3 Commentaires

  1. bonjour à tous
    Me voici chez ma belle-fille à Lyon, pour la semaine.
    Avant le départ, J’avais imprimé une lettre reprenant les liens youtube suite à l’article de Christine informant des excisions, viols, mariage forcés etc. à la suite, quelques sourates de Philippe Jallade complétaient l’info. Le titre étant l’astuce de Philippe “Sites que le gouvernement….”
    Généreux vis à vis des islamo-collabos, cette lettre débutait par “Philippe voici les infos que tu m’avais demandées”
    Pas de chance, je suis assez distrait et j’ai du en oublier sur les tables des machines à café de l’autoroute. Cette distraction m’a obligé à visiter six stations.
    Si par hasard vous circulez sur l’A6 A7 et que vous trouviez mes lettres, merci de les rappporter, car je ne voudrais pas que nos humano-naif-islamo-collabos s’étouffent de lire des vérités coraniques! :-))
    A bientot….le 5mai j’espère.

  2. certes intéressant, mais je conviens que l’Islam est la priorité N°&, mais pourquoi ne jamais parler de faits d’actualité comme ceux-ci ??????????????????????
    “http://www.youtube.com/embed/xXuNr0yvYTk?feature=player_detailpage”
    ou encore
    Attaque du RER D: Mohammed, le relaxé, était confiant
    Par Julie Saulnier, publié le 19/04/2013 à 17:02, mis à jour le 20/04/2013 à 00:22
    Le tribunal correctionnel d’Evry a relaxé Mohammed, seul majeur jugé pour l’attaque du RER D en gare de Grigny le 16 mars dernier.
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    A la suite de l’attaque, le ministère de l’Intérieur Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, avait emprunté le RER D.
    AFP PHOTO / MARTIN BUREAU
    “On a gagné!” Le seul jeune homme majeur renvoyé en correctionnelle pour l’attaque du RER D en gare de Grigny le 16 mars dernier a été relaxé.
    Il sont nombreux ce vendredi à avoir fait le déplacement au tribunal d’Evry (Essonne) pour assister au procès de Mohammed T.. Des journalistes, mais aussi des jeunes des alentours et surtout des copains de lycée. Le jeune homme, âgé de 18 ans et élève en Terminale, habite Grigny depuis huit ans. Il est arrivé au Palais de justice aux côtés de son avocat, Me Raoul Briolin, Nike aux pieds, survêtement bleu électrique et doudoune assortie.
    “Reconnaissez-vous les faits?”
    Après avoir rappelé au prévenu qu’il avait le droit de ne pas répondre à ses questions, le président du tribunal est allé droit au but: “Reconnaissez-vous les faits qui vous sont reprochés?”
    L’intéressé: “Non.” Mohammed nie les faits, il n’a “jamais été en gare de Grigny le 16 mars”. Le soir de l’attaque, assure-t-il mollement, il s’est rendu à un concert de rap et de foot en salle à Grigny 2. Il y est resté de 19 heures “à 23h40” et n’est sorti que pour “fumer une cigarette”. S’il était accompagné? “C’était juste des copains.”
    Copains dont il préfère taire l’identité. Or, sans eux, impossible d’attester de sa présence, ou non, à l’événement et donc en gare de Grigny.
    “C’est le roi des menteurs”
    A l’audience, seule une victime est présente, et elle dit reconnaître le prévenu. “Il faisait partie de mes agresseurs.” Un policier en service le soir de l’attaque, ancien de la BAC, cité comme témoin, identifie également Mohammed comme étant un des auteurs de l’agression.
    Les caméras de surveillance de la SNCF ont capté la scène, de l’arrivée à la sortie des malfaiteurs. Pour se faire son idée, le tribunal avait pris le parti de visionner les bandes – sélectionnées par le ministère public – pour la première fois ce vendredi. Play: des dizaines de jeunes habillés en noir et la tête couverte sautent par dessus les tourniquets. Les images sont saccadées. Les malfrats atteignent le quai et attendent l’arrivée du train. Ils sont agités. “C’est mort, c’est cramé, on les voit trop bien”, chuchote un jeune homme dans le public.
    Mohammed jette un oeil dans leur direction. Le policier, “physionomiste” par définition, s’approche de l’écran à la demande du président et désigne du doigt le jeune homme à la casquette grise. Selon lui, il s’agit du prévenu, auquel il a déjà eu à faire dans le passé. “C’est le roi des menteurs, répète à l’envi le bavard du public, il [Mohammed, NDLR] n’a rien à voir avec ça.” D’après cet observateur, visiblement bien informé, certains agresseurs seraient donc clairement identifiables sur les bandes, mais pas Mohammed…
    J’étais sûr de moi et de mon avocat
    Avec une pointe d’humour, MeBriolin estime qu’on n’y voit rien, que “c’est noir sur noir”. Les images sur lesquelles le témoin et la victime disent identifier Mohammed sont prises sur le quai, ce qui, souligne-t-il, ne prouve en rien que son client – si c’est de lui dont il s’agit – a rançonné des passagers.
    Alors que le procureur avait requis deux ans de prison dont six mois avec sursis, les soutiens du relaxé crient victoire. Au micro des journalistes, pourtant, les mots ont du mal à sortir de sa bouche. Ses copains, venus en nombre, jouent les anti-sèche. “Ouais c’est la vérité qui est ressortie. (…) Ca m’a chamboulé mais je vais essayer de me relever.” Mohammed a l’air de tout sauf d’être abattu. “J’étais sûr de moi et de mon avocat, c’est la confiance”, se justifie-t-il. L’absence d'”éléments à charge” plutôt, comme l’a souligné le président du tribunal.

    • Nous évoquons de temps en temps les faits-divers s’ils apportent quelque chose à une argumentation d’ensemble mais nous ne relayons pas par principe ce qui est largement relayé par ailleurs et ne nécessite pas une analyse ce n’est pas le but de notre site

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