L’Eglise catholique collabore à la destruction de notre civilisation qui a donné la Déclaration des Droits de l’Homme, par Beate

Dicentime, à propos de Dominique Venner, dit « … son sang sur un autel chrétien à la hauteur du sang du CHRIST (le tabernacle ) versé pour le rachat des péchés du monde est une imposture. »

Il ne s’est pas trompé de lieu car l’Église Catholique aujourd’hui est anti Christ.

Aimer son ennemi ne veut pas dire aider son ennemi faire le mal au nom du mal. Allah n’est pas Dieu mais l’antithèse de Dieu.

L’Église Catholique est une institution humaine construite par des hommes qui ont tronqué le message du Christ. http://www.laprocure.com/jesus-femmes-jesus-gnose-francoise-gange/9782753800595.html

Un autel n’est qu’une table sans valeur si les prêtres trahissent le Christ en aidant Allah.

Dire que Jésus est Fils de Dieu signifie que Dieu dans Son Amour infini s’est incarné dans un corps humain avec un cerveau humain, des sentiments humains, des joies et des souffrances humaines, des espoirs et des peurs humaines. Pourquoi ? Sauver l’humanité qui se perd dans des mesquineries et des absurdités pseudo-religieuses. Le Message est simple AIMER et DONNER. Celui qui est rempli d’Amour et de Générosité n’a pas besoin des commandements « Tu ne tueras pas » « Tu ne voleras pas » « Manger ceci et pas cela » « S’habiller ainsi et pas comme cela » etc… Dieu est le Libre. Le Christ est venu pour nous rendre la Liberté Divine.

Les humains ont fabriqué l’esclave avec des chaînes et des ordres. Incarné en homme, Dieu/Jésus a rendu la Liberté possible à nouveau. Jésus (incarnation humaine de Dieu) est mort parce qu’il a bouleversé l’ordre établi par les sociétés humaines. Suivre le Christ c’est abolir l’esclavage en nous-même. Le Christ nous rend Libre. Dieu nous veut Libre.

Or l’Église Catholique (comme tous les dogmes) se substitue à Dieu. Le Credo en est la preuve. (Je crois en l’Église Catholique, Une, Sainte et apostolique) Mettre notre foi dans une institution humaine est une erreur.

Notre foi ne peut être que en Dieu.

Dieu est Humble. Dieu est Amour. J’étais Catholique de naissance, catholique pratiquante profondément croyante. En vieillissant je me suis détachée de l’institution même si je garde tout mon respect pour de bons amis prêtres et religieuses. Aujourd’hui je suis Chrétienne. Simplement Chrétienne. Le Christ est mon chemin. L’Église s’est trop éloignée du Christ et l’a trahi en voulant prendre sa place dans la vie des gens. Le Christ a apporté le Bien et le Libre.

Dominique Venner était un homme libre. Le choix de Notre Dame est de la plus haute importance. Cela nous rappelle que l’Église Catholique, en collaborant avec l’Islam, aide à la destruction de la civilisation Judéo-Chrétienne qui a donné naissance à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Le Christ est bien plus présent dans cette Déclaration Universelle pour un monde Libre et Juste que sur l’autel d’une Cathédrale musée pleine de touristes.

Beate

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15 Commentaires

  1. “L’Eglise catholique collabore à la destruction de notre civilisation qui a donné la Déclaration des Droits de l’Homme.”

    Force est de constater que l’église catholique a consommé ses dernières cartouches. La stratégie occulte, et anathème de cette église en fait la grande prostituée de l’apocalypse.

    Ce choc de civilisation, donnera, j’en suis persuadé, à notre Histoire, et à la République Française sa Véritable Grandeur.

    Pour mes amis (es) spiritualistes :

    Parce que ses jugements sont vrais et justes. Il a jugé la grande prostituée qui corrompait la terre par son impudicité, il a vengé le sang de ses serviteurs répandu par ses mains. Apocalypse 19:2 (bible Crampon 1923)

    Pour mes amis (es) Républicains :

    Le talent ne s’enseigne pas. Il grandit dans le sens qui lui plaît. Emile Zola

    Slaite.

  2. Puis-je dire que je suis catholique romaine mais que je suis fâchée avec mon Eglise ?
    Depuis que la messe est dite “à l’envers” et en français, je n’y suis plus allée…si, dans les églises traditionalistes…
    Mais un lieu de culte reste un lieu de culte !
    Assez parlé de moi, je suis révoltée par l’attitude du clergé des deux cathédrales profanées de Limoges et de Nantes !
    Vatican 2 leur a dit de ne pas porter plainte ?
    Un progressiste peut tendre la joue si cela lui chante, un bâtiment ne le peut pas !

  3. “Sur le plan spirituel, il ne suffit pas de quitter le catholicisme … C’est le christianisme lui-même qui a trahi en partie le message de Jésus.” (…) “Vers 325, le concile de Nicée a choisi quatre Évangiles et déclaré les autres hérétiques.”

    Se dire Chrétien ou Chrétienne c’est vouloir suivre la voie du Christ, donc ce n’est pas parce que le Christianisme dans son ensemble a tronqué le message du Christ qu’il faut ne plus être Chrétien.

    Être chrétien et chrétienne aujourd’hui est un défi car c’est le chemin du Nouveau, de l’Inconnu. Je pense que l’Inconnu est passionnant et nous pousse à Vivre vraiment et non par automatisme. Cette pensée rejoint ce que dit Bertrand Piccard sur l’Inconnu et ce qu’a écrit Dominique Venner sur la dernière page de son blog.

    “Il faudrait nous souvenir aussi, comme l’a génialement formulé Heidegger (Être et Temps) que l’essence de l’homme est dans son existence et non dans un « autre monde ». C’est ici et maintenant que se joue notre destin jusqu’à la dernière seconde. Et cette seconde ultime a autant d’importance que le reste d’une vie. C’est pourquoi il faut être soi-même jusqu’au dernier instant. C’est en décidant soi-même, en voulant vraiment son destin que l’on est vainqueur du néant. Et il n’y a pas d’échappatoire à cette exigence puisque nous n’avons que cette vie dans laquelle il nous appartient d’être entièrement nous-mêmes ou de n’être rien.” Dominique Venner
    http://www.dominiquevenner.fr/2013/05/la-manif-du-26-mai-et-heidegger/

    http://www.youtube.com/watch?v=q2EgciBVHQs

    • Toutes ces approches sont intéressantes et méritent réflexion. L’affirmation: “il faut être soi-même jusqu’au dernier instant” implique la sincérité, il faut voir clair en soi et ce n’est pas facile.

      Je ne suis pas assez calé pour commenter l’expression: “l’essence de l’homme est dans son existence “. L’existence est évolution et varie avec le temps. Y a-t-il au fond de nous quelque chose d’éternel et d’invariable correspondant à l’essence?

      Du point de vue vocabulaire, le Christ appartient uniquement aux canoniques, le Jésus de Thomas est souvent radicalement différent. La personne suivant le Christ (conforme aux attentes juives) ne suit pas Jésus, celui qui me paraît plus authentique compte-tenu des lois du comportement naturel humain ayant amené les rédacteurs des canoniques à les adapter à leur parti-pris judéo-chrétien. Que chacun prenne ses responsabilités et ses risques en faisant diverses expériences. Toute expérience est enrichissante, c’est pourquoi Jésus a dit (cf Thomas): “Celui qui a connu le monde, qu’il renonce au monde”. Après avoir fait de multiples expériences de vie, on constate qu’aucune n’apporte la sérénité et on peut alors se détacher du monde sans frustration et sans regrets.

  4. Je suis bien d’accord avec vous en ce qui concerne les erreurs catholiques. Sur le plan spirituel, il ne suffit pas de quitter le catholicisme … C’est le christianisme lui-même qui a trahi en partie le message de Jésus.
    Pendant les premiers siècles de l’ère occidentale, les chercheurs et mystiques disposaient (théoriquement) d’une quarantaine d’Évangiles (dont quelques-uns pleins d’un merveilleux invraisemblable). Vers 325, le concile de Nicée a choisi quatre Évangiles et déclaré les autres hérétiques. Du temps de l’Inquisition, en posséder chez soi était très dangereux, ils ont disparu (même des monastères). Par chance, certains ont été découverts en 1945 en Haute Égypte. Ils sont redevenus accessibles à partir d’environ 1960. Le choix fait à Nicée (confirmé à Constantinople) a été orienté par la nécessité d’être dans la lignée des conceptions juives (avec quelques grandes évolutions). Ces 4 Évangiles ont été concoctés en vue de convertir en particulier des personnes de culture juive (surtout Matthieu) et ont déformé en conséquence l’enseignement de Jésus que l’on retrouve dans l’Évangile de Thomas.
    L’Évangile de Thomas nous paraît assez souvent incompréhensible en première lecture car il est nécessaire d’être familiarisé avec les concepts gnostiques pour l’aborder.
    Cet Évangile a été abondamment commenté par Émile Gillabert (1914 – 1995). Ce texte dit “apocryphe” nous invite à prendre conscience de nos conditionnements pour nous en libérer et devenir libres mais responsables de nous-mêmes (sans attribuer à d’autres nos difficultés). C’est à l’opposé de la recherche de l’assistanat. Il suffit de prendre une petite dose de Gillabert une heure par semaine pendant dix à quinze ans pour être libéré. Facile non ?
    On peut lire, quand on le trouve en occasion à un prix raisonnable (moins de 20 euros): “Le procès de Jésus à la lumière de la Gnose”, 1986. Ce livre commente la totalité de l’Évangile de Thomas comme le précédent (1979) intitulé: “Évangile de Thomas” et réédité. D’autres livres ont été réédités comme le “Jésus et la gnose” paru initialement en 1981. Il existe aussi des récupérations chrétiennes comme celle d’Yves Leloup qui est intéressante à cause de la grande culture de son auteur à condition d’être vigilant lorsqu’il introduit des notions uniquement chrétiennes opposées à l’enseignement de Jésus.

    • Tout cela est passionnant Armand, pourriez-vous nous proposer un article “vulgarisateur” pour présenter aux lecteurs les thèses de Gillabert ?

      • Pour l’instant, je prépare mes valises pour l’Auvergne et le travail que vous me demandez m’effraie un peu. Ce ne sera pas pour tout de suite car depuis que je suis libéré du christianisme (en particulier grâce à Gillabert), je me suis intéressé à divers problèmes de société, la bioéthique au début de ma retraite (il y a douze à quinze ans) et maintenant, l’islamisation si inquiétante au point de devenir primordiale.

        Les Evangiles canoniques et celui de Thomas ont de nombreux points communs malgré leurs divergences fondamentales. Emile Gillabert en a recensé un bon nombre dans un de ses derniers livres (1987) intitulé “L’Evangile, voie de la connaissance”. Le titre à lui seul indique l’orientation: il ne s’agit pas de la voie du Salut chère aux chrétiens mais de la voie gnostique souvent présente dans les canoniques. Il n’est plus question de suivre le bon pasteur comme des moutons de Panurge, chacun a sa voie originale et doit la chercher et la travailler pour arriver à l’immortalité (pas celle du corps!). Je crois que ce livre n’a pas encore été réédité et en occasion, il faut faire attention à ne pas encourager le marché noir (mieux vaut patienter).

        Exemple de survivance gnostique: Dans Luc, il est écrit selon les traductions anciennes “Le Royaume est en vous” mais comme on s’est aperçu que cela n’était pas très conforme au christianisme, les traductions modernes disent: “Le Royaume est parmi vous” (on en a même fait une jolie chanson!). Pourtant, le mot grec entos ou analogue est paraît-il sans ambigüité.

        De nombreuses différences existent entre les conceptions chrétienne et gnostique. L’Évangile de Thomas ne fait pas appel à la notion archaïque de péché ni au prophétisme. Il n’y a pas les douze apôtres symbolisant les douze tribus juives (la liste des douze varie un peu selon les Évangiles). Il faut savoir qu’il y a mille ans et plus, on interprétait beaucoup de choses en faisant appel au surnaturel, le monde était limité par une voûte céleste (illusion) et la Terre était plate. Les étoiles étaient de simples lumières accrochées sur cette voûte, etc. La Bible et les canoniques sont imprégnées des croyances de l’époque. Donc Jésus n’est pas le Christ, il n’y a pas de sacrifice pour nos péchés ni de rédemption. Notre morale est à revoir!

        • pas de souci Armand c’est si et quand vous avez le temps et uniquement si ça vous tente ! nulle obligation !

      • Tout à l’heure, au sujet du contexte historique, j’ai oublié de dire qu’il y a deux mille ans et plus, bien des hommes célèbres avaient été déclarés “Fils de Dieu” ou fils d’un Dieu. On ne concevait pas qu’un homme exceptionnel put être engendré par un homme ordinaire. Même Jules César s’est arrangé pour être reconnu fils de je ne sais quel dieu. Alexandre Le Grand aussi avait un dieu pour père et bien d’autres, peut-être Aristote, Socrate, j’ai oublié. Je ne sais pas si des femmes ont eu cet honneur … ! Peut-être Hypathia (Hypathie)? Cette philosophe mathématicienne qui a eu l’imprudence de dire ouvertement qu’elle n’adhérait pas au christianisme, ce qui a fort déplu à l’évêque Cyril d’Alexandrie qui a probablement encouragé son massacre par des milices chrétiennes. En récompense, il a été fait Saint! Cela met dans l’ambiance des premiers siècles du christianisme après le concile de Nicée, d’où la prudence des gnostiques égyptiens cachant leurs précieux papyrus dans une grande jarre qu’ils ont enterrée. Les malheureux n’ont pas eu le loisir de revenir la chercher. Elle attendra ainsi un laboureur de 1945.
        Les chrétiens ont donné un sens particulier à l’appellation “fils de Dieu”, dommage pour le pauvre Mahomet, sinon il aurait mis au point une de ses sourates opportunistes comme souvent pour être l’égal de Dieu!

        • Autre différence fondamentale: Le christianisme conçoit une évolution spirituelle nous amenant à un face à face avec Dieu alors que le but enseigné par les gnostiques est un éveil analogue à celui espéré en Orient. L’éveil permet de prendre conscience de notre vraie nature et de nous identifier au Père comme dit dans l’Évangile de Jean “Le Père et moi sommes Un”. De même, Socrate a dit “Connais-toi toi-même”. Il est probable qu’Émile Gillabert ait vécu cette expérience de fusion, c’était un mystique. Il s’est confié (un peu) dans l’article (en anglais):
          http://spiritual-minds.com/thomas.htm
          Malheureusement, le lien vers sa traduction en français ne fonctionne plus. Mais on peut lire des textes un peu semblables (avec des citations de l’Évangile de Thomas) ici:
          http://www.revue3emillenaire.com/blog/a-propos-du-cinquieme-evangile-entretien-avec-emile-gillabert-par-jean-bies/
          Et là: http://www.revue3emillenaire.com/blog/category/auteurs-g/gillabert-emile/

          Autre texte important: http://www.revue3emillenaire.com/blog/la-gnose-ni-lhellenisme-ni-le-christianisme-ne-suffisent-a-lexpliquer-par-emile-gillabert/

          Dans ces articles, Gillabert donne les fondements de la vision spirituelle gnostique non dualiste. La vision chrétienne repose sur la séparation (la dualité), l’Évangile de Thomas enseigne l’unité absolue. Séparer le sacré du profane, le pur de l’impur, le bien du mal, etc. est un procédé de notre mental, lequel est conçu pour assurer notre survie. Et effectivement, dans le monde matériel, il vaut mieux séparer ce qui est favorable à notre enveloppe charnelle de ce qui peut l’endommager ou la détruire.

          Gillabert explique aussi pourquoi les disciples ayant subi un fort conditionnement juif n’ont pas pu suivre Jésus. En effet, lorsqu’on a derrière soi quelques dizaines de milliers d’heures de conditionnement (chrétien par exemple) étalées sur plusieurs décennies, on ne peut pas changer du tout au tout en peu de temps. Il faut travailler l’orientation nouvelle et donner du temps au temps.
          Mais il y a peut-être des exceptions, comme le coup de foudre!!

          Excusez-moi si mes interventions sont décousues … chacun devra y mettre son ordre personnel, ce sera un bon début! Ensuite, cela dépendra de la soif de connaître nous encourageant à travailler la question. Inutile de compter sur les prières, avec le Jésus de Thomas, il n’y en a pas.

  5. C’est malheureusement la vérité,nous vivons dans un monde de confusion ! les mots semblent avoir perdu
    tout leur sens ! Les édyles de la religion se comportent en manadgers……….faisant des concessions à la
    concurrence……….nous sommes dans le grand marché des àmes !!!

    Il y a sur les marches du temple une faune à pieds fourchus…………….qui n’a rien à y faire ,peut étre là
    aussi une promotion Voltaire ????

    La ligne éditoriale du message Catholique est profondément gauchie par une sensiblerie cultivée,à faire pleurer
    dans les chaumiéres !! Le message droitdel’homiste,est déformé,au point de considérer le métissage,comme
    un acte de foi !! Combien de p’tites nanas se prennent pour Mére Téréza………….en épousant mamadou ???

    Personne pour expliquer que ce n’est pas un progrés mais une régression…………….jusqu’oû régresser ? pour
    que l’humanité trouve enfin l’égalité du jardin d’eden ??? Jusqu’au cimetiére……….c’est la fin qui nivelle !!!

    Ce n’est pas le message du CHRIST , qui lui est d’Amour et d’élévation ……………..

    • Excellente démonstration, Philippe, que je publierai sans doute mardi

  6. Personnellement je me retrouve très bien moi-même dans ce très bon article. Mes convictions ont suivi un peu le même chemin, et j’ai dû, je dois encore et je devrai certainement approfondir bien des choses concernant ma foi. Le Mal a envahi l’Église Catholique car une partie du clergé a œuvré plus ou moins consciemment à ce que le vrai Dieu le Saint-Esprit finisse par déserter cette même Église qui est livrée à elle-même et aux absurdités et dévoiements typiquement humains et temporels, car la spiritualité authentique s’est évaporée.

  7. Tout juste ; je suis chrétien mais ne me reconnais plus dans cette bouillie de chat prônée par Vatican 2. Aujourd’hui, les cathos servent la soupe à l’Islam qui pour moi, demeure la pire des abominations, au sens biblique du texte.

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