Voyage au bout du gauchisme : l’islam roi dans les manuels scolaires de nos enfants

 

Faites le test auprès d’élèves de 6e : demandez-leur de citer les 5 principaux fleuves et sommets de France. Bien peu sortiront vainqueurs de cette épreuve ardue.

C’est qu’au primaire, la Géographie est devenue parent pauvre de l’enseignement tandis que l’Histoire sert la soupe idéologique de la gauche. Fini la bataille de Poitiers, Roncevaux, Jeanne d’Arc et Marignan auxquels les petits Franco-Algériens ou Sénégalais ne peuvent s’identifier… Place au cours sur le tri sélectif, le vivre-ensemble et la “Déclaration des Droits de l’homme”, retouchée à la mode Déclaration mondialiste de 1848, vade mecum de notre société égalitariste.

D’ailleurs, « Tous égaux dans la médiocrité », c’est, depuis des années, la feuille de route de l’Education nationale, fief des idéologues de tout poil, depuis les pédagogistes à la Meirieu aux « détricoteuses » de l’Histoire façon Laurence De Cock.

Cette caste d’universitaires d’extrême-gauche proches du NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste) est partie prenante de la rédaction d’ouvrages scolaires. Alors adieu le souci d’objectivité et d’impartialité !

Pour preuve, Laurence de Cock et Mathilde Larrère animent également une chronique sur Mediapart exposant leur opposition à « la neutralité de l’histoire » et au roman national en privilégiant les thèmes de l’islam, des musulmans, des racisé.e.s et des « victimes » du colonialisme. Le tout dans une atmosphère néoféministe à écriture inclusive montrant du doigt le vil oppresseur blanc et occidental.

C’est dans ce contexte idéologique que sont élaborés les nouveaux programmes d’Histoire-Géographie que doivent relayer les principaux éditeurs Nathan, Hatier, Bordas, Magnard ou Hachette. Mais plus grave encore : ces programmes semblent suivre les directives des grandes organisations internationales du Lobby islamique telles que l’OCI (Organisation de la coopération islamique) ou l’ISESCO (Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture).

Si les élèves n’apprennent pas grand-chose au primaire, on leur attribue, au collège, des manuels roboratifs de 400 pages. Mais pour y découvrir quoi, au juste ?

Prenons l’ouvrage d’Histoire-géographie-EMC de 5e de chez Hatier (groupe Hachette) dont la couverture s’orne, entre autres, d’un Soliman le Magnifique en majestueux cavalier. L’ouvrage se divise en trois parties : Histoire, Géographie et Enseignement Moral et Civique.

La partie consacrée à l’histoire se découpe en 3 thèmes dont l’un porte sur « Chrétientés et islam (VIe – XIIIe s.), des mondes en contact ».

 

 

On notera la place grandissante de l’islam et de l’espace méditerranéen dans les programmes. Ce qui paraissait anecdotique il y a quelques décennies fourmille désormais d’explications et de détails pour une Histoire « inclusive » destinée aux élèves de la diversité et la fabrication d’un nouveau récit national.

Évidemment, l’ouvrage n’oblitère pas la Chrétienté (ou plutôt les Chrétientés), l’Occident féodal et la transformation de l’Europe aux XVI-XVIIe siècles. Mais la souplesse du système éducatif autorisera tel ou tel professeur à privilégier un thème plus qu’un autre : l’Empire carolingien, la société féodale et la monarchie absolue pour l’élève d’Aurillac ; les empires arabo-musulmans et ottomans, les cultures islamiques, le commerce en Méditerranée pour celui de Bobigny.

Le premier thème « Chrétientés et islam (VIe – XIIIe s.), des mondes en contact » met donc à égalité le monde chrétien et l’islam mais tandis que l’un paraît cruel, arriéré et vindicatif, l’autre, plus proche du conte des Mille et une Nuits, semble merveilleux, multiculturel et progressiste. Le tout dans un espace méditerranéen fantasmé, un carrefour culturel où hommes et marchandises voyagent et s’échangent pour donner un monde idéal basé sur le vivre-ensemble.

 

 

L’Occident chrétien se partage entre l’Europe carolingienne et l’Empire byzantin illustré par… l’ancienne cathédrale Ste-Sophie devenue mosquée-musée.

En fait, l’étude sur « Charlemagne empereur d’Occident » ne comporte que 9 pages contre 20 pages pour le chapitre consacré à « L’islam : pouvoirs, sociétés et cultures. »

Sur le monde de Charlemagne, l’élève apprendra que les Saxons furent massacrés et convertis de force mais ne saura pas pourquoi il partit « en expédition en Espagne » en 778. On l’invite ensuite à se poser la question suivante : « Comment Charlemagne a-t-il défendu l’Eglise et le pape ? » Sous-entendu… par la violence.

Charlemagne est un empereur très chrétien vivant à Aix-la-Chapelle et qui s’adonne à de menus plaisirs : équitation, chasse et natation. En dehors des périodes oisives, son règne est marqué par des conquêtes sanglantes : Italie, Espagne, Germanie alors christianisés par le glaive. A son crédit toutefois, une écriture mieux codifiée (minuscule caroline) et l’ouverture d’écoles. Enfin, Charlemagne et ses héritiers tenteront en vain de défendre l’empire de son délitement et des raids d’envahisseurs (ex-invasions barbares), c’est-à-dire quelques sarrasins anecdotiques, des hongrois et beaucoup de Vikings.

Le chapitre consacré à l’islam est beaucoup plus prolixe et décrit, avec force détails, le Coran, la vie de Mahomet et la science arabe.

Pour résumer, Mahomet était un marchand caravanier vivant dans une Arabie heureuse peuplée de juifs, de chrétiens et de polythéistes. Méditateur à ses heures perdues, il eut une révélation au mont Hira, là où l’ange Gabriel lui annonça qu’il était le prophète de Dieu.  Ainsi débuta l’épopée de l’islam : départ pour Medine, prise de la Mecque, élaboration du Coran (transcription des paroles de Dieu à Mahomet qui ne savait ni lire, ni écrire) et formation d’un empire immense.

Le tout dans la joie et la bonne humeur car si l’ouvrage de Hatier parle bien de conversions, de conquêtes et d’expansion, nulle trace de morts, de massacres, de décapitations, de sang et de terreur. « L’islam se répand dans presque toute l’Arabie » puis l’empire arabo-musulman s’étend et « de nombreux habitants de convertissent à l’islam ».

Contrairement aux horribles carolingiens exterminateurs de Saxons, les Arabo-musulmans fondent un immense empire basé sur la paix et la tolérance. C’est magique, c’est musulman, c’est l’islam.

 

Deux pages sont consacrées à l’étude des 5 piliers de l’islam et de ses règles, notamment l’interdiction de consommation du porc et de l’alcool et l’autorisation de la polygamie. Les quelques élèves non-musulmans du 93 sauront ainsi sur quoi se base la vie de leurs petits camarades musulmans et apprendront avec soulagement que les chrétiens et les juifs, sous le califat, étaient tolérés à condition de payer un impôt spécial (l’exercice du racket en milieu scolaire ne s’apparente-il pas à la Djizîa ?)

On apprendra également que le djihad est la promesse de grands plaisirs aux combattants (qui auront « indulgence et pardon » dans l’au-delà) et ces “gratifications” post-martyr seront supérieures à celles des musulmans indolents restés dans leurs foyers. On s’éloigne quelque peu du “combat intérieur” du rappeur Medine…

Ensuite des exercices dérogeant quelque peu aux principes de l’école laïque sont proposés comme “testez vos connaissances sur la religion musulmane” ou “dessinez rapidement la limite d’un verset et d’un temps de prière”. Et qu’y a-t-il à comprendre de l’exercice “comprendre une conquête arabe” ?

Puis une étude de 4 pages (dont 2 sur la Grande mosquée) est consacrée à la ville de Damas, capitale des Omeyades et cité prospère où vivent en toute harmonie musulmans, juifs et chrétiens. Vient ensuite l’étude consacrée à la science et au commerce arabe et, pour finir la première partie de l’ouvrage, un chapitre de 13 pages est consacré au monde méditerranéen, un espace merveilleux de contacts et d’échanges symbolisé par le carrefour multiculturel de la Sicile.

 

 

Si les auteurs de ces manuels scolaires qualifient la civilisation islamique de « brillante » en mettant en avant la science arabe musulmane (gratifiant au passage l’islam), ils ignorent totalement certains aspects négatifs tels que la traite orientale des esclaves ou la véritable condition des dhimmis.

Même la présidente du Conseil National des Programmes, pourtant musulmane, Mme Souad Ayada a déploré que la religion musulmane soit traitée « de façon dogmatique […] par un enseignement […] qui vise à apaiser, à flatter, à soutenir des choses qui relèvent du vivre-ensemble, mais qui n’est pas articulé au souci de vérité ».

« Logiquement, elle prône un enseignement qui obéisse « à toutes les règles de l’histoire critique » conclut Alexandre Del Valle dans La Stratégie de l’intimidation.

Et le souci de vérité n’est pas ce qui obsède les « historiens de garde » proches des thèses marxistes, immigrationnistes, néoféministes et indigénistes du NPA et du PIR.

Ainsi, Laurence De Cock et sa comparse des Détricoteuses, Mathilde Larrère, défendent une histoire politiquement située, à rebours de la neutralité (NPA), c’est-à-dire une histoire engagée et, pour tout dire,  islamo-gauchiste.  Prosaïquement parlant, par haine de soi ou ethnomasochisme, c’est, à travers l’élaboration des programmes scolaires, l’alliance effective de la gauche révolutionnaire et du Lobby islamique mondial.

Ci-dessous, un exemple affligeant de “détricotage” historique : attitudes puériles, théâtralité des postures et parti-pris idéologique systématique 

https://www.youtube.com/playlist?list=PL0H7ONNEUnnsWDg_hWOH7kxD3wwwGG8rX

https://www.mediapart.fr/studio/videos/emissions/les-detricoteuses

https://npa2009.org/idees/education/nous-defendons-une-histoire-politiquement-situee-rebours-dune-neutralite-qui-tient

https://aggiornamento.hypotheses.org/4017

https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurence_De_Cock

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mathilde_Larrère

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35 Commentaires

  1. “L’histoire est écrite par las gagnants.” Donc, les faits ci-dessus confirmeront encore une fois l’avancement d’Islam dans notre pays !

  2. Une méta-analyse des manuels et des programmes laisse clairement apparaître le projet sous-jacent, l’agenda qui sous-tend cet enseignement.

    Il ne s’agit nullement d’enseigner l’Histoire,la vraie , mais de construire un imaginaire, une représentation de la société actuelle telle que des illuminés la rêvent, en la projetant dans le passé, réécrit dans ce sens. C’est donc à la fois une fantasmagorie et une mythologie.

    C’est absolument stupéfiant, les mêmes qui nous racontent qu’il faut en finir avec la fiction du “Roman National” contraire à la vérité historique, qui serait une fiction, nous imposent un” roman du vivre-ensemble”.

    • “Bref, c’est de « l’Histoire » à la sauce 1984! Falsification, mensonge et travestissement! ”

      Une seule phrase résume tout : “lavage de cerveau”…

    • Le “roman national” contre le “roman du vivre-ensemble”… Excellente remarque et très bon commentaire, merci !

  3. Cela ressemble fortement a du prosélytisme et il me semblait que cela était interdit/illégal ?

  4. Les parents dignes de ce nom auront un énorme boulot de ré information, quitte à annoter les torchons scolaires

  5. Effectivement c’est de l’histoire. Mais tout de même, Hatier aurait pu pousser dans le contemporain jusqu’à aujourd’hui pour témoigner de la magnifique évolution du peuple de Soliman en derniers chapitres :
    L’assassinat et l’islam
    Le viol et l’islam
    L’esclavage et l’islam
    L’égorgement et l’islam
    La lapidation et l’islam
    La torture et l’islam
    La peine de mort et l’islam
    etc.
    Y a même de quoi y consacrer des livres entiers.

  6. Je viens de visionner la vidéo : les bras m’en tombent !!!
    Impressionnant, cette interaction entre l’idéologie et les faits historiques !!!
    Comment devient-on historienne ? Sans doute comme on décroche un doctorat de science politique ( voir CNEWS, punchline )…j’avoue avoir des doutes ! Rien à voir avec les doctorats scientifiques ( les vraies sciences évidemment )
    Si l’on voulait faire une analyse critique ( une vraie, étayée ), on pourrait y passer la journée, tant chaque mot, chaque expression, chaque mimique jouent un rôle dans le message à passer.
    Ce qui serait intéressant, c’est l’étude psychologique de ces deux femmes…

    • Et comme dans les médias ou la Justice, ces idéologues font la pluie et le beau temps.
      J’imagine qu’un(e) étudiant(e), pour valider ses diplômes, doit souscrire à leurs délires… On ne récompense plus alors la compétence, l’objectivité, le souci de vérité historique

    • Pour être historienne il faut faire sciences po et avoir sa carte du PS.
      C’est ainsi qu’ Hitler est passé de socialiste à nationaliste d’extrême-droite dans l’histoire.

  7. Deux suceuses de chameaux!!! Même pas belles en plus! Elles devraient porter la burqua, elles seraient plus jolies ainsi parées!!!
    Mérdiapart.

  8. bof!

    “Ainsi débuta l’épopée de l’islam : départ pour Medine,…………………….

    ……….et arrivée a Médine, qui lui offrira la celèbre chanson de bienvenue ” Talaat el badr aleyna”

    que je n’ avais plus entendue depuis 53 ans……et qui fut remise a l’ honneur par la jolie Manal Ibtissem, bent Mohamétan, l’ ex future vainqueuse de “the voice”

    d’ ailleurs le necessaire a été fait pour que cette vidéo ne soit plus visible

    allez sur you tube et tapez

    “”menel tala3a lbadro”

    résultat bizaroïde , fallait surtout pas rappeler a cette salope dans quelle chorba elle a trempé ses cordes vocales

  9. Bonjour,

    L’imposture du manuel commence dès le début, dès les titres (première photo) …

    Le titre est “Croisades et Djihads”.

    Comme si les Croisades précédaient le Djihad !

    Le Djihad est antérieur de plus de 400 ans à la Première Croisade !

    • Bonsoir,

      Avez-vous vu la dernière carte : c’est le monde musulman qui semble attaqué par la Reconquista et les Croisades tandis que pour se défendre, les Arabes lancent le djihad sur Jérusalem “occupée” par les chrétiens.

      Monde chrétien ignorant et sanguinaire qui reçoit, lui, le savoir musulman…

      Il y a un commerce d’esclaves : d’où viennent-ils ? Qui sont-ils ? Qui en fait la traite ? L’élève ne le saura puisque le manuel n’en parle pas.

      Je n’ai pas publié toutes les pages mais j’ai dû me pincer en les lisant, surtout concernant les activités sur le Coran (“Testez vos connaissances sur la religion musulmane”) car celles-ci sont reliées à d’autres matières : c’est le principe des EPI (Enseignements pratiques interdisciplinaires) de telle sorte que les enseignants puissent aussi évoquer l’islam en Français, arts plastiques ou en sciences…

      • Merci pour cet excellent article qui dénonce les collabos en place à l’Education Nationale.
        Quant à évoquer et pourquoi pas étudier l’islam en Français,en arts plastiques ou en sciences, c’est dingue mais c’est vrai que ça peut se faire. Sur quelles bases ? Les envahisseurs coraneux arrivent-ils en criant “Vive la France !” avec La Légende des Siècles dans leurs bagages ? Où sont les grandes oeuvres picturales des muzz iconoclastes ? Et alors en sciences, en sciences…ben c’est le vide intersidéral chez eux !
        Pauvres petites têtes blondes…

  10. Affreux, la trahison s’installe partout, et vive le formatage bolchevique de la jeunesse

  11. Après 3 minutes, j’ai arrêté la vidéo finale… Quand je pense que beaucoup de petits Français et d’adolescents nés ce XXIème siècle n’ont que peu de chances de savoir ce qu’est, pardon, ce quétait LA FRANCE, je suis atterré… Et pour pal mal d’entre eux, leurs parents n’en savent pas davantage… Peut-être ont-ils encore des grand-parents, des radoteurs quoi ! Comme on disait il a pas mal de temps déjà à propos des ignares : « Hitler ? Connais pas… »

  12. Moi, j’te résumerais vite fait, dans un manuel scolaire pour les enfants, les innombrables chapitres consacrés actuellement à l’islam, en juste une seule phrase :

    «L’islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n’avaient rien d’autre à faire que d’enculer leurs chameaux.»

    ( Houellebecq, dans ” plateforme ” )

  13. C’est abominable.
    Tous ces propagandistes qui veulent formater la jeunesse comme dans toutes les dictatures feraient bien de lire et relire le dernier livre de Robert Spencer: “the History of Jihad’

  14. Mais quel rapport peut il bien y avoir entre la gauche et l’islam ? Je n’arrive pas à comprendre. Je ne vois pas ce que fait l’islam dans l’histoire de France. Pourquoi pas l’histoire de l’Europe ou de l’Amérique ? Le vivre ensemble ? Non, la préférence étrangère et l’absence d’assimilation.

    • ” Mais quel rapport peut il bien y avoir entre la gauche et l’islam ? Je n’arrive pas à comprendre.”

      Voilà pourquoi il faut lire ” les bâtards de Sartre ” de Benoît Rayski.

  15. Mon manuel d’Histoire me rappelle que l’ablution “pulvérale” est prescrite par (Allah dans) le coran (s’laver le z. au sable, si pas d’eau) :
    […] et que vous ne trouviez pas d’eau, alors recourez à la terre pure, passez-en sur vos visages et vos mains […]

    (Sourate 5, au verset 6).

  16. Mais ce n’est pas possible….. je n’en crois pas mes yeux !

    Si j’étais prof je refuserais d’enseigner cela, ils devraient tous s’unir, cela devient urgent.

    Si j’avais un enfant scolarisé je crois que je lui ferais mes cours moi-même et lui dirais que ce sont des mensonges qu’il apprend, ainsi, même s’il était obligé de se plier à l’enseignement, il saurait bien de quoi il en retourne.

    Mais qu’attendent les profs pour réagir ?… Cela me sidère cette passivité.

    J’ai même appris que l’on n’enseigne plus l’Egypte (ancienne bien sûr…) en 6ème.

    • Ce n’est plus obligatoire… Contrairement à moi dans les années 80, mes enfants ne se souviennent pas d’un seul cours sur l’Égypte.

      J’ai le livre de 6e sous les yeux (Belin, 350 pages) : il y a 2-3 pages consacrées à l’Égypte qui est noyée dans le chapitre “La naissance de l’écriture et des États”. Il y a quand même deux gros chapitres consacrés aux cités grecques et à Rome.
      Ensuite, un chapitre sur “Les débuts du judaïsme”, l’expansion de l’Empire romain, les débuts du christianisme et la Chine des Han.

      • J’ai adoré pourtant et d’autres aussi me l’ont dit (certains, professeurs même).

        L’Egypte ancienne fascine encore mais malheureusement, je rêve d’y aller un jour…. peut-être !

  17. …et les deux idiotes dangereuses qui font l’apologie de ce délire.
    Qu’est ce qu’elles font encore dans l’éducation nationale où elles n’ont pas leur place !
    Parents portez plainte contre ces folles et alerter l’inspection d’académie !

    • Oui les parents doivent porter plainte pur endoctrinement et manipulation à l’encontre de leurs enfants.

    • ces deux poufiasses me rappellent les réunions conduites par des femmes: toujours le nez sur l’irréel et le détail, rien sur la synthèse et le réalisme. C’est bien le féminisme absolu: ça mènera à l’inverse d’une société équilibrée et vous vous retrouverez en burqa fourneaux.

  18. “Décrire une ville musulmane du moyen-âge”…
    Euh, arriérée, toute pourrie, avec des ordures amoncelées partout, des rats, voir même quelques sangliers pour bouffer les restes ? Avec des hordes de consanguins qui rôdent jour et nuit pour s’en prendre aux mécréants ?
    Un croisement entre Marseille, Alger et Hammamet.

    Puis si les consanguins musulmiques étaient si férus de culture, pourquoi n’ont-ils rien inventés ? Leurs grands savant non spécialisés en Coran (les seuls “savants” reconnus par l’islam) n’ont fait que plagier les grecs.

    Mais faut rendre à César, bordel. Ou à Carolus Magnus dans le cas présent.
    Ouais il a bolossé, comme disent les djeuns, les saxons. Pas parce qu’ils adoraient les démons, mais parce qu’ils étaient violent, arriérés, improductifs, et préféraient piller les riches terres franques que de bosser. Toute ressemblance avec d’autres peuplades actuelles qui ruinent la France ne serait que fortuite. Bon, Charles a aussi bolossé les basques, qui furent plus tard représentés en sarrasins.

    Et ses descendants eurent maille à partir avec… les bretons.
    On en revient à la déclaration du citoyen barrère.
    “Le fédéralisme et la superstition parlent bas-breton ; l’émigration et la haine de la république parlent allemand ; la contre révolution parle italien et le fanatisme parle basque.”

    Bon, faut dire qu’à l’époque, il n’y avait pas tellement de français qui parlaient français. Mais y aurait il une vieille haine héréditaire franque pour les autres langages, sachant que Charles qui avait sa capitale en Allemagne, parlait sûrement allemand ? Et enseignent-on aux cancres maghrébins que leurs ancêtres il n’y a pas si longtemps ne parlaient ni le français ni l’arabe ?
    Sérieusement, si ces pourritures anticapitalistes (système qui semble pourtant leur réussir) veulent faire de l’histoire “inclusive”, qu’ils apprennent comment les peuples natifs de la construction politique appelée France ont été privés de leurs droits, libertés, franchises, langues et cultures.

    • Pour décrire une ville muzz du Moyen Âge, il suffit d’aller aujourd’hui à Marseille, Trappes, ou dans le 93.

      • Je ne suis pas féru d’histoire, mais je suis presque sûr que les mahométans du moyen-âge n’avaient pas le smartphone ni la CAF.
        Ces menus détails à part, oui la ville musulmane médiévale devait être un paradis multiculturel comme St Denis ou Sevran. Bon à st Denis ils n’ont pas encore rasé la cathédrale qui est pourtant plus haute que les mosqués.

  19. Pourri de collabos, traitres à la France. Ils enseignent aussi que momo est un pédophile qui a violé une gosse, de 9 ans, référence de tous les adeptes de cette saloperie de secte meurtrière et moyenageuse..

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