Étude danoise : de généreuses prestations sociales attirent plus de migrants

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Étude danoise sur l’attraction exercée par les prestations sociales : de généreux avantages attirent plus de migrants

 

Des régimes de sécurité sociale généreux attirent de plus grandes foules de migrants, a conclu une étude du système danois intitulée The Welfare Magnet Hypothesis, menée par les économistes Ole Agersnap, Amalie Jensen et Henrik Kleven de l’Université de Princeton.

Le trio de chercheurs a étudié les effets de la générosité de l’aide sociale sur la migration internationale à l’aide d’une série de changements importants dans les prestations d’aide sociale des immigrants au Danemark, et a conclu que les immigrants étaient plus susceptibles de venir au Danemark lorsqu’ils pouvaient obtenir plus d’aide sociale.

Les chercheurs ont retracé une série de changements dans les lois danoises sur l’immigration et leurs répercussions. Il est vrai qu’ils considéraient le Danemark comme un “cadre idéal” pour étudier cette question. Le Danemark, disaient-ils, a “l’un des systèmes de protection sociale les plus généreux du monde”, avec des taux de prestations “encore plus élevés que dans d’autres États-Providence nordiques“.

Le premier changement, mis en œuvre en 2002 sous le gouvernement libéral-conservateur du futur secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen, a réduit d’environ 50 % les avantages pour les immigrants de l’extérieur de l’UE, sans changement pour les autochtones ou les immigrants de l’UE. Cette politique a été abrogée en 2012 à la suite de l’élection d’un gouvernement de centre-gauche, puis réintroduite en 2015 après le retour d’un gouvernement de centre-droit. Le gouvernement danois s’est même employé activement à diffuser des informations sur le régime d’aide sociale auprès des immigrants potentiels. Par exemple, elle a lancé une campagne publicitaire dans les journaux libanais pour informer les réfugiés de la réduction des prestations.

Selon les chercheurs, ces modifications aux “effets non négligeables” sont quasiment des expériences scientifiques.

“La réduction des prestations a réduit le flux net d’immigrants d’environ 5 000 personnes par année, soit 3,7 % du stock d’immigrants traités, et l’abrogation subséquente de la politique a presque exactement inversé cet effet “, a souligné l’équipe de recherche.

Comme le Danemark n’était qu’un petit pays, ont conclu les chercheurs, on ne peut s’attendre à ce que son système d’aide sociale influe sur les décisions d’émigrer, disons, d’Afghanistan. Toutefois, cela influe sur la décision d’un migrant afghan de s’installer au Danemark plutôt que, disons, en Suède ou en Allemagne voisines, ont souligné les chercheurs.

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“Bien qu’il y ait de nombreux facteurs autres que l’aide sociale qui influent sur les décisions en matière de migration, nos données indiquent que, à condition de déménager, la générosité du système d’aide sociale est importante pour le choix de la destination “, ont conclu les chercheurs.

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Mis à part les pointes brutales de 1995 et 2015, dues à la guerre de Yougoslavie et à la guerre de Syrie, le flux net d’immigration hors UE s’est élevé en moyenne à environ 8 000 personnes par an.

Aujourd’hui, la proportion de la population danoise née à l’étranger est comparable à celle des États-Unis (13,5 %), ont souligné les chercheurs.

Sputnik News, 04.12.2019.

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13 Commentaires

  1. Nous n’aurons jamais droit à une étude aussi directe et aussi franche,
    d’ailleurs quelle opacité est maintenue sur toutes les aides accordées aux envahisseurs, !!!!
    montant des subventions allouées aux ONG immigrationnistes,
    montant de fonctionnement de l’OFPRA et de l’ OFII

    logement, argent de poche, formation, cours de langue,
    prix des hôtels réquisitionnés, prix des professeurs engagés pour leur apprendre le français, prix de la prise en charge médicale, argent alloué par la CAF etc,

    ce serait tellement intéressant de pouvoir examiner tout ça de près , n’est-ce pas ???
    ça pourrait inciter certains à voter vers la mal-pensance

  2. Les chercheurs Danois ont-ils découvert le fil à couper le beurre ? Il ne pensent pas quand même que c’est par intérêt pour la mythologie scandinave ou parce qu’ils ont une industrie attractive . A part la pêche et les transports maritime!
    Ils sont en équilibre pour les comptes publiques et bien on ne peut que leur conseiller d’en rester là! Remarquez que nous les Français n’avons pas de leçons à leur donner parce que ce genre d’étude avec tous les gugus qui travaillent au CNRS , on, a jamais été capable de nous en faire une et les seuls qui s’y collent se font rentrer dans le lard . Il est vrai qu’avec 2400 milliards d’euros de dette sociale il ne vaut mieux pas trop y regarder de près on pourrait avoir des surprise . Enfin pas moi , je me fais pas d’illusion sur l’origine de celle-ci.

  3. > Vous vous souvenez certainement de « l’affaire Théo ».
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    > Le 2 février 2017, quatre policiers d’Aulnay-sous-Bois procèdent à un contrôle d’identité sur un groupe de jeunes gens. Rapidement le contrôle dégénère. Les individus contrôlés s’enfuient. L’un d’entre eux, Théo Luhaka, 22 ans, se bat avec un policier. Les quatre agents tentent de l’interpeller. Théo, un solide gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix, se débat violemment. Il est finalement maîtrisé. C’est à son arrivée au commissariat que les policiers disent constater qu’il saigne au niveau des fesses. Théo est alors transporté à l’hôpital, où un médecin diagnostiquera « une plaie longitudinale du canal anal » et une « section du muscle sphinctérien ».
    >
    > De son lit d’hôpital, le jeune homme accuse les policiers d’avoir baissé son pantalon et son caleçon et de lui avoir volontairement introduit une matraque télescopique dans l’anus au cours de l’interpellation !
    >
    > Les policiers accusés nient mais ils sont mis en examen, placés sous contrôle judiciaire et suspendus de leurs fonctions par le ministre de l’Intérieur.
    >
    > Depuis, un certain nombre d’éléments sont venus fragiliser les accusations initiales.
    >
    > Deux expertises médicales ont conclu à l’absence de viol et que l’unique coup de matraque, porté au niveau des cuisses, n’était « pas contraire aux règles de l’art ». Les images de vidéosurveillance, qui ont été rendues publiques, vont dans le sens du récit fait par les policiers. Et, devant le juge d’instruction, Théo a reconnu qu’en fait les policiers n’avaient pas baissé son pantalon, contrairement à ce qu’il avait prétendu.
    >
    > La justice n’a pas encore rendu son verdict définitif, mais aujourd’hui il semble clair que « l’affaire » est assez différente de la première version donnée par Théo.
    >
    > Par ailleurs, on a appris que l’association « Aulnay Events », présidée par un des frères de Théo, aurait détourné 678 000 euros de subventions publiques tout en laissant 350 000 euros de cotisations sociales impayées.
    >
    > Huit membres de la famille Luhaka ont reçu de l’association 170 000 euros, dont 52 000 virés sur le seul compte de Théo. En juillet 2018, Théo Luhaka a été mis en examen pour « escroquerie en bande organisée, blanchiment, faux et usage de faux et travail dissimulé au préjudice d’un organisme chargé d’une mission de service public. »
    >
    > Ce n’est pas tout. Jeudi dernier, l’hebdomadaire Valeurs Actuelles révélait que Théo, qui vit seul dans un appartement de 76 mètres carrés à Aulnay, était menacé d’expulsion pour plus de 10 000 euros de loyer impayés.
    >
    > Seulement voilà, Théo Luhaka a été « sauvé » par la trêve hivernale. Depuis le 1er novembre, c’est la préfecture de la Seine-Saint-Denis qui prend en charge son loyer.
    >
    > Oui, vous avez bien lu.
    >
    > Théo est désormais logé en HLM aux frais du contribuable, alors même qu’il est mis en examen pour avoir détourné de l’argent public.
    >
    > Malheureusement, le cas de Théo est loin d’être isolé.
    >
    > Dans les quartiers dits « sensibles », les situations choquantes comme celle-là abondent. Car ces quartiers sont presque entièrement gérés par la puissance publique, qui y tolère des abus innombrables.
    >
    > Comme l’explique l’ancien préfet Michel Aubouin dans son livre 40 ans dans les cités :
    >
    > « L’initiative privée dans les “ quartiers ” se réduit à peu de chose. Même les rares commerçants qui y subsistent : boulangerie, bar à chicha, boucherie halal… sont des locataires d’un bailleur public. Quant au peuplement il résulte lui aussi d’une politique publique : les attributions de logements sont aux mains de commissions présidées par les maires, ou bien elles relèvent de la responsabilité de l’État, via le “ contingent préfectoral “. Et la demande est, elle-même, fortement corrélée avec les flux de l’immigration. »
    >
    > Et il ajoute :
    >
    > « Cette prééminence de l’État et de ses satellites rend plus invraisemblables encore certaines situations, car ce sont dans les mêmes quartiers qu’au vu et au su de tous la drogue se vend et s’achète. “ Elle est stockée dans des logements vides ”, me dit un commissaire de police, en ajoutant qu’il lui est difficile de sévir. Si les propriétaires de ces appartements étaient des personnes privées, on pourrait les mettre en cause pour les désordres causés par leurs locataires, mais on n’a jamais vu un bailleur social poursuivi pour des faits de ce type. Ces propriétaires publics abritent les plus gros marchés de vente de drogue, et pour certains ne l’ignorent pas. Certains gestionnaires avouent même y trouver un intérêt, car les dealers payent régulièrement leur loyer. »
    >
    > L’État loge des dealers, en sachant parfaitement qu’ils sont des dealers.
    >
    > Et si jamais, par hasard, certains se retrouvaient dans la même situation que Théo, à devoir être expulsés, il est plus que probable que l’État ferait comme pour Théo : il paierait lui-même leurs loyers ou bien il les relogerait, au nom du « droit au logement ».
    >
    > Savez-vous ce qui a été le plus choquant dans l’affaire Théo ? La réaction de certains hommes politiques.
    >
    > Juste quatre jours après le début de l’affaire, alors que l’enquête avait à peine commencé, le président de la République François Hollande s’est rendu au chevet de Théo, pour lui témoigner son soutien et se faire photographier avec lui.
    >
    > Cette photographie a été vue par la France entière.
    >
    > Le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, a suspendu les policiers mis en cause « immédiatement et à titre conservatoire ».
    >
    > Le 8 février, Emmanuel Macron, futur président de la République a déclaré : « Comment ne pas être choqué par ce qui est arrivé à Théo ? Parce qu’à Aulnay, c’est la force illégitime de l’État qui a eu cours et la dignité d’un jeune garçon, d’une famille et d’un quartier, qui a été mise en cause. Je tiens à rendre hommage à Théo et à son entourage. Alors que tout semble les pousser vers la haine et la révolte, ils font preuve d’un formidable sang-froid. »
    >
    > Quelques jours plus tard, des émeutes éclataient un peu partout en France. Les émeutiers réclamaient « justice pour Théo » en incendiant des véhicules et en affrontant brutalement les policiers. Le 11 février à Bobigny, le 15 et le 18 février à Paris, le 11 et le 17 février à Rouen…
    >
    > Dans les « quartiers sensibles », l’État et les hommes politiques jouent trop souvent le rôle du pompier pyromane.
    >
    > Ils affirment qu’ils vont lancer une « reconquête républicaine » de ces zones de non droit, mais ils lâchent les policiers au moindre problème.
    >
    > Ils disent vouloir lutter contre la drogue, mais ils logent des dealers en HLM.
    >
    > Ils disent qu’ils seront impitoyables avec ceux qui fraudent le fisc, mais ils achètent la « paix sociale » dans les quartiers à coups de subventions à des associations douteuses.
    >
    > Et ceux qui paient la note de cette lâcheté et de cette hypocrisie, ce sont les habitants honnêtes de ces quartiers, ce sont tous les Français respectueux des lois.
    >
    > Comment ne pas donner raison à Michel Aubouin lorsqu’il écrit :
    >
    > « Il faut accepter le jugement de l’histoire : l’État a été défaillant pour traiter la question des “ quartiers “. Et il le demeure. Il n’a pas su résoudre la question du logement social ; il n’a pas su endiguer l’expansion du trafic de drogue ; il n’a pas su répondre aux défis de l’échec scolaire ; il n’a pas su retisser les liens distendus entre les autorités publiques et la population ; il n’a rien fait pour canaliser les mouvements de l’immigration ; il n’a pas voulu modifier le jeu des politiques locales ; il a en partie perdu la guerre des territoires ; il a refusé de traiter de la question des cultures et n’a pas vu l’implantation massive des religions dans les nouveaux espaces urbains. Surtout, il n’a jamais voulu adapter ses organisations aux enjeux d’une situation inédite et, à plus d’un titre, menaçante. »
    >
    > Plus que jamais, il est nécessaire de se battre pour que cela change. Et vous pouvez compter sur notre détermination de tous les instants. À l’Institut pour la Justice, jamais nous n’accepterons une telle situation.
    >
    je connais aussi des délinquants très bien logés ,…… à nos frais
    vous savez ceux qui nous dirigent , élus & non élus

  4. Bien sûr,ils ne peuvent pas venir avec leurs pirogues,creusées dans des troncs d’arbres..! Mais qui sont donc ces salauds,qui vont les chercher,pour les ramener chez nous.? Hein,Soros..! Pourquoi caches tu ton vrai nom,comme la plupart des médias,qui nous mentent chaque jour.? Bientôt vous le paierez très cher,et cette fois,ce ne sont pas vos semblables,qui vous puniront. Vous aviez pourtant déjà été avertis..!

  5. Quand je pense que notre vie est devenue incertaine, anxiogène, à cause de cette folie migratoire qui nous conduit peu à peu au chaos et à la guerre. Il faut être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas l’admettre. Nous abandonnons notre vie à un avenir de misère, voilà ce qui nous attend.

  6. Sur la photo c’est un anti-drakkar ? avec des anti-vikings ?
    Les temps ont bien changé … pauvre de nous.

  7. Mais on a les mêmes,ici ,tout le monde le dit ,sauf les autruches,qui ne veulent pas voir ou l’admettre, ou les naïfs, mais si on supprimait toutes ces aides on s’en sortirait bien mieux et eux aussi .

    • La différence, c’est qu’en France, on interdirait toute étude montrant le lien entre la hausse record des demandes d’asile et nos généreuses prestations sociales. Pour ne pas “stigmatiser”…

      Même si tout le monde le sait…

  8. Et il y avait besoin de payer une étude pour savoir ça ? Car c’est une évidence.

    • Entre la hutte en paille,sans eau ni confort,et les diverses prestations sociales,la nourriture,l’aide médicale,et tout le reste à nos frais;c’est vrai que le choix est vite fait. Et que dire du smartphone flambant neuf que leur offre les associations gauchistes,pour les diriger au mieux,dans toutes leurs démarches,et faire rameuter d’autres migrants..!

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