.

L’entretien prend fin. Le journaleux ne s’est jamais départi d’un ton inquisiteur, sans qu’il puisse nous ébranler… Cela donne cet article du petit flic de Valls, et quelques tweets du boutonneux Julien Martin.

Et naturellement, l’article du nommé Perrotin prend fin par une phrase se voulant assassine : le rappel de « deux condamnations de Pierre Cassen pour incitation à la haine contre les musulmans, en 2012 et 2014. Encore une preuve d’amateurisme, puisque cela est une seule condamnation, confirmée en appel, en compagnie de Pascal Hilout, né Mohamed, dans un procès en sorcellerie qui rappela les pires périodes de l’Inquisition.  

 On avait déjà celui que nous avions appelé  le sinistre mouchard Guillaume Weill-Raynal, qui, dans le même Nouvel Observateur, avait appelé Taubira et les antiracistes à poursuivre Christine Tasin devant les tribunaux, suite à un article paru dans Boulevard Voltaire. Cela fut fait dès le lendemain.
 A présent, nous avons deux caricatures de plumitifs « Je suis Charlie » qui agissent de la même façon à l’encontre de Pierre Cassen.

Ils sont les enfants monstrueux d’Edwy Plenel et de Caroline Fourest, bébés commissaires politiques qui ne connaissent rien de la vie, mais ont décidé qu’il y avait les gentils, ceux qui pensent comme eux, et les méchants, qu’il fallait détruire à tout prix, parce qu’ils osent aimer une France qu’ils veulent préserver de l’islam.

Il ne leur vient absolument pas à l’esprit, quelques jours après la première décapitation islamique en France, six mois après les assassinats de Charlie, quelques semaines après le procès de Forsane Alizza, que nous sommes tous deux des cibles potentielles des tueurs d’Allah, et que, par ce genre d’articles, ces deux mouchards nous livrent ouvertement en pâture aux islamistes.

 Ils se disent journalistes, alors que ce ne sont que de minables délateurs, commissaires politiques du système. Ils auraient fait merveille en Pologne, quand, en 1981, des journalistes en uniforme faisaient la propagande des communistes, suite au coup d’Etat de Jaruzelski contre Solidarnosc. Ils auraient été parfaits à Radio Paris en 1940.
 Contre les Perrotin-Julien de l’époque, les résistants disaient : « Radio Paris ment, Radio Paris, Radio Paris est allemand ».

75 ans plus tard, vous remplacez « allemand » par « musulman », et vous avez le même message, et les mêmes collabos.

 Ceux qui, comme Pauline Verduzier ou les duettistes Perrotin-Julien pensent que pour recevoir  la pâtée de la main de leur bon maître, il faut se payer Pierre Cassen et Christine Tasin, par tous les moyens.

Ils oublient une chose : Issus de la gauche, nous sommes demeurés des adeptes de ce bon slogan du Front populaire : « Pour un œil, les deux yeux, pour une dent, toute la gueule ! ».

 C’est pourquoi nous ferons délicatement remarquer aux deux cocos qu’ils filent un très mauvais coton. Non seulement ils cherchent par tous les moyens à interdire la liberté d’expression en France, non seulement ils collaborent ouvertement avec ceux qui veulent nous imposer le nazisme du XXIème siècle qu’est l’islam, non seulement ils complotent pour faire interdire et arrêter ceux qui ne leur plaisent pas… Mais ils s’en vantent ! En 1942, les collabos usaient de lettre anonyme, ils avaient, eux, conscience de leur bassesse, ce que ces deux prétendus journalistes n’ont même plus…

Pierre Cassen et Christine Tasin

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17 Commentaires

  1. Que voulez vous, ces deux cocos reflètent le système pitoyable haine du vrai peuple français, pour ces cornichons, comme le système, veulent voir le vrai peuple français disparaître, vous les dérangés tellement, ils ont tellement de haine envers les vrais français, là est leurs vrais enrichissements culturel, le français décapité et oser dire la vérité comme laurent Obertone 12000 cambriolages par jour, 2000 agressions par jour, 200 violes par jour et 100 voitures par jour brûlés, c’est du racisme cache misère comme d’habitude contre les immigrés, surtout musulmans, ils ont tous les droits les musulmans, pas les vrais français bien sûr, les musulmans sont des être humains comme vous et moi et donc les vrais français doivent perdre leur pays et s’incliner devant eux pour ces journaleux.
    Ces journaleux là sentent la haine du peuple en plein nez, comme le système, les vrais raciste c’est bien eux, la haine du peuple pour les autres.
    Vous auriez le même langage que ces deux journaleux là, mais contre les musulmans, ce serait raciste pour eux, mais pour les vrais français non.
    Ces journaleux là ont réussi leur examen de pitrerie du perroquet lève patte bien obéissant pour le système, ces gens là sont pitoyables pas des journalistes.
    Belle article Madame tasin et toc pour les deux yeux.

  2. ” Ce petit paltoquet, qui dégage en lui l’arrogance des fils de bourgeois qui se font leur crise de gauchisme et se croient des rebelle…”

    Ce sont les pires gauchistes, plus gauchiste que la Gauche; ils ont toujours besoin de prouver quelque chose….

  3. Perrotin et Martin ! ?

    Ca fait carrément GOMEZ et TAVAREZ
    Chaque profession a ses bras cassés.
    Perso, j’ai vu deux chiures de mouche sur mon pare-brise….. un coup d’essuie-glace et elles ont disparu. C’est trop facile… je passe à autre chose !
    Belle journée à tous

    Semper fi

  4. Si les journalistes faisaient un travail de qualité, ils pourraient lire des louanges à leur endroit… Mais c’est tellement plus facile d’accuser les autres que de ce remettre en question….. Très belle réponse de Christine TASIN et Pierre CASSEN.

  5. Hormis quelques journalistes encore intellectuellement honnêtes et non corrompus,la grande majorité s’affranchit de toute déontologie ,refuse aux détracteurs la liberté d’exprimer leurs idées surtout si elles ne sont pas conformes à la bienpensance ambiante et si elles contrarient les détenteurs du pouvoir en place.
    Pour ce faire,il clouent au piloris en répandant des rumeurs,en jetant l’opprobre et en organisant la mort sociale de ceux qui restent tel que Zemmour notamment.

  6. Excellente réponse. J’espère bien que ces deux collabos la liront. Et je suis persuadée qu’elle marquera leur esprit. Même s’ils s’en défendent, vos mots atteindront leurs cibles… Seront-ils capables d’évoluer, de se remettre en question ? Rousseau le penserait. Pour ma part, je suis moins optimiste en ce qui concerne le genre humain…
    Bravo pour vos plumes !!!!
    Amitiés à vous 2, mariés ou pas.

    • Merci Olivia, apparemment l’un d’entre eux n’est pas content, il a tweeté sa réaction ; cela nous a beaucoup fait rire.

  7. Après le mariage POUR tous, nous avons donc le mariage PAR tous…

    Bon ben, félicitations aux jeunes mariés malgré eux !

    Pour le reste, il n’y a rien à attendre d’un journaleux, que ce soit un homme ou une femme.
    Je sais que tu n’as pas la télé, mais regarde UN JT de Claire Chazal en replay, c’est impressionnant tu verras !
    Sur une phrase de 20 mots tu auras 10 “Euh” tant elle a du mal à déchiffrer son prompteur.
    Quant aux “informations”, n’en parlons pas, ils trouvent toujours des sujets bateaux pour ne pas avoir à parler des vrais problèmes de la France (c’est pourtant pas ça qui manque)

    • Il faut reconnaître que tu ne me donnes pas envie d’aller tester…

    • oui surtout au 13h, là tu as droit au carottes du potager de tatie Jeanine ou à la collection de 2cv de papi Gaston en Corrèze… édifiant de nullité pour qui prétend présenter un JOURNAL NATIONAL…

  8. Il est interdit d’interdire, qu’on disait à leurs parents en 1968! Mais ceux-là n’ont encore rien compris et se sont trompés d’époque. C’est fini le totalitarisme, la guestapo…etc

  9. Citation: «En 1942, les collabos usaient de lettre anonyme, ils avaient, eux, conscience de leur bassesse, ce que ces deux prétendus journalistes n’ont même plus.»

    Excellent! à mettre en gras dans l’article!

  10. Super article bravo ! 😉
    Et oui encore deux petites sous-merdes bobo-gaucho soi disant journalistes… ça fait vraiment pitié des ordures pareilles… !

  11. “….dans un procès en sorcellerie qui rappela les pires périodes de l’Inquisition.”..et marqua historiquement la politisation de la justice !

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