L'islam ne peut accepter notre école, par Philippe Jallade

Petite digression : notre enseignement scolaire ne plaît pas à l’islam (source : sites islamiques internet, extraits) :

 « Les conséquences du fait de vivre chez les mécréants (Kouffars) :
. Les musulmans doivent envoyer leurs enfants dans les écoles des Kouffars, alors que ce sont des endroits ou on enseigne le Koufr et les idées de Koufr et d’égarement et la perversité. Les enfants commencent à parler et à penser comme les enfants des Kouffars.
. Les cours de philosophie (au collège), de musique ou de natation au secondaire qui sont des cours obligatoires pour les enfants, ce qui est interdit en Islam.
. La difficulté d’élever les enfants dans une éducation Islamique. »

« Les différents cas qui permettent de vivre temporairement chez les kouffars
Pour faire des études.
… c’est plus dangereux pour la religion et pour le caractère du musulman. Car l’élève ressent toujours qu’il est en-dessous de son professeur et que son professeur est au-dessus de lui. Cela amène donc souvent à les respecter et à être convaincu de leurs opinions, de leurs idées et à imiter leur comportement.
De plus l’élève va sentir qu’il a besoin de son professeur et cela va l’amener à développer de l’amitié pour lui et le poussera à transiger avec lui dans son égarement et sa déviation.
Et de plus, il prendra pour amis ses collègues de classe qui sont Kouffars et se mettra à les aimer et à leur donner une Walaa (alliance), ce qui est dangereux.
Et c’est un danger pour leur société, car ils reviendront avec le poison qu’ils ont reçu de la part des Kouffars pour le répandre parmi les musulmans, comme on a pu le constater. Car plusieurs de ceux qui sont envoyés reviennent complètement déviés dans leurs croyances etc. (…)
Même si aujourd’hui, dans les pays de Koufr, la plupart des élèves n’ont pas le moindre respect pour les enseignants, les dirigeants ou autres personnages d’autorité. »

« Et c’est du devoir des musulmans de profiter des sciences et des savoirs développés par les Kouffars pour augmenter notre force sur tous les plans dans le but d’atteindre un niveau compétitif.
Allah dit : Et préparez (pour lutter) contre eux tout ce que vous pouvez comme force. Sourate 8 Al-Anfal (Le butin) : v.60. »

« … l’obligation pour le musulman est de transmettre et de propager et d’inviter à l’Islam (Da’wah15) et le musulman ne doit pas se limiter à lui-même.
Donc si le musulman n’est pas capable de faire cela, la Hijrah devient obligatoire pour lui. »

La dernière citation ci-dessus laisse entrevoir pourquoi l’imam de Brest, comme tout le milieu islamique, met les bouchées doubles pour islamiser la France (et la Belgique, etc). En effet, fatwas à l’appui (Note 1), il est maintenant fortement conseillé -voire obligatoire- aux musulmans, ne réussissant pas à imposer l’islam dans les pays de mécréants où ils se trouvent, d’effectuer la « Hijrah », l’émigration … à l’envers, c’est-à-dire vers les pays musulmans. Des sites islamiques internet sont actuellement dédiés à cette entreprise.
Intéressante perspective, non ?

Note 1 : Et sur la base de versets du coran (sourate 4) autres que les versets habituellement invoqués pour émigration et djihad.

Philippe Jallade

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8 Commentaires

  1. Merci Philippe, c’est très intéressant. Sur quel site avez-vous trouvé ces informations ?
    Bonne soirée,
    Eva.

  2. Autres arguments islamiques (sites internet) pour que les musulmans quittent les pays des mécréants et fassent la Hijrah (émigration à l’envers). A communiquer à tous les « croyants » qui ne seraient pas bien informés, pour les aider à se sauver.
    « Le fait de vivre avec les Kouffars dans leur pays est en contradiction avec les preuves du Qor’an et de la Sounnah que nous avons mentionné et voici quelques conséquences négatives du fait de vivre parmi les Kouffars :
    – Développer de l’amour et une Walaa (NDR PhJ : amitié, alliance) pour les Kouffars.
    – Transiger et faire des compromis au sujet de la religion en laissant tomber des aspects obligatoires de l’Islam pour faire plaisir aux Kouffars.
    – Etre témoin des péchés et des choses interdites par l’Islam, au point qu’elles deviennent tout à fait naturelles et normal pour une personne. Cela représente une contradiction avec la foi,
    Donc il est devenu normale de voir le Koufr, le Shirk, le Zina, l’alcool, les femmes sans Jilbaab (NDR PhJ : voile), les gens qui insulte et se moquent de la religion, alors où est sa foi?
    – Demander de l’argent aux Kouffars. Demander en Islam est très mal vu, même entre musulman, sauf en cas de nécessité. Alors que dire des musulmans qui vivent chez les Kouffars et qui se rabaissent devant eux en leur demandant de l’argent.
    Beaucoup de musulmans prennent du BS (NDR PhJ : que veut dire BS ?), et toutes sortes d’allocations de la part des Kouffars et ils deviennent dépendants de cet argent par la suite, alors ils ne pensent plus à partir vivre avec les musulmans. Car les pays musulmans ne donnent pas de BS, ni d’allocations ou de chômage.
    Mais les Kouffars ne donnent pas d’argent par générosité. Comment ce qu’ils donnent pourrait-il être de la générosité, alors que ce qu’ils donnent ne leur appartient pas. Ils ne font que donner aux gens une partie de ce qu’ils leur prennent en taxes et impôts ! Ils jouent très mal à Robin des Bois!
    – Imiter les Kouffars dans leur façon de s’habiller et de vivre.
    – Difficulté de trouver un travail, même pour les gens hautement diplômé. Sans mentionné la difficulté de trouver un travail Halaal. La plupart des emplois disponibles comportes beaucoup de pratiques totalement Haraam dans l’Islam. Comme de vendre ce qui est Haraam.
    La mixité entre homme et femme. Le Ribaa. L’interdiction de la barbe, difficulté de faire la prière obligatoire à l’heure, difficulté de s’absenter pour la prière de Joumou’ah (NDR PhJ : prière du vendredi) etc.
    – L’interdiction de faire le Adhaan (NDR PhJ : appel à la prière, cinq fois par jour, par haut-parleurs) dehors.
    – Lors des fêtes du sacrifice, on ne peut pas sacrifier ailleurs qu’à l’abattoir. Si on le fait à la maison, on reçoit une amende etc.
    – La difficulté de s’entendre sur le commencement et la fin du mois de ramadan.
    – La négligence de plusieurs musulmans lors des fêtes de Eid, car les Kouffars ne ferment par lors de nos jours de fêtes. Le musulman doit présenter une lettre de motivation pour s’absenter de son travail ou de son école.
    – Le musulman est obligé de cesser de travailler lors des fêtes des Kouffars. Il est obligé de respecter leurs jours de célébration.
    – Les musulmans doivent envoyés leurs enfants dans les écoles des Kouffars, alors que ce sont des endroits ou on enseigne le Koufr et les idées de Koufr et d’égarement et la perversité. Les enfants commencent à parler et à penser comme les enfants des Kouffars.
    – Dans certain pays (comme en France) les musulmanes sont forcées d’enlever leur Hijab pour aller à l’école et doivent étudier dans des écoles mixtes.
    – La difficulté de manger que du Halaal.
    – Les cours de philosophie (au collège), de musique ou de natation au secondaire qui sont des cours obligatoires pour les enfants, ce qui est interdit en Islam.
    – Lors de l’accouchement, il est difficile d’avoir une femme médecin.
    – La difficulté d’élever les enfants dans une éducation Islamique. L’interdiction de donner des corrections aux enfants sous peine de les faire prendre de force par la protection de la jeunesse. On les place ensuite dans les familles d’accueille Kouffars où on les élèves comme des Kouffars.
    – Vivre parmi des gens qui croient que deux hommes ou deux femmes peuvent se marier ensemble !!!
    – La division des musulmans par la propagation des groupes Islamiques, des sectes et des différentes Bid’ah (NDR PhJ : innovations, déviations) qui viennent de partout dans le monde et qui prêchent ici en toute liberté. Chaque secte à sa mosquée ou son centre et propage ses Bid’ahs librement.
    – Beaucoup de musulman qui se perdent complètement et qui deviennent malade et déprimés, loin de leurs familles.
    – Le problème pour se faire enterrer quand on meurt chez les Kouffars. Les cimetières musulmans sont très rares et ont doit être enterré dans des cercueils contrairement à la Sounnah. »

  3. PAs contents d’être accueilli chez nous avec toutes les commodités offertes, ils nous imposent leurs façons de vivre dans les lieux publiques. c’est décourageant de voir ça.
    De plus, je viens de prendre connaissance d’un article qui, s’il est vrai, est plus que révoltant :
    http://www.senegalaisement.com/senegal/immigration_france.php
    Dernières “Nouveautés” qui marchent bien : DE BEAUX FORFAITS !!!!
    Se faire soigner pour une maladie orpheline (indétectable) et être pris en charge pendant 3 ans (famille et accompagnants compris).
    Avantages :
    L’adhésion aux principes de base du pays d’accueil et la maîtrise de sa langue ne sont pas obligatoires.
    Technique non risquée, rapide, sûre et peu coûteuse.
    Prestations et protection sociales instantanées (CMU, Allocations etc..), allocation d’attente temporaire puis allocations demandeurs d’asile, logement prioritaire dans un appartement vide réquisitionné; les quelques milliers d’euros mensuel d’allocations et d’avantages en nature ne suffisent pas ! 20 trimestres de retraite offerts pour enclencher le versement d’une retraite de la sécurité sociale de 910 Euros par mois ! Aide de 2000 euros par membres de la famille et pas de problème (aucune visite médicale n’est imposée, car c’est contre les Droits de l’Homme, comme les tests ADN).
    Estimation du coût :
    640€ (Billet charter + Visa + Passeport) si vous demandez l’asile une fois en Europe (Le CITA vous le fera rembourser par la mairie du lieu choisi. L’Ambassade de France établit les papiers officiels) !!!!!
    1) Le”Pack Clit/Cut” (sic) :
    Demander l’asile au prétexte d’éviter l’excision pour sa fille et aux menaces subies lorsque l’on s’y oppose, “inventé et développé au Mali et qui marche très bien”.
    2) Le Pack immigr’art : La technique est simple et consiste à se joindre à un groupe de musiciens, de sportifs, ou à tout autre groupe artistique lors d’une de leurs tournées ou voyages professionnels en Europe. Se faire passer pour un artiste et bénéficier d’une aide de 5000 Euros pour démarrer.
    3) Le Pack immisport : comme le pack Immigr’art, le pack immisport a le vent en poupe. Hélas, bien que ce ne soit pas toujours le cas, les fédérations et clubs sportifs sénégalais exigeront la plupart du temps que vous pratiquiez le sport à un haut niveau afin de participer à la compétition internationale qui vous permettra d’émigrer. Se faire passer pour un entraîneur.
    Avantages :
    Facilité d’obtention du visa, aucun risque physique.
    Aide de 3000 Euros
    En fonction de la durée du visa, jusqu’à 3 mois de séjour régulier, durée suffisamment longue pour se marier (voir le packWeddings® également valable depuis la France). Un travail dans la restauration est également envisageable : la plupart des restaurateurs emploient des clandestins leur permettant ainsi de se faire régulariser à l’issue d’un certain délai.
    Les régularisations “au cas pas cas” (expression utilisée par les médias et les préfectures pour rassurer les électeurs) sont TOUJOURS en fait des régularisations massives.
    Inconvénients :
    Prix important du Pack Immigr’ART® en raison de la rémunération de l’artiste qui sert de passeur
    – Nécessité de pratiquer un sport de haut niveau ou un sport rare pour le pack ImmiSPORT®
    Estimation du coût :
    Immigr’ART® : 5000€ (billet charter + visa + passeport + frais artistiques)
    ImmiSPORT®: généralement gratuit (ou frais de visa + passeport)

    • Oui met NINI c des fres pris su les salai des diputis hein?
      Merci pour ce tuyau que je rebascule vers mon journal local (L’Union en Picardie) car il traite ce jour du droit de vote des étrangers. Certains “durs de compenur” ont pour arguments:”..ne dit on pas la peur n’évite pas le danger….?”; Auquel j’ai répondu par un lien vers le belgistan
      Exact et on dit aussi “prudence est mère de sécurité” que certains ont baptisé et utilisé “principe de précaution”!
      Une petite visite chez nos voisins pourrait éclairer le débat
      http://www.bivouac-id.com/billets/video-faut-il-craindre-la-montee-de-l%

    • Que penser de ce site sénégalais dont vous donnez le lien (je l’avais déjà repéré il y a un certain temps, sans m’y attarder) ? On dirait presque un canular, tellement c’est gros. Hoax ou pas hoax ?
      Ceci dit, une anecdote (en 2004 ou 2005 ?), à Louga, Sénégal. Le Conseil régional local avait envoyé un contingent en visite à Millau (France), ville jumelée avec Louga. Un paquet d’artistes (hum) faisait partie du voyage ; j’ai oublié le nombre. Arrivés en France les « artistes » se sont volatilisés et évidemment n’ont pas pris l’avion de retour pour le Sénégal.
      Souvenirs, souvenirs. Pendant qu’on y est, une autre anecdote, j’en ai toute une valoche. A mon arrivée à Louga en 2003, hôtel pendant un ou deux mois ; je cherchais une maison à louer. Il y avait çà et là –surtout dans le quartier « chic », curieusement appelé « Grand Baghdad »- de grandes maisons (beaucoup trop grandes pour un célibataire) neuves inoccupées. Mais les propriétaires étaient tous « à l’extérieur », c’est-à-dire en Europe où, me disait-on, ils faisaient du trafic de drogue. A l’occasion, un de ces jeunes petits frères, ne travaillant pas mais roulant en Mercedes, en parlait de manière très naturelle. Pareil pour les autres membres de la famille et les voisins ; normal, hein ?
      A un moment j’ai pu louer une maison via un lougatois dont l’ami, et propriétaire de ladite maison, donnait dans le proxénétisme en région parisienne (je l’ai appris un peu plus tard), et dont l’avocat se trouvait dans la ville voisine de la mienne, en France. Malgré ces touchants liens de voisinage on n’est pas restés copains longtemps –le type était rentré entretemps en vacances à Louga- et j’ai quitté cette maison trois mois plus tard, ce qui ne lui a pas plu. Il a donc essayé de me faire cracher au bassinet, m’attaquer en justice (alors que j’étais dans mon droit), m’a fait convoquer plusieurs fois longuement à la gendarmerie, alors que mon boulot, une usine d’enfer en construction, m’attendait en brousse à 60 kilomètres de Louga. Seul Français permanent dans la région, isolé, on en profite, hein ? Bôf, j’avais déjà connu çà ailleurs : Algérie, Cameroun, Rwanda… Et ce cirque n’a pas duré longtemps car j’avais déjà de solides alliés sur place (surtout chez les Peuls) ; mais ce n’était que le début de mes mésaventures (NOTE 1).
      Malgré tout, Louga, Sénégal, écoute bien ceci : je t’aime toujours.
      NOTE 1 : cf. 1er épisode de « Tintin au Sénégal » dont (heureusement) Christine Tasin est à ce jour l’unique lectrice.

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