La vie est infiniment meilleure sans Mahomet et Allah

apostasieChère Christine,

Vu la conjoncture actuelle, il est préférable de dire nous sommes tous Charles Martel.

Par ailleurs, j’étais musulman, né dans un pays musulman (qui était français il n’y a pas longtemps) et j’ai quitté l’islam au lycée pour l’athéisme, c’était et c’est le plus grand événement dans ma vie. Quelle délivrance ! Je ne reviendrai jamais à cette prison qu’est l’islam.

Mais c’est vrai qu’il est difficile de quitter cette religion surtout dans un État islamique, c’est-à-dire totalitaire. D’ailleurs, je ne connais personne dans mon entourage qui ait quitté l’islam ou envisage de le faire. Pour un musulman (universitaire ou illettré), c’est impensable de quitter sa religion. Et c’est bien dommage pour les habitants de cette partie du monde qui souffrent, se tourmentent, se rongent de l’intérieur, se meurent à petit feu de peur d’un hypothétique enfer éternel.

Je suis énormément déçu de n’avoir pas pu convaincre mes proches de sortir de cette prison, mais en même temps je ne garde aucun remords à ce sujet, parce que j’ai fait tout ce qui est en mon pouvoir pour les dissuader. Et puis, je ne peux forcer personne à répudier sa foi, sinon je deviens un dictateur, un mahométan.

C’est triste, ils ne savent pas  ce qu’ils ratent…La vie est infiniment meilleure sans Mahomet et Allah.

Et que dire des Occidentaux qui se convertissent à l’islam ? Ce sont des aveugles qui avancent vers un précipice, des hommes libres qui cherchent la prison, des hommes inconscients de la valeur de la vie, alors ils la gâchent en la sacrifiant pour Mahomet et son Dieu. Ce sont des dupes et des victimes du prosélytisme islamique mondial. Ce sont des personnes en danger qu’il faut sauver.

Marc

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7 Commentaires

  1. Bonjour,

    Un grand merci Marc.

    Les témoignages d’ex-musulmans , comme le vôtre , sont toujours poignants.

    Un grand moment d’espoir …

  2. Marc a eu beaucoup de courage pour réussir a s’extirper de cette idéologie, il parait que le nombre d’abandon de l’islam est en constante augmentation d’après certains sondages, il faut espérer que ce soit vrai car allez vers une idéologie comme celle ci c’est se diriger tout droit vers l’obscurantisme, la négation de la liberté, de l’égalité entre les sexes, de l’absence de liberté de conscience, de croire ou de ne pas croire, de la liberté d’expression, de la démocratie, mais peut être faut il faire une petite piqure de rappel concernant les vraies origines de l’islam né dans le cerveau malade d’un bédouin du VIIe siècle.

    Je me suis procurer un livre il y a quelques années qui résume très bien les débuts de l’islam et les crises mystiques de Mahomet. Ce livre s’appelle ” Mahomet était-il fou ? écrit par Frédéric JOI éditions Max Milo.

    Vous le croyez fou. Non ce n’est pas un fou, nous savons ce qu’est la folie, avec ses signes de confusion et ses divagations “.
    Al-Nadr ibn al-Hârith

    Commençons notre enquête par le cœur même de l’islam. Mahomet prétendait entendre la voix de Dieu ou de Gabriel, lors de crises tout à fait particulières. Nous disposons de nombreux passages descriptifs de ces révélations, qui lui apparurent vers la quarantaine (en 612, à La Mecque). Elles ne le quittèrent plus jusqu’à sa mort,une vingtaine d’années plus tard, bien que l’intensité et la durée semblent avoir diminué au cours de sa vie. Notons un évènement mal daté, durant son enfance dans le désert, où deux anges seraient venus , en retirer son cœur, le nettoyer, le peser, et le remettre en place !
    Nous disposons de peu d’éléments sur son enfance. Nous savons que son père ‘Abdallâh mourut aux alentours de sa naissance, et que sa mère Âmina périt à son tour alors qu’il n’avait que six ans. Comme le voulait la tradition, il fut confié dans sa prime enfance par sa mère et les Quraych à une nourrice, Halima, d’un clan nomade, les Banou Sa’d. Le très jeune Mahomet fut éduqué dans le désert. A la mort de sa mère, son grand-père ‘Abd al-Mottalib, âgé de quatre vingts ans, le recueillit et décéda lui même deux années plus tard. Mahomet fut en quelque sorte orphelin pour la troisième fois. Son oncle, ‘Abd Manâf, encore appelé ‘Abû Tâlib, prit soin de l’enfant. Le contexte culturel et géographique nous confirme que la nourriture demeurait une denrée rare. Nous pouvons raisonnablement imaginer qu’un orphelin ait pu être éduqué , recevoir des coups, ou être sous-alimenté, notamment les années de sécheresse accrue.

    Passons directement à ses quarante ans. Voici quelques descriptions de ces crises :
    Pas une fois, disait-il, ne me fut adressée une révélation sans que j’aie cru qu’on m’enlevait l’âme.” >
    < Au moment où le phénomène (de révélation) va se manifester, il entend un bourdonnement annonciateur : parfois semblable à celui d'un essaim d'abeilles se ruant hors de la ruche et parfois plus métallique comme un tintement de cloche,(…) ses compagnons pouvaient remarquer chaque fois (…) la soudaine pâleur suivie d'une rougeur congestionnée du visage de Mohammed. D'ailleurs lui-même s'en rendait compte puisqu'il ordonnait qu'on lui couvrit la tête d'un voile, chaque fois que le phénomène avait lieu. (…) Cette précaution ne signifie-t-elle pas que ce phénomène était indépendant de la volonté de l'homme puisque celui-ci se trouvait momentanément paralysé, incapable de se couvrir la face lui-même et gémissant dans un état extrêmement douloureux (…) Seul le visage est congestionné : l'homme gardant par ailleurs une attitude normale, et de toute façon, une liberté intellectuelle bien marquée, au point de vue psychologique, par le fait que Mohammed utilise parfaitement sa mémoire pendant la crise même. Plusieurs évènements historiques du phénomène de prophétie semblent échapper complètement à son propre contrôle (…)
    Ensuite, apparemment, il pouvait sortir de chez lui et aller à la rencontre de gens, autrement dit il ne présentait pas de confusion après la crise.

    Face à ce phénomène pour le moins déconcertant, Mahomet, comme ses contemporains, commença par rester perplexe. Ils ne pouvaient qu’en ignorer la véritable nature, mais tentèrent de l’interpréter à partir des catégories dont il disposaient.

    Concernant sa crise d’enfance, .
    Au début des révélations de Mahomet, les hommes de sa tribu Quraych délibérèrent sur ce qu’il convenait d’annoncer au monde arabe, avant la saison du pèlerinage. Ils envisagèrent de voir en lui un devin, un fou, un poète ou un sorcier. Le poète était considéré comme un être inspiré par les djinns (des démons) . Notons encore que les Quraych avaient l’habitude d’insulter le Prophète et de l’appeler “Mudhammam” (“le taré”) > . Comme pour Jésus, on trouve une lucidité particulière chez ses proches, qui le connaissaient bien, avant et après l’arrivée des révélations. Relevons cette proposition de médiation tentée auprès de Mahomet par un riche notable de son clan Quraych, durant la période de La Mecque : < (…) si cet être qui te hante et t'obsède est un djinn dont tu ne peux te débarrasser, nous consulterons des médecins et nous dépenserons notre fortune pour t'en guérir. < Ses contemporains envisagèrent encore de voir en lui un simulateur, ou dans leurs termes, un . A l’époque toujours, plusieurs tribus disposaient de leur attitré, cette catégorie s’avérait donc également disponible.
    L’intéressé lui même peina à comprendre ses propres crises, surtout dans les premiers temps. Il ne voulait pas s’identifier à un poète ou un possédé, et envisagea plusieurs fois de se suicider, en se jetant du haut d’une colline. Son épouse le soutint, convaincue de sa . A plusieurs reprises dans le Coran, il se justifia de ne pas être fou ou possédé, parfois par l’intermédiaire du récit d’un prophète comme Noé.
    Pour se comprendre lui même, il envisagea encore la catégorie des , pour la repousser. Les kâkin étaient des , qui s’exprimaient .

    Finalement, les arabes de l’époque disposaient d’un large choix de catégories pour rendre compte d’un phénomène aussi inhabituel. Mahomet était-il épileptique, devin (kâkin), taré, poète inspiré par un djinn, sorcier, prophète, possédé ou fou ?
    Quand bien même cette dernière catégorie aurait tendance à s’imposer naturellement aujourd’hui, les outils contemporains de la psychiatrie exigent et permettent un diagnostique bien plus précis. Dans une première approche, spontanée, que pourrions-nous dire de tels états ?
    L’épilepsie semble devoir être écartée d’emblée, pour cause d’absence de confusion après la crise. Elle consiste en un dysfonctionnement électro-chimique du cerveau, en hyperactivité paroxystique, qui ne permet pas d’écouter des voix précises ni de s’en souvenir.
    Comme Malek Bennabi, nous écartons la schizophrénie. Celle-ci correspond à un état permanent, installé, où l’individu est nettement coupé de la réalité sociale. Les schizophrènes se caractérisent également par l’invention d’un univers bien à eux, contrairement à Mahomet qui se référait sans cesse à celui de la Bible. Nous approuvons encore cet auteur quand il parle du prophétisme comme d’un phénomène objectif indépendant du humain qui s’exprime. En effet, Mahomet ne semblait pas contrôler ces crises ni cette voix, surtout dans sa première période, à La Mecque. Il nous parait tout à fait sincère, de bonne foi, lui-même y ayant résisté autant que possible, durant des années, avant de lui céder.
    De tels symptômes pourraient encore faire penser à des migraines chroniques. mais sur le plan psychologique, cette dernière hypothèse ne permettrait pas d’aller plus loin pour interpréter cette voix intérieure, si particulière, précise et riche de significations organisées.
    Enfin, des prises de substances seraient susceptibles de déclencher de telles crises, qui se révéleraient de nature . Nous ne pouvons éliminer totalement cette hypothèse. Mais on ne trouve pas la moindre allusion, même indirecte, à la prise d’une quelconque substance, aussi bien dans le Coran que dans les nombreux récits des compagnons de l’intéressé.
    Le mystères s’épaissit. Quelle étaient ces crises et cette voix intérieure, indépendante de sa volonté ?

    L’association psychiatrique américaine publie et met régulièrement à jour un Manuel diagnostique et statistiques des troubles mentaux, qui fait autorité. Ce recueil distingue quinze catégories de maladies mentales, parmi lesquelles se trouvent les , qui correspondent à l’un des aspects possibles l’ancienne appellation . Il différencie cinq genres de troubles dissociatifs :amnésie dissociative, fugue dissociative, trouble de dépersonnalisation, troubles dissociatifs non spécifié et , abrégé en TDI, auparavant appelé . Cette maladie touche moins de 1 % de la population.
    La façon dont les américains interprètent actuellement cette dernière maladie se fonde sur les travaux du psychologue français Pierre Janet, à partir de la fin du XIXe siècle. Celui-ci conçoit la conscience normale comme la synthèse de fonctions psychologiques : les perceptions, les souvenirs, les mouvements, les idées, les émotions ou les sensations organiques (faim, excrétions,etc). Les chercheurs actuels mettent en relation cette conception avec la neurobiologie .Chaque représente une partie distincte du cerveau qui traiterait spécifiquement l’une de ces fonctions.
    Or, dans les troubles dissociatifs, certaines fonctions se séparent du . Le sujet ne peut plus dire qu’il voit ou entend, il devient , , il perd le contrôle d’un membre, etc. Ces fonctions ne sont plus intégrées au moi.
    En l’absence de traitement correct, cette dissociation s’aggrave. D’autres fonctions se séparent du moi, de l’identité principale du sujet, pour se regrouper dans une seconde identité. Celle-ci devient de plus en plus autonome. Elle se forme petit à petit de manière cohérente, mais séparée, comme se constitue la personnalité d’un enfant. C’est le TDI. Par un sordide effet de vases communicants, la seconde identité se renforce en vidant la première de ses fonctions. Les deux identités deviennent indépendantes, et ne peuvent plus apparaitre en même temps, sous une même conscience. Elles prennent tour à tour le contrôle du comportement du sujet.
    Les symptômes couramment relevés par les psychiatres sont les suivants : attitudes et croyances dissemblables, migraines inexpliquées, diverses autres douleurs somatiques, distorsion ou perte de la notion du temps, colères soudaines sans causes apparentes, possibilité de parler de soi-même par un pluriel ( ou ), (perception de personnes familières ou de l’environnement comme s’ils étaient inconnus ou imaginaires), (sensation d’irréalité, de détachement de soi et de ses propres processus physiques et mentaux, le patient se sent observateur de lui-même, il a l’impression de ne plus occuper son corps), etc. Dans la mesure où les diverses identités interagissent souvent entre elles, le patient rapporte avoir entendu des conversations intérieures entre d’autres personnes, qui lui sont directement adressées. Bien que ces voix soient vécues comme des hallucinations, elles s’avèrent très différentes de celles des troubles psychotiques comme la schizophrénie. Ces symptômes avant le XIXe siècle en Occident, étaient interprétés comme une possession par un esprit. Nombre de patients abusent parallèlement de substances illicites ou psychoactives.
    Janet avait déjà en partie repéré les causes d’un tel état. Les troubles dissociatifs de l’identité ont la plupart du temps pour origine un traumatisme (c’est à dire non ponctuel), dans la petite enfance, comme un viol récurrent, une catastrophe naturelle aux effets durables, un grave accident, un deuil (mort d’un parent), une sous-nutrition ou encore des violences répétées (enfant battu, pour un grand pourcentage de TDI). Le jeune enfant se réfugie dans sa propre pensée, dans laquelle il oublie la situation traumatisante.
    Ce trouble ne guérit pas spontanément. L’ouvrage médical de référence pour les diagnostics et traitements thérapeutiques de toutes les maladies, le manuel Merck, préconise de faire interagir les identités et favoriser leur collaboration. L’hypnose, que pratiquait Janet, peut y contribuer, en remontant plus rapidement aux causes de dissociations. Ensuite, le psychiatre tâche de reconnecter les identités et de les intégrer dans les relations sociales.
    Freud avait également commencé par utiliser l’hypnose pour retrouver les causes traumatiques des hystériques, notamment avec le fameux cas Anna O. Jugeant qu’on ne remontait pas suffisamment loin dans l’inconscient du patient, il avait inventé la technique des associations d’idées, dites libres, autrement dit la psychanalyse. Pour lui, les hystériques souffrent de réminiscences (de souvenirs refoulés). liées à un traumatisme, le plus souvent sexuel, durant l’enfance. Ils utilisent leurs corps comme moyen d’expressions de ce conflit inconscient. Dans leur symptomatologie, ils paraissent imiter d’autres maladies, comme l’épilepsie, les paralysies de membres, ou de nos jours plutôt la spasmophilie, les pathologies de peau, etc. Freud précise que cette manière de rendre visible son intériorité peut s’assimiler au travail des artistes.

    Appliquons ces précieuses connaissances de la psychiatrie moderne à notre cas clinique.
    Beaucoup de faits coïncident très étrangement. Mahomet semble avoir bien souffert durant son enfance. Il dut surmonter au moins deux deuils douloureux, à six et huit ans, sans parler de l’ombre portée d’un père absent et sans doute désiré comme indéfinissable idéal manquant. Très vraisemblablement, il dut souffrir de faims chroniques, en cette vaste terre aride, surtout en tant que pauvre orphelin. Ce point serait confirmé par son insistance pathétiques à décrire dans ses révélations adultes le paradis avec des ruisseaux, de la verdure et des boissons abondantes. Dans ce cadre pour le moins défavorable, rien n’exclut qu’il ait été fréquemment battu, quand on tient compte des us ombrageux de ces hommes à la main leste. Maints désagréments majeurs furent susceptibles de pousser Mahomet à se réfugier dans un monde de songes, au point de fissurer sa fragile personnalité en cours de formation.
    Lorsqu’il fit dire à Moïse : , nous retrouvons quelque chose du symptôme de la déréalisation, avec la perception de l’environnement comme s’il était fictif.
    Mahomet, dans ses crises, faisait preuve d’une haute poésie. Nous pouvons identifier ici le motif freudien de l’art comme type hystérique d’expression des sentiments intérieurs.
    Dans ses révélations apparaissait un très curieux nous, chaque fois que Mahomet relisait la Bible et que Dieu intervenait dans une histoire. Il disait au sujets de certains juifs insuffisamment pieux à ses yeux : Tout au long du Coran, le lecteur peut se demander si ce nous désigne Mahomet et Dieu ou Gabriel et Dieu, ou tous les prophètes passés, ou Dieu seul, mais considéré comme multiple, etc. Il déclarait explicitement reprendre les prophètes de la Bible (Abraham, Moïse, Élie, Noé, Jésus, etc.) : (…) Le Livre de Moïse était un guide et une miséricorde. Mais celui-ci est livre confirmant les autres, écrits en langue arabe (…)

    Conformément à la conception freudienne de l’hystérie, Mahomet mimait… des malades. Il imitait les prophètes. Nous avons vu dans notre précédent ouvrage que Jésus était un méga paranoïaque qui inventait des lois et des entités par projections mythiques de son inconscient collectif. Mahomet,comme un hystérique dont la crise imitait mal l’épilepsie, n mimait les prophètes que de manière apparente. Il se contentait de reproduire leurs paroles, sans invention, image ou parabole nouvelle. Il plagiait approximativement ses devanciers sur le contenu (le monothéisme, la miséricorde, le savoir divin absolu, etc), et sur la forme (les promesses et les menaces infinies, les assertions de vérité certaine là où le délire est complet, etc).

    Nous touchons le diagnostic vraisemblable de ces crises. Elles correspondraient exactement à des états de transe dissociative, anciennement appelés , dans le cadre d’un trouble dissociatif de l’identité. D’une part, nous trouvons des symptômes psychiques de (un conflit psychologique se convertit en dysfonctionnement corporel). Ils sont encore appelés : troubles de la mémoire, de l’identité, de la conscience et de la perception de l’environnement (ici, état de transe avec révélations).

    D’autres part, nous découvrons quelques symptômes physiques de conversion, essentiellement dans le présent cas. Le malaise vagal est dû à l’action trop forte du nerf vagal, qui a pour fonction ralentir le cœur, d’où une sous-alimentation critique du cerveau. Les conversions sont d’habitude plutôt neurologiques : paralysie, anesthésie, cécité. Enfin, nous trouvons un terrain infantile très favorable >.
    Ce trouble de Mahomet n’apparait pas comme un problème factice ni une simulation. Celui-ci subissait ces crises. Il mit des années pour les intégrer dans sa vie personnelle, et deux décennies pour les insérer dans ses relations sociales. Aujourd’hui, un psychiatre l’aurait aidé à superposer ces deux identités en une nouvelle unité et l’adapter à sa vie sociale. Mahomet fit exactement le contraire : il se seul, en tâchant d’imposer son identité intruse à tout son peuple… et y parvint. Tel fut son funeste exploit. il contraignit ses contemporains à admettre qu’il était prophète, le comme il disait.

    Notre enquête avance. Comme le fit cet ange halluciné dans son enfance, nous espérons avoir ouvert le cœur de Mahomet. Néanmoins, de nouvelles questions se posent immédiatement. Avec un tel handicap psychologique, une maladie si grave et si rare, comment a-t-il pu convaincre qui que ce soit ? A fortiori, comment un individu, fendu en deux identités, a-t-il pu unifier le monde arabe, lui même si divisé ? Comment a-t-il pu accommoder son peuple à son identité intruse, au lieu d’adapter celle-ci à lui même et à sa société.
    Si nous avons aperçu le cœur de l’islam, nous devons de plus comprendre comment il a pu se déployer, d’abord à travers un Mahomet lui-même récalcitrant, puis dans le tissu social de l’époque, plus réticent encore aux paroles de cet étrange Gabriel adressées à un ventriloque.

    La moralité de ce constat est que, l’islam est bien une saloperie, et qu’en plus elle découle directement d’un malade mental ayant souffert de troubles dissociatifs de l’identité depuis sa toute petite enfance, et comme résultat cela a donné une idéologie qui se proclame la seule et vraie religion, la pire des calamités sur cette planète.

  3. Petits commérages entre amis :
    Tout d’abord, Merci, Marc, pour ce témoignage. J’espère que beaucoup, de votre “ex-religion”, suivront votre exemple.
    En ce qui concerne les chrétiens convertis je dirai que la bêtise ne pardonne pas. Comment pouvoir qualifier autrement ces parents qui, interrogés par leur fils sur la religion islamique, lui ont répondu, à tour de rôle, alors qu’il en était encore à se chercher des repères : “L’islam est une religion comme une autre”…
    Même après que son fils se soit fait “exploser” en Syrie, la mère, interviewée pour la télévision, répète devant le micro et la caméra : “Nous lui avons dit : l’Islam est une religion comme une autre”… Apparemment, son opinion n’a pas varié depuis la mort tragique de son fils – ou ne veut-elle pas faire d’amalgame ??? A-t-elle plus peur des directives gouvernementales que de son propre bon sens ? En effet, entre temps, on a dénombré des attentats, des victimes, etc… Alors ? Peut-ont être sot à ce point ?

  4. C’est pas toujours des illettrés qui entre en Islam, les musulmans savent aussi êtres charmeurs, mais le jour où les convertis découvrent la supercherie, je les plains, car là!, ils se rendrons compte de la prison où ils se trouve, ici nous avons un témoignage avec du vécu, merci à lui.
    J’espère que des personnes lirons son message, surtout pour ceux avant de devenir musulmans, que au dernier moment ils se rétractent.
    C’est aussi à tout cela que nous voyons que nous sommes dans une dictature, c’est par l’Islam qu’ils utilisent que nous pouvons reconnaître la dictature, le vrai cheval de Troie n’est pas l’Islam, mais ceux qui le font venir, les musulmans ne les dérangent pas.

  5. C’est la même terrible logique qui a conduit jadis tant d’intellectuels pourtant de qualité à suivre le fascisme ou le communisme . Lisez la pièce de Ionesco, ‘Rhinocéros’. C’est ce qu’on appelle aussi la ‘servitude volontaire ‘.

  6. Je ne sais pas trop pour le moment s’il faut tenter de sauver ces âmes en perdition, cher Marc, mais n’ayant jamais subi d’endoctrinement dès la naissance, les néo-convertis ne peuvent pas réclamer le bénéfice du doute. Ils étaient chrétiens mais ont préféré voir l’herbe plus verte dans le champ du voisin. Or, elle pouvait l’être tout autant dans le leur, encore fallait-il le courage de le cultiver un peu. Ils me font penser à des enfants gâtés qui n’ont plus que la contestation en bouche pour se sentir vivant. Ceci étant dit, merci pour ce témoignage qui éclaire ou confirme, selon le cas.

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