Deux minables, Obono et Sy, défendus par le minable Hamidou Anne qui ose évoquer Senghor : grandiose !

Ces personnages peu reluisants qui défilent sur les plateaux télé pour déverser leur haine de ceux qui ne pensent pas comme eux n’ont que deux atouts. Ils ne sont pas blancs, et ils ont su jouer du politiquement correct. 

Ma grand-mère aurait dit “ils ne se sentent plus pisser” ou encore “ils veulent péter plus haut que leurs culs“. C’était une femme de bien, ma grand-mère. Elle n’avait pas fait d’études, elle n’avait jamais fait de politique, elle n’avait jamais couché pour devenir starlette ( et se plaindre 10 ans après), elle n’avait jamais attendu le feu vert des journaux qu’elle n’avait pas le temps de lire avec sa nichée de 7 enfants, mais elle pensait juste, elle pensait bien. Elle avait la chose du monde la moins bien partagée en ce début du XXIème siècle, le bon sens.

Or, Sy et Obono en manquent cruellement. Le feuilleton est à se tordre de rire.

Obono est invitée à parler sur les plateaux ? Elle se torture les méninges : quoi dire ? Quoi penser ? C’est une brave fille, Obono, depuis qu’elle suit Méluche comme son ombre, elle a appris que l’important c’était les Africains et la Méditerranée, que l’islam avait le vent en poupe… Alors elle y va, désireuse d’aider son mentor.

Elle y va à la pelleteuse : elle trouve normal de niquer la France et refuse de dire “vive la France”, elle signe une pétition contre les policiers brûlés par les antifas, elle appelle sexisme le fait de refuser de prendre le volant après une femme…

Et alors,  cette sale bonne femme joue les victimes et les medias mènent une campagne en sa faveur. Elle serait victime, tout simplement de racisme ! Ben voyons.

Sy ?  il commence par  insulter Zemmour en le traitant de guignol et tombe malade quand Zemmour, avec son esprit, l’envoie en tapis en 12  mots : c’est toujours flatteur d’être traité de guignol par un guignol. K.O le Sy. Encore quelques onces de vie en ce corps ? Il passe à l’insulte diffamatoire. Un Droit de Zemmour qui lui dit gentiment qu’il ne connaît pas le sens de mots et c’est l’hallali. L’autre à la niche pour un certain temps. Le plus longtemps possible sera le mieux.

Mais pour Obono comme pour Sy, tout va tout de même très bien… Ils sont noirs, ils sont donc des espèces protégées, mis sous cloche, encensés. Ils ont tous les droits, exactement comme ces dictateurs noirs qui depuis des centaines d’années endeuillent l’Afrique, persuadés qu’ils ont raison et que là où ils sont tout est possible. Et que tout leur est dû.

Il faut lire l’article particulièrement nauséabond de  Hamidou Anne, chroniqueur du Monde Afrique sur le sujet. Du grandiose. Voir ci-dessous. J’ai corrigé ( en rouge ) comme d’habitude les féminins-fautes de français 

Voici la photo du chroniqueur Hamidou Anne. Ne serait-il pas un peu partisan ? Ne serait-il pas un militant de la négritude spécialisé dans la défense par principe de tout être de couleur, quoi qu’il fasse ?

On trouve de drôles de choses sur google; il est traité de “con  en mission commandée pour déstabiliser le Bénin“, on parle de ses odes au métissage…

http://www.black-feelings.com/accueil/detail-actualite/article/hamidou-anne-un-con-en-mission-benin-afrique-monde-infos-facebook/

« Nul ne doit accepter le déferlement de haine raciste dont est victime Danièle Obono »

TRIBUNE. Le député de La France insoumise est au cœur de plusieurs polémiques. Mais les arguments pour débattre de ses idées volent très bas, estime le chroniqueur du Monde Afrique.

L’hebdomadaire français d’extrême droite Minute a mis une photo du député insoumis Danièle Obono à sa « une » avec le titre choquant « Mais qu’on la fasse taire, bordel ! ». Il s’agit du dernier acte d’une campagne lâche et nauséabonde de dénigrement et d’injures menée depuis plusieurs mois à l’encontre du député de 37 ans.

[…]

D’abord, c’est dans le studio de l’émission « Les Grandes Gueules » sur les ondes de RMC qu’elle a été sommée de prouver son attachement à son pays d’adoption en clamant un « Vive la France ! ». Ses procureurs s’offusquaient qu’elle ait signé, en 2012, aux côtés de nombreuses personnalités françaises (dont Eva Joly, Noël Mamère, Clémentine Autain) que personne n’a songé pourtant à inquiéter, une pétition pour défendre la liberté d’expression parue dans Les Inrockuptibles au sujet d’une chanson de rap intitulée « Nique la France ». Des mois plus tard, c’est son foulard noué en coiffe « à l’africaine » qui a été jugé scandaleux et déshonorant pour le Parlement français. J’élude les accusations sordides lancées par Manuel Valls de liens avec l’islamisme politique et d’accointances avec les courants antisémites et sur le fatras de sottises visant à la discréditer.

[…]

« L’Insoumise » est victime d’attaques violentes de journalistes et de citoyens, car elle est une jeune femme noire qui, de surcroît, a décidé de ne pas se taire. Son identité composite est un problème pour de nombreuses personnes qui vivent encore dans le mythe de la France blanche et chrétienne. Leur France au périmètre identitaire étriqué peut faire des concessions aux femmes dans le milieu politique – et encore – si celles-ci ont la bonne couleur de peau. Les pourfendeurs d’Obono ne tolèrent pas qu’on confère une écharpe tricolore ou un maroquin à des « bougnoules », « bamboulas » et autres « nègres ».

Peut-on critiquer Danièle Obono ? Oui. Peut-on s’opposer vigoureusement à ses prises de position ? Oui, quand notamment ici, sur son blog, elle a du mal à exprimer de la compassion vis-à-vis des victimes de Charlie Hebdo. Et aussi lorsqu’elle évoque et dénonce la censure dont serait victime Dieudonné. S’y ajoute, le 1er octobre, sa prise de position sur les conducteurs de bus refusant de prendre la relève d’une collègue femme. Là encore, avant même de répondre aux arguments de Mme Obono qui y voit davantage un problème de discrimination et de sexisme qu’une radicalisation relevant de la loi d’exception sur la lutte contre le terrorisme, Jeannette Bougrab l’affuble, sur le plateau de l’émission « La République » de LCI, du qualificatif d’« idiote utile ». Certes la députée de Paris commet des maladresses et prend des positions discutables sur des sujets clivants. Mais elle mérite qu’on lui oppose des arguments rigoureux, car elle a choisi le combat syndical, associatif et politique de terrain, fait de bagarres, de coups à recevoir et à donner. Et aussi celui des idées.

Mais nul ne doit accepter le déferlement de haine raciste dont elle est victime. On lui reproche, de façon parfois hystérique, d’être une femme noire qui refuse de se taire, de ne pas se vautrer dans la case de ses origines ou de ne pas exprimer au quotidien sa gratitude vis-à-vis du pays qui l’a accueillie et, l’intégrant symboliquement dans sa communauté nationale, lui a donnée sa nationalité. Elle n’est pas dans la célébration vaseuse et candide de cette France universelle qui accueillerait tous les fils de la Terre et leur permettrait de réaliser leurs rêves. Son irrévérence, si précieuse, lui vaut cette campagne infecte.

Couleur de peau et origine

Mais cette cabale odieuse contre Danièle Obono n’est pas inédite. Les femmes politiques noires et arabes en France sont souvent l’objet d’une réelle stigmatisation. Rachida Dati, Christiane Taubira ou encore Najat Vallaud-Belkacem, femmes diplômées et brillantes mais souvent appréhendées selon leur couleur de peau et leur origine, donc haïes pour ce qu’elles sont ; elles ont subi de violentes attaques dont les relents racistes étaient évidents.

[…]

Il y aura d’autres Danièle Obono au Parlement français, dans les ministères et même un jour à l’Elysée, car la marche de l’Histoire est ainsi faite. La France blanche, chrétienne, au risque de terroriser certains petits esprits, est finie. Terminée. L’avenir du monde est le métissage avait prédit un illustre français, qui a siégé dans le même Hémicycle que Danièle Obono aujourd’hui : il s’appelait Léopold Sédar Senghor.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/10/18/daniele-obono-est-victime-de-la-france-raciste_5202754_3212.html#ZOSXGTkDKixaM8dz.99

Grandiose, n’est-ce-pas ?
Il a même le culot de citer Léopold Senghor. Il ne s’est pas demandé pourquoi l’écrivain et homme politique noir n’a jamais eu à subir de campagne, ne s’est jamais plaint de racisme ?
C’est qu’il ne disait pas de conneries comme Obono et Sy. Tout simplement… Il nous respectait, il respectait tant la France qu’il y a fini sa vie. Il l’aimait, il aimait sa littérature, sa culture, ses origines gréco-romaines…
Qui pourrait imaginer qu’un Senghor ait pu dire “nique la France” et ait pu trouver des excuses à un radicalisé en puissance refusant de s’asseoir après une femme dans un bus ?
Quant au métissage selon Senghor :

Le nom de Léopold Sédar Senghor est indéniablement attaché au concept de la négritude qu’il définit entre autres comme « une volonté d’assumer les valeurs de civilisation du monde noir, de les vivre soi-même, après les avoir fécondées et actualisées » (1977 : 217). Elle est en quelque sorte un enracinement dans la culture négro-africaine et sa manifestation dans le vécu du Noir. Senghor reconnaît le fait que l’identité culturelle africaine peut et doit être préservée sans que cela nuise aux échanges avec les autres cultures, car c’est dans ces relations que le monde s’enrichit. Sans l’enracinement dans ses valeurs de culture, l’Afrique ne pourra pas construire un développement socio-économique viable. Elle sera de même incapable d’apporter une contribution valable à l’édification de la civilisation de l’universel, ce qui ferait d’elle un réceptacle d’idées et de valeurs, le problème de l’aliénation risque de ce fait de se poser de nouveau. Si l’enracinement est un leitmotiv dans la poésie de Senghor, c’est parce qu’il a une vocation fondamentale, celle d’apporter d’abord une solution au conflit des cultures, à ce tiraillement entre la tradition et la modernité qui est le résultat du contact avec la culture du colon. L’enracinement rend aussi possible l’affirmation de l’identité tout en préparant l’Africain à une meilleure ouverture au monde. Il doit être fier de ce qu’il est avant de s’ouvrir aux autres.

[…]

Chez Senghor, l’une des données principales de la symbiose des civilisations est le métissage et il se décline dans sa poésie en deux temps. Tout d’abord, le poète est lui-même le fruit d’un métissage au premier degré, car il né de parents qui appartiennent à des ethnies différentes : son père est Sérère et sa mère d’origine peule. Il s’agit donc d’un mélange qui s’est effectué à l’intérieur d’une même aire géographique, entre ethnies qui cohabitent, mais Senghor y attache une valeur extrême, car il a évalué la richesse que ce métissage lui a apportée ; il est le dépositaire d’un héritage culturel inestimable grâce à la rencontre de ces deux cultures. Dans les vers suivants, il rend hommage à sa mère tout en louant son sang métissé. Il prophétise en même temps le futur du continent africain qui verra les Africains se mélanger, les barrières ethniques abolies, et le métissage aura de ce fait permis de réaliser l’unité africaine à laquelle le panafricaniste qu’il est aspire :

[…]

Senghor symbolise aussi la civilisation de l’universel par la réconciliation des races noire et blanche qui se sont confrontées au cours de l’histoire. Les Blancs ont exercé leur domination sur les Noirs sous différentes formes et ces derniers ont eu à subir leurs exactions pendant des siècles. A travers la métaphore musicale, l’image de ces deux races unissant leurs voix dans un même chant, Senghor invite à un dépassement des vieilles rancœurs et au pardon. Ce chant traduit les retrouvailles d’hommes et de femmes désormais égaux, unis par la fraternité universelle, celle de ceux qui ont conscience d’appartenir à la même race humaine. Il ne signifie pas une uniformisation de toutes les cultures, mais un enrichissement dans les différences. C’est le rêve-vision du poète qui exprime ainsi son amour pour toutes les races et son désir de les voir se tendre la main. La civilisation de l’universel sera un monde idyllique dans lequel l’homme renouera avec le bonheur originel, comme le montre l’allusion du poète au Royaume d’enfance :

Les Blancs et les Noirs, tous les fils de la même Terre-Mère
Et ils chantaient à plusieurs voix, ils chantaient
Hosanna ! Alléluia !
Comme au Royaume d’Enfance autrefois, quand je rêvais.
(1990 : 302).

Senghor exprime cet espoir d’une harmonie entre Blancs et Noirs dans l’« Elégie pour Martin Luther King », qui est un hommage à ce militant afro-américain des droits civiques. Ainsi, le rêve de fraternité des races que le poète décrit avec enthousiasme dans cette élégie rejoint celui que King avait exprimé dans son célèbre discours « I have a dream » (J’ai fait un rêve) dans lequel il faisait part de sa vision d’une Amérique nouvelle où ses enfants de races différentes pourront vivre dans la fraternité en étant libres et égaux en droits. De plus, à travers l’amour universel que prêche Senghor transparaît celui qu’il ressent pour la France et son peuple, elle est sa seconde patrie et les Français, il les considère comme ses frères et cela malgré le passé turbulent qui se dresse entre eux. C’est un rêve de bonheur dans l’amour fraternel et il ne désespère pas de voir son idéal se matérialiser :

Que j’ai rêvé d’un monde de soleil dans la fraternité
De mes frères aux yeux bleus.
(1990 : 50).


Ainsi, le métissage atteint son stade ultime, sa forme parfaite avec la rencontre de toutes les races, de toutes les civilisations qui serait la communion véritable de la race humaine ; c’est dans ce contexte que se place la civilisation de l’universel. A propos de la conception senghorienne du métissage, Lilyan Kesteloot affirme :

[…] s’il se déclare partisan des civilisations métisses, il s’agit, selon ses propres termes, de ‘confrontation’, de ‘symbiose’. Comme dans la synthèse hégélienne, les deux affirmations contraires – valeurs nègres/valeurs occidentales- doivent s’épurer l’une et l’autre et ne conserver que leurs caractères excellents, pour arriver à l’harmonieuse fusion que Senghor souhaite. (2001 : 160).

Lire l’ensemble de l’article ici : 

http://ethiopiques.refer.sn/spip.php?page=imprimer-article&id_article=1810

 
Bref, en sus d’être un journaliste sans objectivité, en sus d’être selon ses ennemis “un con en mission commandée”, c’est, aussi un traître à la cause noire, à la cause de Senghor. Le métissage souhaité par Senghor c’est d’abord l’union de toutes les tribus et ethnies africaines et c’est le travail en commun des Noirs et des Blancs, l’alliance de l’Afrique et de l’Europe à égalité… Ce n’est ni le Grand Remplacement, ni la société multiculturelle…. Au contraire. Parce qu’il faut affirmer et garder ses différences, ses caractéristiques…

Complément de Claude T.A.L

 

Sy à Obono : “t’as de beaux yeux, tu sais”

Nous assistons à une destruction, à marche forcée, de toute notre culture,de toute notre histoire, toute notre littérature, et de tout l’héritage qui fait a fait de la France une nation.
La langue :  “écriture inclusive”
L’ histoire :  “débaptiser les rues Colbert ” 
……..
Une liste qui serait longue comme plusieurs bras !
A propos du  Docteur Knock  incarné  » par Sy : 
Pourquoi pas un remake de  » Quai des Brumes  » avec sy tenant le rôle de Gabin, et obono celui de Michèle Morgan :
 » t’as de beaux yeux, tu sais « . !
Regardez à nouveau, sentez vos poils se dresser sur vos bras, d’émotion devant tant de beauté, devant cette réussite absolue… Imaginez les deux nuls ci-dessus…


( Désolé pour sy et obono, mais face à Gabin et Michèle Morgan, je ne pouvais décemment pas leur mettre une majuscule ).
Et un nouveau  » Napoléon «, d’Abel Gance, avec sy dans le rôle de Napoléon ?
( même remarque que précédemment sur les majuscules ).
Claude T.A.I

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23 Commentaires

  1. Sy en Docteur Knock
    je ne doute pas que le film va faire parler de lui , mais pas en terme très flatteur et Sy ne rate pas une occasion pour être ridicule
    Pour une députée miss obono outre le fait qu’elle soit conne est vraiment mal coiffée et habillée , un clown !
    Pourtant il y a des noirs qui ont la classe, je ne vais pas tous les citer, mais il y en a.
    En politique je pense à Rama Yade qui est une belle femme et qui sait s’habiller et qui est intelligente

  2. Pareil pour la guerre des boutons de Yves Robert, chef d’oeuvre intemporel rien à voir avec ces remakes fadasses de guillaume canet et CONSorts

  3. Un de mes amis scrabbleurs est allé le voir et a trouvé le film magnifique et plein d’humour. Le monde rural me plait davantage que celui de la ville avec ses problèmes.
    J’irais voir prochainement “L’école buissonnière”. C’est quand même mieux que Knock avec Omar Sy.
    L’Ecole Buissonnière : à voir et à revoir
    Le sens de la fête : à voir et à revoir
    Knock avec Sy : à éviter.

  4. le “Canard enchainé” a donné hier une note a ce film dans sa rubrique “les films qu on peut voir a la rigueur”
    pour ne pas dire “les films qu on peut ne pas voir”
    gentiment étrillé par la troupe de gauchos du volatile, le film et son “héros” ….
    qui n’ ont pas hésité a éreinter le film ” l’ école buissonière” , magnifique conte exaltant la sologne, notre terroir, nos bois, notre Rabolioterie, enfouie au coeur de chaque gosse de la campagne comme des villes…
    ce “connard déchainé” c’ était trop pour lui!! que du sol de France! que du Terroir, que du profond souchard,
    avec un François Cluzet généreux, réél, éblouissant….de bon sens et de Françaiserie dans ce beau film…
    Genevoix en aurait chialé d’ émotion et de bonheur…comme moi !

  5. Amalgamer toute cette crétinerie aux expressions poétiques de Monsieur Léopold Senghor ….c’est la même démarche que celle des défenseurs de bouamama et saïdou qui présentaient leur “Nique la France” comme un bon mot qui aurait pu se trouver dans une chanson de G.Brassens ….
    Marre de ces insultes, marre de tous ces cons !

  6. Une grande dame du cinéma français nous a quittés aujourd’hui à l’âge de cent ans. Danièle Darrieux est décédée et a marqué l’histoire du cinéma avec de nombreux films bien connu.
    C’était une actrice qui a joué aux côtés de Charles Vanel, Fernandel, Bourvil,Raimu, etc…
    RIP

  7. Pauvre type (Hamidou Anne) complexé par sa couleur et ses origines, comme Obono d’ailleurs, comme Sy, ils souhaitent se prouver des choses. Ils sont jaloux des blancs… J’attends que ce type m’explique (enfin, NOUS explique) ce que les africains font pour leur continent sans l’aide de l’Occident ? Et qu’il ne vienne pas encore nous bassiner avec la colonisation parce que, justement, s’ils avaient été si intelligents, si entreprenants, si WARRIORS, ils s’en seraient sortis beaucoup plus tôt. Je précise qu’ils se vendaient entre eux aux esclavagistes. Alors s’ils veulent être respectés, qu’ils commencent par respecter les autres. Et pour finir, la race blanche les emm. et elle sera toujours dominante pour tout un tas de raisons qu’ils connaissent bien.

    • “la race blanche” c’est un concept très difficile à manier : se rappeler que les maghrébins en font partie…
      Parlons plutôt de “civilisation européenne” pour la domination intellectuelle, culturelle, etc.

  8. Les trois bonobos que sont obono, sy et hamidou crachent sur une France qui leur a tout donné. C’est facile de critiquer avec les poches pleines. En Afrique ils auraient certainement été moins célèbre. Qu’ils y retournent pour voir si c’est mieux là-bas.

  9. Cela ressemble à de la diversion tout çà, pour faire voir ailleurs pendant que.
    Avec nos escrocs imposteurs aux pouvoirs il faut s’attendre à tout.
    Tout n’est que supercherie et escroquerie, tout cela ressemble à un piège matriciel mise en place par des groupes escrocs criminels professionnels, les pillages d’états depuis un bon bout de temps.
    Quand les peuples ne sont pas consultés et évités constamment, ce n’est jamais pour eux.
    Si votre maison est donné à d’autres que vous, qu’ils n’ont pas droit, nous appelons cela de l’usurpation de votre bien, et si l’état se mets avec, c’est de l’abus de pouvoir.
    Sans consultations populaires des peuples européens autochtones par référendum, ce sont des usurpations des droits des peuples libres, des abus de pouvoirs et de leurs biens sociaux détournés, pour vider les caisses d’états, pas étonnant qu’il y a le mur des cons par certains magistrats corrompus, belles équipes pour la politique des trois singes, çà sert pour couvrir pendant leurs coups.

  10. “”je vous assure mon cher cousin que vous venez de me dire “n’golo n’golo dans la case”
    “moi, chère cousine je vous aurais dit “N’golo n’golo dans la case ” .. ?
    ho!ho!ho comme c’est rigolo !!
    😆

  11. Voici la photo du chroniqueur Hamidou Anne.
    coquille; il y a un n de trop……et un accent circonflexe de moins

  12. Un hors sujet , qui vaut le détour ,en plein état d’urgence , elle est belle la France .
    Calais: bagarre entre CRS et policiers de la Bac dans une boite de nuit:Posté le 18 octobre 2017 18:37 HUGO SEPTIER
    Sérieusement alcoolisés, les CRS s’en étaient dans un premier temps pris à plusieurs individus dans l’établissement de nuit.
    Vendredi passé, une violente bagarre a éclaté dans un établissement de nuit de Calais, le No Comment. Comme le révèle Le Canard Enchaîné dont l’information est reprise par RTL, ce sont des CRS, qui n’étaient pas en service et visiblement bien éméchés, qui dans un premier temps s’en sont pris à d’autres personnes présentes.
    Très vite, les policiers sont avertis de ces troubles, et c’est finalement la Bac (Brigade Anti-Criminalité) qui est dépêchée sur place. L’arrivée de renforts ne va pas calmer les esprits, bien au contraire. Les CRS ont envie d’en découdre et une nouvelle bagarre a lieu entre ces derniers et les policiers. Une matraque sera même volée durant le pugilat.
    “On ne viendra pas vous sauver!”
    L’histoire ne s’arrête pas là. La bagarre prend un autre tournant lorsque les CRS prennent pour prétexte le climat social de la ville de Calais: “Quand vous aurez des problèmes avec des migrants, on ne viendra pas vous sauver, on fera comme si on n’entendait pas les appels sur les ondes radio.”
    Alors qu’un des CRS a passé la nuit en cellule de dégrisement, les autres ont rejoint leur hôtel, où ils se sont cette fois bagarrés entre eux.
    https://news.sfr.fr/actualites/societe/calais-bagarre-entre-crs-et-policiers-de-la-bac-dans-une-boite-de-nuit.html

    • Je ne jetterai pas la pierre à ces CRS qui vivent l’enfer depuis trop longtemps et ont les nerfs à vif

      • Bonsoir Christine certes ,je suis d’accord , mais de là à ce que des fonctionnaires de police se foutent sur la tronche , il y a un sérieux problème de cohésion et d’unité entre les flics de la nationale et les CRS .

  13. Ouais et bien qu’il ne pert pas de vu qu’une blanche vaut deux noires !!! ( au solfège aussi…)
    Salutations patriotes

  14. Par contre, pas très futé le journaliste en question, englué qu’il est dans le discours dominant, c’est sûr, sans commentaire…. Rien à voir avec Léopold Senghor.

  15. Merci pour cet article très intéressant Christine.
    Très bien cet homme, Léopold Senghor, je ne connaissais pas :
    “….Il ne signifie pas une uniformisation de toutes les cultures, mais un enrichissement dans les différences….”
    C’est tellement vrai. Il avait tout compris.
    D’ailleurs l’uniformisation tue la notion même de “culture” car si culture il y a, c’est que les gens n’ont pas vécu ensemble et donc se sont construits différemment.
    Ceux qui prônent le mélange n’ont même pas été capables de penser cela. La différenciation culturelle est au contraire, une richesse.
    Quel plaisir de visiter et d’échanger avec des cultures différentes, chacun peut y apprendre quelque chose de l’autre et s’enrichir ainsi. Mais le mélange, l’uniformisation est stérile, c’est évident.
    Au niveau individuel aussi, c’est la même chose : plus on est bien avec soi-même plus on est ouvert aux autres. Sinon, il y a comme des confusions d’identités quand on s’adresse à l’autre et cela peut même être, à l’extrême, le discours de Narcisse se mirant dans l’eau, face à son miroir. Tout ceux qui sont dans l’aide devrait réfléchir à cela.

  16. Il me semble que Monsieur SENGHOR , à la fin de sa vie (en Normandie . . .) a exprimé quelques confidences sur son action . Qui saura me dire lesquelles ?

  17. à les écouter ces deux-là, on va finir par mieux comprendre le pourquoi de leur histoire passée

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